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Citations de Emmanuelle Caron (13)


"Les rêves n'existent pas... Ou alors c'est la vie elle-même qui est un rêve."
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"Nulle inquiétude, Dieu gardait les siens."
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« Et les adolescents découvrirent enfin ce que le mot « trésor » signifiait, sur cette île. Ce n'était pas de l'or, ce n'était pas des diamants, des pierres précieuses ou même du pétrole. C'était de la beauté, tout simplement de la beauté naturelle parfaite, l'alliage miraculeux de tous les climats, de toutes les végétations, de toutes les couleurs, et de toutes les gammes de lumière. On aurait dit que la nature avait concentré sur ce petit bout de rocaille herbeuse, cet iceberg de terre planté au milieu de la mer d'Iroise, la beauté du monde. Cette beauté ne se mesurait pas comme le nombre d'objets dans un butin de guerre, elle n'était pas de ces substances quantifiables, partageables. Elle était d'un bloc. Elle était immense. Elle vous traversait, vous déchirait en mille morceaux. Elle se déployait dans tout le corps. Elle était dans l'air respiré, chargé d'embruns sucrés et amers, dans la caresse du vent, dans la douceur de ce frôlement infini. Cette beauté était de l'amour. »
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Ce livre m'a énormément touchée! C'est plein de folie, de jolis mots. L'univers est absolument génial. Moi qui lisait énormément au collège, je peux vous dire que c'est un livre que j'aurais bien aimé lire à cette époque, lorsque je n'étais pas encore parasitée par toutes les idées "obscures", par la réalité de la vie. Et à 20 ans et plus, on le lit et on voit beaucoup plus que la façade. Non, franchement, c'est très beau, ça se lit sans s'arrêter, et on a hâte de lire la suite!
L'univers d'Eugénia est merveilleux, les textes très touchants, les personnages attachants.
À en faire un livre de votre bibliothèque!
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La suite des aventures d'Eugénia et Oliver aussi chouette qu'on s'y attendait. Toujours ce style d'écriture touchant et laissant un petit sourire sur le coin de la bouche. Toujours ces personnages alambiqués très attachants. La fin m'a fait pleurée d'émotion avec les paroles vraies et justes. On se dit que c'est dommage que ce soit fini!
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« Et Stéphane tendit sa bouche pour un baiser. Dans leur corps, une fleur s'ouvrait. Une fleur presque douloureuse, dont les racines les reliaient à l'infini. »
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Des personnages attachant, une magnifique écriture, des mots justes, des sentiments purs et vrais ; un roman magique !
Gladys et Vova nous transportent dans leur monde et leurs différents moments de vie.
Un livre que je recommande aux grands comme aux plus jeunes !
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"Tant que tu vivras, je vivrai"
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Peu à peu se dissipait l'ivresse des combats, et avec elle les prestiges de l'action violente, délibérée. Restait, finalement, l'absurde.
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De ses doigts « gros comme des vers », l'ogre du Kremlin serrait la gorge aux instants, jusqu'à leur faire sortir les yeux de leurs orbites, leur faire dérouler une langue bleue et crever leurs poumons. L'apparition d'une femme, semi-laide quoique clignotante, et de son enfant gros comme une côtelette, quoi de plus insignifiant en effet, dans un monde où tout atteignait la démesure tragique. C'était une égratignure. Pourtant, d'une égratignure, Varlam se laissa mettre en pièces. Pendant ces quelques minutes, en faisant ces quelques pas, il se glissa dans la manche d'une fourrure dont il ignorait jusqu'ici l'existence, et il devint, définitivement, un autre.
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Il s'écrasa brutalement sur le sol rocailleux, ferma les yeux et s'envola vers d'autres contrées.
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Je me suis donnée au Mal. J'ai tué beaucoup de gens.
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L’histoire des jumeaux Gladys et Vova […] commence à la manière des contes, par un “Il était une fois” dans un pays lointain. Un pays d’hiver, scintillant des reflets du soleil sur la neige, et un pays de printemps, saisi sous le jaillissement émeraude des eaux du dégel.
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