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Citations de Hélène Monette (80)


Vous voulez le livre, je vous le donne pour vous.
- Ben, c'est que...
- Allez, mademoiselle. Est-ce que vous voulez autre chose?
Une grand-mère, peut-être, j'aimerais bien. Vous revoir.
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Je n’ai jamais su ce qu’était le bonheur. J’ai tenté d’apprendre maintes fois, j’ai toujours échoué. Je fais partie de ces êtres qui ne sont pas nés pour gagner. Perdre, perdre, toujours perdre, au point de me retrouver seule. Même toi, je t’ai perdu. Volontairement sans doute, mats perdu quand même. Et pourtant, si tu savais comme j’avais envie de t’aimer. Je t’ai donné mon sang, pas mes folles pensées, Dieu merci. Tu as grandi sans moi et je suis fière de toi. Ton père a réussi ce qu’on ne m’a pas appris. Donner de l’amour, pour en recevoir. Une leçon de vie qu’on n’apprend pas à l’agonie.
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Elle s’éloignait de lui peu à peu et, pire encore, elle s’en détachait physiquement. Sa bête, son animal, malgré sa fougue et son eau de toilette, ne la faisait plus jouir. Comme si, assouvie dans sa folle passion, son cœur s’était couvert de granit. Victoire éprouvait à peine le besoin de se donner à celui qui, hier encore, pouvait la garder jour et nuit sur son oreiller. Charme rompu? Pire, les sens ne quémandaient plus.
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Je veux bien croire que le cœur est le coffret des sentiments, mais j’ai des besoins, des attentes. Je suis un homme, quoi! Je ne peux pas passer ma jeunesse à quémander pour ne recevoir à tous les trois mois que des miettes, Victoire. L’amour, c’est aussi faire l’amour, je crois. Je veux bien comprendre que tu ne sois pas portée sur la chose, comme tu le dis, mais de là à m’en priver où à te donner inerte, les yeux fermés, il y a une marge. Le corps n’est pas fait que pour faire des enfants et si c’était le cas… nous n’en avons même pas.
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Pour elle, ce papa avait été un ange du ciel. Qu'importaient les larmes de sa mère qu'elle n'avait jamais vues ou les passe-droits qu'elle avait eu au détriment des autres. Son père, c'était de l'or en barre. Le cœur sur la main, il était prêt à tout... pour lle. Le seul fait de le voir épuisé, lui si fort, si à l'épreuve de tout, la peinait. Elle l'avait vu amaigri, les traits tirés, déprimé et malheureux, et le fait d'apprendre que sa mère était en cause lui mettait le cœur en pièces.
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Je bois parce que je souffre d’un mal qui ne se guérit pas. J’ai le diable en moi, Régis, que ça! Je pars parce que je ne veux plus causer de tort. Ne tente pas de me comprendre, tu n’y parviendras pas, Mais, de grâce, ne me juge pas.
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On ne meurt qu’une fois et c’est pour si longtemps.
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Les gens se tutoient dans le mouvement. C’est plus intime, ça rend à l’aise.
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On ne tutoie pas une personne que l’on ne connaît pas.
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Un homme avec un cœur de femme, ça se repent, ça s’excuse
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Qui se ressemble s’assemble.
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Sans doute pour s’imbiber le cœur de plus doux sentiments. Pour rêver, pour croire que, quelque part, un Adonis allait l’enlever et l’emmener sur une île déserte. Comme une adolescente en mal de passions. Comme une jouvencelle qui lit son premier roman de Paul Fèval. Comme une femme qui avait raté l’effet de ses premiers talons aiguilles.
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Pour une mère, voir partir son fils n’est pas une bénédiction.
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Si tu faisais l’amour avec plus d’ardeur. Un enfant, ça se désire, tu sais.
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Il avait accepté parce que, lorsque vêtue, Victoire était si belle qu’elle faisait l’envie de tous ses amis, La femme qu’on habille beaucoup plus qu’on ne déshabille. Celle qui. parfois, accomplissait son devoir comme on fait sa lessive. Une femme de chair qui, dès qu’elle était au lit avec lui, devenait mannequin de bois. Un aller sans retour. Rien, pas même quelques audaces, ne parvenaient à la sortir du marbre.
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Ce n’est pas de l’orgueil, Victoire, mais de la fierté. Je n’ai pas été habitué à tirer le diable par la queue, moi. Je n’ai pas un père fortuné pour vivre comme un palefrenier.
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Le pressentir et le vivre, c’est deux. Clément! Le rêve et la réalité, c’est bien différent.
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Gilbert faisait l’amour comme on faisait l’amour... autrefois. De temps en temps, sans le moindre travers, sans le moindre fantasme. L’amour à l’état brut, quoi! Sans passion, sans gestes osés, sans prononcer un mot. Un amour introverti. Un acte qui faisait partie de la vie.
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On ne déchire pas vingt ans d’une vie comme on le fait d’une vieille chemise.
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Elle n’est pas facile à écrire, cette lettre. Si tu savais ce que je ressens à la seule idée de te faire de la peine, mais que veux-tu? J’en aime une autre, je ne suis qu’un homme, je n’y peux rien.
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