On ne contraint pas les autres à écrire autrement sans qu'ils se rebiffent . Les médiocres s'ennuient vite et, quand ils se sentent menacés, ils font rouler les têtes. Nos censeurs vigilants ne prendront aucun risque. C'est pourquoi ils n'ont jamais voulu de mes audaces, de mes effets. trop raffiné pour eux. L'Académie, les milieux littéraires, toute la bande des faux jetons, ils régentent ça très bien. Ils savent en trouver des écrivains plus dociles, qui sentent bon, même à l'étranger, au besoin. Et eux, ils ont tous les talents bien sûr.
Comment imaginent-ils me surpasser ? Pas de musique, pas de rogne, pas d'instinct. Et ce n'est pas près de changer. Avec tout ce qui se publie comme navets. Public dupé, gros tirages pour du vent. "Les fainéants ont l'œuvre facile", comme disait l'autre. Avec l'encouragement des éditeurs, ils pondent benoîtement. La grande consommation, voilà ce qui commande. Publicité à outrance et arnaque à la qualité.
Tout le monde n’est pas Hugo.
Le clochard de la littérature tire sa révérence.
Boire du vin et étreindre la beauté: vaut mieux que l'hypocrisie du dévot.
Les propriétaires et plus généralement les bordelais parlent trois langues : le français, bien sur, l'anglais de temps en temps, et le sous-entendu en permanence...
... l’antisémite n°1 depuis plus d’un demi-siècle. Bourreau de moi-même mais assassin de personne, c’est ça le vrai.
que se referme maintenant la boite à musique, ils n'ont rien compris.Rien d'attentatoire à la dignité humaine. Textes biaisés. Une longue histoire d'incompréhension. Je ne demande que l'intuition du lecteur. A lui seul de décider. Je dois m'allonger, recouvrer un peu mes forces pour finir ma chronique. Allez, nom de dieu, encore une phrase. Ne rien laisser sur l'établi,mission accomplie, comme en 14, mais non, rompu, brisé, inservable. Je ne prendrai plus de coups. Ils ne viendront plus observer l'Oracle vaticinant. C'en est fini de causettes. Cette tanière disparaîtra avec moi. La fin du livre avec la mienne. Maintenant la bouche de guingois comme Michel Simon.
Sans doute de la marmelade la-haut. Les mots ne franhcissent pas la barrière des lèvres.
Chère Anabelle,
quelle délicieuse journée
passée en votre compagnie,
je respire encore votre
parfum. Sachez que vous
aurez toujours une place
dans mon
cœur.
- Voilà qui appelle une réponse instantanée... -
Cher Henri,
sachez que vous aussi vous
aurez toujours une place dans
mon cœur, mais, comme disait
une personne distinguée, jamais
dans mes fesses.
Un type en short c'est difficilement regarda le, mais un type en short et en tongs, c'est carrément un crime contre l'humanité!