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Citations de Idries Shah (83)


Celui qui goûte connaît.
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Par cent et mille voies tu dois retourner à moi !
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Idries Shah
Sayed Sultan a dit :
Si tu pries, et que tu en éprouves de la satisfaction, ta prière t'a rendu pire. En ce cas, cesse de prier jusqu'à ce que tu aies appris à être réellement humble.
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Il n'arrive pas malheur à qui connait ses possibilités.
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le savoir sans action, c'est la cire sans miel.
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Etudie les frelons auprès de ceux qui ont été piqués par eux.
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Voici enfin que j'apprends , dit Yunus,que la compréhension d'un homme est fonction de son aptitude à comprendre.
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Nasrudin rend visite à un prêtre connu pour sa pingrerie.

« Veux-tu manger un morceau ? » demande-t-il au Mulla.

Quand on apporte le plat, celui-ci constate qu’il s’agit véritablement d’un morceau.

Sur ces entrefaites, un mendiant passe la tête par la fenêtre.

« Va-t’en, ou je te tords le cou ! crie le prêtre.

— Frère, dit Nasrudin au mendiant, sauve-toi vite, car voici pour une fois un homme qui n’exagère pas ! »
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Tant que votre avidité vous empêche de distinguer l’illusion de la réalité, un derviche ne peut rien vous montrer de réel. Il ne peut vous montrer que l’illusoire. À ceux qui se nourrissent d’illusions et de rêves, on ne peut donner comme nourriture que l’illusoire et l’imaginaire.
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Un derviche vint trouver un maître soufi et lui dit :
« Noble guide, je désire apprendre de toi tout ce que je pourrai ensuite communiquer aux autres. »
Le soufi lui dit d’aller tous les jours au jardin et d’y donner à manger aux oiseaux et aux animaux, jusqu’à ce qu’ils viennent à lui toutes les fois qu’il paraîtrait.
C’est ce que fit le derviche. Pendant trois ans. Au terme de cette période, il revint voir le soufi.
« Les oiseaux et les animaux viennent à moi chaque fois que je me montre à eux, dit-il.
– Veux-tu encore apprendre afin de transmettre aux autres ? » demanda le maître.
Le derviche répondit :
« Je sais maintenant que je dois apprendre tout ce que je peux apprendre, et non essayer d’apprendre dans un but déterminé tant que je ne connais pas la valeur du but. »
Le soufi lui dit :
« Maintenant, tu peux commencer à apprendre. Si ton attention n’avait pas été fixée sur les oiseaux et les animaux, ton esprit réel n’aurait pas été capable de résoudre ce problème de compréhension. L’attention exige un objet, comme la flèche exige une cible. Mais avoir une flèche dans une cible tout le temps, ou avoir toutes les cibles pleines de flèches, ou avoir tous les archers tirant à la fois, ou avoir des gens qui pensent que tirer à l’arc est absolument nécessaire alors qu’ils peuvent faire autre chose, et être autre chose qu’un archer, tout cela est la marque de la stupidité et conduit tout droit à l’oubli. »
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Il était une ville, au-delà de Ghor, dont tous les habitants étaient aveugles.

Un roi, ses courtisans et ses hommes d'armes arrivèrent un jour à proximité. Ils établirent un camp dans le désert, aux portes de la ville.

Ce roi possédait un éléphant qu'il lançait dans la bataille pour terrifier et écraser l'ennemi.

Nos aveugles brûlaient de voir l'éléphant. Quelques-uns se précipitèrent comme des idiots à sa découverte. Puisqu'ils ne savaient pas quelle forme ni quelle allure cela avait, ils cherchèrent à l'aveuglette, recueillant des informations en palpant telle ou telle partie du corps de l'éléphant.

Chacun crut avoir découvert ce que c'était parce qu'il en avait touché un élément.

Quand ils furent de retour parmi leurs concitoyens, des groupes avides se rassemblèrent. Ces gens étaient impatients d'apprendre la vérité de la bouche des égarés. Ils posèrent des questions sur la forme et l'apparence de l'éléphant, écoutèrent ce que les palpeurs leur en dirent.

Celui dont la main avait atteint une oreille fut interrogé sur la nature de l'étrange créature.

"C'est une grande chose rugueuse, large et ample, dit-il. Ça ressemble à un tapis."

"Moi, je sais de quoi il s'agit : c'est une sorte de tuyau, affreux et destructeur !" s'exclama celui qui avait posé la main sur la trompe.

"C'est une sorte de pilier vivant", déclara celui qui avait palpé une patte.

Chacun avait touché une partie du corps de l'éléphant. Tous l'avaient mal perçue. Aucun ne connaissait le tout : la connaissance n'est pas la compagne des aveugles. Tous imaginaient quelque chose, tous se trompaient.

Le créé, que sait-il de la divinité ? Les voies de l'intellect ordinaire ne sont pas la Voie de la Science divine.

[Ce conte est plus connu sous la forme que Rumi lui a donnée dans son Mathnavi ("L'Éléphant dans la maison obscure"). La présente version est celle de Hakim Sanaï, maître de Rumi (Le Jardin clos de la Vérité, Livre I). Sanaï est mort en 1150. Les deux versions sont elles-mêmes des interprétations d'un argument utilisé par les maîtres soufis depuis de nombreux siècles.]
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Un homme habillé en soufi, passant dans la rue, frappa un chien de sa canne. L'animal, jappant de douleur, s'enfuit chez le grand sage Abu-Saïd. Se jetant à ses pieds et levant sa patte blessée, il demanda que justice lui soit rendue contre le soufi, qui l'avait si cruellement traité.

Le sage convoqua le soufi.

« Ô insouciant ! lui dit-il en présence du chien. Au nom de quoi t'es-tu permis de traiter de la sorte un pauvre animal ? Vois ce que tu as fait !

– Ce n'est pas ma faute, loin de là ! répondit le soufi. C'est la faute de ce chien. Je ne l'ai pas frappé par caprice, je l'ai frappé parce qu'il avait posé ses pattes sur ma robe. »

Le chien continuait de se plaindre.

Alors le sage sans pareil s'adressa à la pauvre bête :

« Plutôt que d'attendre l'Ultime Compensation, laisse-moi te donner une compensation pour apaiser ta douleur. »

Le chien dit à Abu-Saïd :

« Grand sage ! Quand j'ai vu cet homme revêtu de la robe des soufis, j'ai pensé qu'il ne me ferait aucun mal. Si j'avais vu sur mon chemin un homme portant un vêtement ordinaire, je l'aurais sûrement évité. Devant la robe des gens de la Vérité je me suis cru en sécurité. Là fut mon erreur. Si tu veux le châtier, dépouille-le du vêtement des Élus. Arrache-lui cette robe, qui revêt les hommes de droiture... »

Le chien occupait un certain rang sur la Voie. Il est faux de croire qu'un homme est par nature supérieur à un chien.

[Le « conditionnement », représenté ici par la « robe du derviche », est souvent pris à tort par les ésotéristes et les esprits religieux de toute espèce comme le signe de la valeur ou de l'expérience réelles.

Cette histoire, tirée de l'Ilahi-Nama (Le Livre divin) d'Attar, est souvent racontée par les derviches qui suivent la Voie du Blâme. Elle est attribuée à Hamdun le Blanchisseur (IXe siècle).]
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La kabbale a été introduite en Italie et en Espagne à partir de la Syrie. Le système de manipulation des mots sur lequel elle repose est sans doute dérivé d’un enseignement juif ancien et parallèle, mais il est basé sur la grammaire arabe. Il existe sur ce point un lien singulier entre le courant soufique et les juifs, ce qui explique pourquoi certains maîtres soufis ont souligné l’identité fondamentale des deux traditions. Voici quelques-uns des faits qui mettent en évidence le lien entre les soufis et les mystiques judéo-chrétiens.

Ibn Masarrah d’Espagne fut un précurseur de Solomon Ibn Gabirol (Avicebron ou Avencebrol), qui propagea ses idées, lesquelles « influencèrent le développement de la kabbale plus qu’aucun autre système philosophique », constate la Jewish Encylopaedia. Et, comme l’on sait, Ibn Gabirol, le disciple juif du soufi arabe, exerça une immense influence sur la pensée occidentale. Dans son système kabbalistique, le maître juif Azriel donne à Dieu le nom d’EN SOF, l’absolument infini. C’est ce même Azriel qui entreprit d’expliquer la kabbale aux philosophes après qu’elle eut été introduite en Europe. Il est incontestable que les études grammaticales arabes, qui incluaient l’approfondissement des mots, sont à la base de leur maniement à des fins mystiques par les kabbalistes. La grammaire arabe servit de modèle à la grammaire hébraïque. Comme toutes les grammaires anciennes elle était écrite en arabe, et intitulée Kitab al-Lugha : « en arabe et compte tenu de la philologie arabe » (Jewish Encyclopaedia, vol. 6, p. 69). Il fallut attendre le milieu du XIIe siècle pour que les Juifs commencent à étudier la grammaire hébraïque en hébreu.

Les soufis et les Frères de Basra avaient divulgué ce qu’ils tenaient pour un enseignement très ancien, la tradition secrète de l’accomplissement et du pouvoir, et ils l’avaient transmis aux Juifs arabisés. Les kabbalistes juifs adaptèrent cet enseignement à la pensée juive contemporaine, et la kabbale des Arabes devint la kabbale des Juifs (…) l’impact du système soufi sur les mystiques juifs dits « Conducteurs du Merkabah (Chariot) » a été si profond que certains des phénomènes (la transition des couleurs, puis le passage à l’absence des couleurs) décrits par ceux-ci sont identiques à ceux dont le soufi peut faire l’expérience. Le hassidisme, pratique d’une piété mystique qui apparut en Pologne au XVIIIe siècle, n’est pas seulement « la continuation effective de la kabbale, mais il semble qu’il soit basé sur le soufisme ou une partie de la kabbale identique au soufisme ». La même source souligne « l’analogie frappante » entre les pratiques deux systèmes. (pp. 309-310)
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Dans son Trésor des mystères, l’illustre poète Nizami – mais il est loin d’être le seul à cet égard – fait référence à la cryptographie des soufis. Ce mode de communication entre initiés présente l’avantage de mettre la pensée profane en relation avec les dimensions supérieures, avec l’ « autre monde » dont l’humanité ordinaire est coupée. La langue varie dans sa formulation en fonction de l’époque et de la culture, mais sa nature et son fonctionnement demeurent les mêmes (…) le système de base utilisé est le système abjad, code de substitution relativement simple, souvent couplé avec une mise en allégorie du recryptage. Il s’agit d’un procédé très répandu en littérature (…) les noms, les dates de naissance et de décès, les termes expriment le caractère ou les aspirations d’une personne, sont souvent élaborés à partir de ce système.
(…)
Voyons maintenant le mystérieux mot « soufi », qui est lui-même un sujet de perplexité et d’interrogations. Décodé suivant ce système, il s’avère être composé comme suit :

Les consonnes figurant dans ce mot sont : S = 90 ; W = 6 ; F = 80 ; Y = 10. Elles font un totale de 186. Pour le déchiffrer, il nous faut décomposer ce nombre en centaines, dizaines et unités, soit : 100, 80 et 6, que l’on convertit, pour obtenir les lettres correspondantes : 100 = Q ; 80 = F ; 6 = U. Celles-ci peuvent être réorganisées de différentes manières, pour former des racines arabes de trois lettres, lesquelles sont toutes indicatives de certains aspects du soufisme. La principale interprétation est FUQ , qui signifie « au-dessus, transcendant ». C’est ainsi que le soufisme est dit « philosophie transcendante. »

Les noms des auteurs et maîtres soufis sont choisis avec le plus grand soin. Ils représentent une qualité, une formulation ou une note dominante qu’il convient de discerner dans leurs œuvres ou, tout du moins, dans l’œuvre où elles apparaissent (…) Attar, par exemple, signifie l’Apothicaire ou le Marchand de parfums. Sur le plan poétique, ce nom est suffisamment évocateur. Si nous le décodons pour en extraire l’essence, nous trouvons le nombre 280. En décomposant ce nombre par ordre de grandeur (centaines, puis dizaines), nous obtenons 200 et 80. Reconvertissons ces valeurs en lettres : 200 = R ; 80 = F. Le mot qui représente l’essence (dhat) de ce nom est RF ; le dictionnaire nous apprend qu’en arabe il désigne « le voltigement d’un oiseau ». Or le chef-d’œuvre d’Attar s’appelle le Parlement des oiseaux. Qui plus est, le choix de la racine RF vise à faire passer différentes idées : « fulgurer (l’éclair) ; scintiller ; briller (la couleur) ; être agité par le vent ».

L’éclair fait référence à l’intuition, la brillance à la projection de l’enseignement et à l’usage des couleurs chez les soufis. Le sens d’ « agiter », qui dans cette racine se rapporte à une plante dans le vent, renvoie aux mouvements pratiqués dans les exercices derviches. Attar choisit en outre l’allégorie de la plante parce que, pour ses adeptes, le soufisme est, par nature, croissance et adaptation à caractère organique et nécessaire. Le vent qui agite la plante est le souffle divin, la force impalpable que l’on reconnaît essentiellement à son effet (sur la plante). (pp. 161-165)
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Khayyam est la voix soufie, et la voix soufie, pour le soufi, est intemporelle. Dans le domaine poétique, les théories chronocentriques n’aident guère à la capter. Il n’est pas faux de dire que Khayyam a été redécouvert en persan grâce au succès des traductions, à condition d’ajouter cette rectification : « Khayyam n’était pas très connu des non-sous en Iran il y a relativement peu de temps encore. Grâce aux efforts, il est vrai, des érudits occidentaux, son œuvre y est devenue familière à beaucoup de non-soufis. »

Le professeur Cowell, qui fit connaître Omar à FitzGerald, et lui enseigna le persan, découvrit le contenu soufi de l’œuvre de Khayyam au cours d’entretiens avec des spécialistes indiens de la littérature persane (…) inquiet de voir tant d’étudiants musulmans anglophones en Inde porter aux nues Khayyam dans la version FitzGerald, un théologien musulman orthodoxe fit circuler une mise en garde. Dans une brochure largement diffusée, The Explanation of Khayyam (Molvi Khanzada, Lahore, 1929), il fait ce qu’il peut pour replacer le problème dans le contexte qui est le sien. D’abord, il soutient, non sans raison, que FitzGerald ne connaissait pas très bien le persan. Puis il affirme que Cowell ne le connaissait pas bien non plus. (« Ils gribouillaient l’un et l’autre, comme de jeunes enfants. ») Qui veut lire Khayyam doit commencer par étudier le persan, souligne-t-il ; et avant d’abord Khayyam et un sujet aussi complexe que le soufisme, il convient d’avoir déjà de bonnes bases en ce qui concerne l’islam ; pour finir, « Khayyam » est un terme générique qui s’applique à un mode d’enseignement propre aux soufis et que l’on ne peut, sans se fourvoyer, adopter tel quel à partir des livres si l’on est pas guidé par un maître.
(...)
Du point de vue soufi, les poèmes de Khayyam remplissent des fonctions multiples. On peut les lire pour leur seul contenu apparent ; on peut les réciter dans des conditions bien précises pour modifier le champ de conscience ; on peut les « décoder » pour obtenir des éléments utiles dans les études soufiques.

La poésie de Khayyam fait partie intégrante du patrimoine soufi et, en tant que telle, joue un rôle polyvalent dont la compréhension est elle-même un aspect d’une étude spécialisée.

Un des grands maîtres du XIXe siècle, Jan-Fishan Khan, chef des soufis de l’Hindou Kush, se servait des quatrains d’Omar dans son enseignement. (pp. 155-158)
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Dans les temps historiques, ils se manifestent principalement dans le cadre de l’islam. On trouve parmi eux de grands théologiens, des poètes et des savants renommés. Ils ont adopté la théorie de l’atome, et défendu l’idée d’évolution six cents ans avant Darwin. Certains ont été salués comme des saints, d’autres ont été persécutés, et même exécutés, en tant qu’hérétiques. Ils enseignent qu’il y a une vérité unique à la base de toutes les formes revêtues par le phénomène religieux.

Certains d’entre eux ont dit : « Je ne crois en rien », d’autres : « Je crois en tout. » Certains ont affirmé : « Chez les soufis vous n’entendrez pas de propos légers » ; d’autres, à l’inverse : « Pas de soufi sans humour. » La scolastique et la mystique s’opposent. Or les soufis ont donné naissance, entre autres, à une école scolastique et à une école mystique. Etaient-ce des écoles islamiques ? Non, c’étaient des écoles chrétiennes liées aux Augustiniens et à saint Jean de la Croix, ainsi que l’a établi notamment le professeur Palacios. Loin d’être un « mystique oriental », le soufi apparaît dans ce contexte comme le précurseur des mystiques et des philosophes catholiques. Et ce n’est pas tout. Le café est devenu une boisson courante : les derviches ont été les premiers à boire le café torréfié afin d’accroître la vigilance. Nous portons des vêtements dérivés des leurs (chemise ; ceinture ; pantalons) ; nous écoutons leur musique (musique andalouse ; musique rythmée ; chants d’amour) ; nous dansons leurs danse (valse ; morris dance) ; nous lisons leurs histoires (Divine Comédie de Dante ; Robinson Crusoë ; contre de Chaucer ; histoire de Guillaume Tell) ; nous employons leurs formules traditionnelles (« moment de vérité » ; « esprit humain » ; « homme idéal ») ; et jouons à leurs jeux (cartes). Nous appartenons, ou avons appartenu, à des sociétés dérivées de leurs, telles que la franc-maçonnerie et certains Ordres de chevalerie, ainsi que nous le verrons plus loin. (pp. 53-54)
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Les êtres humains prennent une partie d'un schéma et tentent de la souder à un autre. Ils trouvent ainsi, invariablement, ce qu'ils s'attendent à trouver, non ce qui est réellement là.
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Parle à chacun en tenant compte de son niveau de compréhension.
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La preuve doit accompagner l'énoncé.
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Un homme n'obtient de réponses à ses questions qu'en fonction de son aptitude à comprendre et du degré de sa préparation.
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