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Critiques de Georges Salines (23)
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Il nous reste les mots - Après le Bataclan, d..

Azdyne est le père de Samy, l'un des trois terroristes du Bataclan.



Georges est le père de Lola, tuée lors de l'attentat.



Ensemble, ils ont choisi d'écrire un livre, belle leçon de tolérance et de résilience.



Le soir du 13 novembre 2015, et dans le tourbillon des jours suivants, deux familles vivent une expérience radicalement différente l'une de l'autre.



Ces deux hommes, tout pourrait les séparer, et pourtant, une certaine idée de l'humanité, qui ne cède devant rien, les met en présence, les rapproche, les met en parallèle leur trajectoire jusqu'en ce point fatal.



Au delà de la souffrance et du tabou des mots, ce témoignage historique livre un dialogue apaisé nourri par une démarche d'ouverture, d'altruisme, d'acceptation, et bien évidemment porteuse d'espoir.



On n'oubliera pas de sitôt ce témoignage d'une amitié qui se tisse au fil des mots, dans la sincérité, sans jugement.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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Il nous reste les mots

"Il nous reste les mots" est un dialogue entre deux pères. Deux pères qui ont perdu leurs enfants le même jour, au même endroit. La différence, c'est que l'un était l'assaillant du Bataclan ; l'autre une victime.



Ce livre veut être une main tendue vers l'ouverture d'un dialogue entre les familles des victimes et les familles des terroristes. Il se veut un appel à la tolérance, à une humanité bienveillante. Pourtant, je l'ai trouvé peu convaincant.

Déjà, les deux hommes font beaucoup trop de digressions en racontant ce qu'ils aiment, leurs vies, en étalant leur culture : particulièrement Georges Salines. Ça n'apporte pas grand chose aux propos.

Mais, ce qui m'a profondément énervée, ce sont les réactions de Georges Salines aux propos d'Azdyne Amimour. Sous couvert de tolérance, il est dans un jugement constant de cet homme qui n'est pourtant pas responsable des actes commis. J'ai eu l'impression d'une moralisation régulière de ce que disait A. Amimour, G. Salines ne remet rien en contexte et lui fait la leçon régulièrement. Ça m'a passablement agacée.



Il y a quelques passages intéressants, notamment lorsque Azdyne Amimour explique comment son fils lui a glissé entre les doigts, mais l'ensemble m'a mise mal à l'aise. Trop de jugements non assumés.
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Il nous reste les mots

Georges Salines a perdu Lola, tombée sous les balles des fous d'Allah.

Azdyne Amimour a perdu Samy, Fou d'Allah, tombé sous les balles d'un policier après avoir pris la vie d'innocents au Bataclan.

Ces deux pères ont perdu leur enfant et dialoguent. L'un devrait en vouloir à l'autre, mais ce n'est pas le cas.

Samy n'était pas le reflet de l'éducation que sa famille lui a donnée. Samy était le un instrument formé par Daesh.

Le dialogue donne vie à la famille, rend palpable l'amour de Lola et de sa famille. Il rend aussi humanité à la famille de Samy. Famille qui n'a pas voulu ce terrible massacre et qui n'a rien fait pour qu'il arrive. Famille désemparée aussi par le départ du fils en Syrie pour faire le Djihad.



J'ai trouvé ce dialogue entre deux hommes meurtris sincère, humain et beau à la fois
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Il nous reste les mots

Incroyable. J'ai entendu parler de ce livre en lisant V13, et je me le suis acheté quasiment immédiatement.

Il s'agit d'un dialogue entre Georges Salines, dont la fille Lola a été assassinée au Bataclan, et Azdyne Amimour, dont le fils a été assassiné également au Bataclan, mais parce qu'il était l'assaillant et l'assassin.

Deux pères endeuillés qui s'interrogent, sur le sens de l'acte de Samy Amymour et de ses complices, sur leur propre responsabilité, sur le chemin parcouru par la haine de l'autre pour en arriver là... Et, comme le dit le sous-titre, un incroyable chemin de résilience et de tolérance.

Je sais qu'il aurait préféré ne pas, évidemment, et nous en sommes tous là, et il n'a pas eu d'autre choix, mais Georges Salines a acquis toute mon admiration, par sa force et son intelligence.
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Il nous reste les mots

Respect à Georges Salines et à Azdyne Amimour pour cet exemple de tolérance, d’empathie, d’ouverture et d’accueil de l’autre. Tout aurait dû les opposer. L’un a perdu sa fille dans l’attentat du Bataclan, l’autre son fils auteur des tirs sur les spectateurs. Lola était pleine de vie. Samy a sombré peu à peu dans le djihadisme. Son père a tenté de le ramener à la raison en allant le rejoindre en Syrie. Malheureusement, sans succès. Tous deux se livrent à un dialogue. Ils partagent avec nous leurs jeunesses, leurs mariages respectifs, leur foi ou absence de foi, la jeunesse de leurs enfants. Tous deux cherchent à comprendre ce qui a poussé des hommes au fanatisme et à en tuer d’autres. Pour que cela ne se reproduise jamais, ils multiplient les rencontres pour partager leur histoire.
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L'indicible de A à Z

Après la lecture de Vous n'aurez pas ma haine, je continue à lire des témoignages de proches des victimes du Bataclan.

Il s'agit ici de celui de Georges Salines dont la fille a été tuée au Bataclan. Il prend la forme d'un abécédaire. Ainsi l'auteur nous parle non seulement de sa fille Lola, mais aussi de lui, de sa vie avant et après, des associations de victimes des attentats, de sa position sur la religion, sur la politique...

J'ai pu sentir que Georges Salines s'efforçait de garder un certain détachement dans son écriture, même si l'émotion affleure lorsque il évoque Lola.

La lecture de cet ouvrage a été intéressante car l'auteur évoque sur le long terme le cheminement des proches et des survivants des attentats du 13 novembre 2015. Toutefois certaines entrées étaient trop inégales et n'apportaient pas forcément grand chose à la réflexion.
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Il nous reste les mots

Je suis très dérangée par le ton de ce livre.

Je me réjouissais de lire une magnifique histoire de tolérance, de construction de paix... la démarche des deux pères, l’un d’un des assassins, l’autre de l’une des victimes, était admirable. Et chapeau à tous les deux d’avoir franchi la ligne qui aurait dû les séparera. Et merci au passage à babelio et aux éditions Robert Laffont



Mais j’en viens à douter de l’objectif de la démarche du papa de de Lola. Alors, certes, cette démarche est certainement en elle-même un immense geste de paix. Mais ça ressemble quand même furieusement au procès du papa de Samy

Le sommet est atteint selon moi en page 99 quand Georges compare Azdyne aux négationnistes de la Shoah (enfin, il y a peut-être encore pire après... pour une fois, j’écris cette critique a mi parcours, ça me démangeait)



Le ton paternaliste, donneur de leçons de Georges est profondément gênant. On m’objectera peut-être que c’était déjà bien courageux d’accepter ou de proposer le dialogue. A quoi je réponds que si c’était pour le faire comme ça, il eut mieux valu s’abstenir

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Il nous reste les mots

Difficile de critiquer ce livre sans être dans le jugement de valeur. Il s’agit de propos recueillis et relatés ici tels quels. Un dialogue entre deux pères. Les deux premières parties se révèlent souvent ennuyantes, malgré quelques anecdotes intéressantes (le voyage du père en Syrie pour retrouver son fils par exemple). Malgré tout, je ressens parfois du jugement et du mépris face à quelqu’un qu’on oblige à justifier les actes de son fils. Pourtant, seul ce dernier en est responsable. Quelques grossiers clichés (sur les théories du complot, les juifs, la religion). Je ne trouve pas que ce recueil de propos soit à proprement parler une leçon de tolérance. Je le vois plutôt comme une vaine tentative d’essayer de ré-humaniser un homme, un père, que la vindicte populaire a déjà jugé coupable depuis le premier jour. Donc, avec un parti pris. Toutefois, des émotions transparaissent et l’idée principale, le message de fond, est fort louable. La lettre à Samy est belle et juste.
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L'indicible de A à Z

Le père, dans un livre d’une dignité et d’une ouverture d’esprit exemplaires, évoque, au-delà de la personnalité rieuse et solaire de sa fille, les circonstances et réflexions qu’au fil des jours, ce drame a suscitées en lui.
Lien : http://www.lalibre.be/cultur..
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L'indicible de A à Z

Lola, 28ans, était allée écouter un concert de rock avec l’une de ses amies. C’était au Bataclan, le vendredi 13 novembre 2015

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Le père de Lola, a réagi à l’indicible en écrivant chaque jour quelques mots. Un abécédaire prenant, touchant, parfois drôle, un texte unique, et finalement simple, pas d’histoire, pas de chronologie. Les mots d’un père qui lui viennent, la définition qu’il leurs donne. D’Absurde à Zoo en passant par bataclan, enterrement, larmes, paradis, vivre.

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Une lecture comme j’en ai jamais eu, un drame qui restera à jamais dans nos mémoires. Ce livre, ce père, cet amour, cette résilience. Un exemple

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Un témoignage comme vous n’en avez jamais lu
Lien : https://www.instagram.com/un..
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Il nous reste les mots

C'est très compliqué de critiquer un livre comme celui-ci.

L'idée de ce dialogue m'a surprise, puis séduite, je pensais assister à une belle leçon de tolérance. Si la tolérance est nécessaire pour instaurer un tel dialogue, le ton, parfois, m'a dérangée...
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Il nous reste les mots

Les pères de Lola, victime de la tuerie du Bataclan le 13 novembre 2015, et de Samy, l'un des 3 assaillants, parlent de la perte de leurs enfants. Et surtout, ils adressent une lettre à l'enfant de l'autre.

Un dialogue, comme une mise en abîme essentielle face à cette tuerie, et à l'incompréhension des énergies qui poussent les auteurs à commettre un tel crime.



https://www.facebook.com/1757782394471400/posts/2533853913530907/
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Il nous reste les mots

Fort ennuyé je suis.

C'est un beau livre parce qu'il existe et rien que pour ça il vaut ses 5 étoiles. Pour dire que le dialogue est possible, que nous ne sommes qu'exceptionnellement responsables des actes d'autrui, y compris de ceux de nos enfants. Un livre que je range fièrement entre Martin Luther King et Stéphane Hessel.

Et... ce livre est mauvais. Le contenu est convenu, relu probablement 15 fois, expurgé de tout ce qui pourrait faire penser à un véritable dialogue. Impossible d'y croire une seule seconde. Peu ou pas d'idée, peu ou pas de perspectives, ennuyeux et fade. Une occasion ratée de la littérature qui a l'immense mérite d'exister. Achetez-le et... rangez-le sur vos étagères. Vous gagnerez du temps et pourrez relire "Crimes et châtiments".
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Il nous reste les mots

Le sujet est dur, mais je ne dirais pas pour autant "âmes sensibles s'abstenir", car dans cet échange entre deux pères meurtris, pour essayer de comprendre ce qui est arrivé à leurs enfants, pourquoi l'une a été victime de la tuerie du Bataclan, et l'autre se trouvait dans les djihadistes meurtriers, l'approche est pudique et tout en nuances. C'est d'un échange émouvant et vrai qu'il s'agit.



Le soir du 13 novembre 2015, et dans le tourbillon des jours suivants, deux familles vivent une expérience radicalement différente l'une de l'autre, tout pourrait les séparer, et pourtant, une certaine idée de l'humanité, qui ne cède devant rien, les met en présence, les rapproche, met en parallèle leur trajectoire jusqu'en ce point

fatal.



Lola Salines, jeune libraire qui adorait son métier, assiste au concert des Eagles of Death Metal (une amie avait des places, elle l'a invitée). Ses parents ne savent rien, ils seront alertés par les frères de Lola plus tard dans la nuit, quand il apparaît évident qu'elle n'en a pas réchappé.

Azdyne Amimour sait depuis longtemps que son fils est parti rejoindre Daech en Syrie, il le croit sur le front, à mille lieues d'imaginer que Samy est rentré en France via la Belgique, et se trouve parmi les tueurs.



Les deux hommes se rencontrent, décident d'échanger sur le parcours de leurs enfants, leur histoire familiale ; ils s'interrogent sur leur propre rapport à leur culture, à la religion, la politique, le voyage et les civilisations étrangères. Ils parlent d'islam, d'athéisme, de porosité aux théories du complot, ils cherchent des raisons. Ils racontent également leur engagement postérieur aux événements, ce qu'ils ont voulu, ce dont ils se sont gardés. Ils évoquent le chagrin, la perte irrémédiable, les réactions des autres, la résilience aussi.



J'ai aimé ce livre et je l'ai lu facilement : des réflexions m'ont intéressée, et vers la fin, ils évoquent des pistes pour combattre la radicalisation des jeunes, notamment des pistes pour la société. J'ai apprécié les passages dans lesquels Georges Salines évoque son athéisme, et j'ai lu avec émotion la lettre que chacun des pères adresse à l'enfant de l'autre, tout à la fin.



Il m'a manqué peut-être une qualité littéraire, je suis toujours un peu déçue par les essais ou témoignages, qui se lisent facilement, mais s'oublient ensuite. Toutefois, la démarche d'ouverture, d'altruisme, d'acceptation, reste gravée, je n'oublierai pas cette amitié qui se tisse au fil des mots, dans la sincérité, sans jugement... Puisque de ces ruines il reste les mots.
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Il nous reste les mots

C'est un livre particulier que j'ai reçu dans le cadre de la Masse critique cette fois, pour plusieurs raisons. La première d'entre elles est qu'il ne s'agit pas d'un roman. Je lis quasi exclusivement des romans, très peu d'essais ou autres. Ce témoignage a donc une place à part dans mes lectures. Ce double témoignage. Ce dialogue entre deux pères, qui ont perdu leur enfant au Bataclan, le 13 novembre 2015. Un des enfants est victime, l'autre bourreau.

Ce dialogue précieux semblait impossible, et pourtant. Chacun réussit, avec tact mais aussi avec une grande franchise, à se raconter et à dire ce qu'il a compris ou pas de son enfant. C'est passionnant. On sent parfois les tensions qu'entraîne cette discussion, c'est vrai, tout n'est pas simple, en particulier pour le père du terroriste, qui oscille entre explication et justification. Son questionnement sur sa responsabilité dans la radicalisation de son fils est à la fois très intéressant et touchant. Et pour chacun d'entre eux, la question lancinante : quelle vie après ça...

Car le deuil est présent pour les deux pères, et revêt pour chacun des difficultés différentes, réveille des douleurs, des regrets... La grande bienveillance entre les deux hommes, leur franchise aussi, je le répète, font de ce livre une lecture très émouvante, mais aussi très enrichissante, intellectuellement et humainement.

Quand il nous reste les mots, il est de notre devoir de les utiliser pour éviter que le pire ne se reproduise...
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Il nous reste les mots

Ce livre, plein de promesses, nous rapporte les échanges entre deux pères. L’un, de l’assaillant du bataclan, l’autre, de l’une des victimes. Les promesses, ce sont celles de voir que le dialogue est toujours possible et que les amalgames n’ont pas leur place face au terrorisme. Rien que pour cela, ce livre a le mérite d’exister, et fait du bien.

Seulement quelques points noirs sont apparus à mes yeux à la lecture de cet ouvrage. Certaines parties, accueillant digressions et considérations politiques, m’ont pour ma part peu intéressée. En outre, le ton employé par le père de Lola, victime des assaillants, m’a profondément dérangé. Moralisateur, jugeant, j’ai malheureusement trouvé qu’il dénotait beaucoup trop par rapport aux promesses du départ.
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L'indicible de A à Z

Bataclan le 13 Novembre 2015,Lola 28 ans perd la vie ....

Son père nous réécrit l’alphabet avec ses mots à lui.

Il a besoin dans une dignité rare d'exprimer son chagrin,ses questions.

Il nous parle de sa famille,son épouse,ses fils la vie qui continue malgré l'absence de Lola.

Certaines définitions m'ont beaucoup touchées,mais pas l'ensemble du livre.

Petite précision:la typo n'est pas agréable!
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Il nous reste les mots

Que se passe-t-il quand un père éploré rencontre le père de celui qui a assassiné sa fille lors des attentats du 13 novembre 2015 au Bataclan?

Un déferlement de violence? Un refus de communiquer? Un dialogue de sourd?

Et bien, aussi paradoxal que cela puisse paraître, non, au contraire, Il nous reste les mots nous offre plutôt un échange profondément humain et empreint de tolérance et contient un message de fraternité.

En effet, Azdine Amemour doit-il être tenu responsable des agissements de son fils? Georges Salines doit-il exécrer le père de celui par qui la vie de son enfant bien-aimé a été ravie en pleine jeunesse? En d'autres mots, la haine de l'autre, amplifiée et souvent légitimée dans l'imaginaire collectif par la douleur intense que provoque la mort de la chair de sa chair, est-elle inéluctable quand on fait partie des personnes directement touchées par la tuerie du Bataclan?

Georges Salines et Azdyne Amemour, eux, la refusent et vont plus loin en s'associant et en ne faisant qu'un dès le titre du livre puisqu'ils fusionnent dans le pronom "nous". En effet, ils semblent mus par un désir commun: que les terroristes n'obtiennent pas gain de cause en semant la zizanie entre les différentes cultures mais qu'au contraire un sentiment de fraternité les unisse.
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L'indicible de A à Z

Dans cet abécédaire très particulier, il égrène sa peine et ses souvenirs une lettre à la fois. C pour colère, E pour expliquer, M pour médias.
Lien : http://www.lapresse.ca/arts/..
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Il nous reste les mots

5/5



J’ai achetée ce livre pour découvrir ce que c’est quand le père d’une victime affronte et dialogue avec le père d’un coupable.



Mr Salines à perdu sa fille Lola lors des attaques du 13 novembre 2015 (un événement tragique et triste) et Mr Amimour est le père d’un des terroriste qui ont attaqués le Bataclan ce jour-ci.



La conversation entre ces deux pères est d’une grande emotion.

Ils nous parlent de leur vie, de la vie de leurs enfants, mais aussi, de leur ressentis face à cet événement tragique.







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