Franck Bouysse

Quelle déception.

J𠆚vais adoré, Né d𠆚ucune femme et je me réjouissais de lire ce livre . L’écriture reste très belle mais c𠆞st quoi cette histoire invraisemblable avec une fin bâclée? J𠆚i sauté des pages alors que je déteste faire ça . On dirait une ébauche , un brouillon qui aurait du être retravaillé. Dommage qu’un tel écrivain soit satisfait de ce travail la . Voilà j𠆚i pas du tout aimé contrairement à la majorité.

Franck Bouysse nous emmène dans un monde imaginaire et réel à la fois. Oui le viaduc du Gour noir existe dans les gorges de la Dordogne. Il sert de lieu de défi aux enfants qui s'accroche avec des cordes à sa structure. Oui le braconnage à l'électricité et à la grenade existait. On retrouve un savant dosage de Corrèze, de Far-West, de la condition paysanne et ouvrière, de l'émancipation féminine, de l'Ile mystérieuse pour finir sur une destruction massive due à la rupture du barrage. Le rythme est rapide, vif, haletant avec des chapitres très courts dans un climat de violence permanent côtoyant de belles attitudes, notamment de la fratrie, personnage central du roman.

Que dire de plus que...est-ce bien le même auteur que celui qui a écrit “Né d𠆚ucune femme”? Contente d𠆚voir écouté le livre plutôt que de l𠆚voir lu car le lecteur a au moins sauvé la seule étoile que je lui décerne. Ni queue ni tête, endroit triste et personnages tristes et peu attachants, fin qui arrive avec soulagement! Je n𠆚i accroché à aucun moment.

Buveurs de vent --Franck Bouysse



Malgré une entame de lecture poussive, je me suis naturellement laissé happer par ce roman tout aussi dense que noir.

Comme à son habitude et dans ce roman l'auteur y travaille des thèmes forts, l'insoumission, la soif de liberté....

On notera encore la richesse de la plume ciselée de l'auteur dans laquelle se déploie un kaléidoscope de personnages tout aussi fascinants les uns des autres.

Une intrigue envoûtante qui aurait mérité un final plus explicite et plus approfondi.

je n'ai pas du tout accroché au style d'histoire, noire, glauque....les métaphores sont très belles en rapport avec la nature. Je n'aime pas trop les livres sans dialogues. Et je me méfie beaucoup des livres qui ont obtenu des prix ! genre celui ci le prix des libraires ! à juste titre. Après tous les goûts sont dans la nature heureusement !

Même si j'aime d'habitude les livres dont le cadre se passe dans la France profonde, celui ci contrairement à ne d'aucune femme m'a laissé de marbre. J'ai abandonné au bout d'une quarantaine de pages. J'y reviendrai plus tard. C'est parti pour la bibliothèque des coeurs cabossés qui me plaît beaucoup des les premières pages.

Je vais rejoindre le groupe des lecteurs déçus par ce roman, pourtant jusqu'à maintenant j'avais aimé les romans de Franck Bouysse.

Cette fois, la magie n'a pas opéré : je n'ai pas été conquise par le cadre et n'ai pas trouvé les personnages principaux attachants. Trop de noirceur, de non-dits, des longueurs. Bref, je me suis ennuyée. Je ne recommanderais pas ce roman mais c'est juste mon avis.

Un roman rural âpre et sombre qui traite de résistance.

Tel un conte, F. Bouysse nous narre avec une écriture poétique , pleine de métaphore, le récit d'évènements engendrés par une fratrie soudée ( 3 frères et 1 soeur ) au sein d'une vallée coupée du monde (le Gour noir) perdue dans les montagnes.

Cette vallée tyrannisée par la centrale et son propriétaire (animal au sang froid) , où les habitants se taisent sera le coeur et l'objet de la légende.

Après la lecture de " Né d'aucune femme" que j'ai adoré, j'attendais beaucoup de ce livre.

J'ai mis du temps à rentrer dans l'histoire, j'ai cru un temps que cela montait et j'ai été déçue par la fin.

Je m'attendais à autre chose pour le personnage de Mabel,

mis en valeur tout au long du livre...

Ce livre a quelque chose, mais il me manque quelque chose pour faire "waouh"...

Je n'ai pas aimé du tout ce roman. Je suis gênée de laisser une critique, comme si on ne pouvait parler que des livres qu'on apprécie, mais je me suis ennuyé, l'histoire commence dans un sens, puis un autre, elle tortille, j'ai trouvé qu'elle n'arrivait à rien. Pourtant les personnages étaient bons, et puis, ça s'enlise, ça tourne court.

J’ai dévoré ce livre, le style, la narration, l’ambiance , l’histoire . Tout m’a plu . J’ai beaucoup pensé à Steinbeck en lisant ce livre . Un petit côté : «  Des souris et des hommes » . J’ai été totalement conquise par les descriptions de la nature et cette idée plusieurs fois abordée de faire unité avec elle . Fabuleux . Je ne connaissais pas Franck Bouysse , très jolie découverte .

Le Gour est noir, les lueurs d’espoir, vaines. Dans ce triste paysage vit cette indéfectible tribu de quatre frères et sœur. La nature palpite à travers eux. En lisant ce livre avec ces accents ouvriers, avec ce personnage de centrale au cœur des intrigues, je me suis replongée dans l’atmosphère des romans de Zola. La plume est splendide, ciselée, Franck Bouysse sait vraiment choisir ses mots. Mais J’aurais voulu en savoir plus sur Marthe, la mère de la tribu, qui semble cacher de lourds secrets. Plus sur Joyce aussi, qui est un personnage important lui aussi. Il n’empêche que j’ai passé un excellent moment de lecture

Conte, western, tragédie grecque, ce roman est tout cela à la fois, et bien plus encore.

Je n'ai pas les mots pour exprimer tout ce que j'ai ressenti à la lecture de la légende du Gour Noir.

M. Franck Bouysse lui, sait trouver les mots qui touchent, happent, transforment, subliment. C'est un merveilleux conteur.

Un des meilleurs auteurs de polars français selon moi : le livre est superbe, l'histoire captivante et on est pris pas le suspense de bout en bout, bref une réussite de roman qui va vous faire passer un excellent moment de lecture et vous offrir un suspense ciselé, du meme niveau que "né d'aucunes femmes" du même auteur. Vous découvrirez page après page une histoire captivante que vous aurez du mal à lacher une fois commencée.

Ce livre m’a emportée dans la peau de chaque personnage, l’écriture est forte et belle. J’ai aimé chaque page. On a la sensation de se retrouver un peu dans chacun et dans chaque histoire. Et cette peur du Mal qui agit dans l’ombre, omniprésent et inéluctable est bien décrite, on ressent l’angoisse des personnages.

trois freres et leur sœur grandissent dans une famille où l'on ne parle pas, chacun gardant pour lui ses sentiments, avec un père qui ne parle qu'avecdes coups, et une mère bigote quine parle qu'avecsa bible. Buveurs de vent raconte leur histoire et le passage de l enfance a l âge adulte, un passage douloureux qui s effectue dans la violence. Celle d'une vallée tenue par un tyran violent, Joyce, celle des sentiments amoureux, et celle née du besoin de liberté de Mabel. Je ne suis vraiment entrée dans l'histoire qu'au milieu du livre, lorsque l'auteur entre dans le vif du sujet, celle de la souffrance de cette fratrie qui quitte le monde de l'enfance

4 enfants, frères et soeur ...

Matthieu, Marc, Mabel et Luc...

Une vallée, une ville ... Un lieu sombre, le Gour Noir ...

Un tyran, Joyce, devant qui tout le monde ploie ...

Une fable, une légende, un conte, une parabole ...

Une atmosphère lourde, pesante ...

Un roman puissant ...

Une écriture somptueuse ...

Histoire d'une fratrie dans une vallée perdue où règne en dictateur absolu Joyce, le créateur d'un barrage qui fait vivre toute la région.

Roman d'émancipation où la grâce d'une jeune fille, Mabel, la simplicité mentale de Luc le rêveur, l'écologie naissante de Matthieu et le littéraire Marc vont ensemble sans le vouloir, libérer la vallée de ce tyran. Envoutant.

Franck Bouysse a indéniablement une très belle plume et c’est le seul point positif que j’ai trouvé à cette lecture. D’habitude j’aime la littérature noire mais ici la noirceur m’a semblé dénuée de sens. Je n’ai pas apprécié l’histoire, ni personnages ni le monde crée l’auteur. Je me suis terriblement ennuyée.

L’histoire de 4 frères et sœurs dans une vallée imaginaire, Le Gour Noir, coupée du monde où règne un tyran. Livre très bien écrit avec quelques longueurs. Un début d’ouvrage un peu long à mettre en place les choses. Ensuite, quand on rentre dans l’action, c’est parti. Quant au dénouement, il m’est apparu radical, brutal et frustrant. Bon livre.