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Critiques de Eric Wantiez (29)
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Conte de la nuit noire

[...] Les illustrations de Geoffre Griman sont magnifiques. Des grandes étendues impressionnantes pour un si petit format (format à l’italienne 15×21 cm). Les couleurs sont très vives et très belles.

Le texte d’Eric Wantiez est également très beau, simple, mais percutant, comme toujours. J’aime beaucoup son travail parce qu’il utilise des mots très simples et à la portée des enfants pour nous raconter des choses très vraies et parfois très dures.[...]
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Conte de la nuit noire

Un conte des origines très joliment illustré par des sérigraphies au rendu proche de la gravure, avec des aplats de couleurs dans les tons bleus et feu notamment.

Le premier chasseur des steppes avait peur d'une seule chose : de la nuit. Il décida alors d'aller trouver le soleil pour lui demander de ne plus se coucher. Le soleil refusa mais le chasseur l'emprisonna. Ainsi il ne fit plus jamais nuit. Les animaux vinrent alors trouver le chasseur pour lui expliquer que la nuit leur était nécessaire à tous mais celui-ci ne voulait rien entendre. Il envoyèrent alors le plus sage d'entre eux raisonner le chasseur qui fini par comprendre que vaincre sa peur le rendrait plus fort et que faire courir le monde à sa perte signifiait sa fin à lui aussi.
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L'enfant sur la digue

Lors de l’opération Masse Critique de Babelio, j’ai voulu en profiter pour découvrir un nouvel album jeunesse. Le ton engagé du synopsis et la couverture m’ont vite fait craquer pour L’enfant sur la digue.

Dans le monde, trois cents millions d’enfants travaillent. Quatre-vingt-cinq millions exercent une activité dangereuse et l’un de ces enfants s’assoie, tous les soirs, au bout de la digue, sous le regard curieux d’un petit poisson.



L’enfant sur la digue est une histoire qu’on aimerait être une fiction et pourtant, il s’agit d’une triste réalité. L’auteur a pris le parti de ne pas nommer son héros, ce que je trouve judicieux. Cette absence d'identification nous montre qu’il aurait pu s’agir de n’importe lequel de ces enfants. Et même si son nom nous reste inconnu, on s’attache quand même à lui. La perte de son innocence m’a déchiré le cœur. Il n’est pas furieux, au contraire, on sent un détachement laissant présager que notre héros a l’habitude de voir ceux de son âge travailler. Si l’auteur nous en dit peu sur le garçon, il nous laisse des petits détails sur quoi son quotidien pour faire marcher notre imagination d’adulte.



EXTRAIT Les enfants comprennent beaucoup de langages. Celui des yeux, celui des oiseaux, celui des poings qui se serrent, celui du cœur…



L'album a également un côté troublant : malgré la dureté du thème, je n’ai pu m’empêcher de trouver l’histoire mignonne. L’amitié qui se crée entre le garçon et le poisson est attendrissante. J’ai eu une pensée pour Le petit prince de St Exupéry, à travers leurs discussions : un petit prince à qui on aura arraché son innocence.

Les illustrations donnent apportent une touche de mélancolie au récit. Ici, pas de couleurs pastels ni de contours nets, rien ne rappelle l’enfance. Pourtant, j’ai vraiment beaucoup aimé les dessins de Serge Elissalde. Il en ressort une grande douceur.

Les droits de l’enfant sont cités à la fin de l’album, nous montrant qu’il existe encore une grande inégalité entre les individus. Des droits qui nous semblent logique ne sont pas forcément acquis dans d’autres pays : il est important d’en prendre conscience.
Lien : http://alittlematterwhatever..
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L'enfant sur la digue

Un grand merci à Babelio, à la collection "Les droits de l'enfant" et à l'auteur pour ce petit mot...



Une digue abandonnée loin de la ville. Personne ne vient ici sauf ce petit garçon. Les jambes dans le vide, il regarde au loin le soleil se coucher sur la mer. Là d'où je suis, je l'entends, le pauvre. Il est pris d'une forte quinte de toux, il s'époumone et j'aperçois son regard triste. Il a beau essayer d'afficher un sourire, comme pour me rassurer, la tristesse est bien là. Je lui demande pourquoi il tousse ainsi. Et sa réponse me rend alors tout triste aussi. Il me dit que c'est à cause de la peinture qu'il pulvérise sur les voitures. De simples jouets pour les enfants de riches. La peinture qu'il avale pénètre dans ses petits poumons et le rend malade. Malheureusement, il n'a pas le choix: il faut qu'il travaille pour ramener un peu d'argent à la maison. Après un long silence, il s'est levé et m'a dit qu'il revenait souvent ici. Je lui ai répondu "à demain", m'en suis retourné et ai souhaité de tout cœur le revoir...



Article 32: L'enfant a le droit d'être protégé contre tout travail mettant en danger sa santé, son éducation et son développement. Ainsi, commence l'histoire de l'enfant sur la digue. Un propos grave et tristement vrai. Ce gamin si attachant nous émeut et nous touche. Même si l'on ne voit pas son visage, l'on ressent dans sa posture un chagrin profond. Le coup de crayon est noir et charbonneux, certaines planches très sombres viennent renforcer cette idée d'enfermement et l'on se sent parfois oppressé.

Eric Wantiez rappelle à la fin de son ouvrage la liste des droits de l'enfant simplifiée et destinée à ce dernier.



L'enfant sur la digue...il n'attend plus que vous...
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Le printemps d'Oan

21 mars 1915, sur le front de la Somme. Oan le poilu breton s’est perdu dans le no man’s land du champ de bataille. Dans les ruines d’une ferme, il découvre une petite fille venant d’enterrer ses parents après un bombardement. Ensemble, Oan et Angèle vont tenter de rejoindre les lignes françaises pour se mettre à l’abri. Un voyage dangereux qui va permettre à chacun de deviser sur la guerre et sa folie…



Jolie réflexion sur la barbarie d’un abominable conflit, cet album au noir et blanc dense et profond, uniquement éclairé par le rouge de la robe d’Angèle, offre une dimension onirique laissant à distance un réalisme dont la portée serait au final bien moins forte. La boucherie est là, partout, présente dans chaque brin d’herbe roussi, dans chaque arbre déraciné, dans chaque carcasse de cheval éventré, dans les barbelés délimitant les tranchées, mais le graphisme tout en suggestion fait basculer le récit dans une sorte de douce poésie nimbée d’une touche de fantastique.



Une histoire belle et triste, porteuse d’espoir malgré tout, sublimement mise en images par la grâce d’un découpage inventif jouant sur les ombres et la lumière et n'hésitant pas à s'affranchir des codes narratifs propres à la BD pour, entre autres, profiter au maximum des possibilités offertes par le format à l'italienne.




Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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Le printemps d'Oan

Au fil des pages de cet ouvrage au format horizontal, au toucher charnu, Le printemps d'Oan se laisse découvrir.

Il met au coeur l'horreur de la Première Guerre Mondiale, où règne le chaos, la sidération du vide laissé par les obus, la solitude de ceux qui restent et la grisaille, le noir et blanc, comme pour mieux saisir le désespoir de cette époque.

Au milieu de ce noir et blanc, une jolie tâche rouge ressort, c'est Angèle, une petite fille qui illumine le paysage par son caractère espiègle, généreux, enfantin. Elle illumine les pages, parce qu'elle est vivante, tout simplement.

Alors qu'elle reste sur les ruines de la ferme où elle habitait avec sa famille, elle croise le chemin d'un soldat. Il l'emmène retrouver la vie.

C'est un cheminement onirique, un cheminement vers le réel, pour mieux faire le deuil de l'enfance et d'un bonheur passé.

Avec beaucoup de finesse et de délicatesse, l'auteur parvient à dépeindre une atmosphère unique, et à faire vivre au lecteur un moment de grâce et d'émotion.

A découvrir !
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Les années noires Angoulême 1940-1944

Dans l’album collectif « Les Années noires : Angoulême, 1940 – 1944 » (publié aux éditions Le Troisième Homme), préfacé par Francis Groux, 7 auteurs locaux reviennent sur ces temps de collaboration et de résistance qui virent notamment partir, le 20 août 1940, le « convoi des 927 » républicains espagnols. Ayant roulé jusqu’au camp d’extermination de Mauthausen, ce train de la mort fut le tout premier de l’histoire de la déportation pendant la Seconde Guerre mondiale…
Lien : http://bdzoom.com/96251/lart..
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Les Contes Gourmands De Petit Jean

Bonjour,un petit livre sympathique où nous suivons Petit Jean dans ces aventures et à chaque fin de conte nous avons une recette en rapport avec l'histoire, avec des quenelles évidemment.

Même si ce livre est franchement publicitaire ,les petites histoires plairont aux enfants ainsi que leurs illustrations et leur donneront peut-être envie de consommer des quenelles ,qui sait ?
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Nino

Quelle joie j'ai eu en recevant cet ouvrage et en voyant que j'avais eu droit à une copie dédicacée par les auteurs!!! Un énorme merci aux éditions Comme une orange et aussi à babelio pour avoir illuminer ma journée!

Il s'agit de l'histoire d'amour entre Nino, jeune funambule qui travaille dans le même cirque qu'un vieux lion et Marion, jeune fille de la ville ayant comme ami un écureuil venant du parc. J'ai peur d'en dire plus et de risquer de gâcher le plaisir des futurs lecteurs, car ce livre gagne à se découvrir, page après page. L'histoire est touchante, belle et totalement accessible à un public plus jeune sans pour autant être niaise.

Ce roman graphique est adorable, tout doux, plein de poésie. Les planches jouent énormément sur les nuances avec quelques petites touches de couleurs par-ci, par-là, ce qui donne à l'ensemble une esthétique remarquable et une lecture très fluide.

Ce fût un très agréable moment lecture pour moi et une très chouette découverte!
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Nino

Une critique pour deux histoires, toutes deux signées Eric Wantiez et Marie Deschamps.

Pierre et Lou et Nino se ressemblent énormément. Dans l’histoire en premier lieu. Deux histoires d’amour entre des personnages réservés ou différents. Quatre humains, quatre animaux (qui parlent comme dans les contes), sages témoins de leurs rencontres, de leurs émois et de leurs hésitations. Un oiseau pour un amoureux des jardins et un chat pour une timide dessinatrice, un écureuil pour une fille de la ville et un lion pour un funambule. Chacun d’entre eux, l’amour les révèlera et ils s’apercevront qu’ils ne sont pas invisibles et inintéressants comme ils le pensaient.

L’imagination d’Eric Wantiez est pleine de tendresse et de poésie. Nino est un peu plus long, un peu plus écrit que Pierre et Lou, mais aucun n’est simpliste. Le ton est juste et touchant, ce qui les rend accessibles à tous les publics.



Marie Deschamps, l’illustratrice, s’affranchit des codes de la bande-dessinée avec des cases de toutes tailles, verticales ou horizontales, et, souvent, pas de case du tout. Des pages entièrement illustrées repoussent le texte en haut ou en bas.

La finesse de son trait sied à merveille à ces histoires douces et sensibles. J’ai été séduite par la bichromie (exceptionnellement ponctuée de touches vermeilles) de ces deux romans graphiques, Pierre et Lou étant dominé par les couleurs bleutées, Nino par des tons violets. De plus, les personnages sont véritablement adorables et toucheront les enfants comme les adultes (qui, j’espère, seront toujours des enfants).



Bandes dessinées, romans graphiques ou illustrés, albums ou contes ? Peu importe la classification, deux ouvrages atypiques par leur forme et pleins de sensibilité que je recommande chaudement. Alors sortez de chez vous et élancez-vous sur votre corde pour découvrir Pierre et Lou, et Nino.

Vivement leur prochaine collaboration intitulée Le Printemps d’Oan !
Lien : https://oursebibliophile.wor..
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Nino

Il est assez difficile de donner un avis sur ce genre de livre et surtout d'expliquer pourquoi on a aimé. C'est tout à fait le genre de livre que je passerais à quelqu'un de mon entourage en lui disant simplement : "Lis, c'est tout".



Ce qui m'a attiré dans ce titre, c'est sa couverture en majorité mauve principalement ainsi que l'écureuil qui grimpe la corde et qui n'a pas l'air d'avoir peur de rejoindre le funambule. Le livre dans les mains, je n'ai pas pu m'empêcher de le tourner dans tous les sens et de le feuilleter plusieurs fois avant de me lancer dans la lecture. Et ce, afin d'apprécier les dessins, le graphisme et la douceur qui a l'air de se dégager de ce petit livre avant de prendre connaissance de ce qui y est raconté.



Ce livre est vraiment magnifique et cette façon de jouer avec le mauve et le blanc tout en apportant parfois une autre petite touche de couleur est tout simplement magique et plein de douceur.



L'histoire suit cette magie créée juste avec les couleurs. Une histoire d'amour et d'amitié traitée avec douceur, pudeur aussi, et magique : humains et animaux. Tout est présent pour me faire craquer et apprécier ce moment lecture.



L'histoire est contée à la troisième personne et cela permet au lecteur d'être spectateur et pourtant, je n'ai pas ressenti de distance avec ce style, au contraire, c'est raconté avec beaucoup de douceur comme si on nous racontait une histoire sur le ton de la confidence. Un moment suspendu dans le temps et dans une bulle.



J'ai ressenti une grande nostalgie sur la fin et pourtant, un sourire aux lèvres.



Observez, feuilletez, regardez et lisez ce livre tout simplement si vous tombez dessus. Je pense qu'il est plus simple de découvrir l'ambiance et l'histoire par soi-meme que de vous expliquer le ressenti. C'est un livre qui fait du bien. Et puis, l'écureuil est trop mignon!



Je remercie Babelio et les éditions Comme une orange de m'avoir permis de découvrir ce magnifique livre. Et également d'avoir découvert cet éditeur que je ne connaissais pas du tout. Et merci pour la dédicace de l'auteur. c'est une chouette attention :)
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Nino

Avant tout, merci à Masse Critique et aux éditions Comme une Orange de m'avoir permis de découvrir cet ouvrage. Et merci pour la dédicace !



Au début, j'ai été un peu surprise par ce livre en feuilletant les pages : ce n'est ni une bd, ni un album,... je lis que c'est un roman graphique, ok. Mais en le lisant, j'ai une l'impression de lire un joli conte, racontant l'histoire de Marion et Nino et de leur rencontre.



Un petit résumé : Marion vit en ville, et a pour ami un écureuil du parc. Nino travaille dans un cirque qui est justement de passage en ville : il est funambule. Lorsqu'ils vont se rencontrer, ce sera le début d'une belle histoire... Je ne veux pas en dire plus !



L'histoire est vraiment touchante, toute en délicatesse. J'ai pris plaisir à tourner les pages, je suis complètement rentrée dans l'univers du cirque de Nino, dans son monde de funambule. Le fait que le livre soit un peu plus épais qu'un album (80 pages je crois), permet de vraiment rentrer dans l'histoire, les sentiments des personnages... Et donc de mieux vivre les choses avec eux.



Le texte n'est ni trop simpliste, ni trop compliqué. Il est écrit avec beaucoup de douceur et de poésie, mais aussi de justesse. Le fait qu'il soit séparé des illustrations permet de vraiment se plonger dedans, et ensuite de pouvoir totalement apprécier les dessins.



Pour ce qui est du dessin : Les personnages sont super mignons, vraiment adorables. Les couleurs utilisées sont souvent sombres, mais rendent les planches claires encore plus lumineuses. Il y a un très beau jeu de noir et blanc. Il y a peu de couleur, à part quelques fois le rouge du chapiteau, mais les nuances de noir sont vraiment suffisantes pour cet univers, et donnent plus de douceur à l'histoire.



Je pense vraiment que c'est un livre à faire découvrir le soir à ses enfants, une histoire au moment de se coucher, à lire sur plusieurs jours. C'est une histoire qui apaise avant d'aller dormir, de part les sentiments qu'elle évoque, la douceur avec laquelle elle est racontée, et la poésie du texte.

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Pierre et Lou

Une critique pour deux histoires, toutes deux signées Eric Wantiez et Marie Deschamps.

Pierre et Lou et Nino se ressemblent énormément. Dans l’histoire en premier lieu. Deux histoires d’amour entre des personnages réservés ou différents. Quatre humains, quatre animaux (qui parlent comme dans les contes), sages témoins de leurs rencontres, de leurs émois et de leurs hésitations. Un oiseau pour un amoureux des jardins et un chat pour une timide dessinatrice, un écureuil pour une fille de la ville et un lion pour un funambule. Chacun d’entre eux, l’amour les révèlera et ils s’apercevront qu’ils ne sont pas invisibles et inintéressants comme ils le pensaient.

L’imagination d’Eric Wantiez est pleine de tendresse et de poésie. Nino est un peu plus long, un peu plus écrit que Pierre et Lou, mais aucun n’est simpliste. Le ton est juste et touchant, ce qui les rend accessibles à tous les publics.



Marie Deschamps, l’illustratrice, s’affranchit des codes de la bande-dessinée avec des cases de toutes tailles, verticales ou horizontales, et, souvent, pas de case du tout. Des pages entièrement illustrées repoussent le texte en haut ou en bas.

La finesse de son trait sied à merveille à ces histoires douces et sensibles. J’ai été séduite par la bichromie (exceptionnellement ponctuée de touches vermeilles) de ces deux romans graphiques, Pierre et Lou étant dominé par les couleurs bleutées, Nino par des tons violets. De plus, les personnages sont véritablement adorables et toucheront les enfants comme les adultes (qui, j’espère, seront toujours des enfants).



Bandes dessinées, romans graphiques ou illustrés, albums ou contes ? Peu importe la classification, deux ouvrages atypiques par leur forme et pleins de sensibilité que je recommande chaudement. Alors sortez de chez vous et élancez-vous sur votre corde pour découvrir Pierre et Lou, et Nino.

Vivement leur prochaine collaboration intitulée Le Printemps d’Oan !
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Pierre et Lou

J'ai eu un immense coup de coeur pour ce livre inclassable : BD, album, roman... peu importe, il est juste superbe, magnifique, j'ai rarement vu un texte et des illustrations se répondre aussi merveilleusement. Je suis subjuguée par la poésie du texte sans aucune fausse note, par la finesse du trait et le camaïeu de bleu des illustrations, par la structure si fluide de l'histoire. Les conversations entre le chat et l'oiseau apportent un regard plein d'humour et de douceur sur les sentiments naissants des deux adolescents.

C'est une grande réussite !
Lien : http://tribulations-litterai..
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Pierre et Lou

Un beau livre, assez inclassable entre l'album et le roman, empli de sensibilité d'émotion et de poésie, non dénué de légèreté, sur le thème des amours enfantines, de l'acceptation de l'autre.

Les dessins, simples en apparence, accompagnent magnifiquement le texte, dans des teintes bleutées, seules les têtes de chapitre, composées de plantes apportent une note de couleur.
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Pout et Pout

C'est parti pour un voyage interstellaire avec Pout et Pout les deux extraterrestres trop mignons.

Colorée, loufoque et originale, Pout et Pout nous a beaucoup plu à la maison que ce soit à Petit Bout ou à moi.

Les dialogues ne sont pas dans des bulles mais en dessous des cases avec une petite image pour désigner le personnage qui parle. Je trouve que cela rend la compréhension accessible à des plus jeunes lecteurs de 6 ou 7 ans.

Vraiment une très bonne trouvaille chez un éditeur que je ne connaissais pas encore et que je vais surveillé désormais.
Lien : http://boumabib.fr/
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Pout et Pout

Un petit livre qui va beaucoup plaire aux enfants.



J'aimerais attirer voir attention sur la couverture du livre qui est vraiment très jolie. J'aime sa couleur jaune et ses petits dessins punchys et rigolos.



Le livre se présente d'une façon assez sympa. Il y a une vignette avec une petite image toute simple et en dessous " un émoticône " du personnage qui parle avec les paroles ( voir vidéo). J'ai vraiment trouvé ça super sympa comme façon de découvrir une BD.



L'histoire est toute simple Pout & Pout cherche une planète où ils pourront faire les 3 choses qu'ils aiment le plus. Et si à travers leur voyage, ils découvraient quelque chose d'encore mieux ? C'est vraiment sympa et très amusant, les enfants l'ont découvert très vite et ils se sont bien amusés.



Les personnages sont attendrissants et vraiment simpliste. On pourrait les comparer à certains pré-ado ou ado. J'ai aimé leur forme toute ronde qui les rends fort sympathique.
Lien : http://mellysbook.kazeo.com/..
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Pout et Pout

Pout et Pout sont deux petits extraterrestres tout ronds qui s’ennuient sur leur planète carrée et qui décident de partir à la recherche d’une planète où on peut jouer sous la pluie, faire des châteaux de sable et jouer aux jeux vidéo. Ils ont des noms trop ridicules, j’adore :

- Bonjour Pout !

- Bonjour Pout !

C’est coloré, vivant, drôle, une bande dessinée sympathique pour les petits. Bon, ça fait un peu l’apologie des jeux vidéos, mais il faut vivre avec son temps après tout. Allez, au revoir Pout, au revoir Pout !

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Rouge-Feuille

Un petit Renard rouge comme les feuilles d'automne rencontre un oiseau bleu azur et le trouve tellement joli qu'au lieu de le croquer, il en fait un ami.



C'est une histoire plutôt attendrissante abordant assez simplement différents sujets, mais ce qui me marquera le plus, ce sont les illustrations. Elles sont ravissantes.
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Rouge-Feuille

Un vrai coup de cœur comme je n'en avais pas eu depuis longtemps pour cette pépite choisie par mon fils instinctivement à la bibliothèque. Le graphisme est doux et beau, alliant dessin, aquarelle et photo à travers une palette automnale, jonglant entre fleurs et feuilles. L'histoire est simple mais belle et dévoile une amitié entre un renard et un oiseau au-delà de tout préjugés. A lire tant pour le contenant que le contenu :)
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