Gérard de Villiers

KKK, kill, Kissinger, Koweit city voilà 3 lettres funestes qui résument ce SAS.

1974 le Koweit n’a pas encore été envahi par Saddam mais il est déjà gorgé de pétrole et de petro-dollards ; Kadhafi n’a pas encore perpétuer Lockerbie mais déjà il finance et tire les ficelles du terrorisme palestinien.

Grâce à un informateur bien placé dans la famille régnante du pays, la CIA est informée qu’un attentat se prépare contre Henry Kissinger qui arrive en voyage officiel à Koweit City. Pas question de reporter le voyage, honneur ricain oblige. Malko est chargé de préserver la santé du tout nouveau prix Nobel de la Paix et cela sans brusquer la susceptibilité les koweitis, famille royale et services spéciaux. Lourde tâche !

Avec une petite escapade à Goa pour cause d’enquête, Gérard en profite pour nous montrer les mœurs très particulières de hippies qui à l’époque ont envahi l’ancienne colonie portugaise.

Un bon SAS ce 34 ème avec un style toujours aussi drôle et les fondamentaux Malkoiens

L’enfer de Kaboul raconté en 2013 par le regretté Gérard de Villiers. Le décor est planté minutieusement et sans concession pour cette nouvelle mission confiée à l’agent de la CIA Malko Linge, toujours aussi sémillant mais cette fois beaucoup plus sérieux. Car l’ambiance afghane ne pousse pas à la bagatelle.!

C’est un roman qui prend aujourd’hui un sens nouveau après les événements tragiques d’Aout 2021 précipitant les Afghans dans une véritable tragédie .

On sent que l’auteur a étudié en profondeur les lieux, l’ambiance et les enjeux des différentes factions dans le cadre plus large d’affrontements internationaux. ( qu’il semble avoir partiellement prophétisés)

C’est presque un documentaire sur Kaboul

que j’ai lu avec grand intérêt, d’autant plus que l’intrigue est haletante.

Un SAS jeune et frais, on est encore un peu dans la fantasmagorie du genre, il y a un docteur chinois expert et inquiétant, des méthodes d'assassinat et d'interrogatoires retorses, une course-poursuite de bétonneuse dans Manhattan qui passerait très bien à l'écran, et autres éléments flirtant avec le loufoque (le trio de garde du corps de Malko, particulièrement en verve dans cet opus). L'autre limite avec laquelle le livre joue un peu dangereusement, par contre, c'est celle d'un certain esprit colonialiste, voire d'un peu de racisme à la papa, dans le traitement des représentants des plus petits pays de l'Assemblée Générale de l'ONU. C'était le début des années 70, et c'était Gérard De Villiers...

Effectivement ce tome n’entre pas dans les bons récits de sas surtout après les pendus de Bagdad. On a le droit à un séjour dans la jetset d’Hollywood très années 70. Les personnages sont caricaturaux et l’intrigue assez classique. D.ailleurs les sas qui se passent en Californie n’apportent rien à la légende.

Je me souviens des pubs à la télé, lorsque j'étais adolescente, pour les SAS et la jeune femme blonde avec son collier composé de balles de pistolets, disant à la fin du spot que l'on pouvait trouver ces livres dans toutes les bonnes librairies. Comme ce n'était pas le genre de lecture que l'on trouvait chez moi, je n'ai jamais pu en piquer un à mes parents pour le lire en cachette !

J'ai finalement attendu 2021 (et une promo !) pour satisfaire ma curiosité.

Que dire ? Une histoire inintéressante au possible (à mon goût personnel), des descriptions inutiles, un style d'écriture plutôt moyen... Bref, vite lu et vite oublié !

Juste après la Guerre des six jours, dans l'immeuble de la CIA, le directeur Foster Hillerman ouvre la fenêtre de son bureau et saute dans le vide. Impossible de savoir pourquoi il se suicide, mais sa fille que l'on croyait morte dans un accident de voiture a été enlevée dans un institut spécialisé en Suisse...

1981. Un livre dédié au commandant Pierre Gallopin, torturé et assassiné au Tchad en 1974, et qui reprend son histoire. Au menu, rapports de force entre le Tchad et la Libye dans un Soudan accablé par la pauvreté, concurrences absurdes des rebellions régionales, business d'otages occidentaux et trafic d'armes.

Une chasse à l'homme bien menée dans les rues de New York. Malheureusement la documentation géopolitique est un peu faible par rapport aux autres SAS, on sort assez vite de Spanish Harlem pour visiter des lieux bien mieux connus dans la Grosse Pomme. Une très bonne scène au sommet du World Trade Center néanmoins.

C'est plutôt un vieux SAS, millésime 1972 à peu près, alors que j'ai tendance à préférer les plus récents pour leurs scènes plus crues et leur géopolitique plus précise (et, forcément, plus proche de nous), mais je dois dire qu'il tient bougrement la route pour son âge. Déjà, il se passe en Amérique du Sud, et la région m'intéresse, et il aborde la croustillante problématique des ex-nazis couverts par la CIA au cœur du continent (Bolivie-Uruguay-Paraguay), bien utiles à quelques basses œuvres de guerre froide, puis devenus un peu encombrants une fois découverts par l'opinion publique. Total, ça se dévore très correctement, le jour par exemple où un rejeton mal fichu vous dispense d'aller travailler. Peut-être même qu'en fin de compte je me laisse maintenant attendrir par ce reste d'ingénuité, dans l'intrigue et les personnages, que de Villiers gommera largement par la suite. Ce qu'il ne gommera pas, en revanche, c'est cette manie de massacrer l'espagnol à longueur de tournures pourtant basiques dont il parsème le récit, pour faire couleur locale. A ce niveau-là, c'est à croire qu'il le fait exprès, mais à la longue, ça participe aussi au charme de la série...

Dernière remarque : la blondinette de la couverture n'a que peu de ressemblance, a priori, avec les créatures du récit, mais doit-on vraiment s'en préoccuper ?

Cette virée au Chili un an après le coup d'état de Pinochet n'est pas le plus exaltant ni le plus maîtrisé des SAS. Les situations se répètent, un suspense rapidement artificiel sur l'identité du méchant ralentit le rythme, il y a finalement assez peu d'actions et de personnages intéressants. Surtout, on se demande si Villiers (ou son ghostwriter) est vraiment allé au Chili (la situation était évidemment compliquée à l'époque) : les descriptions sont minces, les phrases en espagnol ridicules (alors que dans d'autres volumes sud-américains, les personnages parlent un espagnol tout à fait correct). Le sévère jugement porté sur la junte chilienne est cependant intéressant (et dément l'idée d'un Gérard de Villiers ultra-conservateur) du même que la description de l'opposition de gauche à Allende puis Pinochet.

On note une nette évolution dans ce tome qui décrit très bien le régime de terreur imposé par le pouvoir baassiste, l’élimination systématique des opposants, les dénonciations et la corruption. Le Prince entre dans ce monde qui ne lui correspond pas et affirme son caractère, il devient vraiment sas. L’erotisme monte également d’un cran. Une aventure qui se lit bien et un retour historique sur ce pays ravagé

Du James Bond de série B (violence et sexe). Vaut le détour pour les amoureux de Malte (ce qui est mon cas) car on y retrouve tous les charmes de l'île même si l'auteur donne quelques coups de griffe au passage et que le roman date un peu vu qu'il est de 1979.

Malko Linge pour cette mission est envoyé au San Salvador pour supprimer Enrico Chacon, un ex-agent de la CIA devenu tueur pour l'extrême droite locale. Une nouvelle fois, l'action nous plonge dans l'actualité de l'époque. L'histoire avec son jeu de dupes est bien menée. Ce tome 60 est aussi l'un des plus violents. Notre héro qui ne tuait que dans l'action ou par légitime défense va se transformer en assassin froid et déterminé.

Une nouvelle mission pour Malko. Faisant suite à l'assassinat à Abu-Dhabi de deux cover-girls qui en fait étaient des agents du MI 5, notre prince autrichien est chargé par la CIA, sur demande des services britanniques, de retrouver les assassins et d'en découvrir le mobile ( qui ne peut être dévoiler ici pour ne pas nuire au suspense).

Ce 59ème tome tient le rythme, tous les ingrédients de la série sont présents.

Avec toujours cette précision des descriptions géographiques et une connaissance approfondie de l'actualité de l'époque.

Un ministre soviétique en visite à Budapest en Hongrie est enlevé. Très vite on comprend que les ravisseurs, un groupe de Hongrois, ont été manipulés. Par qui ? La CIA, contacté par les ravisseurs, envoie le prince Malko Linge pour retrouver le ministre, en collaboration avec le KGB . Double, triple jeu des différents services d'espionnage nous maintiennent jusqu'au dénouement final.

Un bon SAS. Comme toujours les descriptions géographiques , le contexte et l'actualité sont bien documentés.

La nouvelle mission de Malko se situe en Colombie. Il doir retrouver le responsable de deux assassinats : un agent de la CIA, l’autre de la DEA. Entre Bogota et Baranquilla, le prince Malko doit manoeuvrer finement entre les trafiquants de drogue, l’armée colombienne corrompues et les révolutionnaires des FARC soutenus par les services cubains.

Comme toujours c’est violent et teinté d’humour noir. Une très bonne intrigue, servie par des descriptions de l’environnement toujours bien documentées, qui nous raménent à l’actualité de l’époque.

En quoi le cadavre d'un Indien mort dans le désert du Mexique, intéresse la c.i.a . alors que l, affaire relève du f.b.i.seul organise habilité à opéré sur le territoire des états unis. Même si la

C.i.a c'est implanté Clandestinment dans la plupart des grandes villes. Sous la couverture au titre bizarre de ( us army joint opération group ). bien sûr aucune unité de se nom exîste dans l, armé des u.s.a. c, est pourtant sur son ordre qu, on va arrangé malko a son château 🏰 pour l, envoyé à Los Angeles.

ou il devra s, introduire dans l, entourage de gene shirak un producteur de cinéma 🎬.

une plongée dans le monde du showbiz, pour une bonne histoire, avec son lot d, érotisme et

d, action.parfait pour se détendre ⛱️. bonne lecture.😂

une mission peut ordinaire pour s,a.s. Puisque c'est le f. B.i qui va faire appel à lui.pour découvrir qui a fait explosé le délégué de la République du lesotho.malko va se faire passé un diplomate afin de savoir pourquoi.mission qui se révèlera plus compliqué et dangereuse que prévu.un bon S.A.S qui ne demature pas la série. Entre action et érotisme.🤒

Je me demandais comment Malko allait se remettre de sa précédente opération (Les trois veuves de Hong Kong) où il avait fini son aventure dès mal en point. Mais un peu comme le commissaire San Antonio, il a une santé de fer.

Cette treizième aventure nous conduit au Danemark, à Skagen et à Copenhague. La mission, récupérer un transfuge au nez et à la barbe des russes. Mais ce personnage possède un lourd passé et une conjonction de personnages hostiles afflue vers le point de rencontre. Comment et quand la première étincelle va jaillir, c'est ce qui nous conduit à lire cette histoire.

Je ne l'ai pas trouvé trop réussie par rapport à d'autres tomes, par contre De Villier fait passer des messages sur les collaborateurs nazis ukrainiens et croates dont les livres d'histoire parlent assez peu.

Un membre de la mafia fait chanter la CIA. SAS doit découvrir qui est le maître chanteur et retrouver les documents volés.

Un bon SAS, les ingrédients sont tous présents y compris mes deux barbouzes préférés : Milton et Chris et leur inséparable artillerie lourde.

La particularité de cette aventure est qu'elle est l'une des rares qui se passe sur le sol américain.