Gaëlle Nohant

Une mauvaise sensation, tout le long de ma lecture, d’un livre commercial. Une jeune américaine débarque à Paris après avoir quitté son mari et abandonné son fils mais pas son appareil photo avec lequel elle flashe les gens dans la rue façon Doisneau. Elle se fait aider par des gens du peuple et rencontre un compatriote dont elle tombe amoureuse. On y trouve dans le panier garni les émeutes de Chicago, la ségrégation, le jazz, la prostitution, une tentative d’assassinat, l’adultère, l’amour, les hippies, les festivals, la guerre, l’exil, etc. Écrire pour écrire. Une rédaction à rendre ? qui bien sûr fini bien.

Je n ai pas grand chose à ajouter à ce grand résumé de présentation.

C'est un bon roman que j'ai eu plaisir à découvrir .

Pas trop long facile à lire sur fond historique comme je l ai apprécie

J'ai voyagé de l'Amérique à Patis.

J'ai eu envie ce partir visiter Paris avec mon livre sous le bras (surtout aujourd hui il fait froid)

Cette femme pleine d'énergie prend des décisions va de l avant j ai bien aimé sa façon de réagir.

J'ai beaucoup aussi ce monde la photo que je connais pas.

Une lecture agréable qui m'a fait passer un bon moment.

J'avais beaucoup aimé de cet auteur : La part des flammes et pas accroché du tout sur la légende d'un dormeur éveillé. Et là, hop, formidable !

Une femme qui fuit l'Amérique, Chicago, sa famille, son fils adoré, pour venir en France, dans les années 50, celle de St Germain des Près, de Boris Vian. Elle vient avec un appareil photo, la peur au ventre et un secret.

Au fur et à mesure de ses rencontres avec une prostituée, avec un ancien soldat, celle qui était Eliza et qui est devenue Violet, se révèle comme la photo dans le bac du photographe. Un très beau roman.

Une belle découverte. Gaëlle Nohanr nous entraîne avec cette écriture ciselée et vivante. J’ai adoré partager la vie tumultueuse de cette femme incroyable. Formidable et poétique, c’est aussi une belle manière d’appréhender des moments clés de l’histoire, entre l’Europe des artistes et de l’émancipation et les États-Unis de l’après-guerre.

Derrière l'objectif de son appareil photo: une femme qui apprivoise sa liberté. Son regard sur l'Histoire d'après guerre sur les deux continents est incroyablement tranchant et les péripéties de sa vie recèlent assez de mystères pour nous emporter! Un roman passionnant.

Ce roman est très facile à lire et très prenant. Je l'ai lu en deux soirées. L'héroïne reste en retrait mais est attachante avec ses contradictions. Elle traverse de nombreux événements avec le recul de son appareil photo. C'est peut-être aussi pour ça qu'elle semble toujours en retrait, tout passe par ses photos. Par contre, le retour à Chicago, je l'ai trouvé long et "compliqué" car je ne connais pas la politique américaine et les différents mouvements de l'époque. Cela reste un beau portrait de femme et une belle rétrospective de l'époque.

Un livre surprenant qui mèle l'Histoire, l'amour, le jazz, la photographie (d'une manière extrêmement pertinente), la vie parisienne à une époque très particulière (l'après-guerre)...bref un vrai voyage littéraire servi par une écriture limpide et très agréable.

C'est agréable, cela se lit facilement, c'est fluide et émouvant; ce roman nous plonge dans l'Amérique des années 50, mais aussi dans mauvais coins de Paris, la Paris by night.Bref un roman que j'ai aimé , même si l description des troubles à Chicago ma un peu lassé à la fin de l'ouvrage. L'auteure à également ajouté un peu de suspens qui ne gâte en rien l'ensemble.

L'intrigue de ce livre est la raison pour laquelle une femme quitte mari et enfant à Chicago et part vivre à Paris accrochée à son appareil photo

L'action se déroule après la guerre 39-45 jusqu'à la fin des années 60

Le livre va se diriger vers un thème que je n'attendais pas

L'auteure a entremêlé la vie de l'héroïne avec des faits historiques

J'ai lu ce livre avec beaucoup d'émotions diverses

Bon moment de lecture

L'histoire d'une américaine de Chicago qui fuit son mari et se réfugie à Paris dans les années 1950. On retrouve l'ambiance de Paris des années 50 et le Chicago des années 50 et 60 avec ses questions raciales et la lutte pour les droits civiques. Ce roman est intéressant au niveau historique; par contre j'ai moins accroché sur la personnage d'Eliza, j'ai ressenti peu de sympathie pour ce personnage.

j'ai apprécié ce roman emprunt de sensibilité et de romanesque.

Eliza, tiraillée entre Chicago et Paris, entre son fils et sa liberté.

Le jeu de mot du titre met en valeur l’accomplissement personnel et professionnel d'une femme en quête de liberté au prix de certains renoncements douloureux et d'un exil rempli de nostalgie que l'on peut comprendre aisément.

belle plume

Eliza quitte l'Amérique en cachette sans son fils. Elle arrive à Paris et prend le nom de Violet. Elle va découvrir à Paris l'entraide entre femmes et ces années 1950 où la vie reprend son cours. Toujours avec elle, son appareil photo qui prend des instants de vie et qui le permet de garder courage car elle sait que si son mari la retrouve, la fin sera là. Son fils lui manque mais pour le protéger elle ne doit pas lui donner de nouvelles.

Le portrait d'une femme et d'une mère que la vie n'a pas épargnée.

Un roman dans lequel on se laisse emporter avec délice.

Pourquoi tout quitter quand on semble tout avoir? quitter son fils?

Et pourtant cette femme l'a fait. Elle a quitté l'amérique, a changé de nom, s'est installé à Paris. Avec peu de ressources, elle arrive à s'en sortir et à rencontrer un homme qu'elle n'aurait jamais du trouver sur sa route.

un très beau roman

J'ai adoré ce livre qui raconte l'exil d'une Américaine à Paris! On y visite la capitale en sa compagnie à travers ses yeux et son appareil photo. On a vite envie de passer à autre chose que la découverte des pavés parisiens et ses rues, on veut savoir son histoire, les raisons de son exil et si un retour est envisageable ! Une histoire d'amour vient ponctuer le récit, c'est léger et cela se lit très facilement !

La première partie de ce tomates qui se situe à Paris en 1950 nous dévoile Eliza-Violet qui erreur dans Paris et qui se sent menacée... Ce n'est pas la partie du roman que j'ai préférée. Le retour à Chicago est bien plus vibrant ; la description des émeutes violemment réprimées est particulièrement bien réussie.

J'ai apprécié la lecture de ce roman, même si je l'ai trouvé assez inégal. La première partie est assez lente, descriptive, très ancrée dans le passé et dans les sentiments de nostalgie de l'héroïne.

Alors que la fin prend des tournures d'aventures presque. Avec du suspens, de la tension. Cela se passe lors des émeutes de Chicago en 1968, après l'assassinat de Martin Luther King. L'histoire du roman est alors au cœur de la grande Histoire et prend un sens politique et historique.

J'ai donc été bien plus captivée par la fin, où j'y ai trouvé beaucoup plus d'intérêt. Même si toute la première partie sonne juste, elle aurait pu être plus brève.

Eliza Donnelley fuit Chicago et abandonne son petit garçon pour échapper aux menaces sur sa vie perpétrées par...son mari!

Elle vit en exil dans le Paris des années 50 sous le nom de Violet Lee. Elle essaye de s'y reconstruire entre la peur d'être retrouvée, le manque de son petit garçon et une folle envie de liberté !

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Un roman d'aventure, celle d'une femme qui lutte pour sa liberté : vivre sa vie de femme, exprimer ses opinions, aimer...

Un roman doux et fort à travers l'objectif du Rolleiflex et du Leica de Violet qui depeinle Paris des années 50 et la Chicago en proie à une forme de ségrégation raciale.

J'ai découvert cette autrice récemment sur le conseil d'une lectrice chevronnée m'ayant prêté "La Part des flammes". J'ai tellement aimé que j'ai lu dans la foulée "Légende d'un dormeur éveillé". C'est avec grand plaisir que j'ai retrouvé Gaëlle de Nohant dans "La femme révélée". Il s'agit de trois univers et trois époques complètement différentes, mais le style est toujours intelligent, travaillé, poétique en restant accessible : un vrai plaisir de lecture !

J'aime découvrir des lectures sans avoir lu le résumé, avec parfois de bonnes surprises comme ce fut le cas avec ce livre.

Je pensais lire une histoire de femme dans la détresse, mais en fait j'ai découvert une femme courageuse dans le Paris des années 50.

Mais ce qui m'a encore plus plu, c'est son histoire en Amérique, les ghettos noirs, jusqu'au émeutes de Chicago. Je m'attendais pas du tout a ça.

Un coup de coeur!

J'ai préféré la première partie de ce roman à la deuxième partie trop "historique et politique" .

On peut saluer l'énorme travail de documentation sur le mouvement dit des "Chicago Seven", le détail des actions, des manifestations, le procès. Mais la première partie m'avait emballée par la personnalité de Violet-Eliza et le récit de sa vie, l'explication de sa fuite et son déchirement permanent d'avoir laissé son fils unique. Le climat des années 1950 était remarquablement dépeint dans ce monde d'après-guerre.