Citations de Erin McCarthy (85)
Je n'étais plus la femme que Damien avait épousée. Aujourd'hui, j'étais triomphante, satisfait de moi, de
mon mari et de la place dans le monde.
il fallait aussi qu'elle envoie la lettre de Marie à Damien par courriel. Il avait fait ce qu'il pouvait pour
retrouvez Lizzie.
Le problème, c'est que quand quelqu'un change sans arrêt d'identité, il est difficile de le trouver.
Être marié avec Laura était la plus incroyable des expériences. C’était au- delà de ce qu’il avait pu imaginer. Chaque jour était comme un cadeau.
Je ne suis pas un assassin ni un violeur ni un pédophile. Je ne suis qu’un voleur ; ce n’est pas bien grave. Et puis si tu y penses, sans moi, tu n’aurais jamais rencontré ton bel étalon dont tu ne peux pas entendre le nom sans avoir ces yeux langoureux... C’est vraiment pitoyable.
Les femmes finissent toujours par découvrir ce que tu ne leur dis pas. C’est comme si elles avaient un sixième sens. Alors il vaut mieux prendre les devants et avouer. Comme ça, on est seulement privé de sexe pendant deux jours au lieu de quatre.
L’orgasme qui l’emporta fut brûlant, dur et rapide Excitant, à couper le souffle comme la descente de montagnes russes.
Elle était charmante, si mignonne dans son écharpe rose. C'était le genre de femme que l'on présentait à ses parents, et que l'on mettait sur un piédestal pour l'admirer de loin telle une icône de perfection féminine. Pas le genre de femme avec qui l'on s'envoyait en l'air.
Il doit bien exister un meilleur moyen de rencontrer des gens. Au travail, chez des amis, à l'église, dans vos loisirs... Je vous assure que les hommes bien qui ont envie d'une relation ne manquent pas. Je vous demande seulement d'être raisonnable, prudente, et de vous protéger.
— C’était bien, il est bien, et on est amis.
Des amis qui faisaient des trucs pas nets, tout nus dans le noir.
Je suppose que l'absinthisme n'était qu'une façon de désigner l'alcoolisme. Je suis convaincu qu'une consommation excessive pouvait se traduire par des trous de mémoire, comme avec n'importe quel alcool. Quant aux hallucinations et au délire? Je doute qu'il se soit agi de véritables hallucinations. Je pense que, prise seule, l'absinthe provoque une ivresse plus forte qu'un autre alcool, mais c'est tout.
Un couteau de chasse est fait pour dépecer ou pour tuer. C'est grand, lourd, encombrant.
La consommation excessive de drogues et d'alcool. Car la dépendance était bien la forme ultime de gloutonnerie, l'incapacité à cesser de consommer même lorsque cela devenait dangereux, nuisible, destructeur.
C'était ridicule. Suicidaire, d'aller ainsi au-devant de l'homme armé qui les attendait certainement pour les voler et les tuer. Non, ce qu'il fallait faire, c'était tourner les talons et fuir en courant
— L'absinthe est un alcool ? Je crois en avoir entendu parler, mais je n'en suis pas certaine.
— C'est la fameuse fée verte, une boisson alcoolisée faite d'huile d'armoise et servie diluée avec de l'eau sucrée. À cause des propriétés hallucinogènes qu'on lui prêtait et de la dépendance qu'elle était censée entraîner, elle a été interdite au début du XXe siècle.
Il lui semblait parfois que les femmes d'aujourd'hui avaient une vision faussée des maisons de passe.Loin du glamour et de la sensualité qu'elles imaginaient, c'était plus souvent des lieux minables et sales. Et la prostitution était une façon bien dure et dangereuse de gagner sa vie - très mal.
Si l'on ne fait rien, c'est toute la ville qui sera bientôt ternie par l'alcool et la promiscuité dans toutes ses rues, et les citoyens respectables n'auront plus nulle part où vivre.
Si personne ne revient sur le droit des femmes de petite vertu de gagner leur vie sans la risquer, tout le monde n'est pas certain que l'existence légale des maisons de tolérance soit dans l'intérêt d'une ville de plus en plus connue pour sa criminalité. Malgré le mécontentement des habitants du quartier, les sources officielles semblent peu enclines à agir et, le plus souvent, la police ne fait rien pour rechercher les coupables des crimes.
Certes, il ne retrouverait jamais son envergure d'avant la déchéance, mais il aspirait à la paix. À vivre dans le monde des mortels sans faire souffrir personne, sans les chaînes douloureuses de ses erreurs passées, capable de contrôler ses addictions.
Grâce à l'opium, à l'absinthe et à Anne, il s'arrachait presque à sa déchéance pour atteindre les sommets de la perfection qu'il avait connue du temps où il était un ange.