AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de Heather Graham (194)


une folie qui prend des airs de sombre malédiction quand cette dernière est retrouvée pendue le soir même, et que cette mort soudaine est suivie d'autres tout aussi violente
Commenter  J’apprécie          10
Il sourit, songeant que lorsqu’elle haïssait, ce devait être de toute son âme. Et quand elle aimait, c’était sans doute avec une fougue et un abandon passionnés.
Commenter  J’apprécie          10
Le courage, c'est d'avoir peur et de continuer tout de même.
Commenter  J’apprécie          00
-Que se passera-t-il si j'étais le Mal incarné Magdalena ?
- Tu ne l'es pas .
- Je n'ai jamais voulu l'être.
La brume se leva. Le calice avait disparu,constata-t-elle. Elle ne se rappellait pas l'avoir posé sur la table ,pas plus qu'elle ne se rappellait s'être défaite de ses sous-vêtements...
Commenter  J’apprécie          00
Certes, c’était un amant attentionné : il savait être amusant, charmant. Il la faisait rire et la consolait par des caresses quand elle se sentait délaissée et qu’elle perdait confiance en elle-même.Mais il pouvait aussi être égoïste, méprisant et carrément méchant. Il avait un jour disparu avec la ravissante propriétaire d’une importante librairie plusieurs heures durant et s’était ensuite emporté contre sa jeune épouse lorsqu’elle avait voulu savoir le fin mot de l’histoire.
Commenter  J’apprécie          00
Dire qu’elle s’était montrée naïve serait un grossier euphémisme. Mais il était vrai qu’elle se remettait alors d’une situation malheureuse.
Commenter  J’apprécie          00
Elle était partagée entre l’envie de s’accrocher à lui et celle de le repousser. Comme d’habitude, elle éprouvait à son égard un incroyable mélange d’émotions. Parfois, quand elle était près de lui, elle avait l’impression d’étouffer. Mais elle n’était pas non plus totalement immunisée contre le charme sensuel qui l’avait séduite chez lui dès le début. En somme, la plupart du temps, elle était légèrement irritée à son encontre et plutôt indulgente.
Commenter  J’apprécie          00
Mais la partie était déjà lancée ; il n’avait plus le choix, désormais. C’était continuer jusqu’au bout ou se résigner à devenir fou. Et puis il ne devait pas qu’à lui seul la vérité et la justice. D’autres que lui étaient impliqués dans l’affaire, et il avait promis de tout recommencer, exactement de cette manière.
Commenter  J’apprécie          00
Après tout, elle s’était éloignée de lui avec une détermination implacable. De même, après son divorce, elle avait su tenir bon sous les assauts des médias. Pourtant, il se dégageait d’elle un charme irrésistible qui dénotait autant d’innocence que de raffinement. Un charme auquel il était toujours sensible, même s’il avait appris à ses dépens que les femmes les plus délicates et les plus fragiles pouvaient être les pires dévoreuses d’hommes.
Commenter  J’apprécie          00
Elle possédait une grâce et une beauté rares. Quoiqu’il eût pratiquement vécu en ermite au cours de ces dernières années, il s’était tenu au courant de sa carrière par l’entremise des journaux et de la presse à scandales. Les reporters s’étaient jetés avec d’autant plus de ferveur sur ce énième et retentissant divorce de McGraff que la victime en était cette jeune et ravissante créature.
Commenter  J’apprécie          10
C’était une jeune femme dont la splendide crinière blonde retombait librement sur ses épaules et cascadait le long de son dos. Elle avait un corps élancé, aux formes superbes, que mettaient magnifiquement en valeur le jean et le pull moulant qu’elle portait. Ses traits respiraient la féminité : un nez fin, droit et régulier ; des pommettes marquées et haut placées ; de beaux yeux bleus ; des lèvres pleines et charnues. Elle contemplait les scènes historiques avec intérêt – et une certaine tension. Un rire lugubre semblait près de lui échapper, car s’il s’agissait là de statues de cire, les scènes n’en étaient pas moins effrayantes, et elle était seule dans l’obscurité. Du moins le croyait-elle.Sabrina Holloway.Jon ne l’avait pas revue depuis trois ans et demi et, bien que sa présence en ces lieux le surprît, il était heureux qu’elle ait décidé de venir.
Commenter  J’apprécie          00
Tout homme normalement constitué ne pouvait qu’éprouver l’envie de la sauver. Quant au bonhomme qui la dominait, son tortionnaire… il respirait la méchanceté. Son regard étincelait d’une lueur sadique en prévision de la souffrance qu’il s’apprêtait à infliger.
Commenter  J’apprécie          00
Elle avait adopté un ton aussi aguicheur qu’exaspéré. Cependant il s’éloignait toujours. C’était un homme magnifique, avec sa haute stature, ses cheveux sombres, ses épaules larges, son corps musclé. Et elle était en train de le perdre.
Commenter  J’apprécie          00
Et il aimait mieux prendre les devants. Il n’était pas disposé à lui permettre de se jouer de lui, de le manipuler comme elle en avait l’intention.Elle projetait de s’en aller. Ce jour même. C’était la dernière carte qui lui restait en main. Elle espérait que son départ le toucherait plus que ses bouderies ou ses emportements.
Commenter  J’apprécie          00
Il privilégiait toujours ses propres projets, sa propre vie. Oh, son épouse pouvait bien être à ses yeux une femme merveilleuse, il ne lui en avait pas moins clairement signifié – et sur un ton horriblement sarcastique – qu’il ne laisserait aucune femme, jamais, le mener par le bout du nez.
Commenter  J’apprécie          00
"Une reine catholique revient gouverner un pays qui s'est converti au protestantisme l'année dernière..."
Commenter  J’apprécie          30
"Etait-ce un sourire sur ses lèvres ? Le raillait-il, au moment où elle mourait ? Alors même que sa vision se troublait, Gwenyth chercha une réponse dans ses yeux et y vit de l'angoisse, mais aussi une flemme secrète, comme s'il essayait de lui dire quelque chose que les autres ne devaient pas entendre."
Commenter  J’apprécie          10
"Par-delà sa terreur de mourir dans de terribles souffrances, elle était minée par le désespoir. Elle n'avait pas mesuré ce qu'elle sacrifiait pour défendre ses idéaux. Les regrets avaient ouvert dans son coeur une plaie béante qui saignait et brûlait comme si on y répandait du sel."
Commenter  J’apprécie          00
- Je ne suis pas un héros comme Quinn. Un super héros capable de tout affronter.
- Vous vous en sortez très bien, Bo Ray, dit Quinn d'un ton assurant. Et puis, beaucoup de gens dans cette ville ne me prennent pas pour un héros. Mais pour un ancien champion de football qui a mal tourné ! Nous empruntons tous des chemins différents. Il m'a fallu frôler la mort pour trouver enfin ma voie. Ca n'a pas fait de moi un super héro, simplement quelqu'un qui a décidé de combattre certains des pires maux de notre planète. De ceux qui ne s'expliquent pas facilement...Un peu comme la mort, en fait.
Commenter  J’apprécie          10
- Je peindrai la trahison et, avec elle, le pire monstre que je puisse imaginer.
- Qu'est-ce à dire ?
- L'homme, répondit Henry. Je peindrai la dépravation, la cruauté, la noirceur de l'âme humaine. J'examinerai mes propres démons et ils guideront ma main !
- Ah ! la noirceur de l'âme, répéta Mary, grandiloquente. La noirceur d'une âme baignant dans le sang !
- C'est d'accord, ma chère Mary, répondit Henry. Je peindrai tout le désespoir qui se soit jamais répandu entre ces murs. Avec du sang.
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Heather Graham (891)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz sur le livre "Le secret de l'île maudite" de Heather Graham.

Comment s'appelle le médecin légiste ?

Cutter Merlin
Franklin Valaski
Liam Beckett

10 questions
0 lecteurs ont répondu
Thème : Bone Island, tome 3 : Le secret de l'île maudite de Heather GrahamCréer un quiz sur cet auteur

{* *}