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Citations de Ingrid Astier (174)


Et tu sais quoi ? Ils me font chier aussi avec leur santé. Sans rire, aujourd'hui, c'est une dictature, la santé. Tu dois faire ci... tu dois faire ça... Et tu ne dois surtout pas faire ci et encore moins faire ça... Sans déc', j'ai pas atteint la majorité pour que mon cerveau soit sous tutelle des préjugés...
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Les tarés avec des cerveaux, ça donnait les dictateurs.
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Teahupo'o. Le mirage du bout de la route. La vague. Le rêve de tout waterman digne de ce nom. L'approcher, c'était croiser le diable en robe d'écume. Elle était belle à se damner.
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Les paroles des Anciens de Teahupo'o le rappelèrent à la sagesse : " Ne va jamais surfer quand tu t'es engueulé avec ta femme, quand tu as fait la bringue ou quand t'es énervé."
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Si tu étais venu chez nous, nous aurions pu t'accueillir à bras ouverts. Mais tu es venu ici chez toi... Et on ne sait comment t'accueillir chez toi. (Citation de Henri Hiro)
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- Tu paries sur qui, toi ?
- Je parie que je ne parie rien et donc qu'à tous les coups, je ne perds rien.
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Ingrid Astier
L'appel de la rue. L'appel de la liberté.
Le grand souffle reprenait.
Dès l'aube, la nouvelle avait été confirmée. Le mot 'fin' avait eu une saveur unique, comme au sortir d'un film. L'annonce, il l'avait lue et relue sur son portable. Mais il fallait le temps de sortir de la fichue salle de cinéma. On ne sort pas impunément de la boîte noire du confinement.
Oui, il fallait le temps. Celui de retrouver ses repères.
(...)

• nouvelle 'Blanc sur Noir'
>> https://www.facebook.com/LisleNoir
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“Tous les ingrédients étaient là : la seine des bateaux-mouches rendue infréquentable, un type célèbre hésitant entre macabre et génie, des jalousies de femmes, un arrière-décor entre sexe drogue et rock star, un nain diabolique sorti de sa boîte avec la langue tirée, des morts signées par un artiste… ”
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Tout en souplesse nerveuse, son fils calligraphiait l'eau.
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Les livres sont l'un des rares endroits où on vous écoute
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Ils s'étaient connus à l' âge où tout s'ouvre grand. Un âge pareil à une fleur d' hibiscus née pour se gorger de soleil.
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" Ton fils sera comme les rivières. Son flot se nourrira des autres eaux et tu n'y pourras rien. Personne n'y pourra rien."
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La nuit ouvre des espaces infinis. Sans doute parce qu'elle refuse la perspective.
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Tamatoa savait pertinemment que Reva n'avait jamais touché une planche de sa vie. Elle avait juste dû tremper des biscottes dans son café.
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Refaire les histoires à l'envers ne change pas la fin.
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Dans l' être humain , tout parlait - même les mots utilisés. Tout traçait une carte d'identité bien plus précise que le cadavre de papier avec nom, prénom, lieu et date de naissance et adresse.
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Nos pensées vont s 'échauffer parce que la nuit obéit à un autre climat : le torride, le sanguin, l'impétueux,.
Elle agira alors comme catharsis.
Au lever lavés de notre feu, nous serons redescendus à température normale. Nous serons murs pour le temps de l'action.
J'imagine alors la nuit comme laboratoire de notre pensée. Un dieu d'alchimies subtiles. Malheur au désir de vengeance qui résiste à la nuit. Quant aux désirs qui survivent à une nuit, je les tiens pour les fondations de notre psyché.
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A travers "le petit éloge de la nuit", je me suis mise à l'écoute du nocturne. Il a fallu faire taire le bruit du monde, laisser les mots s'ouvrir, telle la fleur du datura le soir, pour répandre leurs parfums.
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Souvent je me demande qui je suis. Je suis à moi-même ma propre nuit.
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“Je viens de Barcelone et j’ai déménagé autant de fois que le nombre de coups dans le chargeur d’un Beretta 92 : quinze.”
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