Citations de Emeric Lebreton (357)
La critique est la puissance des impuissants.
J'ai enlevé les deux f du verbe souffrir, maintenant je vais bien!
Si les difficultés deviennent trop grandes, apprends à patienter. Si elles augmentent encore, apprends à renoncer. Mais n'abandonne jamais ton rêve, car un jour il se réalisera.
Tes actions et tes pensées sont le crayon avec lequel tu traces la forme de ta destinée.
La vie est longue et les opportunités sont nombreuses pour celui qui accepte de prendre de la hauteur et de regarder l'épreuve d'en haut. Vus du ciel, même les obstacles qui semblent infranchissables sont minuscules.
La vie est un professeur auquel on ne peut pas échapper ! Les examens et contrôles sont presques quotidiens.
C'est de la confiance que naît la trahison.
Tu peux, à l'heure que tu veux, te retirer en toi-même. Nulle retraite n'est plus tranquille ni moins troublée pour l'être que celle qu'il trouve en son âme.
La vieillesse est une chance. Plus le temps passe et plus le corps vieillit et l'âme et l'esprit grandissent. Chaque jour qui passe est une années de gagnée en expériences, en connaissances et en sagesse. Vieillir, c'est s'élever. Sois heureux de vieillir car chaque année qui passe te rend plus sage et plus spirituel. Chaque années qui passe te permet de devenir meilleur. Ainsi tu te bonifies et tu prends un peu plus de valeur chaque jour. Et à la fin, lorsque tu es au maximum de ta hauteur, tu peux partir fier du chemin parcouru.
- Se retrouver après une longue séparation est plus agréable qu'une nuit de noce. -
- Le métier des parents, c'est de savoir se séparer de ses enfants. -
- Est-ce que Dieu existe ? demanda-t-elle.
- Bien sûr, il existe, répondit le Bouddha.
Après le déjeuner, une autre femme s'approcha.
- Est-ce que Dieu existe ? - demanda-t-elle.
- Bien sûr que non, il n'existe pas - , répondit le Bouddha.
- À la fin de l'après-midi -, une troisième femme se présenta pour interroger le Bouddha.
- Est-ce que Dieu existe ? - demanda-t-elle.
- Il n'y a pas une seule réponse à cette question. Il te revient de choisir toi-même la réponse qui te convient -, répondit le Bouddha.
Des que la femme se fut retirée, l'un des disciples qui se mettaient souvent en colère s'exclama, révolté : Maitre, je ne comprends pas, c'est absurde ! Pourquoi donnez-vous des réponses différentes à la même question ? -
Le Bouddha sourit et lui jeta un regard empli de compassion qui apaisa immédiatement le jeune homme. Puis il dit : - Parce que ce sont des personnes différentes, chacune parviendra à la connaissance de Dieu par sa propre voie -.
La première femme me croira sur parole.
La deuxième femme fera tout pour prouver que j'ai tort.
La troisième femme ne croira qu'à ce qu'elle décidera elle-même.
Ainsi sont les hommes et les femmes, tous différents.
- Vivre c'est changer - voilà la leçon que les saisons nous enseigne. -
Les ragots sont aussi croustillants que des chips, aussi délicieux à entendre qu'à raconter. Mais comme les chips, qui sont des aliments gras et très salés qui font beaucoup de mal à notre santé, les ragots et les rumeurs font souvent beaucoup de mal aux gens. Et ce mal est inutile.
À mesure qu'on vieillit, on prend conscience de l'importance du temps. À 20 ans, on peut passer son temps à faire tout et n'importe quoi. On est dans l'illusion que le temps est une ressource infinie, tant l'échéance finale semble lointaine, tant on se laisse croire qu'on vivra éternellement. Mais après... Après on se rend compte qu'une heure, un jour, une semaine est une éternité. On ne veut plus gaspiller ces précieuses secondes à des futilités qui ne contribuent pas à notre bonheur ou au bonheur des gens qu'on aime. La vieillesse nous apprend à choisir les livres que l'on lit, les gens que l'on rencontre, les endroits que l'on visite, etc. Elle nous invite à ne plus gaspiller notre temps en d'inutiles efforts, en jeux d'apparence, en vain atermoiements... Chaque chose mérite d'être choisie avec attention et circonspection... Si tu as conscience que ta vie est limitée et que le temps passe vite, alors tu ne feras que les choses qui sont réellement importantes pour toi et tu ne perdras pas de temps à souffrir ou à t'embêter.
La troisième chose qui peut nous empêcher de faire notre deuil est le sentiment d'injustice. Lorsque nous sommes enfants, l'école, nos parents, la société, nous enseignent que le monde est juste. Les adultes nous disent : si tu te comportes bien, tu seras récompensé ; mais si tu fais le mal, tu seras puni. Et nous croyons que cette loi s'applique aussi à la nature et à la vie. Nous croyons que les innocents auront le droit au bonheur et qu'ils seront épargnés par la mort, la maladie et le chagrin.
Or, cela n'est pas vrai. La nature ne sait pas ce qu'est la justice. Elle est ignorante de la loi des Hommes. Dans la vie, les innocents connaissent autant de peine que les coupables. Pour guérir de la perte d'un être cher, pour faire son deuil, il faut d'abord renoncer à l'idée de justice. Il faut d'abord regarder le monde tel qu'il est. Et ensuite lui pardonner de ne pas être plus juste, de ne pas respecter l'ordre qu'on voudrait qu'il suive. Lui pardonner pour accepter de continuer à vivre en son sein.
Pour trouver le sens de ta vie, si tu es d'accord pour réaliser cet exercice, tu dois te poser 4 questions :
- La première question est : quelles sont les valeurs qui guident ma vie ?
- La deuxième question est : de quoi ai-je besoin pour être heureux ?
- La troisième question est : quelle est ma personnalité profonde ?
- La quatrième question est : quelle sont mes talents ?
- Vivre, c'est se réveiller dans l'impatience du jour a venir, c'est s'émerveiller de ce que le miracle quotidien se reproduise pour nous une fois encore, c'est avoir des insomnies de joie. -
Le bonheur est fait d'énergie,
De persévérance et de foi :
Si tu veux l'attirer à toi,
Sans te lasser, travaille et prie.
-Aide-toi le ciel t'aidera -
Qui du sort par trop se défie
Moins qu'un autre le fixera.
- Excuse-moi je sui un baiser qui s'est perdu...
Est-ce que je peux me reposer sur ta joue ? -