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Critiques de Ellie Midwood (183)
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La fille à la robe rayée

Un roman inspiré de faits réels beau, émouvant, déchirant et cruel. Une lecture qui émeut au plus profond du cœur et de l’âme. L’histoire d’amour interdite entre un homme et une femme que tout oppose pendant la Seconde Guerre Mondiale. Une merveille de beauté qui nous montre que l’amour et l’espoir peuvent survivre à tout et grandir n’importe où



Allemagne 1947, les tribunaux de dénazification ont commencé à traiter les premiers procès. Un dossier particulier retient l’attention du Dr Hoffman, un psychiatre américain actuellement en poste en Allemagne



Un ancien gardien d’Auschwitz Frank Dahler (Wunsch dans la vie réelle) doit comparaître devant le tribunal et a appelé un témoin inattendu pour sa défense : l’une de ses anciennes détenues d’origine juive et épouse actuelle, Helena Kleinova (Citronova dans la vie réelle)



Silencieuse et accrochée à son mari, Helena semble être une victime classique d’abus. Mais alors qu’elle commence à témoigner, le Dr Hoffman est de plus en plus perplexe. Dahler, le criminel est présenté par sa femme comme un sauveur, celui qui l’a empêchée d’être envoyée à la chambre à gaz



A contrario, l’accusateur, Andrej Novak, un ancien détenu devient presque coupable d’avoir intenté un procès. Vaut-il mieux condamner Mr Dahler pour ses crimes de guerre entraînant avec lui sa femme dans la tourmente ou le laisser repartir libre ? L’amour existe-t-il vraiment entre eux ou Helena est-elle sous l’influence de Franck ?



L’auteure sait assurer de laisser le lecteur ressentir toutes sortes d’émotions, de la haine, de la peur, de l’espoir, de la compassion…

Cette histoire est un ascenseur émotionnel !!



Ellie Midwood a fait un travail de recherches incroyables. Je vous recommande de lire le chapitre « Une note de l’histoire ». Ces pages sont puissantes et enrichissantes



Les romans historiques inspirés d’histoires vraies permettent aux générations futures d’éviter de commettre les mêmes erreurs, d’honorer les victimes et leurs familles, de ne pas oublier



La fille à la robe rayée, nous rappelle qu’au milieu des ténèbres, l’amour ne mort jamais et qu’une tout petite étincelle peut transformer les cœurs les plus sombres
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La fille à la robe rayée

Avec des mots poignants, souvent durs mais tellement realistes, elle arrive a nous conter de facon bouleversante l histoire de ces deux êtres que tout opposaient.



J ai lu ce roman en hapnee, fascinee et en meme temps bouleversée par les souvenirs mentionnes d Helena lors du procès de son mari, un ancien dirigeant SS du camps de concentration d auschwitz.



Des trois roman de l autrice, je trouve que celui ci est le plus dur, le plus abouti et le plus marquant.
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La fille à la robe rayée

Ellie Midwood, avec ce troisième roman, entre officiellement dans le top 3 de mes auteurs préférés. Une plume fluide, des personnages attachants, une intrigue toujours tirée d'une histoire vraie bouleversante, et à chaque fois la même émotion au moment de tourner la dernière page. Si vous pensez que ses trois romans se ressemblent et qu'il s'agit toujours plus ou moins de la même histoire, détrompez-vous. On suit dans ce dernier livre un couple interdit, quand l'un est prisonnier de l'autre, deux adversaires sur le ring de la guerre, ennemis respectifs de tout un peuple, ennemi SS qui ne fait rien pour empêcher ses frères d'arme de commettre les pires atrocités.

Syndrome de Stockholm ou véritable amour ? Entre roman psychologique et roman historique, l'auteure nous livre ici une histoire inédite qui remue à la fois les méninges et le cœur du lecteur. Ce fut pour moi un véritable coup de cœur et je remercie une fois de plus Faubourg Marigny pour ces instants de lecture aussi nécessaires qu'enrichissants.
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La fille à la robe rayée

- La fille à la robe rayée -

de Ellie Midwood.



Je découvre en ce début d'année, l'un des romans d'Ellie Midwood. Un récit bouleversant se passant dans l'enfer d'Auschwitz, durant la seconde guerre mondiale. Cette histoire est inspirée d'un amour atypique et pourtant bien réel, celui d'Helena et Franz.



Allemagne, 1947

Le procès en cours fait comparaître Franz Dahler, un ancien gardien d'Auschwitz. SS cruel et sadique, d'après les dires de l'accusateur, Andrej Novak. L'ancien détenu ne mâche pas ses mots, c'est le portrait d'un véritable monstre qui est dépeint. Pourtant, un témoin et pas des moindres se présente à la barre : une jeune femme, l'épouse de Franz.



Auschwitz, 1942

Le 22 mars, Helena Kleinova devait être envoyée à la chambre à gaz. La veille pourtant, elle est emmenée dans une baraque pour chanter une chanson à l'un des gardiens, dont c'est l'anniversaire. Ce dernier a tant aimé sa voix qu'il annule son exécution et l'intègre à l'unité Kanada : un entrepôt où les biens des nouveaux arrivants (vêtements, bijoux, argents…) sont triés et redistribués en Allemagne.



~



Ce qui m'a plu sous le point de vue du Dr Hoffmann, c'est l'aspect psychologique. Pendant longtemps, on se questionne : est-ce vraiment de l'amour ou de l'emprise ? Encore inconnu à cette époque, le syndrome de Stockholm est plus ou moins décrit par le Dr Hoffmann. Malgré ça, rien n'est moins sûr.



Sous le point de vue d'Helena (là où se passe la majeur partie de l'action), c'est le cheminement / le déroulement de l'amour naissant entre elle et son gardien. Elle s'interroge d'abord, sur cette relation avec l'ennemi, celui qui anéanti son peuple. Elle le rejette, mais sa présence lui manque… Toute l'attention que Franz porte à son égard est très touchante. Ce sont des mots, des gestes et des actes d'une grande beauté, un rayon de lumière dans un lieu pourtant bien funeste.



L'autrice étudie avec finesse les tourments de ces personnages. Traiter l'innommable, Ellie y parvient et de loin. Ne voulant pas en dévoiler davantage, je vous invite à découvrir ce roman.
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La fille à la robe rayée

L’amour peut-il naître partout, même dans les endroits et les conditions les plus invraisemblables?



En 1947, un tribunal de dénazification est saisi du cas de Franz Dahler, ancien gardien à Auschwitz. Celui-ci formule un demande inédite, qui laisse le psychiatre perplexe : il souhaite faire témoigner son épouse, Helena, qu’il a rencontrée dans le camp alors qu’elle y était déportée. Les questions affluent : comment une ancienne détenue a-t-elle pu épouser un gardien nazi ? Est-elle sous emprise de son époux ? Souffre-t-elle du syndrome de Stockholm ? Son témoignage est-il recevable?



Lorsqu’Helena arrive à la barre, le Dr Hoffmann est en alerte afin de cerner son état psychique. Mais rien dans son attitude ou ses gestes ne semble contredire ses paroles.

Du point de vue d’Helena, nous assistons à l’incroyable romance entre Franz, gardien dans l’unité du Kanada et la jeune femme promise à la chambre à gaz dès son arrivée dans le camp. Elle ne doit sa survie qu’à l’anniversaire de Franz, qui est attiré par elle dès qu’il la voit.



Comment qualifier une relation dans laquelle l’une est à la merci de l’autre, dans un rapport de totale domination, quand l’un peut décider, d’un geste, de la vie ou de la mort de l’autre, peut-il y avoir de l’amour dans ces conditions ?

Evidemment, la réponse n’est pas simple, quand la survie d’une femme dépend de l’état amoureux (ou ce qui s’en approche) de l’autre, et du maintien à distance du danger alentour. Et quand le lien de domination cesse, que peut-il subsister ?

L’histoire d’Helena et de Franz illustrent ces questions de manière intelligente, sans situation manichéenne, ni pathos exagéré. Pour autant, et comme ça a été le cas pour La violoniste d'Auschwitz, j'ai eu du mal à m'immerger complètement dans le récit.

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La fille à la robe rayée

Allemagne, 1947. Franz Dahler, ancien gardien d’Auschwitz va comparaître devant le tribunal pour son procès de dénazification. Son cas retient particulièrement l’attention du psychiatre Dr Hoffman, parce que le principal témoin pour la défense de Dahler n’est autre que Helena Dahler, sa femme mais aussi une juive anciennement prisonnière d’Auschwitz.



L’autrice nous embarque dans un roman psychologique dans lequel Helena va nous raconter son témoignage sur la vie à Auschwitz, sa rencontre et son histoire avec Franz.



J’ai beaucoup aimé ce roman ! L’histoire est passionnante. Que ce soit la partie historique sur la Seconde Guerre mondiale mais aussi l’histoire de Franz et Helena.



On se pose des questions sur leur relation. Si Franz a l’air amoureux d’elle, il peut être difficile de concevoir que ce soit la même chose pour Helena. C’est ce que va essayer de découvrir le Dr Hoffman. Est-ce de l’amour, de la reconnaissance ou encore de l’emprise ? J’ai rapidement pensé à un syndrome de Stockholm, mais en 1947 il n’avait pas encore été identifiée.



Ce qui est sûre c’est que leur histoire est émouvante et même belle malgré l’horreur qui l’entoure.

La vie à Auschwitz est décrite d’une telle manière que parfois c’est compliqué à lire. Mais c’est aussi très intéressant et instructif.



Cette histoire est d’autant plus impressionnante qu’elle est tirée de faits réels, la majorité de ce qui est décrit ainsi que les protagoniste ont réellement existé



J’ai passé un super moment de lecture. C’est le premier roman de l’autrice que je lis, j’ai apprécié sa plume donc ce ne sera pas le dernier de ses romans que je lirai. Je vais commencer avec « La violoniste d’Auschwitz » dont j’ai beaucoup entendu parler.

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La fille à la robe rayée

Bonjour à tous !



Post lecture terminée #130



J’ai lu “La fille à la robe rayée”, d’Ellie Midwood, chez Faubourg Marigny, je remercie Laury-Anne Fruit et Romain Naudin pour l’envois de ce livre dans le cadre d’une collaboration commerciale non rémunérée, #servicepresse .



Ce que j’ai pensé de cette lecture …



C’est un coup de cœur pour ce roman historique qui m’a bouleversé !



Si vous me connaissez un peu vous savez que j’adore lire sur la seconde guerre mondiale, et ici c’est c’est sous une autre facette que nous découvrons cette période, en effet nous allons suivre le procès de dénazification, et parallèlement nous sommes immergé à Auschwitz. Ce roman est poignant, inspiré d’une histoire vraie il relate le témoignage de Helena, une polonaise déportée à Auschwitz qui va être sauvée in extremis de la chambre à gaz par Franz, un surveillant SS qui va tomber amoureux d’elle. C’est la première fois que je lis un livre qui relate les procès des anciens nazis.



Une histoire peu commune sur la période qui va vous prendre aux tripes, je ne m’attendais pas du tout à ça, dès les premières pages j’ai été complètement happé et emporté par cette histoire et par la plume fluide et addictive de l’auteure. Certains passages sont durs, elle ne nous ménage pas sur la dureté des camps, je suis à chaque fois horrifiée sur la cruauté humaine.



Ce qui est intéressant dans ce roman ce sont les personnages, Helena m’a touché en plein cœur, et bizarrement Franz aussi, alors que l’on devrait le détester pour toutes les horreurs qu’il a commis. Le caractère psychologique de ce roman m’a totalement captivé, un cheminement percutant qui nous fait aujourd’hui penser au syndrome de Stockholm, mais à l’époque le Dr Hoffman ne parvient pas vraiment à y mettre des mots. J’avoue que j’ai été saisie par cette jeune femme car je me demande comment cela est possible, mais comme je dis souvent on ne sait pas comment on aurait pu réagir dans des circonstances autant abominables. Tout porte à croire que Helanna est sous la contrainte, et c’est ce que le tribunal veut vérifier, mais au fil des pages les choses sont de plus en plus confuses.



Vous l’aurez compris je ne peux que vous conseiller ce roman qui nous parle de cette période sombre sous une autre facette très intéressante, avec un procès pas commun.



J’ai eu un coup de coeur pour la plume de l’auteure et je vais rapidement sortir ses autres romans de ma #pal .



Alors ce roman vous tente ? Aimez vous lire sur cette période ?





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La fille à la robe rayée

J’ai lu les 2 derniers livres d’Ellie Midwood, aussi sur Auschwitz, j’ai donc très naturellement voulu lire celui-ci, un livre inspiré d’une histoire vraie.

Comment dire j’ai été dégoutée, choquée par l’histoire racontée ici.



Nous alternons dans le roman entre ces 2 périodes, pendant la guerre à Auschwitz et le temps du procès.

On note bien dès le début du procès que cette jeune femme est perturbée et clairement dépendante de son époux. Elle ne peut même pas sortir de chez elle sans qu’il ne l’accompagne.

Comment croire à une histoire d’amour entre un officier SS et une jeune déportée.

Que lui l’ai choisie c’est une chose mais qu’une jeune femme dans cette condition ait pu tomber amoureuse je n’y crois pas.

Il semble réellement amoureux d’elle, c’est indéniable.



Je suis hyper choquée de lire des chroniques où les chroniqueuses sont touchées de cet amour et trouve ça beau. Ce n’est pas beau, c’est tordu.



Cette jeune femme a clairement cédé aux avances de cet officier pour survivre, pour se nourrir et travailler au Kanada. Qu’elle ait fini par se croire amoureuse tient clairement du syndrome de Stockholm.



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La fille à la robe rayée

Allemagne, 1947. Les tribunaux ont commencé la dénazification. Arrive un procès bien inattendu pour le Dr Hoffman. Pour ce psychiatre américain en poste en Allemagne, il reste très étrange que cette femme, ancienne déportée juive au camps d'Auschwitz ait pu tombée amoureuse et épouser son bourreau, un ancien SS. Et pourquoi ce SS, Franck DAHLER demande-t-il à son épouse de témoigner en sa faveur à son procès? Est-elle encore sous son emprise ? Lorsqu'elle arrive à son procès, elle semble dépendante et sous la coupe de son mari. Le Dr Hoffman va alors découvrir son histoire, leur histoire et la confusion règne...surtout en présence d'Andrej Novak, un ancien détenu qui affirme que le SS Dahler est un véritable criminel sans cœur.



Psychologique et obsédant, ce roman nous plonge dans l'intérieur des camps. Cette unité du Canada dans laquelle les femmes tiraient les vêtements des derniers arrivant directement envoyés dans les fours crematoires. On vit les débats intérieurs des personnages à l'intérieur des camps mais aussi au moment du procès.



On ne sort pas indemne du témoigne de ce couple. La documentation effectuée par l'auteure est incroyablement précise. Un roman magnifique sur un sujet épineux, jn roman à lire sur plusieurs générations, un véritable témoignage historique.

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La fille à la robe rayée



Nous sommes en 1947 lors des procès pour denazification. Comparaît Franz, un ancien SS. Helena, ancienne détenue juive sera attendue à la barre pour le défendre. Mais agit-elle vraiment par amour où est-elle sous l'emprise de cet ancien SS? Les retours dans le passé et l'expertise du docteur Hoffman devront répondre à cette question!



Ce livre est un véritable page-turner et entre directement dans mon top de cette année! On pourrait penser que c'est impossible, qu'elle est évidemment sous l'emprise de cet homme. Mais tout n'est pas noir ou blanc et force est de reconnaître qu'ils ont des sentiments. Aujourd'hui on pourrait parler du fameux syndrome de Stockholm.

Ce n'est pas un énième livre sur la deuxième guerre mondiale! L'auteure a vraiment fait des recherches poussées et l'écriture est vraiment fluide, captivante et obsédante. On veut savoir la fin, quoi qu'elle nous délivre. J'ai aimé le côté psychologique de cette histoire!!

L'écriture est aussi très immersive et des scènes m'ont soulevé le coeur 🥹.



Est ce que l'amour peut vraiment naître dans l'enfer? Ce livre t'éclairera!



J'ai tellement aimé cette histoire que juste après ma lecture j'ai fait des recherches sur les personnes pour voir ce qu'ils étaient devenus 🤭. Ha oui parce que cette histoire est tirée d'une histoire vraie!



Il pourrait te tenter?!



Produit offert pour collaboration commerciale non rémunérée.
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La fille à la robe rayée

Helena Citrinova (Kleinova dans le roman ) est une jeune femme juive qui fait partie des premieres femmes incarcérées à Auschwitz, Franz Wunsch (Dahler dans le roman) est quant à lui un jeune SS qui prend ses fonctions de surveillant dans le camp de la mort.

Tous deux vont se rencontrer lors d'une représentation d'Helena qui doit chanter une chanson pour l'anniversaire du SS dès son arrivée au camp. Dès cet instant, Franz va littéralement tomber amoureux d'elle, et tout faire pour la protéger, en commençant par la sauvant de la chambre à gaz où elle était destinée. Helena résiste, elle refuse de pactiser avec le diable. Mais Dahler sait se montrer patient, doux et attentif, et petit à petit Helena se laisse happer par un sentiment d'attachement qui va peu à peu se transformer en sentiments amoureux.

Mais une telle romance est interdite, contre-nature, taboue au sein de ce camp des horreurs ou la mort rode à chaque coin de baraquement.

Et pourtant... c'est bien l'amour, l'espoir, et le soutien qui va les sauver l'un l'autre de l'abime qui menace de les engloutir quotidiennement.

1947, la guerre est finie, les camps sont vides de leur fantômes squelettiques, le temps est à la reconstruction intérieure et aux procès de dénazification. Franz Dalher en tant que SS est convoqué manu militari, et pour mener sa défense il a désigné la seule et unique personne capable de véritablement plaider en sa faveur : sa femme, Helena.

Au fil du recit, on alterne entre chaque période, on suit l'histoire d'helena et celle de Franz, leurs peines, leurs doutes, leurs peurs et leurs douleurs. On suit leur amour, leur rapprochement qui s'opère insidieusement, leurs coeurs qui s'unissent inexorablement.

J'ai beaucoup aimé cette lecture pour son côté véridique puisque les personnages ont réellement existés, mais aussi pour son côté romantique qui apporte cette touche d'espoir, de "douceur" si je puis dire au milieu de toute cette dureté et cette souffrance qui transparait indubitablement systématiquement lorsqu'on se plonge dans un texte qui relate les faits de l'Holocauste.

J'avais déjà été conquise avec l'histoire d'Alma Rosé dans "La violoniste d'Auschwitz" premier titre de l'auteur, et je dois dire que je suis à nouveau très fortement comblée avec ce roman historique qui mêle drame et romance.

Ma note : 10/10 zéro bémol juste un gros coup de coeur
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La fille à la robe rayée

Un roman historique inspiré d'une histoire vraie, dont la lecture m'a vraiment émue.

Helena, jeune slovaque juive, est déportée à Auschwitz en 1942. Son destin prend une tournure imprévue lorsqu'elle est sauvée de la chambre à gaz par un soldat SS pour qui elle avait été obligée de chanter pour son anniversaire. Ce dernier, Franz Dahler, l'intègre alors à son unité de tri des biens des déportés, surnommée le "Kanada". Amoureux de la jeune femme, bien qu'elle soit à l'opposé des critères nazis, il fera tout pour prendre soin d'elle. En 1947, s'ouvre le procès pour dénazification de Franz Dahler. Assurant seul sa défense, il n'a convié qu'un seul témoin à la barre : Helena.

Bien documenté, le roman décrit le système interne d'Auschwitz concernant cette unité particulière du "Kanada", où les conditions de vie des déportés étaient bien meilleures que dans le reste du camp. Ellie Midwood colle le plus possible à la réalité (la plupart des protagonistes ont réellement existé) et n'épargne ainsi rien au lecteur : certains passages sont donc assez durs à lire.

J'ai donc vraiment beaucoup aimé cette lecture, étoffée d'une note de l'auteur précise sur les faits et personnages historiques cités. Un bémol toutefois pour les éditions Faubourg Marigny : le texte contient beaucoup de coquilles, notamment sur les noms et prénoms des personnages, souvent erronés d'une ligne à l'autre, ce que j'ai trouvé dommage, même si cela n'a pas gâché mon plaisir de lecture.
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La fille à la robe rayée

C'est le 3ème roman d'Ellie Midwood, publié chez Faubourg marigny, qui est dispo, aujourd'hui, chez vos supers libraires.

Comme à chaque fois, l'auteure nous propose une immersion dans l'un des plus grands camps de concentration: Auschwitz-Birkenau.

Entre fiction et réalité, elle nous embarque dans un nouveau récit poignant!



L'histoire démarre en 1947, lors des premiers procès devant les tribunaux de dénazification. Un dossier, parmis plusieurs, retient l'attention d'un psychiatre américain, le Dr Hoffman: celui d'Helena et Franz Dahler. Franz est convoqué devant le tribunal, par un ancien détenu, pour répondre de crimes de guerre; il a appelé pour sa défense, sa femme, Helena. La particularité de ce couple: elle est juive, déportée sur le camp en 1942; il est SS, ancien garde d'Auschwitz et l'a sauvé. Leur relation rend perplexe le Dr Hoffman...



Même si il s'agit de fiction, l'auteure s'est inspirée d'une histoire vraie, des entretiens/archives disponibles pour donner corps à ses personnages. Elle nous embarque encore une fois dans l'horreur du camp. On découvre le fonctionnement de l'unité Kanada, en charge de trier les effets des personnes gazées pour les envoyer au Reich. Une unité à part: les prisonnières ont un traitement différent des autres baraquements, avec l'accès à plus de nourriture, une meilleure hygiène. Mais, néanmoins, elle reste à la merci des brimades et coups des Kapos.

Le roman se déroule selon une double temporalité: nous assistons à la fois au déroulé du procès et, par le témoignage d'Helena, nous remontons le temps et découvrons sa rencontre avec Franz et son quotidien à Auschwitz.



J'ai beaucoup aimé ce roman qui donne un nouvel éclairage sur la vie dans les camps, les relations prisonniers/bourreaux. J'ai trouvé l'approche psy passionnante avec ce lien spécial entre Helena et Franz et, comme le Dr Hoffman, je me suis interrogée. On fait le lien avec un fameux syndrome qui ne sera reconnu que des années plus tard...On comprend bien le mécanisme de stress extrême, de promiscuité, d'absence de lien avec l'extérieur qui demande aux victimes de s'adapter pour survivre. Et qui rend spécial cette relation...

Petit bonus, pour ceux qui ont lu le roman précédent, vous apprécierez le petit clin d'oeil qui est fait à Mala ;-)



Lisez ce roman! On n’en apprend jamais assez sur l’Histoire et Ellie Midwood fait un travail fabuleux en nous livrant certains moments méconnus de cette période.
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La fille à la robe rayée

Avouez que ce résumé est pour le moins intriguant… Une prisonnière mariée à son tortionnaire de son plein gré ? On n’a déjà vu des histoires d’amour naître à Auschwitz mais là cela semble tout bonnement impossible ! Et c’est là toute la beauté de ce roman : comment une chose aussi inconcevable a t’elle pu se produire ?



Le côté psychologique tient une place importante dans l’intrigue. Je dirai même que c’est l’élément central. Le personnage d’Helena est complexe, insondable et intriguant. C’est une femme qui interroge, qui surprend. Souffre t’elle de troubles mentaux, de troubles dissociatifs de la personnalité, est elle sous emprise ? Il est difficile de la cerner et de comprendre cet amour qu’elle affiche sans honte et qu’elle assume. Cette femme est un mystère que l’on cherche à percer, et pour cela il faut tourner les pages. L’intrigue est passionnante, l’évolution d’Helena est captivante et obsédante. Comment ? Pourquoi ? Surtout que son mari est loin d’être blanc comme neige, ce n’est pas un héro qui sauva des vies. Ce n’était peut être pas le pire des SS, mais c’est loin d’être un humaniste : s’il fait tout pour sauver Helena le sort des autres déportés lui importe peu… Il m’a été très difficile de l’apprécier pleinement dans ces conditions mais c’est ce qui contribuera à rendre cette histoire fascinante. Comment ? Pourquoi ?



Grâce à une double temporalité parfaitement maîtrisée, nous découvrons l’histoire d’Helena et Franz. La partie dans les camps certes horrifiante est somme toute assez classique et similaire à ce que l’on retrouve dans d’autres romans de ce genre. Mais l’autrice tire son épingle du jeu avec ce procès et cette analyse psychologique poussée. C’est une approche originale qui expose des aspects plus méconnus de l’Histoire, qui fait naitre des sentiments contradictoires chez nous. Parce que c’est une histoire d’amour singulière et inconcevable. Et pourtant elle existe même si elle peut paraître déséquilibrée voire pathologique. Néanmoins si l’on a vite fait de juger et de condamner, la vérité est peut être moins tranchée et ce roman pourrait renfermer bien des secrets, bien des traumatismes. Certains passages sont très durs émotionnellement, ils font echo à l’horreur des camps, d’autres sont tout simplement bouleversants. Cette lecture explore réellement les faces cachées de la seconde guerre mondiale, nous pousse dans nos retranchements et nous bouscule. C’était un magnifique roman aux multiples facettes, aux multiples vérités.



Le force de ce roman est le puissant aspect psychologique qui le démarque des autres histoires de camps.
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La fille à la robe rayée

Encore une pépite de cette maison d’édition que j’affectionne tant !



J’ai toujours un peu d’appréhension avant de commencer un roman sur la seconde guerre mondiale et sur les camps de concentration. Plus les années passent et plus je connais de choses sur cette période, grâce aux nombreux romans publiés sur ce thème. Si on croit avoir tout lu ou presque sur cette triste période de l’Histoire, j’ai été surprise d’en apprendre davantage sur Auschwitz.



Ce que j’ai aimé dans ce roman, c’est assister à un procès de dénazification en Allemagne en 1947. Et l’affaire traitée ici n’est pas anodine puisqu’un ancien gardien SS d’Auschwitz a demandé à faire témoigner son épouse et ancienne prisonnière du camp, Helena. Si tous le monde pense que cette femme est victime de son mari, ils vont être effarés de voir qu’à ces yeux, il est son sauveur.



J’ai aimé toute la psychologie présente dans cette histoire. Le cas d’Helena fait parti des premiers sur l’amour d’une victime porté à son agresseur. Le syndrome de Stockholm n’était pas connu à cette période, le psychiatre Hoffman et un de ses confrères vont tenter de comprendre ce cas inédit.



Franz quant à lui, est bercé depuis son enfance par les valeurs du Reich, soit l’obéissance. Sa rencontre avec Helena va bousculé ses convictions vis à vis du régime Nazi.



Si l’on entend souvent parler du Kanada dans les autres romans, ici c’est une immersion totale sur son fonctionnement puisque Helena, une juive slovaque, va être sauvée de la chambre à gaz par Franz, dirigeant de la section du Kanada où elle va ensuite travailler. Même si Helena et les autres femmes de cette section ont eu des conditions plutôt clémentes pour ce camps d’extermination, certains passages sont effroyables et m’ont beaucoup marqués.



Les émotions montent crescendo au fil des pages. Helena raconte ses années d’enfermement au cours de son témoignage au tribunal, et on ne peut pas rester indifférent à son histoire.



C’est donc un roman que je vous recommande !
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La fille à la robe rayée

C’est le troisième roman que je lis de cette autrice et mon dieu que d’émotions ressenties, à chaque lecture je perds une partie de mon cœur et de mon insouciance. Il faut savoir que ce roman est inspiré d’une histoire vraie et cela rend les choses encore plus prégnantes.



Ce roman aborde la période de dénazification, un processus dirigé par les Alliés au sortir de la Seconde Guerre mondiale et destiné à éradiquer le nazisme dans les institutions et la vie publique allemandes. Le Dr Hoffman, psychiatre américain, va devoir faire face à un cas pas comme les autres, il va devoir juger le cas de Franz Dahler, ancien SS à Auschwitz qui va souhaiter être entendu avec son épouse, Helena, jeune femme juive qui était prisonnière dans le camp de concentration ou Franz était gardien. Comment une femme juive peut-elle avoir épousé un ancien SS ? Est-ce réellement de l’amour qui les unit ? Est-elle sous sa coupe ? Souffre-t-elle du syndrome de Stockholm ?



On va donc repartir dans le passé et revivre l’histoire de Franz et Helena, leur rencontre au sein du camp de concentration. C’était dur, très dur comme à chaque fois que cette période de l’histoire est traitée. Mais c’était aussi très beau, je vous laisse bien entendu découvrir l’histoire de ce couple hors norme mais les larmes ont coulé, les questions se sont accumulées dans mon esprit et puis petit à petit, on comprend, on réfléchit, on prend parti et toutes les révélations qui vont être faites durant ce jugement m’ont fortement ébranlées.



L’autrice aborde avec beaucoup de tact les horreurs que certains allemands ont dû perpétrer contre leur gré. Certains hommes du Sonderkommando ont dû escorter des connaissances et même des membres de leur famille dans les chambres à gaz. Les recherches effectuées par l’autrice sont colossales et mettent en lumière un autre pan de l’histoire. C’est un gros coup de cœur pour moi et si vous aimez les romans qui abordent cette funeste période de l’histoire, je ne peux que vous le conseiller, il est vraiment magnifique.

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La fille à la robe rayée

Après deux premiers romans traitant su sujet de la WW2, Ellie Midwood revient avec un 3ème qui explore une facette différente d'un même lieu : Auschwitz.



1947, Allemagne.

Les tribunaux voient passer bon nombre d'anciens soldats du Reich dans le cadre de la dénazification. Processus mis en place par les Alliés, il est destiné à éradiquer le nazisme dans les institutions et la vie publique. Le Dr Hoffman siégeant au tribunal doit entendre Héléna Dalher, femme juive emprisonnée à Auschwitz, mariée à l'officier SS Franz Dalher. Contre toute attente, elle soutient que son mari l'a sauvée. Dans la salle, certains s'indignent mais tous s'interrogent : l'amour peut-il réellement naître entre une victime et son bourreau ?



Ellie Midwood explore un angle pour le moins original dans ce récit, qu'elle a nourri de sérieuses et nombreuses recherches historiques. La véritable Héléna a bien existé, ce qui donne à ce texte une dimension encore plus profonde.



Nous suivons le jour du procès au rythme des souvenirs d'Héléna, de Franck et d'un détenu juif du Sonderkommando (affecté aux fours crématoires). Un huis-clos oppressant, étouffant parfois, tant la tension qui anime Héléna est palpable.



Justement, Ellie Midwood s'appuie sur la psychologie des personnages pour construire son roman. La tonalité globale du texte, pourtant intrigante, m'a mise mal à l'aise. La psychologie d'Héléna est scrutée, analysée, faisant d'elle un être instable et chétif, totalement dépendante de son mari. À la moitié du récit, je ne voyais pas où l'autrice voulait en venir. Jusqu'à ce que je comprenne que l'enjeu du livre était précisément là : amour véritable ou syndrome de Stockolm ?



J'ai trouvé quelques longueurs (contrairement aux deux premiers romans) mais cela ne remet pas en cause l'intérêt du roman, étudiant avec finesse les tourments, évolutions et résiliences des personnages.

Certaines scènes sont difficiles à supporter parce qu'horribles de réalité. Grande réussite de l'autrice à traiter l'innommable en jouant aussi bien avec les mots.



Bilan :

Pas de coup de cœur cette fois, mais une lecture enrichissante et émouvante.
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La fille à la robe rayée

Après mon énorme coup de coeur pour "La violoniste d'Auschwitz", j'étais heureuse de savoir qu'un nouveau roman d'Ellie Midwood venait rejoindre les étagères des librairies.



Cette auteure signe une fois de plus un très bon roman sur la période bien connue de la seconde guerre mondiale, mais cette fois-ci sous un angle bien différent !

Le début du roman m'a complètement déroutée. La plume reste fluide, immersive. Mais cette fois-ci l'autrice nous propose un roman davantage psychologique, une histoire à huis clos, presque une étude de cas...



Nous voilà en pleine audience, au tribunal de dénazification en 1947. La guerre est finie mais certains crimes ne peuvent rester impunis. Le Dr Hoffman, psychiatre américain, est habitué à entendre des témoignages difficiles et à prendre les décisions nécessaires. Mais... aujourd'hui, devant lui, Héléna Dahler soutient dans son témoignage qu'elle doit la vie à son mari, ex-SS au camp d'Auschwitz...

L'amour peut-il naître sincèrement dans un tel climat de terreur?



Tout au long du roman, Ellie Midwood nous plonge dans les souvenirs horrifiants de cette femme sauvée in extremis d'une mort certaine. Cette histoire peu commune est tirée d'une histoire vraie, fruit de longues recherches menées par l'autrice.



Aux amateurs de romans sur cette période, cette histoire est bien différente. Il est difficile de dire que l'on a aimé une telle histoire. Une chose est sûre, c'est une histoire qui marque par sa singularité.

J'ai par moment trouvé quelques longueurs, et je me suis questionnée sur ce changement de style de la part de l'autrice.

Pas de coup de coeur cette fois-ci mais j'apprécie toujours autant les faits que nous relate cette auteure avec une justesse déroutante !



Amis lecteurs, si vous n'avez pas découvert Ellie Midwood, vous aurez le choix parmi ses 3 romans, ... mais une chose est sûre : il vous faut la découvrir !

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La fille à la robe rayée

Je suis extrêmement touchée par cette histoire d'amour atypique : celle d'un SS et d'une prisonnière juive.



Je retrouve avec plaisir la plume d'Ellie Midwood pour ce récit ayant à nouveau pour décor le terrible camp d'extermination d'Auschwitz. J'ai aimé que l'auteure nous montre les faits sous un jour quelque peu différent. Bien que la narration soit du point de vue d'Helena durant la période des camps, nous voyons à travers ses yeux la métamorphose de Franz, SS obéissant aveuglément aux ordres sans se poser de question qui petit à petit se rend compte des horreurs perpétrés par ses pairs. J'ai eu envie de croire en l'amour qui rend meilleur, en la possibilité qu'un être change et ose dire ce qu'il pense.



J'ai été touchée par les personnages, par Helena bien sûr, jeune femme qui s'interroge sur ses relations avec l'ennemi, celui qui représente l'anéantissement de son peuple. Sa fragilité m'a beaucoup émue, ainsi que les liens indéfectibles des deux époux. L'attention constante que Franz porte à sa femme pour laquelle il est aux petits soins, son désir véritable de se racheter à travers l'amour qu'il lui porte sont d'une grande beauté.



Ellie Midwwod met en lumière ces jeunes allemands qui ont été enrôlés bon gré mal gré dans cette horreur. Je me suis souvent demandé si les Allemands avaient été appris différemment (à ne pas toujours obéir sans réfléchir, surtout s'ils étaient en profond désaccord), edt-ce sue cela aurait changé le cours de l'Histoire ?



Cela n'excuse rien bien sûr, il y avait des SS qui étaient bel et bien antisémites et prenaient un malin plaisir à faire preuve d'une extrême cruauté. Nous retrouvons par exemple dans ce roman Mengele, mais aussi Moll et Höss, qui eux obéissaient avec joie et se montraient horribles.



Je reste toujours aussi choquée par l'Holocauste et même si j'ai lu de nombreux romans sur le sujet, je suis toujours aussi bouleversée de me dire qu'un homme ait pu faire subir des choses aussi inhumaines à un autre, et au nom de quoi ? Quelle absurdité.
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La fille à la robe rayée

🤎J’ai beaucoup aimé, encore plus parce que c’est tiré d’une histoire vraie et parce que l’autrice réalise son travail avec brio : saurons-nous avec certitude si notre personnage souffrait du syndrome de Stockholm/Auschwitz ? … un terme pour désigner lorsqu'un captif tombe amoureux d'un ravisseur. Cependant, dans le cas d'Helena, il se pourrait bien que Franz ait été la pierre sur lequel elle a bâti sa vie. Je vous invite vivement à lire ce roman pour le découvrir !🤗



L’autrice nous livre une histoire de douleurs, d'atrocités, de pardon, d'amour, une large gamme d'émotions.



Elle nous raconte l’histoire de Helena et Franz. Pour cela, elle a placé le déroulement des faits au tribunal de dénazification, où le psychiatre Dr Hoffman écoute et observe les actions et les comportements de Franz et Helena. Chacun raconte l’histoire de son point de vue. La tâche du Dr est de déterminer si Helena témoigne en faveur de Franz par amour ou par peur. Son témoignage et la conclusion du Dr sont essentiels pour que Franz échappe aux poursuites.



🤔Que décide le tribunal et sa décision est-elle la bonne ?



Helena faisait partie d'un groupe de femmes slovaques amenées à Auschwitz. Elles ont été choisies pour travailler au Kanada. L'officier responsable, Franz, leur a permis de mieux survivre. Il a immédiatement été attiré par Helena et lui a fait savoir. Elle ne voulait rien avoir à faire avec lui. Il lui faisait peur parce qu'elle était à sa merci ; mais elle a trouvé le courage de demander son aide.



Le style d'écriture mélange les descriptions et les dialogues, avec des personnages réalistes et captivants, qui remettent en question nos perceptions de la nature humaine et nous émeuvent.
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