Franck Dumanche

Encore une BD sur la seconde guerre mondiale avec des enfants pour héros. En septembre 1939 certaines œuvres d'arts du Musée du Louvre sont évacuées vers le château de Chambord, et alors qu'en 1940 l'occupation allemande est à l'ordre du jour. La résistance se met en place notamment dans un petit village normand où vivent quatre enfants: Gaston, Edmond, François et Elise avec chacun un surnom, chose indispensable pour cette petite bande de résistants qui écoute les nouvelles grâce à un poste de radio réparé par Edmond. Les événements s'accélèrent pour ces résistants en herbe lorsqu'ils surprennent deux soldats parlant de l'arrivée prochaine d'Hermann Göring dans leur village. Les questions fusent alors pour éclaircir tout ça ils décident de se rendent à la soirée organisée pour le bras droit d'Hitler.



Évidement je pense beaucoup à la série Les enfants de la résistance (Quatre tomes pour le moment dont le quatrième) mais aussi à La guerre des Lulus, Le réseau Papillon commence avec la sauvegarde des œuvres d'art et le désir de raconter au jeune public ce caprice fou d'Hitler de s’accaparer tous les grands chefs d’œuvre de la peinture et de la sculpture. Ce sont donc de véritables héros dans leur catégorie puisqu'ils trouvent d'astucieux moyens pour rendre la vie plus compliquée aux allemands (pas de résistance de grande envergure). Une BD sympathique pour jeune public pas toujours facile à lire malheureusement les bulles n'étant parfois pas placées dans l'ordre mais bon ce petit détail s'oublie vite grâce au récit et au cahier final qui comme dans les séries citées précédemment offre des informations supplémentaires sur le thème abordé.
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Une bande-dessinée qui se déroule dans le contexte de la Seconde Guerre mondiale et nous entraîne dans le sillage de quatre adolescents téméraires, et bien décidés à mener à leur échelle leur petite résistance face à l'ennemi Allemand. La petite bande est sympathique et le ton se veut tout aussi léger quand bien même les événements historiques sont eux plus sombres. le Réseau Papillon c'est donc surtout les aventures d'apprentis résistants dans un contexte particulier et propice à donner aux enfants le rôle dont ils rêvent.



La BD ne manque pas de péripéties. Gaston, Elise, Edmond et François sont des ados qui n'hésitent pas et qui ont décidé de passer à l'action. Cette BD devrait surtout séduire les lecteurs qui ont déjà eu le plaisir de découvrir La Guerre des Lulus ou Les Enfants de la Résistance, deux séries de bandes-dessinées qui se construisent sur les mêmes ressorts. L'ensemble a le mérite de nous faire découvrir la vie des Français pendant cette période là et de rendre l'Histoire accessible aux plus jeunes.



À noter : un dossier didactique de quatre pages est disponible en fin d'ouvrage.
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Dans le même style que les enfants de la résistance, on découvre le réseau papillon. Un groupe de jeunes résistants qui se battent pour la sauvegarde des tableaux en France.

Une BD d'aventures qui devrait plaire aux pré-ados !



Cette BD raconte les aventures d'un quatuor d'amis 'le chef', Princesse, le doc et Bouboule, qui vivent dans un village normand occupé par l'armée allemande et  qui donnent l'air de rien un coup de main au réseau de résistants dont fait partie le frère du Chef ! 



Dans ce premier épisode, un train rempli d'œuvres d'art doit quitter la France pour rejoindre le futur musée d'Adolf Hitler à Linz.



Göring envisage de détourner le train pour s'approprier quelques-uns de ces chefs d'œuvres.



Ayant eu vent de ce plan alors qu'ils espionnaient une réunion des allemands dans le château local, le trio en informe la Résistance.



Par un malin concours de circonstances, deux garçons se retrouveront à bord du train et ...



Des gamins dégourdis, beaucoup de chance et de malice. Un peu convenu  ... mais je dépasse de beaucoup trop d'années l'âge idéal pour lire cet ouvrage ! 



Je remercie NetGalley et les Editions Jungle qui m'ont fait parvenir cet ouvrage 



#LeRéseauPapillonTome1 #NetGalleyFrance
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Une BD sur un groupe d'enfants qui participent à la résistance pendant la seconde guerre mondiale. Sur le principe l'idée est bien, mais franchement je n'ai pas été emballée.

Le fond de l'histoire est bien, car on voit un aspect de la guerre pas souvent évoqué. Mais c'est sur la forme que j'ai eu du mal.

Je trouve que les bulles et les cases sont mal organisées et certains passages s'enchaînent mal. La lecture n'est donc pas fluide et cela gâche le plaisir. Pour moi, il y a encore du travail de mise en page pour que cette BD soit réussie.

Un savant mélange entre Les enfants de la résistance (bande dessinée) et Les grandes grandes vacances (dessin animé).

4 enfants de 13/14 ans, 1 fille, 3 garçons, un "chef", une "princesse", un "intello" et un "glouton". Les quatre prototypes de bases mais qui s'assemblent et se rassemblent pour entrer dans la Résistance, et faire tout ce qui est en leur pouvoir pour éviter la mort de nombreuses victimes.



Un bon début, qui permet de faire comprendre au plus jeune, ce qu'était la France en 40.

Évoquer la guerre à hauteur d'enfant et adolescent est dans l'air du temps après le succès de la Guerre des Lulus, Les enfants de la Résistance ou le Réseau papillon... C'est d'ailleurs un personnage de cette série qui revient dans ce nouveau cycle "La bataille de Claudine". Cette jeune adolescente est issue d'une famille de résistants qui font passer des messages par le réseau Chinchilla, depuis Brest après avoir été dénoncés. Lorsque son investissement au sein du réseau prend une autre ampleur avec le sabotage de la marine allemande, Claudine se trouvera dépassée par ses propres choix et convictions. J'ai trouvé original et audacieux d'évoquer l'homosexualité pendant cette période. Mais j'ai été globalement déçue par cette bande-dessinée qui ne m'a pas tenu en haleine ni donné envie de poursuivre la suite.

J'ai découvert la vie de Claudine à Brest en 1943. Elle vit avec ses parents et fait partie de la résistance. Ses parents hésitent à l'envoyer à l'étranger le temps de la fin de la guerre. Claudine est une jeune fille courageuse qui aide comme elle peut en faisant passer du courrier pour le réseau Chinchilla avec ses parents.



J'ai beaucoup aimé ce premier tome qui est passé trop vite selon moi, je lirai la suite avec plaisir. J'ai également aimé le style des dessins et les choix chromatiques.



C'est une saga qui comptera deux volumes si je ne me trompe pas. Si vous aimez les histoires sur fond de seconde guerre mondiale alors cette bande dessinée est faite pour vous.
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Ce court roman jeunesse illustré tiré de la bande dessinée du même nom s'adresse à un jeune lectorat. Cinq enfants prennent part à la résistance sans vraiment le vouloir. Dans ce tome, ils vont découvrir que des œuvres d'art ont été volées par les nazis et ils vont essayer de prévenir les adultes résistants. Tout est bien expliqué et le vocabulaire adapté mais je ne cache pas que je préfère la bande dessinée. En effet, il y a quelques ellipses et c'est parfois un peu trop rapide pour comprendre de manière aisée. Un intéressant dossier illustré complète le roman. Un roman jeunesse de bonne qualité et original. #LeRéseauPapillonTome1 #NetGalleyFrance

La série du Réseau papillon regroupe plusieurs cycles et celui-ci est un nouveau. Au fil des aventures et déboires de ce groupe de résistance, les membres se déplacent pour recommencer ailleurs leur travail de sape de l’occupant. Ce qui donne ce nouveau cycle de BD ! Je n’ai pas lu les précédents et j’arrive un peu comme un cheveu dans la soupe, mais ça ne m’empêche pas de comprendre l’histoire de ce tome.



Claudine est une jeune fille courageuse et têtue, tout comme ses parents, elle veut s’impliquer dans le groupe de résistant. Elle fait passer des courriers en faisant des livraisons de linges à l’hôpital et selon elle ce n’est pas assez ! Elle voudrait en faire davantage mais ses parents voudrait l’éloigner, la bataille fait rage et le risque de se faire prendre est beaucoup plus grand. L’occupant n’épargne pas les enfants, ils sont traités comme les adultes !



A son insu ils vont tenter de la faire passer en Angleterre sous couvert d’une mission importante en accompagnant Colette. Mais je soupçonne un piège et hélas je n’en saurais pas plus, le tome se finit de façon abrupte, comme qui dirait c’est suite au prochain épisode ! Et ne vous inquiétez pas, je n’ai rien révélé d’important, je n’aurais donc pas spoilé ^^



Un album sympathique aux tons de l’époque tant niveau couleurs que représentations des personnages mais un peu court à mon goût et qui manque un peu de dialogues. Quelque chose de simple en soit mais qui j’espère se développera davantage dans la suite. Pas mal mais mitigé dans l’ensemble, wait and see donc !

Lutter, toujours



Après l’abattement qui a suivi la chute du Réseau Hector, le Réseau Papillon reprend du service pour aider des rescapés à trouver un refuge plus sûr et de la nourriture.



En donnant à voir la seconde guerre mondiale à hauteur d’ados projetés trop jeunes dans un monde d’adulte, Franck Dumanche et Nicolas Otéro poursuivent leur récit d’aventure évoquant le club des cinq dans un contexte sombre et tourmenté.
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Tout d'abord, un grand merci à masse critique et aux éditions Jungle pour l'envoi de cette bd !

La couverture est superbe, le ton est donné : Japon, samouraï, un sabre aux pouvoirs magiques, et d'étranges démons à l'arrière plan ce qui promet de belles batailles ;-)

Pour le scénario, j'ai particulièrement apprécié la plongée dans l'histoire du Japon médiéval, agrémentée d'éléments historiques qu'ils soient littéraires ou dessinés (le carnet de recherches graphiques présent en fin d'ouvrage montre les processus de composition de l'image du dessinateur, qui s'est inspiré de dojos traditionnels ou autres temples et lieux). Le personnage principal est parfaitement adapté quant à lui aux jeunes lecteurs, puisqu'il s'agit d'un ado bien "dans son temps" qui préfère largement les tchats avec les copains ou les jeux sur sa console que les entraînements de kendo de son grand-père. Mais par le biais d'un sabre aux étranges pouvoirs, il va se retrouver projeté quelques centaines d'années en arrière et devra combattre avec ses deux nouveaux amis au caractère bien trempé, d'une part pour lutter contre le mal qui risque de faire péricliter le Japon, et d'autre part pour pouvoir rentrer chez lui, à son époque...

Les personnages sont bien pensés mais j'ai eu un peu plus de mal avec les "méchants" ; les goules sont surprenants (leur arrivée tout du moins) et les combats un peu trop "faciles" (après tout, Katsuo est censé être novice, pas très bon en combat, il a beau être courageux avec un grand sens de l'honneur, doit-il forcément gagner ?)

Ce que je sais en tout cas, c'est que la fin m'a laissée très frustrée... très envie de connaître la suite et ce qui est arrivé à cette armure...

Merci !

Une belle BD sur la Seconde Guerre Mondiale pour faire découvrir aux plus jeunes ces moment troubles. Tout y est l' héroïsme, la peur, la survie, la collaboration sans jugement de valeur... Une bonne base de réflexion sur cette époque pour nos jeunes lecteurs...

Vivement le troisième tome !

Alors… que dire ? Peut être attendais-je trop de ce premier tome ? Pourtant, j’avais entendu ma libraire exprimait un avis mitigé dessus et je comprends maintenant pourquoi. L’histoire s’inscrit durant la seconde guerre mondiale jusqu’après la capitulation de la France sous le gouvernement de Pétain donc. Nous retrouvons quatre jeunes qui sont bien décidés à virer les « boches » de la France et de faire vivre la Résistance à leur manière aussi.





On commence directement avec Doc (Edmond), un gamin surdoué qui trafique un poste radio. Voyez ici la bourde ? La radio, à cette époque, était le nec ultra de la technologie ! Il passe donc pour le petit génie de la bande de par ses connaissances qu’il apprend en lisant. Ce personnage est contradictoire envers lui-même. Le Chef (Gaston) lui pose la question de l’importance des oeuvres d’art. Sa première réponse est très enfantine « ça coûte des sous ; et puis il y en a quand même des belles, et des très vielles » puis dans la case suivante, il a une autre réponse très adulte, « ça montre la puissance culturelle d’un pays ». Si sa deuxième réponse est aussi intelligente, il devrait donc développer une réponse plus mature pour la première question.



On en vient à Gaston (Chef). Pourquoi est-il le chef ? Je me le demande ! Il n’a aucune culture qui est criante de vérité avec sa seule phrase « Moi, j’aime pas lire ». Le seul fait qu’il soit chef, c’est parce qu’il l’a décidé et l’impose, point ! En plus de son attitude étrange, il n’a pas les bonnes réactions quand il faut – ni même aucun des enfants, je reviendrai dessus – il est macho. Les interactions qu’il a avec les autres personnes me semblent vides. Sans parler de la fausse romance entre Princesse (Elise) et lui qui est complètement inutile.



Pour les deux autres personnages, donc Princesse (Elise) et Bouboule (François), je ne sais pas pourquoi ils sont là. Enfin, Elise est peut être là pour la pseudo-romance et une présence féminine… Mais Bouboule est un goinfre qui dans ce premier tome n’a pas vraiment montré son utilité. Cependant, il va servir de « levier » pour le second tome parce qu’il doit rendre visite à sa tante à Paris.



Après les personnages, que dire de l’histoire… Elle a un bon fond. Elle aurait pu être intéressante si elle n’avait pas un scénario mal ficelé. Entre les deus ex machina et les gamineries, en passant par une absence de bonnes émotions, ce premier tome ne m’a tiré que des soupirs !



Ici, les deux ex machina sont donné par le dieu des hasards et des bonnes répliques. Le premier, Gaston et Elise sont sous une voiture allemande avec les nazis devant, surveillant un pont. Deux nazis et une voiture sur un pont. Ils arrivent à se faufiler sous la voiture après qu’ils aient marché sur une brindille. Les nazis se retourne – POP – les enfants sont derrière/sous la voiture ! Alors que sur l’image, la voiture est à une certaine distance des enfants et juste à côté des nazis ! Comment c’est possible qu’ils n’aient rien vu ?! Ils sont aveugles, ces ennemis… Comment ils ont gagné la guerre ? Elise se cogne contre la voiture quand elle est en-dessous avec Gaston. Un nazi se couche directement – ET HOP – les enfants courent dans une rue plus loin… Ils ont inventé la téléportation en fait.

Et il en existe quelques uns comme ça. La fenêtre s’ouvre brusquement dans un bureau fermé avec deux hauts dignitaires allemands – C’est le vent ! Deux enfants chutent d’un balcon – C’est un chat ! Ils se disputent sous la fameuse fenêtre ouverte – certes, il pleut – mais des voix qui se disputent, s’entendent quand même ? Non, en plus d’être aveugles, ils sont sourds… Comment ils ont gagné la guerre ?!





Pour les attitudes, j’ai un exemple parfait. Edmond manque de tomber d’un train en marche. Il est rattrapé par Gaston. Ils se remettent dans le wagon et ils se lancent deux répliques sur la possible mort de Edmond et puis on passe à autre chose. C’est vrai qu’un enfant à peine sorti de la primaire reste impassible face à sa propre mort. Aucune larme, une peur légère. C’est l’occupation en France, d’accord, mais les personnages restent des humains, de surcroît des enfants !



Les dessins sont un peu trop adultes pour un public jeunesse comme tend à l’être cette BD. Mais ils restent compatibles avec le sujet abordé.
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1940. La France est sous l'Occupation. Dans un petit village normand, adultes comme enfants doivent apprendre à vivre aux côtés de l'ennemi pendant que s'organise la Résistance. Gaston et sa petite bande sont décidés à défendre leur pays. Mais comment agir lorsque l'on n'a que 12 ans ? Gaston va être aidé aussi par son grand-frère résistant.

Ce 1er tome est distrayant et permet de voir l'imagination de ce quatuor de gamins, un brin aventureux . Il nous replonge dans le contexte de la 2è guerre mondiale, de la Résistance , des dénonciations et autres phénomènes de l'époque.

Pour avoir lu Les enfants de la Résistance avant, je leur trouve beaucoup de similitudes et donc je reste avec un arrière gout de déjà vu...

J'adore cette période, ainsi j'ai pris plaisir à lire ce tome dont les dessins sont très bien réalisés mais je n'irais pas lire les tomes suivants.

Ce premier album de cette saga destinée aux plus jeunes historiens, se déroule durant la deuxième guerre mondiale. Un groupe d’adolescents vont se prendre au jeu de la résistance et tenter de participer non pas de sauver des vies, mais de sauver des oeuvres d’art spolier par les nazis.



Le récit est lent, pauvre, et mis à part quelques notions historiques intéressantes, il reste juste une histoire basique sans intérêt. Les rebondissements sont fragiles et trop prévisibles. L’histoire linéaire n’est pas passionnante malheureusement.



Graphiquement, c’est correct. Très adapté au public avec des visages qui manquent d’expression, mais l’ensemble reste malgré tout très bien travaillé.



Ce premier album est très décevant.
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Merci aux Editions Jungle et à NetGalley pour cette lecture !



Durant l'été 1939, un conservateur français du Louvres décide de cacher des tableaux face à la menace grandissante de l'Allemagne. Un an plus tard, le Reich a décidé de s'approprier toute la culture artistique présente en France, quitte à se saboter entre eux pour parvenir à leur fin.

Une bande de quatre enfants découvrent cela et s'apprêtent à rejoindre la résistance pour sauver l'art français.



Cette bande dessinée très riche satisfera beaucoup tant par son approfondissement historique qu'à ses dessins riches et colorés. Sur un fond enfantin, le scénario aborde une réalité difficile de la 2nd Guerre Mondiale quand les responsables d'autorité allemande se servaient dans les richesses de la France (mais aussi des autres pays). Nous suivons 4 enfants débrouillards et qui ont décidé d'être résistants face à l'occupation de leur petit village mais aussi d'une grande partie de la France.

L'histoire nous plonge dans une France qui tremble, une France qui veut résister et qui commence à s'organiser. Nous rencontrons plusieurs personnages réels tels que Jacques Jaujard et Rose Valland.

Un excellent moment de culture historique en même temps qu'un excellent temps de lecture !

Quelle déception ! Ayant lu et apprécié "La Guerre des Lulus" et "Les Godillots", j'espérais bcp de cette série. Elle est franchement mauvaise à mon sens : les clichés s'accumulent, les protagonistes sont vus, revus et archi-revus (= le beau gosse, la jolie fille pour qui le BG a le béguin, le grassouillet et l'intello) et le scénario ne tient pas la route (ex. : les Allemands parlent français entre eux, ce qui permet à nos jeunes héros de comprendre tout ce qu'ils racontent !). Bref, je vais plutôt relire "Les Lulus", découvrir les "Enfants de la résistance" et continuer ma lecture des "Godillots" !

Ce deuxième tome est plus intéressant. Les trois garçons montent à Paris et découvrent un nouveau réseau de Résistance, les étudiants.

Nos trois jeunes héros vont permettre de sauver un otage mais tout ne se passera pas comme prévu.



Un tome sur l'héroïsme, le courage, la survie.

Le réseau papillon est une belle découverte de BD historique dans la veine des Enfants de la résistance.



Ce premier tome intitulé « Aux arts, citoyens ! » évoque la tentative des allemands et plus particulièrement du Reichmarschall Göring de faire main basse sur les plus belles œuvres d’art des musées français. On y croise des personnages historiques, comme Jacques Jaujard et Rose Valland, respectivement sous-directeur des Musées nationaux et attachée bénévole au Musée du Jeu de Paume. L’atmosphère des réseaux de résistance, la tension liée au danger que cela représente et le choix d’enfants comme héros permettent de faire comprendre aux écoliers et aux collégiens la difficulté de cette terrible période.



Enfin, la présence du « carnet papillon », un mini-cahier pédagogique, permet au lecteur de découvrir plus précisément les événements évoqués dans l’album.



Une BD à mettre entre toutes les mains.