Citations de Heather Graham (194)
Bruce était là, en peignoir, ses cheveux mouillés plaqués vers l'arrière, le regard gris énigmatique.
- Si ça ne va pas, il vous suffit d'appeler, dit-il doucement.
- Si ça ne va pas ? murmura-t-elle.
- Si vous avez des cauchemars.
Elle croisa son regard, et ne vit que sollicitude dans ses yeux. Et soudain, le sentiment, la conviction subite et irréfutable qu'elle le connaissait - qu'elle le désirait - se fit jour dans son esprit.
Pourriez vous m'hypnotiser, monsieur Harrison?
Sans doute....
Vous êtes Lucien? L'ancien roi des vampires?
Oui c'est moi, répondit l'homme simplement.
Il valait mieux regarder la réalité en face que se mettre la tête dans le sable
Les enfants peuvent donner beaucoup d’amour aux grandes personnes
Bien sûr, la mort faisait partie de la vie. Mais mourir à l’âge où tout était encore possible, où tous les rêves étaient permis...
Un tueur en série allait de plus en plus loin, poussé par un sentiment d’invincibilité, jusqu’à ce qu’il commette une faute et se fasse attraper.
En grandissant, les filles restaient sûrement plus proches de leurs parents que les garçons. Ou peut-être mamie considérait-elle simplement qu’une femme était plus utile quand il s’agissait d’aider à tenir une maison.
L'espoir est un sentiment à double tranchant [...] ca aide à tenir le coup et c'est formidable quand ca se termine bien. Mais quand ca se termine mal...la chute 'en est que plus dure.
Les morts ne marchaient plus autour de lui. Ils étaient figés comme une rangée de poupées qu'aurait dechiquetées un enfant pervers, un bras ici, une tete là. Mais ces tetes séparées du tronc le scrutaient, l'implorant. Leurs levres desséchées remuaient sur une priere muette.
- Je vois, repondit-il, en se disant qu'en fait il était totalement ds le noir.
- Moi aussi, je me suis cogné la tete sur une pierre en tombant.(Susan)
- Pauvre pierre, murmura Dianne.
- Je t'ai entendu ! s'écria Susan.
- Ah oui? repartit Dianne d'une voix doucereuse en lui lancant un regard venimeux.
Il aurait dû reconnaître bien avant le sentiment qui le submergeait quand elle le dévisageait ainsi. Nombreux étaient ceux qui portaient sur lui le même regard, autrefois. Ses grands-parents, ses tantes et son cousin. Il souvint alors du bien être intense qu'il ressentait lorsque ces derniers le regardaient avec une confiance totale, sans l'ombre d'un soupçon dans leurs yeux.
Les fantômes faisaient partie intégrante de sa vie, un peu comme les allergies pour certaines personnes. Ils la surprenaient parfois, l'agaçaient d'autres fois. Et puis certains, comme Bartholomé, s'attardaient auprès d'elle pour une durée indéterminée.