AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Fabien Vehlmann (1369)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées


La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

La thématique des ogres dans la bande dessinée me plait beaucoup (je cite au passage la série des "petits", un chef d'oeuvre). Découvert dans la bibliothèque de mes neveux, j'ai pris plaisir à leur lire cette histoire de mangeurs d'enfants sans concession et de son héroïne "trois fois morte". Vous comprendrez l'origine de son surnom en vous plaisant dans cette Bd qui sort des sentiers battus pour nous plonger dans une vraie cuisine d'ogres.
Commenter  J’apprécie          30
Le Dieu-Fauve

Dans des temps reculés de l’humanité, un singe s’efforce de trouver sa place parmi les siens. La rencontre avec des humains le conduit en captivité et le transforme, dans la contrainte et la violence, en « Dieu-Fauve ». Alors qu’une civilisation s’effondre, la vengeance sera sourde et brutale. Une fable universelle et une tragédie propice à la réflexion.
Lien : https://www.actuabd.com/Le-D..
Commenter  J’apprécie          10
Seuls, tome 13 : Les âmes tigrées

Depuis le nombre d'années que j'ai commencé cette saga, j'ai à la fois adoré certains tomes et j'ai été un peu déçue par d'autres. Dans l'ensemble, j'ai aimé et j'ai toujours voulu découvrir la suite.



Nous retrouvons Dodji qui a été enfermé et parvient à se libérer avec son voisin de cellule, Melchior. Ce dernier lui révèle que lui et ses ami•es sont des âmes tigrées, qui n'ont donc pas choisi entre le Bien et le Mal, et qui peuvent ainsi servir de médiateur entre les deux camps...



J'étais ravie que Dodji retrouve enfin ses ami•es, ce qui rend ce tome moins sombre que les précédents, d'autant plus qu'il y a des touches d'humour.



Avec les nouvelles révélations, cela complique encore davantage la compréhension de l'histoire qui n'est pas forcément simple à suivre. C'est à la fois ce que j'apprécie et que, paradoxalement, je déplore dans cette saga.



C'était chouette de retrouver les personnages que j'apprécie tant dans cet univers parallèle assez glauque... Il y a toujours de nouvelles révélations, d'autant plus que ce tome marque la fin du troisième cycle ! Même si c'est toujours plaisant de la lire, j'espère que cette saga ne va pas traîner en longueur...
Commenter  J’apprécie          130
Seuls, tome 1 : La disparition

Un premier volume très intéressant qui fait au lecteur se poser de nombreuses questions!



L’intrigue est très prenante, si bien qu'il est facile de commencer et finir d’une traite!



Des personnages très intéressants, dont les aventures me donnent impatiemment envie d’attaquer la suite!!





Commenter  J’apprécie          20
Le Dieu-Fauve

Un conte philosophique très sombre.

Si j'ai d'abord été refroidie par l'ambiance très noire lorsque j'ai feuilleté rapidement la Bande dessinée, j'ai ensuite été plutôt séduite par ce livre.

En effet, la narration adoucit l'illustration, l'histoire rend la violence des illustrations acceptable, elle justifie cette violence en nous proposant un point de vue, une argumentation. Le lecteur peut y adhérer plus ou moins entièrement.

Les illustrations sont très belles dans des tons de gris ou de marron. La narration est assez inattendue pour une bande dessinée car il ne s'agit pas de dialogues mais de narration qui accompagne l'illustration avec des points de vue différents.

Cette BD nous amène à réfléchir aux notions de pardon, d'indépendance, de choix individuels et collectifs , de notre capacité ou incapacité à changer le cours de choses , d'usage de la violence et de sa justification.
Commenter  J’apprécie          60
La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Que se passe-t-il derrière la montagne, La dent du chat, d’où s’échappe une fumée blanche.

Blanchette (Trois-fois-morte), une jeune fille aux cheveux qui ont blanchis brusquement, chétive, secrète et courageuse, se lance à la poursuite du Croque-Mit Eaine. Ce dernier, Grince-Matin, a enlevé ses amis, des orphelins, abandonnés et tentant de survive.

Pour rejetée par le groupe, Blanchette a décidé de leur porter secours. Ainsi, elle pénètre dans le territoire des Ogres...

Le Lac-Vaisselle, l’arrière-cuisine des Ogres, l’affrontement avec le Kraken, Beauregret, le Minotaure, le Chevalier-Fantôme.

Fabien Velhmam livre un scénario inspiré et inventif. Les dessins de Jean-Baptiste Andreae sont magnifiques.

Deux autres tomes suivront ce conte cruel et terrifiant.

Une saga à suivre.

Commenter  J’apprécie          30
La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Ne vous fiez pas à la magnifique couverture, cette histoire n'a rien de féérique ! Enfin, si vous y regardez mieux, la petite fille est attrapée avec un hameçon... ça ne ressemble donc pas trop à un conte de fée à la Disney.



Nous entrons dans la cuisine des ogres. "Fin gourmets, leurs mets délicats se composent néanmoins d'ingrédients quelque peu inhabituels... Lorsque Blanchette se fait capturer avec d'autres enfants pour être emmenée au cœur du cratère et servir de dîner à ses imposants habitants, le cauchemar s'installe."

Et au cœur de cette bande dessinée, à la place de ce beau bleu, on découvre plutôt des scènes couleur rouge-sang.



Blanchette est une petite fille qui a perdu sa mère, et qui, comme d'autres enfants, survit comme elle le peut. Un jour, elle en voit se faire capturer. Et même s'ils n'ont pas forcément été très gentils avec elle, elle compte bien les aider à s'échapper.

Attrapée à son tour, son sort devrait être tout tracé : direction les cuisines pour servir de repas aux ogres. Mais avec son caractère bien trempé et un peu de chance, l'aventure ne s'arrêtera pas là.



J'ai beaucoup aimé suivre cette petite fille, dans cet univers fantastique et horrifique, à l'image des contes des frères Grimm.

Même si cette histoire se suffit à elle-même, on voit bien qu'il y a une ouverture pour une suite. Et je dois bien avouer, que je serais très curieuse de retrouver cette petite fille téméraire dans une nouvelle aventure.
Commenter  J’apprécie          40
Le Dieu-Fauve

📚Adopté par Nouvelle Mère, Sans-Voix, le jeune singe blanc, doit faire ses preuves.La tribu est affamée et l'arrivée de Longue-Queue, un crocodile en fin de vie, paraît providentielle.Contrairement aux autres jeunes de la tribu, Sans-Voix ne se jette pas immédiatement dans la bataille.Il analyse en attendant patiemment le moment opportun pour frapper la créature et sortir victorieux de ce combat.Pour le jeune singe, cette exploitation signe son acceptation au sein du clan.Mais la joie est de courte durée pour le Dieu-Fauve !



🖊Le Dieu-Fauve de Fabien Vehlmann et Roger est un récit poignant mais difficile à appréhender. Âpre et terriblement violent, le scénariste écrit un conte primal mettant en scène la violence intrinsèque de notre espèce. La vengeance qu'elle engendre n'est que le fruit d'une vision unique qui ne prend jamais en compte l'autre, qu'il appartienne ou non au clan. Le récit est d'autant plus difficile à digérer qu'aucun des personnages n'est littéralement bon ou mauvais. Leur nuance démontre une forme d'incompréhension teintée d'une vision restreinte du bien commun. Même si ce bien commun est l'amélioration de la condition des plus faibles. Roger illustre l'ensemble avec talent. Son dessin comme ses couleurs renforcent la puissance de cette tragédie. Un récit coup de poing qui laisse un gout amer dans la bouche.



🧔chronique complète : https://www.mtebc.fr/le-dieu-fauve-vehlmann-roger/

!
Lien : https://www.mtebc.fr/le-dieu..
Commenter  J’apprécie          10
La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Entre retables de Bosch et esthétique horrifique à la Little Nightmares, les pages révélées par la lecture sont à la hauteur de la couverture. Avant même d'être conquise par ses dorures à chaud et son pelliculage velouté qui souligne les bleus intenses de son illustration de couverture, les visuels jouaient déjà avec la corde de la nostalgie.



Un voyage de Chihiro chez les frères Grimm porté par des aquarelles vibrantes, au trait soigné, qui fait vivre une ambiance propre à chaque planche, un univers cruel et étouffant avec ses personnages aussi bien mis en scène que caractérisés, références autant aux contes qu'à nos "classiques" de la littérature et qui les inscrit profondément dans cet imaginaire étrange mais presque connu des monstres de notre enfance.



Seul petit bémol dans cette superbe œuvre : une grille un peu raide qui ne reflète pas les capacités réelles de l'artiste, très bien exprimées sur une planche très puissante de capture au début de l'album. Je m'interroge sur une éventuelle symbolique des tailles variables des personnages (le rapport ogres/enfants en fait peu à peu des géants).
Commenter  J’apprécie          30
Le Dieu-Fauve

Ces derniers mois, le rayon BD voit affluer des œuvres d’une belle et grande noirceur. Il y eu Quelque Chose de Froid, qui ressuscitait le souvenir du film noir, puis le monumental La Route de Manu Larcenet, sur lequel tout a déjà été dit et écrit, par moi et par d’autres. Là, l’auteur Fabien Vehlmann (la série Seuls) et le dessinateur Roger viennent glisser une nouvelle pièce dans la machine à broyer du noir avec Le Dieu-Fauve.



De manière allégorique, et très indirectement, ce que Vehlmann et Roger décrive dans cette bande dessinée est un cercle ; leur récit s’ouvre et se ferme ainsi sur l’histoire de ce singe blanc qui fut violemment arraché à sa vie sauvage après avoir assisté au massacre de sa meute par une tribut probablement d’origine africaine. N’ayant depuis connu que la brutalité des combats et de la captivité, ce primate va profiter d’une libération inopinée pour retourner sa rage contre ses oppresseurs. Entre ces deux points, se déploie un récit choral au cours duquel les auteurs nous font glisser d’un point de vue vers un autre ; un aède, une assassin et une jeune esclave. « Chacun a ses propres raisons d’être violent, et ça pose une vraie question de fond qui renvoie, quelque part, à l’actualité en Ukraine ou au Proche-Orient : y a-t-il des violences justifiables ? Et : un monde sans violence est-il possible ? J’ai tendance, pour ma part, à dire que non. » déclare Fabien Vehlmann dans le journal L’Avenir. La violence appelant la violence, chacun de ces arcs narratifs, on le devine aisément, connaîtra donc une fin tragique.



A travers cette fable, Vehlmann parle évidemment de la violence des Hommes, mais aussi et surtout du bruit et de la fureur dans lesquels les civilisations s’éteignent. Le trait de Roger, vif et acéré, rend ce sous-texte plus incisif encore. Le Dieu-Fauve apparaît dès lors comme une œuvre dynamique, riche, pertinente et poétique. Il n’y a pas une vérité à y chercher, mais plusieurs, selon le point de vue adopté. En cela, Vehlmann et Roger réclament de leurs lecteurs un minimum d’empathie pour leurs personnages – chose qu’ils parviennent à obtenir.

L’unique reproche que l’on pourrait leur adresser réside dans les chapitres consacrés au singe blanc ; l’apport du texte pour ce personnage empêche selon moi de profiter pleinement de la capacité du dessin à produire du récit et de l’émotion. Un défaut qui reste mineur face à la qualité de l’ensemble.
Commenter  J’apprécie          20
La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Un conte cruel inventif qui mobilise l'image traditionnelle de l'ogre pour bâtir une histoire aux accents modernes.
Lien : https://www.avoir-alire.com/..
Commenter  J’apprécie          00
Le Dieu-Fauve

Le Dieu-Fauve, une fable cruelle et implacable, pour ados et adultes, qui suscite la réflexion sans abandonner l’émotion.
Lien : https://www.francetvinfo.fr/..
Commenter  J’apprécie          00
La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Les dessins sont chouettes, l'histoire semble se dérouler en Savoie et fait référence à la dent du chat. Le récit commence bien ! Mais j'ai été totalement perdue par la suite...

On va suivre une jeune fille qui va se faire enlever, comme ses camarades par des ogres pour leur servir de repas. La demoiselle va tout faire pour les sauver.

Deux sujets m'ont dérangé et m'ont sorti de la lecture :
Commenter  J’apprécie          10
Le Dieu-Fauve

"Rappelez-vous qu'au regard des Dieux, la fin d'une civilisation n'a pas plus d'importance que la mort d'une libellule".



C'est un récit puissant, violent, sanglant. Une histoire de traque, de force et de survie.



Le singe Sans-Voix est privé de sa liberté par des humains. Arraché aux siens dans la plus grande des violences, il va être dressé au combat par sa cruelle maîtresse.



Une vague immense va causer des dommages sans précédent. Les peuples sont désorganisés, les clans décimés... la terrible guerre pour le pouvoir est lancée.



Impossible que cette histoire laisse le lecteur indifférent ! Un vent d'émotions nous submerge et ne nous lâche pas. Les dessins soignés et précis participent à l'immersion et à notre sentiment de désespoir.



Chaque chapitre va suivre son personnage, ce qui est agréable mais a aussi tendance à perdre le lecteur durant quelques planches.



Ce récit noir mais extrêmement bien construit est percutant ! Il prouve à quel point l'homme peut se montrer cruel...
Commenter  J’apprécie          20
La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Lorsque la fumée s’élève du mystérieux massif de “La Dent du Chat” on dit que la cuisine des enfers se met en marche.

Une jeune orpheline, Blanchette, est capturée avec d’autres enfants pour servir de dîner aux ogres des montagnes. Hachée, mijotée, écrasée : celle que l’on appellera “Trois-fois-morte” va devoir redoubler d’inventivité et de courage pour sauver sa peau.



La Cuisine des Ogres s’inscrit dans la tradition littéraire des contes cruels, parmi ces vieilles histoires de croques-mitaines et d’ogres mangeurs d’enfants perdus. Vehlmann convoque tout un bestiaire fantastique, créatures et héros symboliques des contes en les teintant d’une maturité ou d’une certaine complexité. L’horreur de la cuisine des ogres et ses convives n’est pas dans le sang ou la violence grasse mais dans le détail sinistre des chairs et des recettes macabres. C’est un album aux illustrations travaillées, les graphismes de Jean-Baptiste Andreae sont vraiment beaux et les couleurs sont choisies en fonction de chaque univers, avec le bleu froid du village ou les tons jaunes et chauds des cuisines, toujours dans une atmosphère menaçante pour les personnages.

Sous ses airs de bande dessinée jeunesse, La Cuisine des Ogres est un conte sombre et cynique bien plus destiné aux adultes qu’à leurs enfants.



Une très belle découverte !
Commenter  J’apprécie          00
Le Dieu-Fauve

Une histoire avec une belle profondeur mais pour moi il manque un peu de fluidité... Le choix de séquencer par chapitre/portrait mets beaucoup de distance entre l'histoire et le lecteur... nous passons du "Je" à "il" et puis l'inverse sans toujours comprendre qui s'exprime ou pense.

Commenter  J’apprécie          00
La Cuisine des Ogres : Trois-fois-morte

Une vallée dominée par une montagne que l'on appelle La Dent du Chat. Un petit village la nuit. Un groupe d'enfants tente de manger. Soudain, un panier rempli de somptueuses victuailles apparaît par magie. Les enfants, affamés, fondent dessus.



Hélas, c'est un piège : une créature, un croque-mitaine du nom de Grince-Matin capture les enfants !



Emportés à l'intérieur de la Dent du Chat, ils découvrent alors un lieu aussi mystérieux que horrible : La Cuisine des Ogres.



Quel bonheur ! Quel album ! On est d'emblée transporté dans l'album avec notre héroïne, Blanchette, qui va survivre à cette cuisine du diable.



On découvre tout un univers fantastique, terrifiant, avec un lac à vaisselle, ou encore un horrible hachoir (pardon, une "Écorcheuse-Désosseuse-Batteuse").



Le scénario de Fabien Velhmann est particulièrement intense, intéressant.



Et que dire du dessin ? Quelle beauté ! Chaque planche est un chef d’œuvre, qui fourmille de multiples détails. Une belle et grande découverte pour moi de Jean-Baptiste Andréae (le "e" est important).



Un magnifique album, pleine de cruauté, de fantaisie, fantastique, sombre. Bref, un gros coup de cœur !
Commenter  J’apprécie          00
Le Dieu-Fauve

● Les auteurs, l'album (112 pages, 2024) :

On avait déjà apprécié Roger le dessinateur espagnol : c'était un polar, Jazz Maynard, assez violent, au dessin très moderne.

Des caractéristiques que l'on retrouve dans cet album Le Dieu-Fauve avec un scénario de Fabien Vehlmann.



● On aime :

❤️ On apprécie le dessin très moderne (habituellement on n'est pas trop fan) rehaussé d'une mise en page très dynamique, presque agressive, et tout cela convient parfaitement à cette histoire.

❤️ On aime bien le scénario de Vehlmann qui nous plonge dans des temps inconnus où quelques clans survivent sur Terre avant qu'un cataclysme ne vienne rebattre les cartes.

Le montage est assez original en plusieurs chapitres : chacun d'eux se focalise sur l'un des personnages de l'histoire pour une conclusion assez inattendue, avant le chapitre suivant.

Chaque partie nous dévoile un peu plus des dessous cachés de l'intrigue et remet en cause les apparences des volets précédents.

❤️ De cet album exsudent violence et chagrin. Le chagrin des soumis qui attendent que sonne l'heure de leur vengeance, quand la violence sera la leur et non plus seulement celle de leurs maîtres.



● L'intrigue :

Dans des temps inconnus, quelques clans survivent sur Terre avant qu'un cataclysme ne vienne rebattre les cartes et bouleverser les hiérarchies établies jusqu'ici entre maîtres et esclaves.

Dans ce monde, il est d'usage de dresser des singes pour en faire de redoutables combattants.

Pour celles et ceux qui aiment les singes.
Lien : https://bmr-mam.blogspot.com..
Commenter  J’apprécie          50
Le Dieu-Fauve

Sombre et cruel, Le Dieu-fauve est une fable où la violence des Hommes et des animaux trouve son écho dans celle du monde où ils évoluent. Un voyage déstabilisant et prenant qui ne laissera pas indifférent.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
Commenter  J’apprécie          10
Le Dieu-Fauve

Une fresque sauvage, poétique et captivante, remarquablement mise en images et en couleurs par l'artiste barcelonais Roger Ibáñez Ugena.
Lien : https://www.bdzoom.com/19448..
Commenter  J’apprécie          00




Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Fabien Vehlmann Voir plus

Quiz Voir plus

Spirou et Fantasio - Le Groom de Sniper Alley

Dans quel pays se déroule ce tome ?

Anwasa
Ostawa
Wasana
Aswana

10 questions
3 lecteurs ont répondu
Thème : Spirou et Fantasio, tome 54 : Le groom de Sniper Alley de Fabien VehlmannCréer un quiz sur cet auteur

{* *}