Hajime Inoryu

J’aime bien cette collection, Dark de chez Kana, les séries sont sombres, macabres, violentes mais toujours avec une dose d’humour qui les rend cocasse. Ring Eyes commence fort, enfin sinistre avec une fillette tuée en ayant été coupée en deux, littéralement en deux dans le sens de la hauteur, ce n’est pas banal, et en plus, elle a été totalement vidée de son contenu, c’est dire, si on s’engage dans une lecture souriante. Et puis, on découvre les deux héros Riko et Mamoru, elle est une jeune fille solitaire et secrète, lui, il cherche à venger la mort de son amie d’enfance. Cela débute, tendrement, enfin manière de parler, disons qu’au départ ce n’est pas encore DARK. C’est deux-là, vont nous faire découvrir qu’on peut s’aimer, s’aider et ce quel que soit nos différences. Et même, si Mamoru, semble, utiliser Riko, il s’attache à Riko. Bon, c’est une histoire de vengeance avec un soupçon d’amour et d’amitié baignant dans un bain d’horreur ou les faibles sont éradiqués avec mépris.

J’aime bien sauf la partie romantique que je trouve trop mièvre mais cela fait bien concurrence au reste très violent.

Comme pour tous ces premiers chapitres, j'attends la suite !

Mais loin de se confiner à la romance, Ring Eyes déploie son intriguant univers fantastique, avec des pouvoirs surnaturels et des êtres dangereux qui se cachent parmi la population. Cinq familles originelles abritent les plus puissants des Extras, et leur passé cache de sombres secrets. Leurs intrigues politiques ne se feront pas sans effusion de sang – ce manga est donc réservé à un public averti.
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Extrait :

Nouvelle série découverte par hasard en rayon avec ses trois premiers tomes d’occasions, comme la série en comporte quatre au total, je me suis dit que c’était bien de la tenter. Surtout que je n’avais pas entendue parler d’elle jusqu’à présent ! Une série courte assez discrète chez Kana. Les auteurs vous parlent peut-être puisqu’ils ont réalisés d’autres séries comme sky-high survival (dessinateur) ou Killer inside (scénariste), pour ma part, je n’ai lu aucun de ses titres, pour le moment.



La série commence avec une petite introduction, sur la victime, puisqu’après tout, elle est au centre de tous les événements qui vont suivre. Celle-ci, une jeune fille de moins d’une dizaine d’année a été retrouvée coupée en deux parts égales… 12 années plus tard, son assassin court toujours. Son ami d’enfance ne vit désormais plus que pour retrouver le coupable et venger son amie. Parce que s’il y a une chose qu’on ne sait pas au départ, c’est qu’il existe des surhommes, des personnes extrasensoriels, surnommées Extra. Elles ont des pouvoirs (télékinésiques souvent), et règnent désormais sur le monde alors même qu’ils ne représentent que 30% de la population. Cette nouveauté est apparue il y a des années avec 5 enfants ayant des pouvoirs, depuis ils se reproduisent toujours entre eux (bonjour la consanguinité). Au Japon, le continent n’est habité que par les Extras, les humains normaux étant relégués aux îles ou aux zones bien éloignées. Ils sont vus comme des déchets par les extras qui les tuent sans aucune honte ou aucune punition à la clé. Ainsi, la jeune fille a très certainement été tuée par un Extra, d’où le fait qu’il n’y a pas eu d’enquête et que tout le monde s’en fou…



Pour sa quête de vengeance, Mamoru n’a pas le choix, il doit être aidé d’un extra, sans quoi il n’a aucune chance. Il réfléchit depuis des années à comment faire, et il décide de séduire une jeune extra pour la manipuler. Cliché ou non, il finira peut-être par la considérer comme plus que ce qu’il espérait. Cette jeune fille, il va la rencontrer au commissariat, alors qu’elle a été arrêtée pour agression physique. Son secret est vite révélé par Mamoru qui arrive à la convaincre. Pas de bol pour lui, elle semble aussi folle que lui, que de lui… Si la vie de Mamoru n’a pas été joyeuse car il est épris de remords pour son amie décédée, c’est aussi le cas pour sa nouvelle (petite) amie. L’intrigue plane vraiment entre le drame et la comédie, parfois c’est un peu mal sain je trouve. Après tout, elle on dirait une gamine, et lui semble déjà adulte d’une vingtaine d’année je suppose… ou alors son apparence ne représente pas son âge réel ?



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C’est une sortie que j’attendais avec énormément d’impatience. J’avais adoré Sky High Survival, bien que je n’ai pas lu le manga mais vu l’anime. Alors il me tardait vraiment de découvrir la nouvelle oeuvre de ce mangaka. La couverture m’a beaucoup intrigué mais alors le résumé m’a complètement conquis. J’ai eu directement envie de le découvrir et je n’ai pas été déçue. Ce premier tome était génial! Je sens que ce manga va être absolument génial, cette série sera en 4 tomes seulement et il me tarde déjà de tous les avoir!



Dans ce premier tome, dans un monde ou les personnes dotées de pouvoirs extrasensoriels font la loi, une jeune fille a été sauvagement assassinée, le corps coupé en deux dans le sens de la longueur. 12 ans plus tard, pour la venger du criminel resté impuni, Mamoru Inubô, un sans-pouvoirs, décide de se servir de Riko Saibara, une jeune extra, en la séduisant. Mais l’identité de cette dernière et l’ennemi qui les attend risque de s’avérer plus dangereux que prévu…



Commençons d’abord par l’univers. J’ai adoré, je trouve qu’il est très bien construit et surtout je trouve qu’on nous l’expose parfaitement bien sans jamais traîner. On a deux sortes de personnes dans ce monde, on a les humains, normaux qui se font appelés les sans pouvoirs et on a aussi les Extra, ce sont des personnes dotés de pouvoirs surnaturels. Je trouve que c’est original et surtout passionnant. Du côté de l’intrigue, on ne tergiverse pas non plus. On est directement plongé dans l’histoire et ce n’est pas plus mal comme ça d’ailleurs. On a les détails tout de suite, on ne perd pas de temps. Je sens que je vais vraiment adoré la suite, ce premier tome est vraiment passionnant. Ça nous donne surtout un avant-goût de ce qui nous attend dans les prochains tomes et je vais me régaler. Niveau personnage, Mamoru m’a beaucoup fait rire. Lui ne désire qu’une seule chose : retrouver l’assassin de son amie d’enfance qui reste en liberté. Il n’a qu’un seul mot en tête : vengeance. Pour ça, il va s’associer avec Riko, une extra.Il va d’abord la séduire dans le but d’arriver à ses fins. J’ai également adoré le personnage de Riko. Je la trouve adorable, terriblement mignonne. La relation entre les deux me fait beaucoup rire également. Quand on voit ce qu’il se passe à la fin, je n’ai qu’une hâte : lire la suite.



C’est un premier tome plein de promesses, et ça s’annonce vraiment excellent. J’attends la prochaine sortie avec tellement d’impatience. J’attendais ce premier tome et je n’ai pas été déçue le moins du monde. Que ce soit l’univers, l’intrigue ou encore les personnages, c’était absolument génial de la première à la dernière page. Il n’y aura que 4 tomes mais je sens déjà que les 4 tomes seront exceptionnelles!
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"Ring Eyes" s'avère être plutôt surprenant et explosif. Un mélange assez inattendu, pour une lecture divertissante. Tout d'abord, la couverture du tome 1 est particulièrement attirante, elle dégage quelque chose. Cette jeune femme, Riko, nous avons envie de la rencontrer. Nous avons un mélange d'action, de thriller, de comédie et de romance.

Les rebondissements sont plutôt bien gérés et arrivent à nous prendre de cours. Il y a de fortes chances que soit ça passe soit ça casse.

Cette série appartient à la collection Dark Kana de Kana, nous savons donc qu'elle ne va pas faire dans la tendresse. Elle est finie en 4 tomes, son résumé attise notre envie d'en savoir plus. Au dessin, nous retrouvons ÔBA Takahiro ("Sky High Survival" et "Sky High Survival Next Level"). Tandis qu'au scénario, nous avons NORYUU Hajime ("Swimming ace", un manga parfait pour la saison et "The Killer inside" qui a son succès en tant que thriller, mais pour l'instant je ne peux rien dire sur lui).

Le graphisme est agréable, et nous commençons alors que Riko est en prison. Mamoru, qui a le crâne complètement rasé, vous pouvez le voir en couverture du tome 2 ne s'est jamais remis de la mort de son amie, Yura, il y a 12 ans. Il cherche à se venger et pense trouver la personne idéale en Riko, quitte à se servir d'elle, ce qui est bien entendu discutable. Mais les choses seront encore plus surprenantes et complexes. Nous ne savons jamais quel sera le mouvement suivant.

Nous retrouvons de l'action et du thriller, un côté sans pitié, déjà par ce qui est arrivé à Yura, mais aussi dans certaines scènes. De plus Riko fait parti d'une section spéciale du peuple, elle est une extra, elle a des pouvoirs. Les relations entre les humains et les extras sont tendues, chacun ne voit pas les choses de la même façon de son côté. Cela donnera également lieu à des scènes d'action encore plus folles, impressionnantes, et vous comprendrez le titre.

Pour la romance, cela surtout majoritairement apporté par notre duo insolite, le partenariat que forme Riku et Mamoru. Riku cherche une vie plus normale, et elle veut sortir avec Mamoru en échange de ses services. Tandis que pour l'humour qui permet également de relâcher la pression, il est dû à des décalages de toute part dans les paroles ou les actions. Il est à noter également de très légères scènes de fanservice.

Pour finir, il est question d'une île, n'est-ce pas la période idéale ?

Une enquête sur la mort étrange d’une jeune fille menée par son ami Mamoru Inobu assoiffé de vengeance. Un monde brutal où les humains aux pouvoirs psychiques méprisent les sans-pouvoirs.
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Au début j’avais très peur d’être déçue, l’histoire commence très vite, je dirais même trop vite. Mais au final je me suis retrouvée à apprécier réellement cette lecture et je dirais même que j’ai hâte de voir ce que nous réserve la suite. Bonne découverte !

Mamoru est moins vendeur que Riko, voire même il a un côté terrifiant sur cette couverture, à moins que vous soyez presser d'admirer sa musculature. Ce tome commence sur des charbons ardents et encore une fois c'est un mélange explosif, ils jouent totalement avec nous, et nous sommes happés sans souci dans la lecture, avec l'envie d'en savoir plus.

Mamoru va avoir la lourde tâche de tenir une bonne partie du tome. L'évènement qui a fini le tome 1 est catastrophique.

Le scénario continue à nous renverser et surprendre pour notre plus grand plaisir. Nous avons également une explication sur les techniques que déploie Mamoru en faisant un tour dans son passé et l'enseignement qu'il a reçu, ce qui rend les choses plus plausibles. Mais vous verrez, il y a des moments très épiques et inattendus.

En même temps, nous jouons sur des éléments très connus. En tout cas, à chaque fois nous avançons sans avoir encore toutes les réponses.

Pour en savoir un peu plus, sinon arrêtez vous-là et passer au paragraphe suivant. Mamoru se réveille dans un lieu inconnu, il a été secouru, mais il est perdu, seul, et ne trouve pas trace de Riko. Il va rencontrer un personnage d'importance et très fort, et nous ne savons pas réellement quoi penser de lui, ce qu'il cherche, si on peut lui faire confiance.

Riko réapparaîtra sur la fin du tome, et c'est quelque chose.

Il y a des moments totalement terrifiant, à tort ou à raison ? Il faudra lire pour savoir. Mais n'oubliez pas que vu le genre il faut s'attendre à des coups durs et des pertes lourdes par moment, à des moments sans pitié.

En même temps, que ce soit par les paroles ou les actions, il y a des instants qui nous font tellement rire, c'est fou.

La lecture est prenante, vivement la suite.

Extrait :

Second volume de la série, et c’est donc déjà la moitié de celle-ci. Après l’accident meurtrier (ou plutôt l’attaque meurtrière) du paquebot de croisière, Mamoru se réveille seul dans une mystérieuse bâtisse. Très vite il comprend qu’il se trouve là où il souhaitait être, afin de découvrir le coupable du meurtre de son amie d’enfance. Mais avant toute chose, il doit retrouver Riko dont il a été séparé, car sans elle, il n’a aucune chance face à un extra puissant. Les secrets commencent à être révélés, non sans efforts et risques pris par Mamoru. Visiblement, tous les extras ne sont pas horribles et sanguinaires, une révolution pourrait donc bien être en marche pour faire basculer la balance.



Mamoru dévoile ses cartes avec ce nouveau tome, il a en effet appris à se défendre face aux extras, ou du moins, les plus faibles d’entre eux. Cette technique l’oblige à être discret, mais aussi dans le plus simple des appareils. Ses mises en scènes décalées donnent un résultat assez difficile à prendre au sérieux, surtout lorsque le visage des personnages en rajoute une couche. Ce qui est, presque réaliste, c’est qu’il existe tout de même des manières pour un non extra d’affronter les extras. Comme quoi, ils ne sont pas aussi invincibles qu’ils le pensent. Toutefois, sa découverte de la vérité laisse Mamoru assez surpris, puisque la famille de Riko ne semble pas liée directement au meurtre de son amie. Il s’agissait en réalité d’un quiproquo qui a mal tourné. Le retour de Riko et la venue de Mamoru sur le continent pourrait bien relancer des hostilités.



Je ne sais pas ce qui est le pire, que les meurtres des extras soient classés comme accident, ou qu’il y ait vraiment des gens pour les protégés. Outre le manque de courage des extras d’assumer leur bêtise, il semblerait qu’il faut aussi craindre la passivité des non extras. Ils sont tristes de perdre leurs proches, mais ne réagissent pas plus que ça. Certes, les extras ont des pouvoirs importants, mais est-ce vraiment une vie de vivre en ayant une épée de Damoclès sur la tête ? Est-ce qu’il est vraiment possible de vivre en sachant qu’un extra peut nous ôter la vie par pur caprice ? La population semble vivre dans une certaine insouciance, alors que n’importe quel extra pourrait bien débarquer à n’importe quel moment pour leur faire la misère. Certains pensent sans doute qu’il suffit de rester à sa place pour être tranquille… mais est-ce que ça marche vraiment, bonne question.



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Extrait :

Troisième tome, donc avant dernier tome pour cette série vraiment très courte, mais où le rythme est bien mené pour l’instant. Un gros et grand combat approche, outre le fait de vouloir assurer la survie de Riko, ce combat pourrait aussi prendre des proportions plus importantes. Après tout, il est aussi question de la condition des sans-pouvoirs, condition, qui rappelle celles que notre propre histoire a déjà connue, et connait encore, l’inégalité de traitement pour une différence.



Le chef du clan Sôin, alias le gars avec le masque, ou le gars qui tue son propre gosse, a réussi à motiver les autres groupes pour une attaque conjointe contre le groupe des Ryûri, qu’il accuse pour le drame survenu au bateau. Je doute que les chefs soient des idiots, je pense donc qu’ils savent très bien que le chef du clan Sôin ment littéralement, ou alors ils sont vraiment très bêtes ou tellement arrogants qu’ils ne réfléchissent pas bien loin. En tout cas, il n’aura suffi que de quelques échanges pour qu’ils arrivent à un accord, visiblement certains ne se sentent plus pisser comme on dit. D’après quelques fragments de pages, on voit que la population d’extra est mitigée sur la condition des sans-pouvoirs, certains pensent qu’il faut les traiter comme d’habitude et normalement, d’autres qui ont pris la grosse tête ne veulent pas les voir. Je suppose aussi qu’il y a le groupe des « j’en ai rien à faire et je continue ma vie tranquillement ».



Les pouvoirs des personnages commencent un peu à dévier des pouvoirs originaux. Visiblement, certains extras ont des capacités assez spécifiques, comme réduire la taille d’objets et/ou humains, se rendre invisible, etc… D’ailleurs, on a déjà vu un cas dans les épisodes précédents, avec l’extra pouvant faire des portails et se téléporter. Je suppose donc, que les chefs des clans puissants ont ce style de capacités, mais pour le moment, ils restent discrets, et continuent d’être des lâches, en envoyant d’autres extras faire le sale boulot. J’adore les personnages (ou personnes) qui se pensent au-dessus de tout, mais qui font faire les basses besognes à d’autres, de vrais lâches dans toutes leur splendeur, doublés de feignasse, très loin des personnes fortes et intouchables qu’ils pensent êtres. Une fois face à la vérité, ils ne l’ouvrent plus trop d’ailleurs, ou alors ils le font juste avant de se faire laminer, et j’adore ses passages.



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Alors que la série a un côté fun et déjanté, elle sait aussi être plus et surprendre. Par ailleurs, nous nous prenons totalement au jeu, et nous sommes de plus en plus immergés dedans et impatient de découvrir la suite, c'est donc plutôt bon signe, n'est-ce pas ?

Mamoru a un côté qui détonne, son physique aussi. Si on y trouve des éléments classiques, elle sait quand même mettre une belle puissance émotionnelle tout en nous faisant rire.

Riko est à nouveau en danger. Il est temps d'en apprendre plus sur la situation, les manigances, et de voir la décision de son père. Il a fait changé le clan des Ryûri au cours des dernières années et en est le chef. C'est un sacré phénomène.

Nous avons un mélange d'action et de tranche de vie. Certains moments sont plus calmes.

Ils ont une idée que je vous laisse découvrir, pour cela tout un groupe part en mission, nous avons de nouveaux personnages avec un comportement "intéressant", et même bizarre.

Chacun a un pouvoir particulier que nous avons hâte de découvrir. Bien entendu, l'ennemi n'est pas en reste non plus.

De plus, y aurait il un traître dans le clan ? De sacrés combats survoltés vous attendent.

SÉRIE COMPLÈTE

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Ce manga se passe dans un monde où une partie de la population est dotée de pouvoirs et elle exerce sa puissance sur ceux qui en sont dépourvus.

Quand il était enfant, Mamoru a perdu sa meilleure amie qui a été assassinée alors qu’ils avaient fuit ensemble sur le continent. À l’âge adulte, il n’a qu’un rêve, se venger de la personne à l’origine de ce massacre… Pour parvenir à ses fins, il va demander de l’aide à Riko une jeune fille qui vit sur son île en se faisant passer pour une sans pouvoir…

Cette dernière fait un séjour en prison car elle est accusée d’avoir frappé un homme. Mamoru va lui rendre visite chaque jour en espérant l’amadouer, ce qu’il n’avait pas prévu c’est que la jeune fille accepte sa proposition de faire équipe parce qu’elle est tombée amoureuse de lui… Il va alors décider de se servir de ses sentiments pour atteindre son objectif, mais il se pourrait bien qu’il se fasse prendre à son propre jeu…

Après un 1er tome un peu alambiqué, la série avait réussi par la suite à trouver un rythme et un fil conducteur, je trouve ça dommage qu’elle ait dû être arrêtée si rapidement sans que l’auteur n’ait pu aller au bout des choses. Il y avait un potentiel avec le côté artificiel des pouvoirs et l’opposition entre les sans-pouvoirs et les extras. De même, les personnages auraient mérité d’être développés, notamment les membres de l’équipe qui semblaient tous avoir leur caractère. J’ai aussi apprécié le côté farfelu de l’humour, au début c’était trop, mais par la suite ça permettait d’apporter un petit plus dingo qui allait bien avec l’attitude de Mamoru et Riko. Et en plus, les dessins étaient chouettes…

Les petits mots de fin des auteurs font presque mal au cœur… Alors évidemment quand on sait sur quoi ils ont bossé avant (Sky High Survival pour l’un, The Killer Inside pour l’autre), on pouvait s’attendre à un autre registre mais je suis pas certaine que les auteurs devaient se blâmer autant pour leur échec… C’est triste de lire « c’est uniquement dû à mes lacunes »…

Espérons que leurs futures séries seront des succès commerciaux !

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La série continue à avoir ce mélange assez explosif, mais en fait il y a un gros souci. C'est le dernier tome, mais uniquement sur le papier, et par manque de ventes, et ce n'est pas du tout une fin, ce qui fait qu'on a totalement nuit à la série. Cela aurait été mieux de nous dire dans les bonus que la fin n'était pas désirée mais de nous offrir une fin potable, or là ce n'est absolument pas le cas. Elle a vraiment été brutalement écourtée.

Dans ce tome toujours plus fou, des combats de dingue, tout comme des révélations du même acabit, avec également un zeste de romance entre Mamoru et Riko qui ont l'air prêt à tout l'un pour l'autre.

Les pouvoirs déployés dans les combats continuent de nous ébahir.

Une énigmatique personne, au physique particulier et détonnant, va s'en mêler. Et les combats ne sont pas en reste.

Mamoru tout au long de la série nous démontre son bel esprit de déduction. Quel est son objectif aujourd'hui ? Ferait-il tout pour Riko ? Comment va-t-il réagir face aux révélations explosives de sa grand-mère ?

Alors que nous sommes bien plongés, nous voilà laissées en plan à jamais.

Extrait :

Dernier tome pour cette série courte mais totalement déjantée. Par curiosité, une fois ma lecture terminée, j’ai aussi lu la Postface (ce que je fais assez rarement, je l’avoue), j’ai découvert avec stupéfaction que la série avait été, en réalité, arrêtée au Japon faute de ventes suffisantes… Le plus désolant dans tout ça, c’est que l’auteur ne cesse de s’excuser en disant qu’il n’est pas à la hauteur, ce que je trouve bien bête, car pour ma part, j’ai beaucoup appréciée la série et j’aurais aimé en voir plus.



Comme vous vous en doutez sûrement après une telle introduction, la fin est au final, une fin ouverte. L’intrigue commençait à peine à entrer dans le vif du sujet que la voilà stoppée, pour une raison autre qu’un souhait de l’auteur. C’est triste qu’ils n’aient pas une solution alternative pour continuer de proposer la série (en format numérique, ou alors, juste en sortie dans les pays étrangers). Cela soulève aussi la difficulté du métier, puisque comme tout le reste, il y a de plus en plus de séries qui sortent et il est difficile de se démarquer pour toucher des gens, surtout en pleine inflation (ou avec la baisse du nombre de jeune au Japon peut-être ?). C’est bien que l’éditeur précise que la série est en quatre tome, je suppose qu’ils ne spécifient pas qu’elle a été stoppée car sinon ça ne ferais pas de vente, mais bon…



Avec ce tome, vient aussi des révélations, rapidement et assez maladroitement abordées. Cette révélation pourrait tout changer, mais laisse aussi en suspens de nouvelles questions, puisque les chefs des grands clans sont aussi au courant, et pourtant, ils laissent la preuve tranquillement chez les sans pouvoirs. Les explications sont aussi assez maladroites, je suppose que l’auteur souhaitait en parler plus tard dans l’intrigue, et n’avait donc pas prévu des explications aussi rapides. La relation entre les deux protagonistes évolue aussi au même rythme, mais semble moins sortie de nulle part, plus naturelle (même s’ils ont tous les deux une case en moins). Le design de la doyenne m’a d’ailleurs fait bien rire, elle me rappelle beaucoup l’un des personnages du voyage de Chihiro. Les pouvoirs de certains extras étaient originaux, même simple, bien pensés et bien utilisés, c’est dommage de ne pas en voir plus. Surtout quand on apprend qui est le coupable derrière tout ça, et qu’il n’a pas encore eu droit à son coup de karma. C’est un peu frustrant pour moi lectrice, alors je n’imagine même pas pour l’auteur, qui avait sans doute prévu bien plus…



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Alors que je ne suis pas sportive pour un sous, je suis par contre une grande adepte des mangas sportifs depuis toujours, peut-être grâce à la diffusion de titres comme Olive et Tom, Jeanne et Serge, ou les Attaquantes à la télé quand j'étais gamine. Alors forcément quand un nouveau titre dans cette veine sort, ça m'intéresse !



Swimming Ace d'Hajime Inoryuu et Renji Hoshi a en plus pour lui la promesse d'un format court qui me change de ce que je connais, car bien souvent les mangas sportifs sont des titres à rallonge et j'hésite quand même un peu dans ces cas-là. Mais ici avec 5 tomes d'annoncés je sais dans quoi je m'engage. Le titre est également parfaitement explicite, nous savons que ce sera l'histoire d'un as de la natation, mais les auteurs ont fait le choix judicieux de parler d'un ancien prodige qui est passé de la lumière à l'ombre et ça change tout.



HS : Petite anecdote, le scénariste Hajime Inoryuu est également celui de The Killer inside où il m'a bien surpris également par la tournure prise dans le deuxième tome.



Alors qu'en voyant la couverture, je pensais peut-être tomber sur une histoire légère, pleine d'entrain, mais peut-être superficielle, en découvrant l'intrigue au fil des pages, j'ai réalisé que celle-ci était plus profonde qu'annoncée. Dans ce shonen, qui comme beaucoup d'entre eux se déroule au lycée, nous suivons Eiichirô, ancien prodige de la natation, qui a abandonné ce sport dans lequel il n'arrivait plus à s'accomplir. Très jeune, il avait battu tous les records mais sans jamais parvenir à reproduire cet exploit, ce qui a gâché ce sport à ses yeux. Lui, qui y prenait tant de plaisir avant, ne faisait que passer son temps à courir ou plutôt nager après sa propre ombre. Il a donc abandonné au fil des ans. Nous le retrouvons des années plus tard, devenu lycéen et confronté à un jeune passionné de natation, qui tente de le défier car c'était son idole autrefois.



Un schéma classique mais très bien mis en scène. Les personnages sont crédibles. Ce sont de vrais adolescents avec des problèmes d'ados : filles, cours, famille. Leur passion pour la natation n'est pas feinte et elle n'est pas exagérée non plus. On sent juste des gamins vraiment investis qui veulent faire progresser leur club et enrichir leur culture sportive grâce à une saine émulation. Et c'est justement parce que c'est crédible et sans trop de surenchère que ça m'a plu. J'ai ressenti leur passion, leur amour même pour ce sport ainsi que l'amitié qui se nouait entre eux. J'ai aussi trouvé intéressant de parler du destin parfois pas rose des tous jeunes athlètes qu'on porte peut-être aux nues trop tôt avec les risques que ça occasionne.



Par contre, l'ambiance légère que je craignais est belle est bien présente lors de certaines situations et avec certains personnages qui m'ont moins convaincue. Je ne suis pas fan d'Ayukawa, l'amie d'enfance du rival autoproclamé d'Eiichiro. J'ai aussi un peu de mal avec Kôyô pris seul, il en fait des caisses et son background de gosse de riche me semble inutile. Certains gimmicks propres aux parutions shonens m'ont plusieurs fois fait lever les yeux au ciel tant je les trouve inutiles ici et plaquées comme ça, comme par obligation, je pense aux nombreuses vues de culottes et autres sous-vêtements féminins. On est loin du ecchi mais on est également loin du naturel plein d'humour d'Adachi, qui est un peu le maître en la matière, lui l'adepte de shonens sportifs se déroulant au lycée où les hormones travaillent beaucoup. C'est donc avec maladresse parfois que le décor lycéen est utilisé.



Cependant, l'ensemble du titre est vraiment sympa à lire, grâce à une narration simple mais efficace qui nous permet d'accompagner le héros dans ses questionnements et sa transformation le ramenant à sa passion première. L'idée de créer un groupe d'amis, passionnés eux aussi par la natation, autour de lui, est bonne. Cela crée une bonne dynamique et une bonne ambiance.



Graphiquement, on est par contre sur quelque chose de totalement générique qui ne brille pas par son originalité. C'est un trait assez vu et revu, qui ne s'anime vraiment que quand les personnages pratiquent un sport : natation ou athlétisme. Le reste du temps, c'est assez plat même si rien ne dépasse. On ressent bien le malaise du héros cependant.



Swimming Ace fut donc une agréable surprise. Même si j'aime les shonens sportifs, je n'attendais rien de ce titre car la couverture me faisait croire que ce serait trop léger. Or, j'ai été surprise par l'angle scénaristique choisi qui est plus profond que ce à quoi je m'attendais et me fait croire que ce sera vraiment prometteur. Ce premier tome n'est qu'une amorce, mais une belle amorce et je lirai la suite avec plaisir.
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Un manga sur la natation, ça change! De plus le graphisme est épuré, avec un brin d'élégance dans le dessin des personnages et des décors, ce qui est beaucoup plus agréable à parcourir que les habituelles exagérations.

Le héros a un côté désabusé ("Je fais partie de ces enfants précoces qui deviennent quelconques en grandissant") mais l'on sent que derrière l'apparente arrogance se cache un manque de confiance en soi ("L'enfant prodige est mort"). L'arrivée de Kôyo va obliger Eiichirô à affronter ses peurs, en tentant de faire renaître celui que tous admiraient tant.



J'ai trouvé les différents protagonistes bien campés. Haru est l'amie d'enfance directe et honnête ("C'est le Eiichirô qui pratiquait la natation que j'aimais..."). Ruka est une jeune fille pleine de vie et de candeur. Quant à Kôyô, il va se révéler un coach intransigeant! Tous s'efforcent de stimuler Eiichirô à raviver son esprit de compétition. Celui-ci a déjà amorcé une réflexion ("J'en étais arrivé à nager pour gagner. Et quand je n'y suis plus parvenu, je ne savais plus pourquoi je nageais.") et il a retrouvé le plaisir de nager. Maintenant il n'a "plus d'autre choix que de changer quelque chose en moi"... Mais le déclic se fera-t-il avant le relais 4x100m nage libre mixte du tournoi inter-lycées?
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Cette série démarre très bien, on attend la suite pour découvrir si les mangaka sauront en exploiter tout le potentiel.


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Une série courte en 5 tomes avec des volumes assez épais.

Dans ce premier tome on découvre surtout la mise en place de l'intrigue et les 4 personnages principaux. Parité respectée avec 2 filles et 2 garçons qui vont former une équipe de relais en natation. Chaque personnage a ses caractéristiques et comme toujours dans ce type de manga il y a quelques gags autour de la puberté dans un ton loin d'être grossier.

Une lecture plaisante sans recommandation particulière.
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Les éditions Pika nous reviennent avec le shonen parfait pour cet été et se détendre. Il appartient à leur label sportif, nous parle de natation et nous savons déjà qu’il sera en 5 tomes.

Classique mais efficace, il fait sourire et passer un bon moment, après ça dépend de ce qui vous plaît et de ce que vous recherchez.



La couverture met totalement dans l’ambiance. Un beau ciel bleu, des maillots de bain, et la piscine. Un beau programme.



Eiichirô Mizuno était un prodige de la natation en fin de primaire, il a explosé un record. Seulement c’est comme s’il s’était arrêté à ce moment là. Il n’a pas grandi. Il n’a jamais battu ce record.

Quand nous rencontrons le lycéen de 15 ans qu’il est devenu, il semble vide, désabusé, il a abandonné la natation et ses rêves.

Rien à voir avec le jeune écolier plein de fougue que nous voyons dans ses souvenirs.



Avec tous les jeunes gens que l’on va croiser, on peut se poser la question de la passion, des efforts, de l’utilité de nos efforts, de l’envie de gagner, si participer suffit, mais également du plaisir qu’on en retire.

Eiichirô Mizuno confronté par Kôyô Ebina qui lui voue une grande admiration, vu qu’il a en tête son image du passé, va finir par le convaincre de se remettre à nager. Eiichirô Mizuno y prendra-t-il plaisir ? Quel sera son niveau ? Que deviendra le poids de son passé ?



Eiichirô Mizuno a également toujours pu compter sur son amie d’enfance Haru Furuya, pour qui il semble avoir des sentiments amoureux. Concrétisera-t-il un jour cet amour ?

Haru Furuya semble faire les choses pour gagner, et pas seulement y participer, faire de son mieux.



Petit à petit se dévoile des traces du passé de ces deux là, voire d’autres personnages. Par ailleurs, le club de natation reprend forme, et ils se préparent même à participer à une compétition sportive.



Les plans d’eaux, les jeux d’ombre, quand ils nagent, c’est un pur régal pour nos yeux.

Néanmoins, ils se sont sentis obligés de nous rappeler que ce sont des adolescents, peut-être, en nous mettant des scènes en-dessous de la ceinture. Rien de bien grave non plus.



Si vous aimez le sport, et de surcroît la natation, et les shonen, cette histoire a de quoi vous faire passer un bon moment.
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Lorsque cette série a été annoncée, j’ai tout de suite su que je voudrais la découvrir. La natation est un des seuls sports qui m’intéressent et je n’ai jamais eu l’occasion de lire une série qui lui était consacré.



Eiichirô Mizuno était un des meilleurs en natation quand il était en primaire. Mais en grandissant, la tendance a commencé à s’inverser si bien que quelques années plus tard il s’est retrouvé beaucoup plus petit et moins athlétique que d’autres jeunes de son âge. Plus les compétitions passaient et plus il dégringolait dans le classement.



Il a fini par abandonner la natation en arrivant à la conclusion que cette discipline n’était pas faite pour lui ! Mais quand des personnes de son lycée, notamment un potentiel rival, Kôyo, vont le mettre au défi, il va finir par revenir sur sa décision.



J’aime bien l’idée de fond qui consiste à prouver qu’avec la motivation et même si on part avec un « handicap », on peut arriver à atteindre son objectif !



Ce premier tome est une bonne introduction à l’histoire et je lirai avec plaisir la suite à sa parution prévue pour le 26 août prochain ! ♥
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