AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Frank Klarczyk (40)


"L'homme inspira une ultime bouffée de nicotine. Il éteignit son mégot sur le rebord d'une poubelle publique avant de l'y jeter. Il ramassa son cartable et se dirigea d'un pas déterminé vers le lycée. Vers son destin".
Commenter  J’apprécie          430
Blanche Neige ne ressortira pas du bois cette fois.
Commenter  J’apprécie          120
De quelle monstruosité pourrait encore accoucher cette ville plongée dans un désordre grandissant ?
Commenter  J’apprécie          80
La langue française est une femme. Et cette femme est si belle, si fière, si modeste, si hardie, touchante, voluptueuse, chaste, noble, familière, folle, sage, qu'on l'aime de toute son âme, et qu'on n'est jamais tenté de lui être infidèle...
Commenter  J’apprécie          40
Frank Klarczyk
« Si mes histoires s’inspirent de mon expérience de policier et collent
à la réalité, elles flirtent toujours avec la fiction, parfois avec le fantastique. J’aime écrire sur le fil du rasoir, sachant qu’à tout moment
dans la vie, tout peut basculer, saigner ou, pour le moins, surprendre.
Commenter  J’apprécie          30
La premiere pensée qui vient à l’esprit du jeune policier est pour " Cujo" , le Saint Bernard enragé décrit dans le roman éponyme de Stephen King.
Commenter  J’apprécie          30
Vingt minutes plus tard, l’accident était géré. Les pompiers avaient évacué la blessée vers le centre hospitalier et le camion du garagiste était reparti, chargé des deux épaves. La pluie continuait de tomber. Les policiers réintégrèrent l’abri de leur véhicule.
— Quel temps d’brun! lança Adamczyk en refermant sa portière.
Commenter  J’apprécie          20
Un grognement grave roule tout près. Angélique émerge de son sommeil. Nue sous le drap blanc, elle ouvre les yeux. Black, le chien de Marcini, se dresse au–dessus d'elle. Les crocs saillants, il écume. Les oreilles tendues vers l'arrière, ses yeux rouges sang la transpercent. Soudain, Gabriel, nu lui aussi, se jette sur elle. Ses canines arrachent la carotide de l'infirmière d'une morsure animale ! Le lieutenant se réveille en sursaut. Le visage en sueur, il sent le corps chaud d'Angélique contre le sien. La tête posée au creux de son épaule, elle s'éveille à son tour et lève ses yeux azur vers Gabriel.
Commenter  J’apprécie          20
L'écho du coup de feu finissait à peine de résonner entre les murs du lycée que la sonnerie de fin de cours retentit.
Commenter  J’apprécie          20
Depuis les hauteurs du hameau de Virevialle, Tulle se dessine dans la nuit en une palette de lignes et de points lumineux ondulants sr le spectre pâle des jaunes-oranges.
Commenter  J’apprécie          20
En pénétrant dans la salle, certains remarquèrent, sans vraiment y prêter attention, la phrase inscrite en noir sur le tableau blanc : vous qui entrez, renoncez à l’Espérance !
Commenter  J’apprécie          10
— Prenez un livre. Quand vous parcourez ses lignes,
que vous vous en imprégnez, s’opère alors une connexion
entre vous et l’auteur. Une connexion privilégiée qui
s’offre à votre esprit et vous éclaire. C’est là que vous
accédez à une véritable ouverture sur le monde… C’est
la magie des lettres.
Commenter  J’apprécie          10
Le ton utilisé eut pour effet de glacer le sang des
lycéens.
Commenter  J’apprécie          10
— D’aucuns diront que cette mise à mal est inévitable et que, par voie de conséquence, j’en fais trop.
Monsieur Georges Lapierre !
Cette exclamation soudaine fit sursauter certains
élèves et sortir de leur léthargie plusieurs autres.
— Oui, monsieur ? fit Gio-Gio, saisi dans sa conversation à voix basse.
L’enseignant continua avec calme, un ton plus bas :
— Je vous saurai gré de bien vouloir garder le silence
lorsque c’est moi qui parle.
Tout en levant timidement la main, Tristan osa la
répartie :
— C’est juste qu’on s’étonnait que vous ayez fermé
les verrous de la porte, monsieur.
Quelque peu contrarié, Bernard garda néanmoins sa
sérénité relative et répondit :
— Je vous rappelle que c’est moi le maître ici et que
je dispense mon cours tel que je l’entends.
— Mais c’est…
— Il suffit ! Dernier avertissement, monsieur Marzak !
Commenter  J’apprécie          10
— Malheureusement, c’est une langue mutilée qui subit, jour après jour, les agressions de la modernisation et souffre du laisser-aller de chacun. Stendhal, Balzac, Hugo, Zola, Maupassant… Tous les grands auteurs iraient immédiatement se pendre s’ils passaient ne serait ce qu’une heure dans une classe comme la vôtre !
Commenter  J’apprécie          10
— La langue française est une femme. Et cette
femme est si belle, si fière, si modeste, si hardie, touchante, voluptueuse, chaste, noble, familière, folle, sage, qu’on l’aime de toute son âme, et qu’on n’est jamais
tenté de lui être infidèle… Telle est notre langue définie
par Anatole France. Je n’ai de cesse de vous le répéter, à
vous tous : la langue française est une langue riche, à la
fois belle et complexe, curieuse et structurée, vivante et
évolutive. Elle est tout aussi nuancée que passionnante.
Commenter  J’apprécie          10
Une crainte indéfinissable sourdait des murs de sa salle.
Et cette appréhension se transmettait à chaque génération
de lycéens, d’une année scolaire à la suivante. Comme
une légende.
Commenter  J’apprécie          10
Bernard tenta bien de garder le contact, mais il dut se rendre à l’évidence : son garçon n’en avait aucune envie. Il avait coupé les ponts. Le professeur en vint à se demander si son fils, si brillant dans ses études, ne l’était pas dans l’unique but de quitter le domicile familial au plus vite. Perspective mise en exergue lorsque Mme Bernard lui annonça qu’elle voulait reprendre
son nom de jeune fille, Clabert, avant de mettre les voiles.
Comme si elle n’attendait que le départ de son oisillon
pour quitter le nid à son tour.
Commenter  J’apprécie          10
Bernard était d’un naturel taciturne, comme si rien ne
venait égayer sa vie. Devenu père inopinément dès l’âge de vingt ans, il s’était marié avec la mère de son enfant. Mais jamais il ne réussit à fonder un véritable foyer au sens propre du terme. Les relations affectives n’étaient pas inscrites dans ses gènes, ni dans son programme éducatif.
Résultat, son fils, plutôt intelligent, sur qui il misait beaucoup autant qu’il mettait la pression, obtint son bac dès dix-sept ans et prit la voie de l’enseignement comme lui, mais dans une autre région.
Commenter  J’apprécie          10
— Il veut peut-être nous la jouer façon Saw…, argumenta Fred avec ironie, ce qui arracha un sourire mitigé
à Georges – Gio-Gio, comme l’appelaient ses amis.
— C’est vrai que c’est pas normal, continua Tristan,
le voisin de Fred. Je sais même pas si c’est légal, ça.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Frank Klarczyk (131)Voir plus

Quiz Voir plus

Candide

Où se situe le château du baron au début de l'histoire ?

En Normandie
En Angleterre
Aux Pays-Bas
En Westphalie

12 questions
3448 lecteurs ont répondu
Thème : Candide de VoltaireCréer un quiz sur cet auteur

{* *}