Sur fond de western américain, la vie d’une famille ouvrière dans la campagne profonde est contée avec une très belle écriture soutenue et très agréable à lire.
La révolte lente de la population de cette petite ville monte tout au long du livre mais du fait d’évènements imprévus, si bien qu’on ne crois pas à l’histoire.
Sinon j’ai passé un bon moment
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J'avais adoré son précédent livre, j'ai eu beaucoup de mal avec celui-ci. J'ai failli abandonner ma lecture p 135... Puis j'en ai parlé avec une libraire étonnée qui m'a dit trouver ça fabuleux ! Perdue dans les personnages, et l'histoire j'ai donc repris ma lecture depuis le début... J'ai apprécié certains passages...l'intrigue arrive page 140... mais j'ai été très déçue par la fin... Je n'ai pas vraiment adhéré.
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Histoire forte servie par une écriture magistrale. Cette fratrie très liée fait tout pour se sortir de leur vie triste en s'évadant chacun à sa façon.
Très bon roman
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Lecture agréable. Une légère accointance avec l'ambiance de Marcel Aymé dans La Jument Verte, des personnages attachants tels Gobbo plein d'élan ou Martha enfermée dans son monde rétréci.
Le personnage du grand-père paraît un peu "surdimensionné" en grand sage et les violons sortent un poil trop à mon goût, mais la langue de Franck Bouysse coule facilement et m'a fait tourner les pages assez vite.
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Buveurs de vente me laisse aussi sceptique et indécis que Glaise. J’ai apprécié la lecture, l’écriture mais n’ai pas été pris par l’histoire. J’aurai préféré que Franck Bouysse aille plus en profondeur dans ses personnages que ce soient la fratrie, les parents, le marin, bien sûr Joyce, etc. J’aurai voulu en apprendre beaucoup plus sur cette étrange ville.
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J'ai , il y a un moment déjà apprécié Franck Bouysse en découvrant "Plateau" .Habitant au nord du plateau de Millevaches ,j'ai succombé à la description des lieux , l'atmosphère parfois envoutante et les personnages bien sûr rugueux et attachants à la fois.
Après quelques années , grâce à une amie qui m'a vanté Né d'aucune femme et Buveurs de vent, j'ai retrouvé l'ampleur du style , la profondeur des personnages ,le rapport de chacun à la nature. J'ai commencé par Buveurs de vent et après peut-être un début un peu lent , on ne peut que se laisser envouter par cette fratrie qui aspire à la liberté , au rêve et à l'espoir .Eblouissant!
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Qu'est devenue la plume de "Grossir le ciel", "Plateau", "Glaise" et dans une moindre mesure "Né d'aucune femme" ? Ce dernier roman est d'une pâleur affligeante, tout y est convenu, plein de clichés : Gobbo, le marin à l'histoire d'amour avortée, Joyce, le grand patron terrifiant (mais je n'ai pas cru une seconde à ce personnage gobant des poussins pour son petit-déjeuner !), et jusqu'aux 3 évangélistes piqués aux romans de Fred Vargas. Les personnages à peine ébauchés...Le style lui-même peine à s'accrocher à l'intrigue. Je suis déçue, extrêmement déçue !
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Laborieux, comme s'il n'avait pas trouvé son style, comme un premier jet non abouti...
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Roman sombre qui nous raconte l
Histoire de 4 frères et sœurs. Une très belle écriture. L’ambiance est pesante, on s’attend à un drame quand on tourne les pages. Je suis un peu restée sur ma faim lalgré tout... manque de reliefs pour les personnages. J’avais adoré son précédent ouvrage.
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Une fois passée la première partie un peu lente, on ne saute pas une ligne de ce roman. Très belle écriture intense, puissante, sauvage. On navigue dans un univers sombre.
On se demande où se situe l'histoire : on se dit que c'est peut-être dans un pays anglophone car c'est un pasteur qui dirige l'église… en tous cas, une vallée profonde dans un lieu retiré de toute autre civilisation. Un monde rural, dur.
La fin semble aller vers un « happy end », les gens se réconcilient, les méchants meurent. Mais finalement, patatrac, tout est englouti, il ne reste rien de ce monde, de cette vie, de tout ce roman. On baisse les bras… On en sort éprouvé(e).
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Un nouveau Bouysse à lire sans modération.
L'histoire d'une vallée et d'une famille de 4 enfants qui y habite.
Tout le monde travaille pour Joyce qui possède la centrale électrique et le village tout entier.
On partage le quotidien de cette famille, on apprend à connaître les 4 enfants : Luc, Mathieu, Marc, Mabel , on les suit dans leurs jeux, leurs joies, leurs peines.
Un jour , une grève est déclarée à la centrale électrique... Joyce réunit tous les employés à l'intérieur de la centrale pour négocier.
Une fin abrupte qui nous laisse avec notre imagination pour seule chute.
Ce nouveau " Bouysse" est un régal.
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L'écriture est maitrisée, pleine de métaphores à méditer. L'histoire des Volny est prenante, j'ai été absorbé par ce livre. Je ne mets pas 5/5 pour la fin qui se termine en légère queue de poisson à mon goût. Je recommande néanmoins vivement : on avance avec plaisir dans cette histoire à l'atmosphère teintée de noir. Ce roman se trouve à la croisée de plusieurs genres; entre saga familiale et policier, avec un brin d'Histoire (sans qu'aucune date ne permette de se situer précisément dans le temps).
Ce livre m'a permis de découvrir Franck Bouysse, auteur de plusieurs livres qui faisaient déjà parti de ma liste "à lire". Bonne lecture à tous.
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On entre dans ce livre comme dans un monde reculé de tout, où tout est sombre, menaçant, aigre et désespéré. Buveurs de vent raconte l'histoire de gamins perdus dans une vallée perdue, où un accident ne va pas tarder à avoir lieu, suivi d'une enquête que va compliquer l'omerta semblant régner partout ici. Maniant à la perfection le suspens, avec un art consommé du glauque, Franck Bouysse tient son lecteur en haleine jusqu'au bout dans ce Western campagnard de belle tenue !
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Une histoire a priori intéressante mais trop manichéenne : on devine pratiquement toujours les réactions des bons ou des méchants. Un style quelquefois ampoulé ou pompeux et d𠆚utres fois inondé de détails insignifiants. J𠆚i eu du mal à terminer le livre,en sautant des pages. L𠆚uteur n𠆚rrive pas toujours à nous faire choisir entre fiction et réalité.
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C'est un bon roman noir qui nous raconte l'histoire d'une fratrie dans une vallée coupée du monde.
le récit un peu long à démarrer est très sombre et aussi captivant. Heureusement que l'amour fraternel décrit apporte une lumière à l'histoire.
J'ai aussi trouvé la fin un peu abrupte. J'aurai voulu encore rester encore quelques pages de plus avec Mabel et ses frères.
L'écriture de Franck Bouysse est toujours aussi sublime , poétique et très travaillée.
Bon moment de lecture.
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