AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Emmanuèle Sandron (129)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La femme tatouée

Onvoltooid Verleden24-12-2018
Commenter  J’apprécie          00
13

13
Commenter  J’apprécie          00
Le message du pendu

Onder valse vlag - sous de faux prétextes
Commenter  J’apprécie          00
Le collectionneur d'armes

Het Dreyseincident
Commenter  J’apprécie          00
De ville en ville

Ce grand imagier offre une balade poétique de la ville sens dessus-dessous, pays du tout à l'envers, à la ville des fils de soie où Amarante déficelle la folie et Émeraude détricote les ordres, en passant par la ville des robots pleine de gros mots - boulot, fardeau, escroc !



Il s'agira pour les lecteurs attentifs d'y retrouver le narrateur…



De ville en ville, je cherche.

Quoi? Je ne sais pas.

Et si c’était moi?


Lien : https://www.facebook.com/Lir..
Commenter  J’apprécie          00
L'affaire du tarot

Un policier avec beaucoup d humour.
Commenter  J’apprécie          00
De sang royal

Même si les personnages sont hauts en couleur, les dialogues caustiques, les enquêtes du commissaire Van In dans la petite ville de Bruges sont finalement assez répétitives d'un roman à l'autre, et pour être franc, je ne suis pas parvenu à terminer cette énième enquête.

Peut-être n'était-ce tout simplement pas le bon moment pour cette lecture ou peut-être ai-je fais le tour de cet auteur dont j'ai déjà lu quelques titres.

Commenter  J’apprécie          00
L'affaire du tarot

L'inspecteur Van In rouvre une enquête vieille de vingt ans. L'affaire du tarot. Une idée peut-être pas si bonne que ça car de nouveaux meurtres sont commis dans la paisible ville de Bruges.



Que penser de ce roman? D'abord, il y a le personnage attachant de Van In, buveur de Duvel invétéré, il y a la charmante procureur Hannelore, à l'appétit (sexuel) insatiable, et Versavel, flic gay en attente des résultats d'un test VIH. Tous ses personnages prennent trop de place dans le récit au point d'en éclipser l'enquête. Manque de concentration de ma part ou pas, toujours est-il que l'intrigue m'est complétement passée au-dessus (au final, je n'ai même pas totalement compris le mobile de cette rage meurtrière). Ne restent que les péripéties bibitives et relationnelles du trio Van in - Hannelore - Versavel. Trop peu pour faire de ce roman un bon polar.



Une intrigue étouffée par des personnages trop présents, mais néanmoins sympathiques. Un polar assez moyen.

Commenter  J’apprécie          00
Le tableau volé

Ce n'est pas le meilleur Pieter Aspe que j'ai lu, loin de là.

J'ai trouvé un certain fouillis dans les personnages, difficile de m'y retrouver au départ. Peu de cohérence, une fin un peu trop "expédiée". Bref, pas un souvenir impérissable, juste une lecture distrayante, avec une Duvel à la main !
Commenter  J’apprécie          00
Le message du pendu

Alors qu’ils pensaient bénéficier d’une journée de repos au calme, dans la détente d’une complicité amoureuse et dinatoire, le commissaire Pieter Van In et sa compagne la juge Hannelore Martens sont dérangés par des coups répétitifs sur la sonnette de la porte d’entrée. Le petit-déjeuner composé d’une belle côte à l’os cuite sur le barbecue et d’un bordeaux bien frais est remisé à une date ultérieure. Ce visiteur impromptu n’est autre que Versavel, l’adjoint et ami de Van In.



Un triple meurtre vient d’être découvert dans une maison située sur les berges du canal de Damme, le quartier chic de Bruges. Louise Hoornaert et ses deux enfants ont été selon toutes vraisemblances assassinés. Un drame familial à première vue qui s’est déroulé quelques heures auparavant. C’est le jardinier qui a découvert les corps le lundi matin et le drame a eut lieu le dimanche dans la soirée. Louise a été abattue à l’aide d’un pistolet retrouvé près de son corps. Les enfants gisent dans leur chambre. La petite fille est en position assise dans un coin de la pièce, le petit garçon, le crâne fracassé à l’aide d’un marteau, allongé devant la fenêtre.



Le père de Louise est sur place, effondré, toutefois il ne tarit pas d’éloge sur son gendre Wilfried Traen, ce qui est suspect aux yeux de Van In qui a connu Traen à l’école primaire, un gentil garçon selon ses dires. Mais depuis il n’en avait plus eu de nouvelles jusqu’au jour du drame. Traen est considéré comme le présumé meurtrier mais son corps est retrouvé par les hommes de la Scientifique, dirigés par Vermeulen dans le grenier, pendu. La chaise sur laquelle il serait monté est renversée. Un suicide après le triple meurtre ? Pourtant, le couple s’entendait bien selon le père de Louise. Traen dirigeait une petite entreprise de recyclage informatique qui prenait au fil des ans de l’essor, avec l’aide financière de son beau-père.



Le légiste Zlotkrychbrto, d’origine polonaise, examine les corps avec sa minutie habituelle, plus habitué à palper, en tout bien tout honneur, les défunts, qu’à s’exprimer en bon flamand. Mais les éléments dont il dispose et encore pas tous car il faut du temps pour faire parler, façon d’écrire, les corps n’aident guère Van In.



Les journaux s’emparent bien évidemment de l’affaire et l’un d’eux titre même : Un altermondialiste extermine toute sa famille, photo prise lors d’une manifestation à l’appui. Altermondialiste Traen ? Première nouvelle. Il serait même l’auteur de deux ouvrages concernant l’économie. Fausse bonne nouvelle. Un journaliste avoue à Van In qu’il est l’auteur des deux ouvrages mais travaillant dans un journal qui ne manque pas de faire l’éloge du capitalisme, son nom en couverture aurait fait bondir les actionnaires.



Une prostituée, une respectueuse comme aurait dit Jean-Paul Sartre, aux charmes indéniables, et répondant au doux nom de Kitty Jouy, s’adresse directement à Hannelore en son cabinet pour se plaindre du manque de respect financier d’un homme politique et de Traen qui avaient eu recours à ses services et lui devaient de l’argent. Elle n’avait vu Traen que quelques semaines auparavant mais l’homme politique, dont le nom figure sur l’agenda de Traen est lui un client régulier.







Suite à un appel téléphonique anonyme, celle-ci est retrouvée morte dans son appartement, et cela obscurci l’horizon de Van In mais pas celui de son voisin habitant l’immeuble en face et qui possède un télescope pour admirer les oiseaux. C’est lui le drôle d’oiseau.



Cela ne résout en rien l’enquête et Van In ne manque pas, afin d’humecter ses neurones et permettre à leurs rouages de fonctionner librement, d’ingurgiter moult bières, des Duvel, précision pour les amateurs et les connaisseurs.



En épluchant la comptabilité de Traen, Van In et consorts se rendent compte que les comptes financiers du mort ne sont pas aussi florissants qu’il est parait. Pourtant, des boites de caviar ont été retrouvées dans son réfrigérateur et une réception était prévue pour le vendredi suivant.



Une piste se profile avec la découverte qu’un employé a été mis à la porte peu de temps auparavant et qu’il pourrait ressentir de la haine envers son ex patron. Mais ce qu’ignore Van In, c’est que la CIA, elle aussi, est sur le coup. De toute façon, la CIA est partout.







Si l’on peut comparer Van In à Maigret, la vie de couple du commissaire flamand est nettement plus riche en péripéties que celle du héros de Simenon. Van In croque, ou plutôt boit la vie avec gourmandise, tandis qu’Hannelore possède une aura, une présence indissociable auprès de la vie professionnelle et familiale de Van In. Ils vivent en couple, s’amusent beaucoup ensemble, ne négligent pas les moments d’intimité, traitent les affaires et les enquêtes ensemble mais les petits accros mettent parfois la pression, comme la bière, sur le couple. Van In professe envers les journalistes une certaine méfiance : Si Van In se méfiait des journalistes, c’était moins à cause des hommes eux-mêmes, car il s’entendait bien avec la plupart d’entre eux, qu’à cause de l’arrogance de l’institution. Mais il devrait se méfier surtout de ses réactions, surtout de ses réparties, lorsqu’il a abusé de la bière. Il est vrai que cette enquête se déroule alors que les conditions climatiques incitent plus à se désaltérer qu’à autre chose.



Versavel lui aussi possède sa vie privée. Il est homo, et se demande si la petite coucherie d’un soir avec un bel inconnu ne va pas influer sur sa santé. Quand au médecin légiste, Zlotkrychbrto, ce n’est pas tant sa pratique de sa profession qui est intéressante, mais sa façon de parler qui apporte la touche d’humour indispensable dans les moments tragiques.







Je ne sais pas si c’est le meilleur roman de la série Van In, mais c’est assurément, parmi tous ceux que j’ai lu, celui qui m’a le plus enivré… je veux dire intéressé, qui m’a le plus intéressé et est le plus abouti.
Lien : http://leslecturesdelonclepa..
Commenter  J’apprécie          00
13

Le commissaire Van In doit donner de sa personne entre une affaire de meurtre plus compliquée qu'elle n'y paraît et affronter les excès de jalousie de sa future femme Hannelore, juge d'instruction, qui voit défiler...pour le besoin de l'enquête, toutes les ex du commissaire.

Les personnages assez sympathiques, les situations cocasses et une lecture agréable nous emmènent à passer de bons moments.
Commenter  J’apprécie          00
La quatrième forme de Satan

Bien. Que dire. Que je ne recommencerai pas ? Oui, c'est une bonne entrée en matière. Pieter Aspe, c'est comme Michèle Barrière, faut que j'arrête de vouloir poursuivre ou retenter parce que bon, ça doit bien ne pas être si mauvais que ça...



Alors non, ce n'est pas "si mauvais que ça". On suit un personnage particulier, on s'intéresse à sa vie perso, à celle de son collègue Guido Versavel, on se balade dans Bruges, on déniche des meurtriers... Mais le problème, c'est que c'est un peu toujours le même topo : Van In devrait être prévenu et sur ses gardes, on cherchera forcément à le faire tomber. A chaque épisode, c'est la même chose !



A cette "prévisibilité" de l'intrigue, s'ajoute un que je trouve assez lourd au final. Est-ce lié à la traduction ou est-ce le original de Aspe ? Difficile de le dire puisque je ne lis pas le flamand, mais les détails multiples, les dialogues plaqués des personnages sur leurs histoires privées m'ont fait soupirer plus d'une fois.



Du coup, c'est décidé, si je veux "retourner à Bruges", je m'y rendrai en personne plutôt que d'y suivre un flic finalement pas si finaud que ça !
Lien : http://croqlivres.canalblog...
Commenter  J’apprécie          00
La quatrième forme de Satan

C'est le premier bouquin que je lis de cet auteur belge, qui est souvent présenté comme le pendant flamand de Georges Simenon. Le raccourci est un peu facile, mais c'est un argument marketing comme un autre... En tout cas c'est un polar tout ce qu'il y a de plus classique qui a pour trame la belle ville de Bruges, avec comme personnages principaux le commissaire Pieter van In, flic compétent mais cynique, caractériel, amateur de Duvel et sans aucun égard pour sa hiérarchie, accompagné de son adjoint Guido Versavel, un genre de Hercule Poirot flamand homosexuel. Le duo enquête sur la mort mystérieuse d'une certain Katrien Andries, retrouvée morte dans un canal de Bruges. Avant même d'avoir le rapport du légiste, ils sont convaincus que la jeune femme ne s'est pas suicidée en visitant son appartement et surtout en y trouvant une abondante bibliographie sur le satanisme. Va alors s'ensuivre une enquête dans les réseaux satanistes et le milieu de la drogue, tout en se tirant la bourre avec la gendarmerie belge (la concurrence entre police et gendarmerie belges semble pire qu'en France, au vu de ce roman). C'est pas mal du tout. C'est très classique, ça commence lentement mais on finit par s'y laisser prendre et ça finit en beauté, la deuxième partie étant bien pourvue en rebondissements. En plus, il y a une touche d'humour belge bien sympa et des personnages attachants. Bref, sans être le polar du siècle, j'ai bien aimé.
Commenter  J’apprécie          00
Le tableau volé

bon... pas inoubliable - pas mauvais non plus
Commenter  J’apprécie          00
La femme tatouée

Je n'ai jamais lu un polar aussi moche, aussi mal écrit , populeux, intrigue nulle, fin encore plus nulle ! J'ai détesté ce livre il il m'a fallu beaucoup de courage pour aller jusqu'au bout! À ne pas mettre dans sa bibliothèque !
Commenter  J’apprécie          00
De sang royal

C'est un plaisir de retrouver le Commissaire Van Inn
Commenter  J’apprécie          00
La femme tatouée

Le corps sans vie d'une femme est découvert au fond d'un vivier à homards. Sur sa fesse gauche, un tatouage : un symbole runique, emblème d'un groupuscule d'extrême droite. Une enquête du commissaire Van In avec le fidèle Versavel.
Commenter  J’apprécie          00
La femme tatouée

Pieter Aspe n'est probablement pas le meilleur des auteurs de polars. Mais certainement l'un des plus divertissants. Chacun de ses romans est un vaudeville où l'intrigue est un prétexte pour mettre en scène son héros récurrent le commissaire Van In. Les antagonismes qui l'opposent en permanence à sa femme, la juge Hannelore, son adjoint et gay Versavel et l'inspectrice amoureuse qui le harcèle Carine sont de réels moments de gaieté. Tout cela s'embrique de façon harmonieuse avec un scénario parfois tiré par les cheveux. Dès lors le style assez simpliste de l'écriture est oublié.

On a pourtant du mal à croire en ces néonazis ventripotents, assassins barbares, à cette adoption, à cette femme médecin devenue névropathe à la suite du décès accidentel de son mari. Mais les bons mots de Van In, ses engueulades avec Hannelore, son amour de la Duvel, et ses excès de tabagisme peuvent nous réjouir. En moins de 300 pages, vous passez un bon moment de relaxation ou de vacances.

Commenter  J’apprécie          00
La femme tatouée

C'est toujours avec grand plaisir que je retrouve le commissaire Van In et son fidèle second Versavel . Van In n'est pas un policier banal et ses méthodes ne sont guère orthodoxes : il fume comme un pompier , boit bière sur bière et ne dédaigne pas mater les belle filles bien qu'il soit en couple avec la procureur Hannelore et qu'il l'aime . On ne s'ennuie jamais avec un tel phénomène .

Nous sommes comme toujours dans la belle ville de Bruges ; le cadavre d'une fille est retrouvé dans un vivier à homards .Elle porte un tatouage de rune sur la fesse ce qui montre qu'elle appartient à un groupe néo-nazi. Peu de temps s'écoule avant que le leader de ce groupe soit retrouvé lui aussi assassiné chez lui. C'est au tour d'un intégriste catholique de disparaître, enlevé en plein jour . Lorsqu'un procureur est enlevé par une cellule islamiste , tout se complique : il faut faire le tri et infiltrer les milieux ; Van In n'hésite pas à payer de sa personne et à désobéir à sa hiérarchie.

Une lecture très agréable ; j'admire Peter Aspe

Commenter  J’apprécie          00
Le collectionneur d'armes

J'avais entendu de très bonnes critiques de cet écrivain sur France Info. Après lecture, je suis assez partagée : c'est à la fois efficace, on est pris dans l'intrigue, l'écriture est fluide, les personnages sont psychologiquement crédibles, mais voila : le flic héros est rebelle, les femmes se pâment devant lui, sa femme est bien sur la plus belle et fait un boulot en or, compréhensive, son brigadier ne lui fait aucune ombre (et pour cause il est homo) mais joue l'intello de service... C'est très souvent ce que je reproche aux polars : le flic héros est le fantasme absolu de l'écrivain tel qu'il voudrait être, un tantinet macho. Et çà, çà ne passe pas du tout pour moi. C'est même rédhibitoire !

Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Emmanuèle Sandron (404)Voir plus

Quiz Voir plus

Printemps des poètes (facile)

Homme libre, toujours

tu pleureras ta mère !
du chocolat amer !
tu finiras amer !
tu chériras la mer !

12 questions
647 lecteurs ont répondu
Thèmes : poésie française , poésieCréer un quiz sur cet auteur

{* *}