Juste se distraire pendant 2 heures.
Commenter  J’apprécie         00
Malheureusement, je me suis quand même ennuyé lors de l'écoute de ce livre (en livre audio, donc...). Les personnages sont un peu trop curieux, à l'esprit un peu trop torturé, et difficile de s'y identifier ...
Décevant donc, par rapport à mes précédentes expériences de lectures de cet auteure.
Commenter  J’apprécie         111
Un de ses premiers romans de Fred Vargas, où le talent de la romancière est déjà bien visible, ainsi que son goût pour les personnages fantasques, atypiques, hors norme. Ici 3 étudiants français poursuivant leurs études à Rome ont choisi de s'affubler de noms d'empereurs romains : Claude, Tibère, Néron. Ils sont mêlés à une histoire de vol de dessins originaux au sein de la bibliothèque vaticane à moins qu'il ne s'agisse d'autre chose. Les pistes de l'enquêteur Richard Valence (une sorte de brouillon d'Adamsberg) vont l'amener à retrouver son propre passé, au risque de se perdre ... Ce roman policier n'est sans doute pas aussi abouti que "Pars vite et reviens tard" mais il se lit néanmoins avec beaucoup de plaisir.
Commenter  J’apprécie         30
J'ai découvert Fred Vargas il y a peu avec "Sous les vents de Neptune". Une révélation. J'avais adoré. J'étais tombée sous le charme de l'écriture incisive et drôle de cette auteure et de son personnage le commissaire Adamsberg. C'est donc avec grand plaisir que j'ai commandé à ma libraire le 1er ouvrage de Vargas. Là.... grosse déception. Je n'ai pas du tout retrouvé le ton, l'humour, le rythme du roman qui m'avait tant séduit. Les personnages ne m'ont pas du tout accroché. Je les ai trouvé surfaits, superficiels, agaçants. Quant à l'agent Richard Valente......pff!
Commenter  J’apprécie         10
L'apparition d'un dessin de Michel-Ange chez un grand expert parisien est suffisamment rare pour que l'on soupçonne qu'il s'agisse d'une oeuvre volée, probablement à la Bibliothèque vaticane, dans ce cas précis.
En déplacement dans la capitale italienne pour, on le suppose, élucider le mystère, l'expert est assassiné pendant une fête devant le palais Farnese. Lors de l'enquête, un mystérieux évêque, un triumvirat d'étudiants, rebaptisés de noms d'empereurs romains, mais aussi une femme fatale et sa fille naturelle vont s'ingénier à brouiller les pistes. Une attitude qui, tour à tour, va attirer sur eux les soupçons d'un policier italien pas très malin et ceux d'un Français pas si perspicace...
Ce troisième roman de Fred Vargas a déjà en gestation les qualités des oeuvres qui ont fait sa célébrité : humour, personnages peu conventionnels qui donnent corps à une intrigue bien construite, et ambiance singulière. Ici j'ai aimé l'atmosphère romaine qui, irrésistiblement, rappelle celle de la Dolce Vita de Fellini. À ne lire rien que pour ça, et pour le reste.
Commenter  J’apprécie         710
Un Fred Vargas se lit toujours agréablement. Celui-ci qui se passe à Rome avec entre autres, trois jeunes gens se faisant appeler du nom de trois empereurs romains Claude (c’est son vrai nom) Tibère et Néron, un évêque aux idées larges, une enfant cachée, une très troublante femme, la Vaticane (entendez la Bibliothèque), un trafic d'œuvres d’art, sans compter l'enquêteur solide comme un roc, ah et n’oublions pas un empoisonnement à la cigüe, avait un côté un érudit et suranné qui avait tout pour me plaire.
Challenge ABC 2017-2018
Commenter  J’apprécie         250
Un dessin de Michel-Ange et trois étudiants aux surnoms d'empereurs pour un roman policer court et efficace de Fred Vargas.
Commenter  J’apprécie         30
Une très bonne histoire avec des personnages incroyables et tres droles
Commenter  J’apprécie         10
L'un de mes auteurs de polars préférés !
Commenter  J’apprécie         20
J'ai eu beaucoup de difficultés au début, un peu moins par la suite. Je suis restée distante des personnages et le/la coupable ne m'a pas surpris. Je crois aussi que le choix de l'auteur de donner des surnoms tels que Néron a créé une plus grande distance pour moi. Avec ce récit, ça n'a pas pris avec moi.
Commenter  J’apprécie         24
Original. Superbement construit. Plein de surprises et de découvertes. Un très bon polar romain des temps modernes.
Commenter  J’apprécie         10
Pas mal, sans plus.
L'intrigue tient en haleine et il y a du rebondissement dans l'enquête mais le manque de psychologie, certaines digressions (ou du moins des passages mal amenés) et l'absence d'ambiance se font sentir.
Un roman policier comme il y en a tant et dont la recette a fait ses preuves mais qui agace aussi par son caractère répétitif. Un premier meurtre a lieu qui ouvre une enquête où il faut recueillir les témoignages, établir la liste des suspects, récolter des indices...avant l'annonce d'un second meurtre. Le premier rôle donné à un flic, un peu tourmenté mais pas plus que cela ici. Ca sonne comme du déjà vu. Particularité quand même : l'action se passe à Rome où il y a 3 perso qui jouent les empereurs et une affaire de vol d'œuvre dans la Bibliothèque du Vatican.
Niveau intrigue, c'est correct, un peu confus tout de même. 2 pistes sérieuses sont envisagées : l'une qui a trait avec une affaire de vol, d'escroquerie, l'autre qui se rapporte à un drame familial et conjugal. On hésite tout comme le flic qui commence par la première, poursuit avec la seconde puis revient à ses première idées au fur et à mesure que les nouvelles info tombent. Mais je regrette qu'un élément, présenté pourtant comme un ressort dynamique de l'intrigue n'ait pas été réintégré dans le dénouement : le rôle du Doryphore, ce gang dont en plus on ne nous explique pas vraiment la nature de ses activités...
Niveau psychologie, il y a une galerie de personnages variée. Laura, la femme belle dont tous tombent amoureux, le trio de ses amis empereurs qui, quoique différents, sont très complices, un évêque mystérieux, deux autres femmes secondaires et bien sur des flics avec Ruggieri et Valence. Reste que même si ce dernier joue un rôle plus important, les portraits m'ont donné l'impression d'être survolés. Il est vrai que l'allusion aux origines sociales de certains perso donne une touche émouvante à cette histoire, seulement ce n'est pas assez approfondie (notamment sur les perso de Tibère et Néron). J'ajouterais que le portrait de l'évêque ne me paraît pas crédible, pas assez réaliste (du-moins à la fin) et la coïncidence des retrouvailles du flic avec son ex, franchement improbable. J'avoue toutefois que le face à face tendue entre lui et Laura valait le détour, rondement mené, entre deux perso qui ont quand même du caractère ; leur liaison est assez surprenante et romantique.
Enfin autre point dérangeant mais aussi très fréquent aujourd'hui : pas de description. La bibliothèque du Vatican a beau être un des décors principaux du roman, l'auteure nous plonge à peine dans son atmosphère. Autant certains auteurs comme Tolkien par exemple, nous donne l'impression de faire de la surenchère dans la peinture des lieux, autant d'autres le négligent complètement. Il est vrai qu'un romancier qui se propose de créer un monde, une civilisation, ne peut que passer du temps dans les descriptions, alors que les auteurs qui font dans le thriller, eux, n'ont pas vraiment besoin de se pencher sur cet aspect pour développer leur intrigue. Mais je trouve qu'il y en a trop qui passent outre l'esthétique du cadre aujourd'hui et que Fred Vargas dans ce roman (car j'avoue ne pas en avoir lu d'autres) en est un exemple.
Bref, une histoire qui se lit facilement, fait passer un bon moment, sans autre prétention, je pense car trop superficielle.
Commenter  J’apprécie         110
Ni l'équipe de Danglard ni Louis n'officient dans cette intrigue épiscopale. Richard Valence avait bien deviné que Michel-Ange n'était pour rien dans ces deux meurtres romains. Mais qui croyait prendre est bien pris. Et les trois amis qui se prennent pour trois empereurs, ne nous ménagent pas, surtout Tibère, le va-nu-pied. Et Valence qui retrouve un amour d'il y a 20 ans se voit le condamner.
Une fois encore, nous voilà menés par le bout du nez par ce dessin qui nous entraîne de Paris à Rome. Et même si au début le mot "découverte" m'a titillée, l'histoire nous tient en haleine jusqu'au déroulement. Et pourtant quelques détails nous font penser...mais non...l'église ? Pouah...pas possible....
Ah le jour où j'ai découvert Fred Vargas, j'aurais mieux fait de passer mon chemin...
Vite...vite...j'attaque le prochain.
Commenter  J’apprécie         40
Henri Valhubert est retrouvé assassiné à Rome, un soir de fête, au milieu de la foule. celui-ci était venu a Rome suite à l'apparition d'un dessin de Michel-Ange sur le marché. Cet expert parisien pense aussitôt que ce dessin provient probablement du Vatican et qu'un personne se sert dans les archives papales.
Très rapidement, les soupçons se portent sur son fils et ses amis, Claude, Néron et Tibère. Ces trois étudiants entretiennent une relation amicale très particulière et sont aussi très liés à la veuve Valhubert.
L'inspecteur Valence est envoyé pour enquêter sur cette affaire. Tous les ingrédients sont réunis. Au début, le triumvirat d'étudiants apporte un peu d'intérêt au texte mais très vite leur relation devient lassante.
Tout est très lisse, les personnages ne sont finalement pas si intéressants que ça. L'histoire n'a rien de vraiment surprenante sans être complètement déplaisante. En bref, ce roman passe le temps
Commenter  J’apprécie         10
je n'ai pas aimé, beaucoup de dialogues, j'ai abandonné après quelques pages, alors que je suis un fan d'Adamsberg
Commenter  J’apprécie         10
Mon premier Vargas et certainement mon préféré. Un roman noir, bien sombre dont on ne se lasse pas de tourner les pages pour quémander la suite !
Commenter  J’apprécie         10
Honnêtement, j'ai pas tellement aimé... Une histoire vraiment improbable ou je n'ai jamais pu rentrer dans l'histoire...
A mon sens le moins bon de VARGAS.
Commenter  J’apprécie         20