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3.64/5 (sur 394 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Alabama , le 03/08/1950
Biographie :

Le vrai nom de Linda Howard est Linda Howington.

"J’ai commencé à écrire lorsque j’avais neuf ans. J’ai fréquenté une petite école de campagne, puis un petit lycée où j’ai été la seule à étudier le journalisme. J’ai rapidement laissé tomber les études pour travailler dans une entreprise de transport routier, ce qui a grandement amélioré ma connaissance des gens en général et des hommes en particulier.

Je travaillais dans un bureau, officiellement en tant que secrétaire, bien que je ne fasse pratiquement pas de secrétariat. D’une façon ou d’une autre, je me suis retrouvée en train de faire les paies, de m’occuper des expéditions, des assurances, du contrôle des coûts, du suivi des cargaisons et même, lorsque j’en ai eu marre de la couleur du bureau, de faire un peu de peinture. J’adorais ce métier et les gens avec lesquels je travaillais.

Mais je préférais quand même écrire. Un jour, cependant, écrire est devenu plus lucratif que mon emploi, et m’a demandé de plus en plus de temps, j’ai donc dû quitter mon travail.

J’ai rencontré mon mari dans cette compagnie de transport, comme nous travaillions ensemble, nous faisions des économies en n’utilisant qu’un véhicule pour nous y rendre. Nous avons acheté notre premier bateau en 1979 et il a commencé à participer à des concours de pêche, ce qui est devenu son nouveau métier. J’ai quitté mon travail pour écrire à plein temps et lui l’a quitté pour pêcher à plein temps. Il voyage à travers tout le pays pour participer aux tournois du circuit professionnel de pêche, et la plupart du temps je vais avec lui.

Au fil des ans j’ai touché à tous les genres sauf l’horreur, que j’évite car ça me donne des cauchemars. La science fiction et le fantastique, ce fut pour mon propre plaisir. Mais peut-être qu’un jour mes romans de ce style seront publiés, qui sait. J’écris sur tout ce qui m’intéresse à un moment donné, et presque tout m’intéresse."
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Source : www.lesromantiques.com
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Citations et extraits (256) Voir plus Ajouter une citation
— Comment s'appelle-t-il déjà ? BooBoo? Tu parles d'un nom !
— C'est à ma mère qu'il faut dire ça.
— Tout chat mérite un nom décent. Appeler un matou BooBoo, c'est comme prénommer son fils Alice. BooBoo devrait s'appeler Tiger, Roméo...
Jaine secoua la tête.
— Roméo est exclu.
— Tu veux dire qu'il est... ?
Elle hocha la tête.
— Dans ce cas, BouBoo, un prénom qui lui sied à merveille, quoique Bou-Mou me semble encore plus approprié.
Jaine dut se presser les côtes très, très fort pour réprimer un nouveau fou rire.
— T'es bien un mec, toi.
— Et que voulais-tu que je sois ? Une ballerine ?
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Il se passa la main sur le visage. Amour. Le mot était lâché. Auparavant, il pensait à ses relations féminines comme à des liaisons. Il n’avait jamais été amoureux avant. Certes, il avait éprouvé des sentiments sincères pour certaines de ses conquêtes, mais rien qui ressemble à la fascination qu’exerçait Karen sur lui. Il l’aimait, et cela le terrifiait. Il avait l’impression de marcher sur une corde raide, de balancer sans cesse entre la crainte de l’effrayer et celle de se montrer trop distant avec elle.
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Le travail était plus facile à l’époque de la guerre froide. En ce temps-là, tout était clair, et l’adversaire clairement défini. L’ancienne Union soviétique, aujourd’hui fragmentée, lui semblait beaucoup plus dangereuse à présent qu’elle était gouvernée par des gens sans expérience. La Chine aussi lui donnait une peur bleue. Mais le gouvernement actuel s’occupait plus de faire de l’argent que de protéger le pays.
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Les pauvres fous, ils croyaient tout savoir ; ils ne savaient rien du tout.Ils ignoraient ce qu’était le véritable pouvoir, le pouvoir réduit à son essence la plus pure. Le Président, reclus dans la Maison Blanche, pouvait bien déclarer la guerre, donner l’ordre de lâcher des bombes qui anéantiraient des millions d’innocents ; pour lui, ces morts restaient abstraites, à cause de la distance.
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La mort n’apportait pas la sérénité, elle n’était que du vide. Tout cessait d’exister : les couchers de soleil, les espoirs, les peurs.
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Les flics ont le plus fort taux de divorces parmi toutes les catégories socioprofessionnelles. Certaines femmes ne supportent pas d’embrasser leur mari le matin en redoutant que ce soit pour la dernière fois.
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Pour juger de l’habileté d’un homme au lit, il suffisait de le regarder travailler. Certains médecins masculins se prenaient pour des dieux de l’orgasme mais, selon Piper, ils étaient trop arrogants et trop pressés dans leur métier. S’ils ne donnaient pas à leurs patients toute l’attention requise, il y avait de grandes chances pour qu’ils aient la même attitude avec une partenaire sexuelle.
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...bien que le fusil soit l’instrument le plus fidèle jamais inventé par l’homme, il n’en restait pas moins un instrument. Non, ce qui le rendait à la vie, c’était la technique, la chasse. Le pouvoir. Il avait été un sacré bon sniper.
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Gray… la seule évocation de son prénom la faisait frissonner. Mais ce n’était rien comparé à la violence des sensations qu’elle éprouvait en sa présence. Il suffisait qu’elle l’aperçoive et son cœur s’emballait, ses jambes se mettaient à trembler et le rouge lui montait aux joues. Elle avait bien essayé de maîtriser ses émotions, mais sans succès. Pour se rassurer, elle se disait que son admiration pour lui n’avait rien que de très normal. Après tout, Gray était considéré comme un dieu à Prescott. Un dieu un peu vaurien sur les bords. Protégé par la fortune des Bouvier, il faisait les 400 coups et sa réputation de séducteur était déjà bien établie. Son charme insouciant faisait des ravages parmi les femmes de la région et quoique les Bouvier eussent déjà engendré bon nombre de noceurs, Gray semblait bien parti pour être le pire de tous.
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-Prends ta voiture et va jusqu'à la vieille maison des Helton, voir si Lolly va bien. Je n'ai pas réussi à la joindre sur son téléphone portable, et elle ignore peut être que la tempête se dirige vers nous. Lolly Helton ? Gabriel faillit émettre un grognement audible. De tous les gens du coin ...
-Que fait-elle là? demanda-t-il, tentant de dissimuler sa soudaine hostilité, sentiment que Lolly Helton avait toujours provoqué chez lui. Je croyais que toute la famille avait déménagé.
-Effectivement, mais ils ont gardé la maison pour les vacances d'été. Ils pensent maintenant la vendre, et Lolly est venue vérifier les lieux .... Mais qu'est-ce que ça change, de toute façon? Elle est là-bas toute seule, et sans aucun moyen d'appeler les secours s'il lui arrive quelque chose.
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