Frédéric Rébéna

Bonjour les lecteurs ...

Le dimanche, on diminue la Pal de BD

J'ai découvert l'univers de Sagan avec " Bonjour tristesse", lors de mon adolescence, c'est avec plaisir que j'ai lu la version graphique.

On ne raconte plus " Bonjour tristesse " .. en deux mots : Cécile passe l'été de ses 17 ans avec son père veuf et la maitresse de celui-ci, dans une villa au bord de mer.

Cécile et son père ont une relation très fusionnelle et cette relation risque de voler en éclat quand arrive Anne, une amie du père de Cécile , une femme différente ...

Cécile va tout faire pour éloigner Anne...

Une belle réussite que ce roman graphique au dessin clair , il redonnerait peut-être envie de relire le livre ainsi que d'autre écrits de Madame Sagan.

Une adaptation qui vaut le détou

Magnifique évocation dessinée du roman Bonjour Tristesse.

Frédéric Rébéna nous transporte et nous fait nous replonger sans nostalgie à l'orée de la jeunesse de Cécile, grâce à son trait incisif.

Ce roman graphique adapté du livre est vif et rapide avec des couleurs tranchantes, comme la volonté de Cécile.

Je connais le livre et le film et ce roman graphique ajoute à mon plaisir de voir et d'imaginer les personnages crées par Françoise Sagan!

N’ayant pas lu le roman original, j’ai tout de même souhaité découvrir ce classique de la littérature française par le biais de son adaptation en bande dessinée. Nous faisons la connaissance de Cécile, jeune fille en vacances avec son père dans une somptueuse maison. Elle profite des bains de soleil et du temps qui semble s’étirer. Très vite, un tableau bien sombre commence à se dessiner : un père volage, une Cécile nourrissant un amour inconditionnel pour ce dernier, un triangle amoureux. L’ambiance de vacances va rapidement se dégrader et finir en affrontement où tous les coups sont permis autour de la figure masculine. Les conséquences vont s’avérer désastreuses…



Les traits sont assez bruts et les expressions des personnages pincées. Habituellement, je ne suis pas une adepte de ce genre de dessin mais je dois avouer qu’il sert très bien ce récit en particulier. Il exprime toutes la tension, la cruauté et le malaise que contient l’histoire de Françoise Sagan. La chute est annoncée dès les premières pages. Ceci ne donne que plus de force à l’ensemble. Le lecteur est témoin de la descente aux enfers des personnages, de ce presque huis clos et de cet été qui tourne au vinaigre. Cécile est une héroïne assez ambigue tout comme les deux autres femmes, Anne et Elsa. Elles portent toutes les trois une espèce de froideur que seul le drame vient fissurer.



Comme vous l’aurez compris en lisant mon article, j’ai aimé cette bande dessinée. Le dessin de Frédéric Rébéna est à l’image de l’histoire de Françoise Sagan. J’ai vécu une expérience hors du commune avec ce quatuor pour le moins singulier.
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N'étant pas fan des romans de Françoise SAGAN et des BD non plus, j'appréhendais un peu cette lecture. Mais finalement, j'ai été agréablement surprise. Le côté bref de la BD m'a évité l'ennui en se focalisant sur les éléments essentiels de l'histoire. Bref, j'ai lu ce titre en à peine une heure et ça m'a largement suffi pour passer à ma prochaine lecture.

Alfie est en vacances chez sa grand-mère à la campagne. Le temps lui paraît tellement long !

Un matin, en allant chercher le courrier, elle découvre une enveloppe sans adresse ni timbre. Cette enveloppe contient un message concernant Barnabé, le chat de mémé, qui a mystérieusement disparu...Alfie va mener l'enquête.



Histoire lue à l'instant à mon fils qui a aimé suivre les étapes de l'enquête. Il a vite deviné l'identité d'y ravisseur et les raisons de ce kidnapping de chat mais c'est une histoire plaisante sur laquelle on peut débattre ensemble.

Roman jeune public accessible à partir de 7-8 ans, ce livre met à l'honneur la relation enfants grand-parents.

En effet, la jeune Alfreda passe ses vacances chez sa grand-mère. Cette dernière va echaffauder un plan astucieux pour contrer son ennui annoncé de fille unique.

La tactique de la mémé va fonctionner au delà des espérances, pour le plus grand plaisir d'Alfreda et du lecteur, grand ou petit !

Je continue ma découverte des classiques via la BD. Encore que je n ai pas lu en roman.

Cécile, toute jeune femme, à perdue sa mère, vit avec son père qui cumule de nombreuses liaisons amoureuses. Cécile quand à elle débute, commence à découvrir ses désirs et sentiments. S en suit un été qui viendra tout chambouler. Le père de Cécile invite une amie en plus de sa maîtresse . Nous allons alors assister à une sorte de triangle amoureux qui va subir toutes les épreuves.

Un livre avec plein d'énigmes logiques, d'un niveau de difficulté varié et portant toutes sur l'univers d'Arsène Lupin. Ce livre m'a donné envie de me replonger dans les romans de Maurice Leblanc et m'a fait passer d'agréables moments en famille autour de la résolution d'énigmes.

Une très jolie BD, reflet d'un livre que je n'ai pas lu.

L'histoire mais aussi les dessins m'ont beaucoup plu.

Le format et la longueur sont super. Cela rend la lecture vraiment agréable.

J'aurais peut être apprécié un peu plus de texte afin de faire languir le plaisir ..

Merci pour ce beau moment.

J'aurais aimé relire le roman avant de lire la BD, histoire de me rafraîchir la mémoire sur l'histoire et pouvoir faire une comparaison efficace. Mais faute de temps, j'ai commencé par la BD !



Je gardais l'impression d'une héroïne désabusée, un peu détachée. Je l'ai retrouvée dans le roman graphique. Cécile est une ado sur laquelle on a l'impression que tout glisse. Que rien n'est grave. Sa seule préoccupation est de garder l'attention de son père pour elle. Chose qui n'est pas aisée quand on a face à soi un homme volage.



Cécile doit donc partager son père avec Elsa, actrice sensuelle, amante de passage. Et Anne Larsen, aussi froide et stricte qu'Elsa est douce et naïve. S'ensuit alors un triangle entre ces trois femmes, une montée des tensions jusqu'à un point de non retour.



Je sais que c'est une adaptation. Le récit de Frédéric Rébéna n'est donc pas le même que celui de Françoise Sagan. Lire ce roman graphique m'a donné encore plus envie de redécouvrir ce classique de la littérature française qu'est Bonjour Tristesse.



En ce qui concerne les dessins, j'ai bien aimé le trait des dessins. Les couleurs chaudes nous font vivre pleinement la chaleur de cet été en bord de mer.
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Je l'avoue honteusement (ou pas d'ailleurs), le roman Bonjour tristesse m'avait profondément barbée. J'ai voulu voir si la version BD passait mieux et effectivement, j'ai trouvé le résultat plus digeste. Le traitement de l'histoire est intéressant et assez fidèle malgré tout (de ce que je me souviens du roman). Je trouve le résultat plutôt réussi.

(NG971) Délicieux moment de lecture. Une adaptation très moderne du texte de Sagan mais non pour le Prix... ou alors si on travaille conjointement le roman, l'adaptation cinématographique et l'album.

(BMA971) Non pour le prix

Etrange contact avec la sexualité qui est offert à cette femme en devenir. Lu d’une traite… une invitation à (re)découvrir le roman de Sagan.
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Une bande dessinée. C’est rare, mais avouez que le titre est tentant, surtout quand on adore les livres. Un livre prit sur un coup de tête, au hasard, sur une étagère. Donc, je ne connaissais donc pas la trame de l’histoire. Finalement, il s’agit de l’histoire de la création des Éditions Robert Laffont. Bien que très intéressante, j’ai rapidement décroché puisque j’avais l’impression de lire toujours la même chose : création de telle collection, publication de tel, tel et tel livre, etc. Je l’ai quand même terminé, mais je crois que cette histoire aurait mérité un livre en soi, et non pas une bande dessinée qui ne rend pas tout à fait justice à l’œuvre de l’homme.
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L’histoire : Léo croise un sans abri et prend peur. Pourtant, l’homme ne lui voulait aucun mal.



Notre avis : Honnêtement, vu le thème, cette histoire nous donnait envie de partir en courant. Les clichés allaient regorger à chaque page et l’intérêt serait moindre. Mais nous nous sommes laissé tenter. Certes, les clichés sont bien là. Difficile de s’en sortir. Mais les auteurs relèvent bien le défi et, finalement, ils s’en sortent très bien. Avouons-le, l’émotion nous a même gagnés. Une bonne surprise donc.

Bilan : un récit touchant et réussi.
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Préface de Beigbeder, c'est déjà rebutant. Quoi qu'il en soit, un travail d'adaptation à souligner, bien que je ne sois pas spécialement fan du style de dessin.



Pour ce qui est de l'histoire de Sagan, je ne sais pas si c'est le cas dans le roman mais ici, il y a constamment une impression d'inceste émotionnel entre Cécile et son père très dérangeante.



Sinon, c'est globalement une bonne démonstration de pourquoi les gosses de bourges devraient travailler l'été. (Ça vaut plus pour la protagoniste que pour Sagan).

Les ouvrages présentant des biographies de femmes et d'hommes célèbres se multiplient, mais celui-ci se démarque pour plusieurs raisons que je vais vous lister, à défaut de pouvoir "résumer" ce documentaire.



Au niveau de la forme, tout d'abord, il est très riche du fait du grand nombre de personnages présentés. Plusieurs artistes se sont prêtés au jeu de l'illustration des ces biographies, ce qui est un gros atout en termes d'esthétique.



Concernant le fond, il est essentiel de souligner l'immense diversité des profils présentés. Hommes et femmes célèbres, ou héros (presque) anonymes, du passé ou du présent, on découvre avec une curiosité grandissante au fil des pages des destins et des engagements qui forcent l'admiration et nourrissent l'inspiration. La ténacité, le dévouement, l'implication sont autant de qualités qui doivent être cultivée. Et voir leur répercution dans la vie des autres, la force et l'amplitude que peuvent prendre certaines actions qui semblent "petites" au départ, est une réelle motivation et peut semer des graines prometteuse parmi la jeune génération de citoyens du monde.



Cet ouvrage est une très bonne idée de cadeau de Noël pour les enfants dès 8-10 ans, mais il plaira et intéressera à mon sens même les plus grands.
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Décue par cette BD adaptée du roman de F. SAGAN. Le graphisme n'a aucun charme, les dessins sans relief, les couleurs ternes.

Voici une adaptation toute en tragédie du roman de Sagan. Frédéric Rébéna mêle la délicatesse de l’été, la langueur de la chaleur et la cruauté de Cécile. En accentuant l’inactivité des personnages, il approfondit la force psychologique des amours, dans leur réussite et leur échec. C’est donc tout un jeu de massacre mené avec innocence. Dans cette adaptation, on retrouve toute l’habileté de Françoise Sagan. A cela s’ajoute toute la finesse du dessin, surtout pour les visages et les corps. Les premiers sont face à nous, couverts de larmes ou dissimulant une idée féroce. Ils disparaissent parfois, tout comme ces corps. Dès que deux personnages sont ensemble, Frédéric Rébéna semble mettre en scène des ballets, une fluidité même dans les gestes les plus maladroits. Il n’hésite pas à jouer avec les formes, à faire s’évanouir ces personnages rongés par de nombreux défauts. C’est toute la question de leur âme qui est au coeur de cette BD. La fin terrible de l’histoire est remise en cause à chaque instant. La prise de conscience d’un personnage pourrait les sauver. Tout devient alors en suspens.
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Une BD agréable qui m'a permis de redécouvrir Sagan et de me réconcilier avec son oeuvre !

Les dessins sont très beaux et l'univers du texte est bien retranscrit. Un bel objet dont je recommande la lecture