James A. McLaughlin

J'ai adoré ce livre ! Entre Nature writing et polar. Je le recommande vivement !

Au profond des Appalaches, un solitaire met au jour un trafic d’ursidés. Un premier roman américain d’une époustouflante maîtrise dramatique.
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Roman policier sortant des classiques.

Peu de personnages mais des acteurs attachants et une immersion dans la nature. Ecriture agréable, rythme soutenu et originalité: un grand plaisir de lecture.

Je pense que je vais me laisser tenter par Les aigles de Panther Gap, du même auteur.

Je m'attendais à tellement plus quand j'ai lu le résumé ! À un livre "wahou " hélas, non, je suis même déçu... ( surtout que j'étais sur qu'il allait être top, j'ai offert des exemplaires a des membres de ma famille pour Noël pff... ) C'est tellement dommage certain diront qu'ils ont adoré, moi non. J'ai eu du mal avec le début du livre pourtant l'histoire en elle même est top, le contexte est top, Rice qui est recherché par un cartel se cache dans une réserve top ! Mais bof... j'aurai aimé plus de détails sur certaine scène, allez plus profondément des choses.

Et même la fin oh les gars c'est quoi cette fin ? Comme si il ne c'était rien passé et qu'il fallait absolument se dépêcher de terminer l'histoire...pff

Je suis désolé pour l'auteur mais je ne le conseille pas.

J'ai été tentée plusieurs fois d'abandonner la lecture avant la fin.

Je ne comprends pas pourquoi ce livre est classé dans la catégorie polar d'une part et d'autre part les prix reçus.

On surfe entre cartels mexicains, Amérique profonde inculte et raciste, écologie, violence et vengeance. On a l'impression que l'auteur se cherche et il nous perd

L’auteur n’est pas allé dans la demi-mesure avec « Les aigles de Panther Gap ». Au cœur de l’histoire familiale s’ajoute une affaire d’héritage qui pourrait bien intéresser quelques personnes… Alors, après un début plutôt calme, très nature writing, le ciel se noircit et on se retrouve plongés au cœur d’une avalanche d’événements où ça dézingue à tout va.



Pour nous, c’est un roman plutôt inhabituel. Les personnages sont assez complexes et difficiles à cerner, en particulier Bowman. De plus, le rythme du roman est étonnant : il y a du suspense, la tension monte au fil des pages mais la narration reste plutôt lente. Si c’est un peu déroutant au début, on s’y habitue et on prend le temps d’assister aux événements. Un petit bémol pour nous serait la crédibilité du récit : tout ce qu’il se passe dans la seconde moitié du livre nous a parfois semblé un peu trop.



Au final, « Les aigles de Panther Gap » est un livre qui nous a bien plu à tous les deux, malgré nos goûts de lecture souvent différents ! Que vous soyez féru de nature writing ou amateur de thriller, « Les aigles de Panther Gap », engagé dans le domaine de l’écologie, devrait vous plaire !

Le libraire de mon père l'a bien conseillé pour ce cadeau d'anniversaire : très bon thriller paranoïaque, qui confirme 1) que même les paranoïaques ont de vrais ennemis 2) que l'argent ne fait pas le bonheur (encore que, la fin est ambigüe sur ce point). Plus sérieusement, le récit est très bien construit et mené, avec mention spéciale au traducteur qui intervient judicieusement par quelques notes de bas de page, et la toile de fond écolo évite heureusement les caricatures dont sont friands les spécialistes de l'auto-flagellation et de la haine de soi. Recommandé.

Un roman des grands espaces entre Arizona et Colorado.

Un frère et une sœur, qui grandissent différemment et se séparent à l’âge adulte : lui poursuit son exploration de la nature et d’une forme d’animalité quand elle poursuit le travail dans le ranch familial.

Une mystérieuse histoire d’héritage va les réunir, leur faire découvrir les mystères du passé familial et poser des choix pour leur vie future.

Un roman âpre, rude parfois, des protagonistes dont on ne sait jamais s’ils sont honnêtes et fiables.

Et la part sauvage de chacun n’est jamais bien loin.

Il est des livres qui ne sont pas faits pour moi à un moment donné. Ce thriller écologique en fait partie. Peut-être que si je l'avais abordé à un autre moment, j'y aurais été plus sensible.

Je ne me l'explique pas, mais je n'ai pas réussi à accrocher, ni au personnage principal qui m'a semblé plutôt antipathique, ni à l'histoire, qui traîne en longueur dès le départ. J'ai donc abandonné ma lecture après 70 pages d'ennui profond.

Pourtant le côté "livre proche de la nature sauvage" et celui du personnage qui se réfugie dans cette nature pour effacer son passé et servir une noble cause m'avaient attiré. J'aime beaucoup les livres de Ron RASH par exemple.

Mais j'oublierai vite celui-ci, très décevant.

Un bon thriller très bien construit. Des incursions dans le passé permettent de découvrir pourquoi Rice Moore est venu se perdre dans les Appalaches, décrochant un job de gardien de réserve naturelle privée. Ses qualités de biologiste et de "dur à cuire"ont retenu l'attention, après que l'ancienne gardienne, Sara, a payé au prix fort sa détermination à empêcher le braconnage des ours.

Dans la tête de Rice, nous découvrons ce coin sauvage, les autochtones hostiles à toute idée de réserve naturelle, et la nature qui peut happer et digérer celui qui s'y immerge. Cette focalisation dans l'esprit de Rice est particulièrement efficace. Elle nous plonge dans la forêt profonde et dans la violence brute au coeur des hommes.

La psychologie de Rice est fouillée, les personnages secondaires bien campés. On y est vraiment !

J'ai passé un très bon moment de lecture avec ce thriller mêlé de "nature writing", et d'échappées vers la sourde réalité des cartels de drogue. Un roman riche et fort.

Criminel en cavale, Rice Moore trouve refuge dans une réserve des Appalaches, au fin fond de la Virginie. Employé comme garde forestier, il cherche à se faire oublier du puissant cartel de drogues mexicain qu’il a trahi. Mais la découverte de la carcasse d’un ours abattu vient chambouler son quotidien : s’agit-il d’un acte isolé ou d’un braconnage organisé ? L’affaire prend une tout autre tournure quand de nouveaux ours sont retrouvés morts. Alors que la police ouvre une enquête, Rice décide de faire équipe avec Sara Birkeland, une scientifique qui a occupé le poste de garde forestier avant lui. Ensemble, ils mettent au point un plan pour piéger les coupables. Un plan qui risque bien d’exposer le passé de Rice.

Rythme lent ,personnage peu attachant ,pas de suspense bref pas accroché j'ai laissé tomber à la page 240 . Dommage on me l'avait conseiller .

Un démarrage très lent, qui peut rebuter, trop de place laissée aux descriptions sur les thèmes de la nature et de la défense de l'environnement. L'action démarre réellement au dernier tiers du roman. Les personnages sont atypiques, avec des réactions feutrées inattendues, y compris pour le personnage central, alors que le lecteur pourrait attendre des réactions plus vives, au moins pour quelques-uns.

Malraux écrivait à propos de Sanctuaire de Faulkner qu’il s’agissait de “l'intrusion de la tragédie grecque dans le roman policier”. Ici il est question de l’ intrusion de l’ecopoetique dans le thriller, ou l’inverse je ne sais pas. A moins que l’aspect thriller ne soit qu’un habillage, un prétexte et que l’auteur n’ait jamais eu l’intention de nous livrer une histoire trépidante mais essentiellement sa vision très masculine d’un paradis perdu. Pour le reste il s’agit d’un roman “d’atmosphère” bien écrit et je dois dire que j’ai vraiment entendu le jacassement de l’écureuil roux tout près de mon oreille, sans doute le même petit rongeur que Rice tue quelques pages plus loin pour le manger. “Bourrele” de remords, il s’excuse auprès de l’écureuil comme l’auraient fait les indiens. C’est naïf et succulent, c’est du véganisme de première extraction. Enfin pour apprécier ce roman, faire abstraction de ce qui est écrit sur la couverture, la quatrième de couverture…et de la présente critique ainsi que de toutes les autres.

C'est furieusement americain , pas mal fait, mais sans surprise. On y retrouve les thèmes à la mode et un niveau élevé de testosterone.... Si on aime le genre, tout y est ..... Mais grosso modo j'ai deja lu ça cinquante fois !!!! Bref j'en abuse pas, c'est vite indigeste ...

Dans son premier roman, l’Américain James McLaughlin tisse habilement une histoire de fuite, de poursuite et de vengeance. Mais ce qui démarque ce récit des autres thrillers, c’est avant tout son décor : la forêt sauvage des Appalaches, quelque part dans la Virginie profonde.
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Je cherchais un polar assez actif et en effet dans la nature et...non. Une belle écriture mais trop lent, trop descriptif pour moi... Pourtant un début bien dans l action et après j ai attendu et trop attendu ! J ai abandonné cette lecture ( si si on a le droit !) Je pense que ce roman peut plaire mais mauvais choix pour moi.

C’est sombre, différent, parfois un peu dur à suivre et souvent surprenant. Une belle découverte !
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Malgré une construction complexe, avec d’incessants allers-retours entre diverses époques, ce western moderne se lit avec plaisir et frisson. Il pourrait donner un film magnifique.
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Réunis dans le ranch du Colorado de leur enfance pour régler une succession, un frère et une sœur essuient la violence de gangs furieux et rapaces… Un thriller écologique tendu et fascinant.
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Dans ce thriller écologique, le lecteur est amené à suivre Rice, criminel ayant trouvé un emploi dans une réserve sauvage où des ours sont retrouvés morts. Rice veut démasquer le coupable.



Le thème du thriller m'a beaucoup attiré. J'aime la nature, les réserves et les thrillers. Le combo parfait.



Malheureusement, je n'ai pas accroché avec ce thriller malgré un début très prometteur. Il est important de noter que j'ai adoré le début de ce roman. La mise en place de l'intrigue est géniale mais celle-ci s'est perdue au milieu de toute la lenteur de l'action.

Arrivé au milieu du livre, je m'ennuyais depuis un bon moment. Les descriptions sont trop longues à mon gout. Je n'ai donc pas eu envie de continuer ma lecture ; je me suis donc arrêtée un peu après le milieu du roman.