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Le Scorpion tome 8 sur 14
EAN : 9782505004745
48 pages
Dargaud (07/11/2008)
4.04/5   184 notes
Résumé :
Le Scorpion est de retour ! Au grand désarroi de Trebaldi, le pape sanguinaire qui ne rêve que d’une seule chose : le tuer. Une nouvelle bataille a donc commencé : un véritable combat à mort s’est engagé entre ces deux hommes. L’un cherchant à connaître la vérité, l’autre faisant tout pour la dissimuler… Un duel passionnant servi par une intrigue diablement efficace !
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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Dans le huitième tome du Scorpion, L'Ombre de l'Ange plane sur nous et cet opus assombrit grandement l'aura de la série.

L'intrigue brumeuse de ce tome est-elle défendable ? Autant ne pas se lancer dans ce débat car ça ne tiendrait pas en quelques mots. Personnellement, j'avoue que tout se recoupe, certes, mais qu'on se demande vraiment comment tout cela est crédible et tient debout ; malgré tout, on avance tout de même vers l'inexorable dénouement et c'est bien là l'essentiel. Il faut quand même reconnaître que tout est presque trop facile pour le Scorpion qui se permet tout et n'importe quoi. Evidemment, nous sommes dans une série-hommage au genre de cape et d'épée, mais arrivés au huitième tome, on a le droit de prétendre à plus que ça.
Ce huitième tome met en lumière l'écart pris entre les deux auteurs. D'un côté, même si je pinaille sûrement de trop, j'ai vraiment l'impression que Stephen Desberg va trop vers la facilité en usant d'expressions-bateaux, telles « dans la vie, il y a… », à tout bout de champ. Or, de l'autre, Enrico Marini propose des graphismes toujours aussi réjouissants : il opte pour un trait plus sombre et plus précis, ce qui n'enlève rien à la fulgurance de ses mouvements dans les combats, mais ajoute un semblant de majesté à ses décors.

Malgré un enrobage toujours réjouissant, nous avons là un de ces tomes qui me fait parfois m'ennuyer en lisant cette série : l'univers me parle, les dessins sont très beaux, mais les scènes sont parfois basiques, sans parler des dialogues.

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Des cachots du Vatican à une époustouflante scène d'action finale, ce huitième opus de la saga du Scorpion n'en finit pas de surprendre son lecteur par un lot de surprises, toutes plus inattendues les unes que les autres. Après un scénario quelque peu soporifique au cours des derniers tomes, voilà que l'histoire se réveille d'un coup.
Armando, Méjaï, Cosimo, Nelio, Marie-Ange, toutes les personnages les plus importants sont impliqués au sein d'une toile magistrale, toute faite d'intrigues, de mensonges, de retournements de situations. Tous visent les Scorpion ? Va-t-il s'en tirer ? le doute est constant… le jeu de dupes est d'autant plus intéressant qu'il est plus politique que personnel. Assurément un très bon album !
Le scénario de Desberg est porté par le talent de Marini. Que dire ? Égal à lui-même, comprendre par là qu'il se surpasse constamment ? Un euphémisme facile, mais ô combien mérité.
Sans conteste l'un des meilleurs albums de la série. Les différents thèmes laissent entendre que le dénouement s'approche à grand pas. Si les auteurs poursuivent sur ce thème, celui-ci promet d'être grandiose. Un chef d'oeuvre en devenir ? L'espoir est permis....
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Desberg semble un peu à bout de souffle... alors on sort les très grosses ficelles. C'est assez pareil dans les films de capes et d'épées des glorieuses années du genre à Hollywood. Plus c'est gros et plus ça passe.

Le Scorpion se rédéguise en moine guerrier. Et tout le monde se fait prendre. Il déjoue tous les pièges qu'on lui tend. Il retrouve sa femme en la personne de l'ambassadrice de France au Vatican... Quand on vous dit que c'est du gros de chez gros !

Desberg nous la joue classique de ciné, les plans, les rebondissements téléphonés, les intrigues qui se résolvent par miracle... J'ai longuement attendu le retour de personnages supposés morts... Je suis sûr que cela va arriver. Ponson du Terrail n'est pas loin dans les rouages de ce type... où la dernière personne à qui on pense surgit subitement.

Les seconds rôles qui me semblaient faire la force du tome précédent sont en-dessous de tout. Même Anséa qui est tout à fait inutilisée depuis son retour de Terre Sainte est effacée et fait preuve de naïveté (comme le reste des femmes... comme s'il suffisait au Scorpion d'être beau gosse pour qu'elles perdent tout sens commun). On a l'arrivée d'un assassin vieillissant et de son maître... est-ce enfin le père du Scorpion (finalement si XIII se pointe dans un épisode du Scorpion, je n'en serai qu'à moitié étonné).

Bien sûr ce tome n'est pas complètement mauvais, et il s'insère adéquatement (peut-être trop adéquatement) dans l'ensemble.

Vivement quelque chose de vraiment neuf.
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Qui est le Scorpion? Redouté des hommes qui craignent son épée rapide et impitoyable, il est aimé des femmes qui trouvent en lui un amant extraordinaire. le Scorpion est un archéologue, qui a fait son fonds de commerce des tombes des saints et martyrs. A prix d'or, il revend les reliques de personnages sacrés aux princes et nobles de la Cour de Rome.

Le Scorpion trouve son ennemi le plus acharné en la personne du cardinal Trebaldi. Ce religieux ne sert l'Eglise que pour mieux assouvir sa soif de pouvoir. Pour Trebaldi, le Scorpion est la personne à abattre, fruit de l'union d'une femme à la beauté envoûtante et du Diable. Mais le père du Scorpion n'est pas le Diable, et la tâche qu'il porte à l'épaule, un scorpion, cache d'autres secrets bien plus noirs.

Cette bande dessinée vaut de très bons romans de cape et d'épée. le thème des origines de la chrétienté est encore une fois source de nombreuses élucubrations hasardeuses. Mais le dessin de Marini est superbe, et les personnages imaginés par Desberg sont très bien construits
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L'Ombre de l'Ange s'allonge sur le Scorpion...Qui a décidément un passé bien rempli en jolies demoiselles !

Ce huitième tome est finalement dans la veine des précédents, avec des personnages principaux, notamment le Scorpion et Méjaï, un peu fatigants ; le nouveau personnage Marie-Ange n'apporte pas réellement de nouveautés dans la série, et rejoint les personnages secondaires tels qu'Ansea Latal ou Rochnan dont on regrette la personnalité peu développée malgré l'intérêt qu'ils suscitent au premier abord.

Les points fort de ce tome sont à chercher du côté des tractations de Nelio, véritable orchestrateur selon moi de l'Ombre de l'Ange, et dont le jeu finaud n'est pas pour me déplaire. Et bien évidemment, les dessins de Marini sont toujours aussi splendides, alternant les différentes ambiances et lumières, avec un petit coup de coeur pour les planches pastel des scènes d'intérieur de Nelio pactisant avec les Latal ou de Marie-Ange recherchant des documents dans le secrétaire.

Il ne me manque plus qu'à trouver les deux derniers tomes pour clore cette série agréable à lire, mais qui manque de subtilité et de complexité dans les personnalités des personnages, se bornant souvent à se faire succéder les courses-poursuites sans vraiment tenir un cap. Je regrette de ne pas avoir découvert le Scorpion plus jeune, à une époque où j'aurais sûrement eu moins d'attentes quant au scénario !
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Citations et extraits (7) Voir plus Ajouter une citation
- Pourquoi faut-il qu’il y ait autant de jolies femmes sur la terre ?
- Parce que sinon, ce serait trop facile de n’en aimer qu’une seule. Dans la vie, il n’y a qu’une chose qui vaille la peine : la tentation !

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Ceux qui vous diront qu’on a toujours le choix se font des illusions. Dans la vie, on n’a qu’un seul choix : l’amour, ou la jalousie.

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Maudit Scorpion! Je t'en fais le serment. Jamais... Jamais je ne trouverai la paix...
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- Dans la vie, il n'y a qu'une chose qui vaille la peine: la tentation !
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Je ne sais pas pour la main de ta sœur, mais tu prendras la mienne dans la figure si tu ne réponds pas à ma question !
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