AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Hernan Migoya (20)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Une Révolution nommée Raspoutine

Critique en musique :

"Raspoutine, et oui, Raspoutine..."

"Il y a bien longtemps un certain homme a vécu là, en Russie"

Il y côtoyait des princes, des espions, des gens de peu (gare de Nicolas II)

"Il était grand et fort, dans ses yeux une lueur flamboyante"

Le dessin de Manolo Carot magnifie ses expressions

"La plupart des personnes le regardaient avec terreur et crainte"

Surtout ceux que son influence auprès du Tsar gênait, ou qui voulaient s'en servir politiquement

"Mais pour les poulettes de Moscou, il était tel un charmant chéri"

Il ne se privait pas de leur donner du plaisir, à la moindre occasion...

"Il pouvait prêcher la Bible comme un prédicateur"

Ni moine, ni ascète, un chrétien socialiste, un moujik, un strannik

"Plein d' exstase et d ardeur"

Là encore le scénario développe cet aspect mystique

"Mais il était aussi ce genre de professeur que les femmes adorent"

On parle de sexe, le sien mesurait 33 centimètres

"Ra ra Raspoutine L'amant de la reine de Russie"

Ici, la bande dessinée ne développe pas cette « légende ». Il a les faveurs de la Tsarine pour une bonne raison, la vie de son fils.

"Il y avait un mauvais gars complètement fou"

Fou n'est pas le terme qui convient au traitement du personnage par Hernan Migoya : excessif plutôt... Quand à mauvais, pas du tout dans cette bande dessinée. Bienfaiteur des femmes plutôt...

"Ra ra Raspoutine"

Il n'y a pas que lui dans cette bande dessinée, il y a Ayn Rand

"La plus grande machine à amour de la Russie"

Vous l'avez compris, la plus grande...

"C'était une honte comme il a continué"

Dans la BD, la honte est plutôt destinée à l'entourage du Tsar, des pleutres, des espions, des arrivistes. Allié à une situation difficile, la guerre à l'Ouest, la famine.

"Il régnait sur la Russie et se fichait du tsar"

Mais il ne se fiche pas du peuple que ce même Tsar maltraite presque malgré lui dans ce chaos

"Mais il a dansé le Kasachok merveilleusement"

Très belle planche, sexe au vent

"Pour les affaires d'Etat il était celui à qui il fallait plaire"

Euh, c'est bien plus compliqué, on a plutôt l'impression que le Tsar cherche à composer avec diverses influences

"Mais il était très grand quand il avait une fille à serrer"

Bon, très grand, je crois que vous avez compris...

"Pour la reine il n'était pas un combinard

Bien qu'elle avait su les choses qu'il faisait

Elle a cru qu'il était un saint guérisseur

Qui guérirait son fils"

C'est la raison de son influence auprès de la Tsarine, ses dons chamaniques alliés à une ferveur religieuse (ça me rappelle une autre critique...) ayant apparemment fait des miracles...

Commenter  J’apprécie          192
Rapt à Lima

Roman graphique de 250 pages (tout de même) qui s'attache à nous faire vivre l'histoire vraie d'une jeune fille enlevé à Lima au Pérou. On passe souvent sans transition de ce qui se passe dans la tête de la jeune fille à l'enquête policière, des dissensions entre kidnappeurs aux angoisses de la famille qui attend.

L'intention est bonne, celle de nous montrer toutes les composantes, la réalisation est inégale : le choix du noir et blanc permet ainsi de rendre bien l'horreur et la froideur de tels moments... mais la couleur nous aurait aussi permis de mieux nous immerger dans l'Amérique du Sud et son soleil. Les longues retranscriptions des conversations téléphoniques entre la famille et les kidnappeurs permettent le réalisme... mais cassent le rythme du récit.

Bref, un essai vraiment intéressant... mais pas totalement transformé.
Commenter  J’apprécie          120
Une Révolution nommée Raspoutine

Grigori Raspoutine (1869-1916) occupe une place importante dans l'histoire de la Russie. Il fut confident et conseiller d'Alexandra Feodorovna, épouse du Tsar Nicolas II. Celle-ci assura la régence en 1915, alors que le Tsar était sur le front polonais (Grande Retraite). Raspoutine doit notamment son influence aux talents de prédicateur et de guérisseur qui lui furent prêtés. L'élimination, à sa demande, de l'aspirine des traitements d'Alexis Romanov, a pu suffire à améliorer l'état de santé de l'héritier du trône qui souffrait d'hémophilie. Les détracteurs de Raspoutine le présentèrent comme un espion, et dénoncèrent ses grands appétits sexuels qui 'rejaillirent' sur l'épouse du Tsar. Quelques aristocrates décidèrent de l'éliminer, et l'assassinèrent en décembre 1916 dans des circonstances encore incertaines et devenues légendaires : il aurait survécut à un empoisonnement, à de violent coups, à trois balles tirées à bout portant, et serait mort de noyade après avoir été jeté dans la Néva !

Voici pour l'histoire, que reprend plutôt fidèlement cette bande-dessinée. Il y avait avec ce personnage matière à un récit passionnant et palpitant.



Malheureusement, cette bande-dessinée raconte les événements de manière très confuse, voire incompréhensible si l'on ignore tout du personnage et du contexte historique. L'auteur a choisi de faire raconter l'histoire par un gardien de musée, insistant ainsi sur une spécificité anatomique du personnage (alors qu'il suffisait de la montrer une fois : "coucou la voilà").

Quant au graphisme, je n'y ai guère prêté attention tant j'étais absorbé par ma quête de compréhension.

Commenter  J’apprécie          102
Une Révolution nommée Raspoutine

L'histoire commence en Russie en 1916, nous suivons les derniers mois de Raspoutine (1869 - 1916), un moine russe qui a acquis une influence considérable sur la famille impériale russe grâce à ses prétendus pouvoirs de guérison. Homme habité, mystique, guérisseur et connu pour son appétit sexuel débordant, il plaisait aux plus démunis étant là pour soulager leur malheur, en revanche la noblesse ne supportant pas son influence auprès de la famille impériale souhaitait le voir disparaître...



Cet album nous fait suivre le déclin de cet homme en nous immisçant dans cette Russie du début du XXe siècle dans l'antisémitisme existant au coeur des croyances, dans l'oppression, dans la lutte des classes et dans les complots.



En bref, cet album offre une perspective intéressante sur cette période en Russie. le dessin est expressif, offrant des regards pénétrants et intenses qui captent notre attention. Les couleurs aux belles nuances de rouge et de bleu créent de belles harmonies. Quant au récit, il nous plonge au coeur d'un parcours tumultueux, nous dévoilant ainsi les multiples facettes de cet homme qui a marqué l'histoire de son pays.


Lien : https://www.instagram.com/bd..
Commenter  J’apprécie          50
Une Révolution nommée Raspoutine

L’homme au-delà du mythe



Le scénariste de Pepe Carvalho s’empare du personnage de Raspoutine pour tisser un récit passionnant qui nous entraîne dans la Russie prérévolutionnaire alors que le régime tsariste vit ses dernières heures…



Adulé par certains pour le souci qu’il a de soulager les souffrances du peuple, exécré par d’autres qui jalouse l’influence qu’il exerce sur la famille impériale ou que ses frasques insupportent, Raspoutine se sait condamné… Dans l’ombre, alors que les révolutionnaires fourbissent leurs armes, un complot mené par le prince Youssoupov œuvre à sa perte…



Le trait élégant et les couleurs sombres et lumineuses de Manolo Carot servent remarquablement le récit de Hernán Migoya, scénario et dessins se complétant pour composer un portrait subtil et nuancé de Raspoutine, personnage sulfureux, fascinant, ambivalent et éminemment romanesque…
Lien : http://sdimag.fr/index.php?r..
Commenter  J’apprécie          30
Vénus Pop

Les Venuses sont un groupe de musique pop. Venus est la chanteuse du groupe. Elles sont entre amies. Les Venuses sont en plein concert quand Venus est montée dans les airs et qu’un accident survient. Ses câbles de sécurité cassent et Venus tombe dans la foule. Un homme la rattrape. Personne n’est blessé. Plus de peur que de mal. Cette homme n’est autre que Morten, un membre du groupe Uhu. Morten l’invite à passer quelques temps ensemble. Venus part directement voir Cliff, son meilleur ami, pour qu’il s’assure qu’elle va rester elle-même à sa demande. Vénus et Morten passent la nuit ensemble, dans son studio, à travailler leurs musiques...



Migoya n’en est pas à son premier scénario. Il a déjà collaboré avec plusieurs dessinateurs. Il n’en ait pas à son coup d’essai. Les dessins de Man sont sobres et efficaces. Les détails sont minimalistes mais amplement suffisants pour vous laisser imaginer, tout en étant assez précis pour visualiser. Quelques clichés de la célébrité sont exploités, mais rien de too much. L’histoire de Migoya est réaliste et ingénieuse...
Lien : https://miniehouselook.wordp..
Commenter  J’apprécie          30
Une Révolution nommée Raspoutine

La figure iconique de Raspoutine a alimenté maint fantasmes depuis la mort de ce dernier, à une époque ô combien charnière de l’Histoire de la Russie, inspirant maints réalisateurs, écrivains et scénaristes.

Hernan Migoya vient ajouter sa pierre à l’édifice avec cette bio toute aussi romancée que les autres en allant extrapoler que celle qui allait devenir Ayn Rand, alors toute jeune, ait rencontré le moine fou et qu’ils se soient “influencés” l’un-l’autre.

Après tout pourquoi pas, l’élément ne rajoute pas forcément à la légende de celui qui fût le confident- si ce n’est plus- de la dernière tsarine de Russie, influençant en sous main son empereur d’époux, ce qui lui vaudra l’inimitié voire la haine de maintes personnes haut placées qui fomenteront un assassinat rocambolesque s’il en est.

Le trait anguleux et expressif de Manolo Carot est juste parfait pour narrer cette histoire furieuse, pleine de luxure et de violence; et on se dit d’ailleurs que l’album, aurait pu comporter quelques scènes de sexe de plus (Carot oeuvre pas mal dans le genre), Raspoutine étant réputé pour avoir été un jouisseur hors normes, ce qui aurait peut être apporté un plus à un album autrement assez classique dans son propos.

Avec une B.O : http://bobd.over-blog.com/2023/06/ra-ra-raspoutine/une-revolution-nommee-raspoutine-vs.espion-leve-toi.html
Lien : http://bobd.over-blog.com/20..
Commenter  J’apprécie          20
Vénus Pop

Le chara design est digne des meilleurs comics cependant, j'ai trouvé qu'il ne rendait pas assez justice à la beauté des personnages tels qu'ils nous sont décrits.

J'ai aussi trouvé que les transitions entre les scènes n'étaient pas très claires. Aussi, l'histoire évolue trop rapidement pour être assez fouillée.

Les aventures de Venus sont assez invraisemblables et rocambolesques, et j'ai été assez déçue que les péripéties ne concernent pas toutes directement le monde de la musique.

Je n'ai ni aimé ni détesté cette BD. Je pense que je n'étais simplement pas la cible. La faute m'en revient car je l'ai choisie sans savoir que c'était une bande dessinée, or je n'en lis jamais.

Mais objectivement, c'est une bonne histoire avec du contenu mouvementé, des personnages charismatiques et des thèmes importants.
Lien : https://lecturoir.wordpress...
Commenter  J’apprécie          20
Divine vengeance

Un one-shot rude, glauque et assez décousu. Les auteurs espagnols Herman Migoya au scénario et le duo Bernardo Munoz et Diego Olmos délivre une vision sans concession et profondément torturé de la guerre civile espagnole dans les années trente. Pour cela, leur tragédie est centré sur le point de vue d'une bonne soeur qui subit un viol par des miliciens communistes. Après avoir erré sans but dans la rue, elle trouvera l'occasion de se venger en s'infiltrant dans l'armée et pour cela, elle se fait passer pour un homme.

Alors, c'est une bd franchement glauque. C'est un parti pris dont la violence physique, psychologique et graphique surgit dès les premières pages avec l'acte du viol, la chute de la statue du Christ ou encore la présence d'un cadavre d'un mort-né. Les visages sont furieux, désespérés et vraiment antipathiques comme si le graphisme lisse ne parvenait pas à capter la moindre étincelle d'humanité chez les gens.

Personnellement, j'ai eu du mal avec le dessin de Bernardo Munoz qui, a priori, se serait illustré auparavant dans une collection italienne de bd érotique ainsi que pour sa participation à la trilogie Fraternités, une petite fiction historique à l'aube de la révolution.

Malgré ce cv , j'ai pas vraiment adhéré à son trait réaliste que j'ai trouvé assez bancale, c'est expressif et en même temps, c'est lisse, les personnages sont parfois interchangeables. Alors, certes, c'est un one-shot qui mise beaucoup sur la violence graphique à coup de colorisation alertes, de souffrances. Graphiquement, cette bd ne donne aucun repos.

Alors, c'est un parti pris. Moi, cela m'a un peu dérangé car il y a beaucoup de bruit mais c'est mal assorti avec une narration assez brouillonne. Le passage au travestissement est complétement passé au silence, une ellipse malvenue qui raccourcie radicalement le titre. De plus, les personnages ne sont pas marquants donc la vengeance se perd un peu de vue et, du coup, j'ai trouvé certaines situations confuse du genre " ah mais c'est qui lui déjà ? " devant la mort de tel ou tel personnage.

Bref difficile, très difficile de faire un one-shot de 58 pages pour une tragédie aussi dense car tout n'est pas à jeter dans cette divine vengeance.

J'ai bien aimé le coté "profane " de cet album qui joue avec la désacralisation, le blasphème, il y a quelque chose de fort dans le portrait de cet ange déchu. De même, c'est un récit de guerre sans concession, une tragédie déshumanisante qu'on regarde avec appréhension et recul. Les auteurs ont parfaitement su véhiculer la dureté de cette période.

Il y avait donc de bonnes bases mais, sans une ossature correcte, tout tombe par terre.

Divine vengeance est une bd très médiocre dont la rudesse et l'ambiance blasphématrice n'éclipse pas la maladresse de la narration et la qualité relative du graphisme .
Commenter  J’apprécie          20
Vénus Pop

J’avais bien aimé le dessin de Man sur Le Client avec Zidrou, mais le sujet de Vénus Pop ne m’emballait pas plus que ça.

C’est par l’intermédiaire de mon ainée, qui a flashé sur l’album, que j’ai fini par y jeter un œil.



Si effectivement je ne suis pas la cible visée, voyons voir ce que l’intéressée en a pensé :



« J’ai trop aimé cette histoire de chanteuse qui hésite entre deux amoureux, même si je n’ai pas aimé quand l’un des deux l’enferme dans une maison avec de la drogue ; le dessin est sympa et les couleurs super mais je trouve les visages bizarres des fois (un peu lisses).

Ca donne une idée de ce que doit être le monde des stars qui vivent pas comme nous et on croit qu’elles ont de la chance et tout mais en fait ça doit être dur des fois de pas vivre une vie normale »

Commenter  J’apprécie          10
Rapt à Lima

Les auteurs nous racontent l'histoire de Mélina, une jeune étudiante enlevée sur le chemin de l’université par un groupe se disant appartenir au "Sentier lumineux". Ils demandent contre sa libération une rançon que ses parents ne peuvent assumer. Mélina va devoir résister psychologiquement à sa détention. Le sujet, inspiré d'une réelle histoire, est intéressant, cependant, j'ai trouvé la bande dessinée parfois très longue, les dialogues sont peu intéressants et les dessins ne m'ont pas non plus convaincus. Tout de même, je n'ai pas passé un moment désagréable.
Commenter  J’apprécie          10
Olimpita

Qu'il est donc dur d'être une femme battue,abusée,soumise,exploitée!

"Tu vas te taire, oui ou merde!"

"Tu déprimes ou quoi?" s'étonne Carmelo,brute incapable de comprendre ses silences, ses vagues à l'âme et sa frigidité.

Alors Olimpita se venge, "Tchac", sur les têtes de poissons du stand du marché de Barcelone, où ils triment tous deux.

La vie est dure pour tous, surtout pour les sans papier Noirs, les immigrés qui s'exilent, travaillent au black ou ne travaillent pas, quémandent,s'entassent dans des dortoirs insalubres....

"Monsieur,il y a pas pour moi Monsieur?"

Ass, vient du Ghana, avec sa culture,son sourire,son soleil, son désir du corps d'Olimpita qui réussit à le faire embaucher.

Mais la vie n'est pas simple.

"Paf" "Claf" "Claf" "Je t'aime trop" d'un côté.

"Ahhh!" "Pourquoi tu ne l'as pas tué ?" de l'autre.

Comment Olimpita émergera-t-elle du trou noir où elle s'est fourrée?

Dans quel piteux état?

Et Ass, écartelé? Sous-homme: vision raciste et surhomme:vision sexe (dessins crus zoomés fort appropriés!)

Un drame de la misère humaine et de la folie qui s'en suit pour dénoncer les abus du machisme,le sort douloureux des femmes battues (qui sont tellement soumises à leur bourreau qu'elles sont incapables de le dénoncer) et le sort poignant des étrangers mal ou si peu considérés.

Des dessins en noir et blanc,sans fioritures avec gros plans qui traduisent bien les expressions des visages et l'intolérance ambiante.

Une BD adulte engagée, sans tabous, qui revisite le mythe de Carmen violente à force d'encaisser, texte du réalisateur et scénariste espagnol Hernan Migoya accompagnée des illustrations du cartoonist et photographe Joan Marin.

Et une réflexion qui en dit long sur les différences de point de vue: là où certains voient un homme mort, d'autres repèrent une paire de mocassins neufs!

Emouvant et fort, car si vrai!

Commenter  J’apprécie          10
Une Révolution nommée Raspoutine

Le trait expressif, l’attention portée sur les regards et l’utilisation intelligente des couleurs rendent cette reconstitution historique de la chute des Romanov à la fois touchante et saisissante.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
Commenter  J’apprécie          00
Une Révolution nommée Raspoutine

Quel a été le vrai rôle, l’importance politique, l’influence sur le tsar Nicolas II, ses dons, son intelligence redoutable ? Deux auteurs espagnols reviennent dans le détail sur ce personnage qui aurait peut-être pu influer sur la révolution russe mais sera assassiné.
Lien : https://www.ligneclaire.info..
Commenter  J’apprécie          00
Vénus Pop

pas du tout convaincue par cette bd. je n'ai pas aimé le dessin très irrégulier, je ne suis pas fan de la mise en couleur et j'ai vraiment eu du mal à ne pas refermer la bd sans la finir. Elle m'a tout simplement ennuyé. je l'ai trouvée sans saveur.

je pense que je ne suis pas le public cible de cette bd.
Commenter  J’apprécie          00
Rapt à Lima

Joan Marín et Hernán Migoya signent une intrigue psychologiquement dense et un suspense rebondissant qui tient en haleine tout au long de ces 272 pages.
Lien : http://www.bdencre.com/2013/..
Commenter  J’apprécie          00
Rapt à Lima

Récit d’un enlèvement dans le Pérou des années 1990, "Rapt à Lima" de Joan Marin et Hernan Migoya reste malheureusement englué dans les poncifs et les longueurs narratives.
Lien : http://www.actuabd.com/Rapt-..
Commenter  J’apprécie          00
Olimpita

Noble entreprise que de vouloir aborder ces deux thématiques délicates de plein front, mais malheureusement, l’intrigue d’« Olimpita » connaît pas mal de ratés. Si les coups de pinceaux mélancoliques et les regards vitreux et désespérés des personnages sont justes, le récit s’égare dans une foule de clichés et situations cousues de fil blanc.
Lien : http://www.actuabd.com/Olimp..
Commenter  J’apprécie          00
Olimpita

Oeuvre intime et universelle à la fois, Olimpita dégage une force rare, et trouble longtemps.
Lien : http://www.bodoi.info/critiq..
Commenter  J’apprécie          00
Olimpita

C'est un album cru, sec, qui pointe les rêves de chacun, les compromissions de tous et la façon dont on s'arrange avec sa propre morale.
Lien : http://rss.feedsportal.com/c..
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Hernan Migoya (73)Voir plus

Quiz Voir plus

Karine Giebel ou Barbara Abel

Je sais pas ?

Karine Giebel
Barbara Abel

10 questions
66 lecteurs ont répondu
Créer un quiz sur cet auteur

{* *}