Enrico Marini

Classique scénario très agréable à lire. C’est surtout dans le dessins qui sont sublimes ! que l’auteur a attiré toute mon attention, la couleur rouge « passion » de cette femme fatale, ce retour dans le temps, les voitures, j’adore. Roman nostalgique noir c’est super.



Presque créé pour les hommes je vois complètement l’époque de mon père à travers ce roman, l’imagine de la « virilité » des années 60

Mais j’ai eu grand plaisir à découvrir ce roman.



hâte de lire la deuxième partie.

Il est question de truands dans le New York des années 50,



Il est question de grosses brutes « bas de plafond »



Il est question de violence



Il est question de filles fatales et vénales, gros flingues et p’tites pépées.







Servi par un sublime dessin charbonneux que vient rehausser les touches auburns des cheveux, « Noir burlesque » devra se parcourir comme une œuvre graphique remarquable.

Une très bonne BD noire, avec des truands testostéronés, du sexe, des coups et des gueules cassées, des flingues et des entourloupes. Un graphisme magnifique en noir et blanc rehaussé par du rouge avec un grand talent. Comme un hommage soigné au genre, tant pour le dessin – avec des femmes courbes et des hommes à la mâchoire d'enclume – que pour le scénar un peu ridicule et caricatural.



Slick vient payer ses dettes à New-York après un séjour en Europe.



Mais voilà, ce n'est que le premier tome. Quelle déception lorsque je suis arrivé à la fin qui n'en était pas une. Il faudra patienter. Dommage !
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Je suis en admiration devant la beauté des illustrations, l’élégance du noir et blanc et les touches de rouge qui explosent, la grâce du mouvement capturé par Enrico MARINI. La première de couverture me plaît beaucoup et j’ai mis du temps à ouvrir cette BD, non pas manque d’envie mais plutôt pour garder la couverture plus longtemps dans ma pile à lire !

Pour le scénario, c’est une histoire de mafia dans les années 50. Jolies femmes et dettes d’honneur sont le quotidien dans la « famille ». Ce n’est pas forcément un genre que je lis habituellement, mais je me suis retrouvée dans cette histoire.

271 av JC. Volsinii dernière cité étrusque à résister à la puissance de Rome. Rome 1763. Orazio Trebaldi. Tito Marenzio. Messer Agnelli. avant dernier chapitre tout aussi intéressant. les dessins sont beaux et bie fait. moi j'aime beaucoup. on est dans l'histoire à fond.

Le hussard est torturé. a noté que c'est la seule fois dans cette série que planche est entièrement remplie de verdure. Tiberio. Ursus. les moines lépreux. Mejaï est touchée. viol. Le scorpion est le fils du père Trebaldi. pour finir, ansea aime le scorpion.

Tome 9 : on est à Rome dans les prisons du Vatican. Trebaldi et son frère eegle leurs comptes. flashback avec le Scorpion. Magdalena Catalar. l'inquisition. Maria. Guarini. SCORPION deviens ami ++ avec Nelio. Rochnan. Santalessio. Zabaleta. on apprend pourquoi le symbole du Scorpion.

Avant tout, le dessinateur est clairement un de mes préférés. Dieu que c'est beau !



Ensuite, une histoire d'homme libre à la recherche de sa propre histoire, un peu brigand, beaucoup charmeur, le tout avec en trame de fond des complot et prise de pouvoirs politiques, manipulations cachées, et non, on ne vous dira pas de qui il est le fils. Mystère, haha!



Bref, que vouloir de plus ?!

Une histoire de vampire moderne très bien fichues et les dessins sont à tomber! (attention, pas entre toutes les mains)



Une jeune femme flic va croiser la route de deux étranges personnages au charisme troublant. Succombera-t-elle, ou son devoir va-t-il rester le plus fort?

Quand un auteur franco-belge s’invite dans l’univers des comics, cela donne « The Dark Prince Charming » : une aventure originale de Batman. Charmé, je l’ai été dès les premières planches.



Enrico Marini accorde parfaitement son style à l’univers sombre et nocturne de Gotham. Le récit, intimiste, intègre les codes et éléments qui font le succès de Batman de sorte que l’immersion est immédiate. Dès lors, la lecture coule de source jusqu’à la dernière page que l’on tourne à regret.



J’ai littéralement adoré ce récit et il est évident que l’auteur s’est fait plaisir et qu’une partie de ce plaisir rejaillit sur nous, lecteurs. L’humour flegmatique d’Alfred, la présence féline de Selina Kyle et de son alter ego, le mythique Joker totalement déjanté et sa relation détonante avec Harley : autant d’atouts parfaitement mis en scène. C’en était au point où j’entendais la voix du Joker et son rire incomparable comme dans mon enfance devant la série animée.



Un récit adulte mais pétillant d’humour aux bons moments. Dire que j’ai aimé est un euphémisme. Les planches sont magnifiques, le récit nous capte et le dénouement s’autorise même d’insuffler le doute. Un must-have que je relirai très certainement un jour.

C'est bien la première fois que j'apprécie une bande dessinée de Marini, il faut dire qu il a changé de registre, il a quitté l'Antiquité romaine pour les milieux mafieux des Etats-Unis des années 50/60... Un parrain qui tient un music-hall, un braqueur qui lui doit quelque dollars et entre les deux une bien jolie créature.....
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Tome 8 : le scorpion se fait fouetter. Trebaldi exulte. Mejaï va en prison...mais ils libèrent le Hussard. belle demeure des Latal à Rome. une planque ou il fait bon vivre. Marie ange...ahhhhhh Marie ange. Tiberio. Le scorpion rencontre Nelio ou plutôtGiacomo Milanelli. Caresana. deux rendez-vous manqués mais le scorpion en ressort toujours gagnant.

Tome 7 : Trebaldi commence part faire un carnage dans Rome. madame Colomba. La Rome que le scorpion retrouvait en rentrant de ma Terre Sainte était plongée dans une angoisse oppressante. Méjaï à des affaires a régler. Les archives secrètes du Vatican. Cardinal Curtis. Socrates. Le Scorpion = Armando. Église St Stefano. Lieutenant Crecesti. Histoire de la mère des Scorpion. Nelio. Duel Trebaldi/SCORPION.

BD POLAR / ROMAN NOIR.

Plus classique tu meurs, car le fantôme de Raymond Chandler plane au-dessus de tout le scénario. Mais c’est aussi la force du récit, car Enrico Marini ne connaît que trop bien ses classiques. Car le dur-à-cuir comme la femme fatale n’ont pas oublié les cœurs d’artichauts qu’ils ont été… Le talentueux auteur italien s’occupe de tout : ses qualités ne sont plus à prouver, donc hâte d’avoir sous les yeux la deuxième et dernière partie de ce récit de roman noir !
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TOME 6 : Rome deuxième moitié du dix huitième siècle. Ne pas dire le mot secret...Cappadoce vallée de Karabas. On retrouve nos amis à cheval en terre sainte. Histoire sur ROCHNAN. Trébaldi, Gottfried & Rochnan. El Tarib. Vazlar. La forteresse de saint serrac. Hussard est Aristote et love de Fenice...On crois bien qu'ils vont rester enfermé dans cette forteresse mais c'est mal connaitre l'auteur qui est adepte des retournements de situations.

On commence ce tome 5 en terre sainte 1291 après JC. avec les Templiers. Puis direction Istanbul.

Superbe planche lorsque le Scorpion s'échappe avec Méjaï et se lance la poursuite d'Ansea Latal.

Obligé de s'entendre avec Méjaï pour récupérer cette croix.

Puis on les suit à Konya, et puis il y à toujours ce côté chat et souris entre le scorpion et Méjaï qui est très amusant. Karabas, Gottfried von Eschenbach, Apostolakis, Hussard, Hakan, les Templiers et encore et toujours Rochnan...

Le scorpion doit fuir ce nouveau pape afin de chercher cette fameuse croix vieille de 17 siècles. Toujours autant haletant. Plein de surprises, on ne s'ennui pas. On est avec le Scorpion et sa troupe d'amis pour les bonnes et les moins bonnes raisons. Des bagarres, de l'humour, des courses poursuites...un régal cette série.

Je suis de plus en plus faible face au travail de Marini. A peine une couverture accrocheuse, un travail percutant sur la colorimétrie et un univers un peu sombre et oldschool, que je suis preneuse. Alors merci au Père Noël qui l'a mis sous mon sapin.



Plus honnêtement, si j'ai été emballée par le parti pris graphique du livre, je dois tout de même avouer que l'ensemble est un petit peu fade et convenu et que je m'attendais à plus percutant.



Avec Noir Burlesque, dont nous tenons le premier tome sur deux, l'auteur nous embarque dans un polar à l'ancienne comme on en a déjà lu tout plein. L'histoire n'a rien d'originale et ne fait que reprendre les tropes du genre avec ce gangster taiseux qui retrouve des années plus tard la femme qu'il a aimé dans les bras d'un autre gros bonnet mais ne l'a pas oubliée et elle non plus, ce qui crée un sacré paquet d'embrouilles.



Certes la narration est dynamique, les personnages bien campés malgré les clichés qu'ils revêtent. L'ensemble est donc entraînant à lire, avec de bons rebondissements et une noirceur bien présente comme on l'attendait. Mais tout fait un peu trop lisse et prévisible. Cela manque de vie et on peine à s'attacher aux personnages tant tout est formaté.



En revanche, graphiquement c'est vraiment à la hauteur de ce que j'attendais. J'ai adoré le tableau de cette vieille Amérique sous le joug de la mafia. J'ai adoré le parti pris que tout soit en niveau de gris à part les touches rouges, couleur de la tentation, qui viennent apporter la lumière et la profondeur nécessaire. Oui, cela n'a plus rien d'original depuis La liste de Schindler ou Sambre d'Yslaire mais je trouve ça toujours aussi beau. Et puis, j'aime beaucoup le trait de Marini, que ce soit les visages bien carrés et virils des hommes ou les courbes généreusement féminines de l'héroïne. Je suis fan du travail sur les décors et j'ai beaucoup aimé le rythme cinématographique des planches.



Ainsi même si je reste clairement sur ma faim, ce fut tout de même un bel ouvrage graphique que je suis contente d'avoir dans ma bibliothèque. J'aurais juste aimé que le projet ne se contente pas de cocher des cases déjà listées par d'autres et ait une âme.
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tome 3 : on commence à Anatolie au premier siècle de notre ère. puis nous continuons à Rome à la seconde moitié du dix huitième siècle. Le scorpion fait de drôle de rêve. Mejaï doit retrouver le scorpion. superbe flash-back dans le passé du scorpion. Le jour de gloire du cardinal Trebaldi semblait arrivé.

Le scorpion semblent pris au piège. mais nouveau cliffhanger avec mejaï à porter sur l'épaule.

tome 2 ou il est question d'assassiner le pape.

mejaï emprisonner face au scorpion

les dessins de Rome sont magnifiques.

belle scène d'action qui prend la moitié de l'histoire. c'est haletant, on est avec eux. puis le cliffhanger énorme. Le secret du pape est bien dévoilé mais pour lire plus vite les autres tomes.