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Critiques de Enrico Marini (703)
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L'étoile du désert, tome 4

Déçue ! Le volume 4 se termine sans avoir répondu à toutes les questions posées dans les 2 premiers volumes. Je pense que je serais moins restée sur ma fin si je n'avais pas du tout lu les 2 premiers volumes. De nombreux sujets sont effleurés mais aucun n'est réellement développé complètement.
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Noir burlesque, tome 2

Le genre noir est bien présent dans ce second et dernier tome, contrairement au burlesque qui, à mes yeux, est plutôt aux abonnés absent. Si vous cherchez du comique, il faudra repasser ! En revanche, il y a de l'extravagance. Pour le dénouement de son dyptique, Marini dégaine l'artillerie lourde, c'est le moins qu'on puisse dire. Âmes sensibles s'abstenir car ça tire dans tous les sens et l'hémoglobine coule à flots. L'heure des règlements de compte entre mafieux est venue alors ça ne plaisante pas. Si les dessins de Marini sont toujours au top, j'ai moins apprécié son histoire, assez violente.
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Noir burlesque, tome 2

Le premier tome de cette BD était un hommage magnifique aux films noirs des années 50, avec Slick le truand qui a du cœur et des muscles, la pègre omniprésente, et en arrière-fond New-York et les résidences luxueuses de la côte est.



On avait laissé Slick avec la mafia irlandaise, voilà qu’il roule désormais pour les Italiens. Le capo Rex lui impose d’aller lui ramener une œuvre d’art dans la villa d’un adversaire. Mission à mener avec des comparses pas très fins, dont un Amérindien complètement cramé du ciboulot. Évidemment tout va partir de travers, et Slick va regretter de ne pas avoir pu s’enfuir avec Debbie la rousse flamboyante, qui s’effeuille sur scène sous le nom de Caprice.



Visuellement les jeux sur les ombres et l’utilisation du rouge pour mettre en valeur Debbie ou certains excès d’hémoglobine font de l’album une vraie réussite. Le scénario est un peu léger, après tout ce genre d’histoire a été raconté mille fois, mais le lecteur qui s’est pris d’affection pour Slick suit avec avidité ses aventures, qui s’achèvent avec de deuxième tome qui clôt son histoire.



Rien que la couverture vaut le détour...



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Rapaces, tome 1





Quand Seven rencontre Blade, dans ce premier tome Dufaux pose doucement sa mythologie, bon c'est du déjà vu (même à l'époque, la série datant de 98) mais c'est efficace et le trait de Marini fait la différence même si ses personnages se ressemblent tous entre ses différents titres.
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Rapaces, tome 2





On découvre le pourquoi de la vengeance du duo (on est sur du classique) et le passé de l'héroïne (classique aussi) et on a forcément un peu de cul, Marini étant à coup sûr un dessinateur fan de Hollywood Night (même les intrigues sont du même niveau avec lui).
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Les Aigles de Rome, tome 6

Nous sommes cinq ans après le désastre de Teutoburg relaté dans le tome 5.

Marcus Falco, sauvé par Cabar, a survécu. Il sait que Priscilla est morte et pense qu'il en est de même pour son fils Titus. N'ayant plus goût à la vie, de retour à Rome, il est devenu un gladiateur implacable, qui ne laisse aucune chance de survie à ses adversaires.

Mais la vie politique à Rome est en pleine mutation : l'empereur Auguste vient de décéder et c'est son fils adoptif Tibère qui lui succède. Une succession bien évidemment pas acceptée par tout le monde et un complot se monte aussitôt. Ses principaux membres en sont le nouveau préfet du prétoire Séjan et... Priscus, le père de Priscilla.

Comme Morphea, la mère de Priscilla, pourrait avoir des nouvelles de Titus, Marcus Falco va devoir de nouveau se mêler à l'Histoire et faire face à son ami-ennemi intime Arminius...



On l'aura attendu cet album ! Est-ce que Marini allait clore sa saga sur le désastre de Teutoburg à la fin du cinquième tome ? Non, et sept ans plus tard, voici ce sixième opus qui, disons-le tout de suite, en appelle au moins un septième.

Rien n'a changé. On retrouve toujours cette atmosphère de complot, d'extrême violence et d'érotisme torride propre à la série. Certes, l'album est beaucoup plus centré sur Falco, ses tourments, sa rage puis son espoir de revoir son fils, mais Arminius est présent dans quelques scènes. Et tous les événements concourent à un affrontement final (fatal) entre les deux dans un septième album qu'on espère lire avant 2030.
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Batman, The Dark Prince Charming, tome 2/2

Et trente minutes après avoir terminé le premier tome, je referme le deuxième que j'ai dévoré également.

Dans la lignée du premier tome, avec un combat final époustouflant, cette collection de deux tomes mériterait une saga de plusieurs aventures suivantes.

Dites-moi qu'une suite est prévue s'il vous plaît ! J'ai tellement trop adoré !

Tout comme mon bibliothécaire je vous recommande ces deux BD !
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Batman, The Dark Prince Charming, tome 1/2

Recommandé par un bibliothécaire, voici une très belle aventure de Batman qui affronte le Joker, son ennemi juré.



Les dessins sont juste tellement beaux, et les combats sont exceptionnels. J'ai dévoré cette bande dessinée en trente minutes chrono.

Merci au bibliothécaire, heureusement que j'ai loué le deuxième tome avec lequel j'enchaîne direct !

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Rapaces, tome 1

Jean Dufaux est un énorme scénariste. Enrico Marini un énorme dessinateur. Bien sûr, tout cela n'est question que de goût et d'appréciation personnelle. Les deux réunis aboutissent à ce que l'on appelle, lorsque l'on parle de série T.V., une mini série. Mini série mais maxi réussite.

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Noir burlesque, tome 1

Cela faisait longtemps que je n'avais pas lu une BD d'Enrico Marini. J'ai retrouvé avec délice ses magnifiques dessins, aussi habiles à représenter une femme fatale qu'un voyou au charme irrésistible.



Avec le premier volume de ce dyptique, l'auteur s'inspire des vieux films de gangsters en noir et blanc des années 50 et rend hommage à cette époque au style si particulier. Le choix du noir et blanc est habile, nous plongeant totalement dans cette période. L'histoire est classique mais efficace : une histoire de gangsters, de femme fatale et de rivalités. Je suis curieuse de lire le deuxième et dernier tome !
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Noir burlesque, tome 1

Cette BD serait sortie dans les années 90, elle m’aurait enthousiasmée !

Les illustrations sont magnifiques et l’hommage aux polar ambiance détectives se prête parfaitement bien aux graphismes...

… et pourtant, sortie à notre époque, je trouve qu’elle a ce côté déjà vu et n’apporte rien au genre. Au contraire, tout y est ultra classique, sans surprise.

Et le traitement du personnage féminin est basique, pour ne pas dire rabaissant !

Dommage …
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Noir burlesque, tome 2

Marini – Noir Burlesque (2) – Dargaud – 126 pages - Sorti le 10 Novembre 2022 -



Non je n’ai pas commencé par le début.



Les images sont magnifiques et le blanc /noir se dispute au rouge dans une sorte de tri colométrie.



On est loin du côté « enfantin » ou « fou fou » que je lis ou écris d’habitude.



Ils ont l’intention de tuer Slick une fois son travail achevé, la rousse qui chante de belles chansons pour Lui le prévient et lui fait l’amour dans une scène sensuelle mais pas du tout vulgaire…



L’objet du délit est le vol d’un tableau sentimental. Il s’agit d’une vengeance entre deux riches qui fait pas mal de dommages collatéraux.

Fusillades à gogo et thèmes de baston…



Une bonne petite BD !! Le rythme et le tempo sont nickels. Le suspense et les rebondissements aussi.



J’ai beaucoup aimé le côté gringe et vintage.

Phoenix

++
Lien : https://linktr.ee/phoenixtcgà)
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Rapaces, tome 1

J’avais découvert cette bande dessinée au début des années 2000 et je l’avais un peu oubliée. Elle prenait la poussière dans ma bibliothèque et c’est avec grand plaisir que je me suis replongée dedans.



On retrouve dans ce thriller gothique tous les codes de la littérature et des films de vampires des années 90. Si vous avez aimé les Blade, les ambiances sombres comme celles de Batman, alors vous adorerez Rapace.



On y suit l’histoire d’un frère et d’une sœur, qui perpétuent une série de meurtres. Le point commun entre les victimes : elles ont toutes un kyste derrière l'oreille. En parallèle, une jeune lieutenante déterminée et son coéquipier enquêtent sur ces étranges assassinats. Ils vont très vite se retrouver au cœur d'un monde dont ils ignorent tout, un monde fascinant, inquiétant…



J’ai retrouvé avec plaisir le dessin de Marini, que j’affectionne beaucoup. Les couleurs sont souvent sombres, à l'image du récit. Le frère et la sœur, tout de rouge vêtus, tranchent dans ce décor. Soyons honnêtes, les personnages hyper sexy, comme les aime ce dessinateur, ne gâchent rien à l'histoire.



Vous l’aurez compris, cette bande dessinée s’adresse à un public averti. Les protagonistes sont immoraux, prêts à tout pour maintenir leur idéal, pour faire valoir la loi du plus fort et donner libre cours à leurs instincts les plus primaires. J’ai beaucoup aimé cette dualité entre ces deux êtres de la nuit et Léonore, la policière vertueuse, qui va vite se laisser dépasser par une situation qui lui échappe.



Par contre, la fin m’a un peu déçue. Je l’ai trouvé rapide et parfois brouillon. C’est dommage, car j’avais passé un excellent moment jusqu’à la moitié du dernier tome.



Quoi qu’il en soit, je recommande quand même cette BD, facile à lire et avec peu de volumes.
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Rapaces, tome 3





J'ai trouvé que ce tome 3 redonnait l'envie de continuer cette B.D. qui, après le 2, s'essoufflait tranquillement.



On sent qu'au début, ça part un peu dans tous les sens, mais ça laisse tout de même présager une finale intéressante. Les pièces du puzzle se mettent bien ensemble.



Alors qu'on pensait que le frère et la soeur avaient un adversaire à leur taille, un rebondissement majeur vient mettre un doute à tout cela. Il faut dire que ce rebondissement arrive un peu comme un cheveu sur la soupe, une sorte d'échappatoire alors qu'il n'y avait pas vraiment d'indice auparavant.



Malgré ça, c'est une lecture toujours agréable.

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Les Aigles de Rome, tome 6

On pourra critiquer cette œuvre sur certains à-côtés tels que scénaristique ou réalité historique. Le débat mérite détours, sourires, grincements, comparaisons et flammes brûlantes.

Idem pour quelques ficelles pouvant être jugées faciles et ressassées (faux-frères ennemis, érotisme, violence...).

Une fois dit ça, on peut tourner la page. Et continuer à tourner les autres.



Et Grand bien m en fasse.



Six tomes qui, pour l amateur d histoire Romaine que je suis, ont envahi mon imaginaire, décoré mes attentes, et offert une résurgence d une vie quotidienne de Rome et de camps militaires disparus vraiment extraordinaire et minutieuse.



Peu importe le regard que l on porte, chaque image, dessinée pour nous faire voyager dans ce monde que le temps passé à rendu inaccessible, est vivante, précise où rien n est là par hasard, que cela soit un geste, un regard, trouvant une grandeur particulière dans l angle approprié posé dans chaque case par l auteur.



Et me voilà dans un camp romain, de l autre côté du Rhin, où je côtoie quelques soldats derrière un feu, graissant armes et armures, puis je parle à ceux qui fixent l horizon, du haut des remparts, sentinelles de fortune. On sentirait presque les odeurs...



... Et me voilà dans les ruelles de la Rome Éternelle encore debout dans sa grandeur, sa fierté et sa beauté, ruelles aux effluves de parfums pour certaines, ruelles aux odeurs de viande, de légumes, de sueurs, et de crotins de cheval pour d autres où s agitent les cris d une plèbe triste de misère.



... Et me voilà dans le Colisée parmi la foule hurlante, affaibli par leurs cris de joie, de stress, de peur, de haine, et éblouie par le sang versé des gladiateurs, exutoire ultime de frustration et de jalousie récompensées.



Et derrière ce voyage, il y a la puissance des images. Elles vous fixent jusqu aux moindres coups de crayon, zones d ombre et timbres de couleurs et vous emportent dans ce "délire" visuel. La double page du tome V (p. 48 et 49) relatant la fameuse bataille de Teutobourg est un élan sauvage qui décrypte chaque combattant vivant son duel comme un arrêt sur image saisissant. On lit la haine, la peur, la mort. Le travail est immense.



Oui, on peut critiquer cette œuvre. Mais Rome a vécu dans la violence et l érotisme des siècles durant. Ces tomes m ont emporté vers un ailleurs et un monde bien disparus qui évoqueront en mon for intérieur une éternelle frustration. Marini a réussi à m en ouvrir un peu les portes et c est magique.

Pour moi, avec ses mains, ses crayons et ses pinceaux, c est une belle bataille gagnée par l artiste.

Chapeau bas.





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Les Aigles de Rome, tome 6

Les Aigles de Rome sont de retour ! Pour notre plus grand plaisir !

Nous y retrouvons les deux frères ennemis Marcus le romain et Arminius le chérusque, cinq ans après la fameuse bataille contre les Germains. Tous deux nous reviennent plus matures et plus farouches et plus déterminés dans leur soif de vengeance. Notamment, Marcus qui n'a plus grand chose à perdre... Enfin le croit il car il se pourrait bien que l'espoir de revoir son fils ravive en lui la flamme d'antan.



Un album riche en émotions, égal aux précédents avec moult duels, traîtrise et manigances politiques.

Je m'y suis un peu perdue au début de l'album. Les personnages romains sont nombreux et les relations qu'ils entretiennent un peu complexes.

Néanmoins, c'est un album de transition qui reste haletant et toujours aussi prometteur pour la suite !

En espérant que Marini ne nous fasse pas trop attendre...
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Rapaces, tome 2

Un deuxième tome à la hauteur du premier. Si dans le tome précédent, on comprenait qu’il y avait trois groupes : les bons (Lenore et Spiaggi), les Rapaces et les cibles de ceux-ci. Tout devient flou dans ce tome alors Lenore semble être en voie de franchir la ligne entre les bons et les méchants. C’est l’élément d’intrigue qui pousse à vouloir aller voir ce que renferme le troisième tome.



Encore une fois, les dessins de Marini sont géniaux. Dans ce tome, on en apprend aussi beaucoup sur qui sont les Rapaces. C’est un décor intéressant qui explique bien la quête qu’il mène.

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Rapaces, tome 1





Premier tome d’une série de quatre, c’est une bonne lecture sans pour autant être phénoménale. L’histoire déboule rapidement et on a l’impression que l’auteur a voulu mettre la totalité de ses idées dans un seul numéro. On en ressort essouffler, mais sans pour autant avoir ce petit quelque chose qui donne envie d’avoir la réponse aux multiples questions qui se posent.



Les dessins sont supers – j’aime beaucoup le style de Marini – et l’ambiance est glauque à souhait. C’est une lecture agréable, mais il ne faut pas avoir l’attente de lire la série du siècle. Côté vampire, Anne Rice peut dormir en paix, elle restera la reine.

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Les Aigles de Rome, tome 6

J'ai lu les 5 premiers tomes il y a peu finalement et n'ai pas vraiment ressenti cette problématique d'écart entre le 5 et le 6.

On a fait un bon dans le temps et c'est le problème de ce tome à mon goût. Marini reprend ses personnages après une ellipse dans l'oeuvre, mais je ressens qu'il ne sait pas exactement ou il veut aller sur certains aspects. Et il y a un contraste fort entre certains évènements vraiment maitrisés et d'autres bien plus brouillons.

Ce sentiment qu'il a rajouté des péripéties pour nourrir son histoire, cela au détriment de l'équilibre.
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Les Aigles de Rome, tome 6

Ce sixième tome marque un virage dans la série. On retrouve certes Arminius et surtout Marcus Falco mais le récit tourne surtout autour de la succession d’Auguste et les querelles de pouvoirs. Il est aussi bien sûr question de la vengeance de Rome pour cette terrible défaite romaine en Germanie et pour Marcus, de retrouver son fils Titus, seul lien avec sa bien-aimée Priscilla…

Un album charnière donc mais toujours aussi intéressant au niveau du récit, mêlant jeu de pouvoir, quête de rédemption et prémisses de batailles à venir.

Le duel entre les deux frères ennemis n’est pas encore terminé et c’est ce lien intense entre les deux hommes qui cimente un récit passionnant.

Une série qui allie toujours aussi bien fond historique et histoire romancée ; à noter aussi le glossaire en fin de chaque album permettant de connaître un peu mieux les personnages rencontrés dans l’album et des éléments de compréhension de l’époque romaine - par exemple dans cet album, on découvre la présentation du Murmillo (type de gladiateur dont Marcus fait parti), ou encore Pompeii, ville célèbre pour ses gladiateurs et, malheureusement pour elle, de la terrible tragédie qui frappera la cité de Campania.
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