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Avec l’Internet «normal», il n’aurait pas mis la main sur beaucoup d’informations utiles, car en fait, 90 % du Net reste caché au commun des mortels. Dans cette partie dissimulée, on peut trouver à peu près tout ce que l’on cherche… quand on sait comment s’y prendre, bien entendu. C’est là que les pirates peuvent échanger de façon anonyme. De plus, les moteurs de recherche comme Google n’existent pas et ne peuvent donc ni bloquer ni dénoncer les utilisateurs.
Quelqu’un qui voudrait pirater une des plus importantes compagnies de crédit et rendre publiques toutes ses informations confidentielles prendrait les plus grandes précautions. Il achèterait son ordinateur en payant comptant. Puis, il irait probablement dans un café Internet très, très loin de chez lui. Il utiliserait une adresse IP qui passe par différents pays afin qu’on perde sa trace. Ensuite, il détruirait l’ordinateur. À moins qu’il ait fait une erreur, ce serait impossible de le retrouver.
Il aurait voulu lui dire qu’elle était spéciale et… parfaite pour lui. Mais ils étaient encore si jeunes. Il était hors de question de gâcher leur relation. Elle était trop importante à ses yeux. Il préférait l’avoir comme amie, plutôt qu’ils forment un couple et qu’ils finissent par se laisser, comme tous les adolescents qu’il voyait autour de lui.
Elle en gardait le souvenir d’une femme élégante et hautaine qui, d’ailleurs, lui avait à peine adressé la parole.
La première chose que mon père m’a apprise avec les ordinateurs, c’est qu’il ne faut jamais donner d’informations personnelles comme notre date de naissance ou notre adresse. Il a toujours utilisé des mots de passe avec une suite aléatoire de trois chiffres.
Brusquement, Satria sursauta en apercevant un visage à travers les branches. Il se fondait presque parfaitement à la végétation. Elle crut discerner des crocs et des yeux jaunes menaçants, mais elle se dit que son imagination devait lui jouer de vilains tours, puisqu’un petit lutin sortit d’entre les branches et arriva vers eux en sautillant.
Il portait une robe de sorcier enfant jaune citron tout de même trop grande pour lui. Ses cheveux étaient identiques à un tas de paille : jaunes et drus. Un petit chapeau bleu, pointu et parsemé d’étoiles dorées venait compléter son ensemble. Il souriait et Satria remarqua qu’il avait le visage d’un gamin espiègle.
Wow! C’est bon! Je ne pensais pas aimer autant un livre que ma prof de français m’a suggéré, mais je l’ai fini en une fin de semaine et c’était l’fun que ça ne parle pas d’une histoire d’amour!
On a notre premier contrat de musique en poche et bientôt, on va conquérir le monde!
Buvons à notre gloire… en espérant qu’elle dure plus longtemps que 15 secondes !