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Critiques de Jamie Sawyer (64)
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Lazare en guerre, tome 2.5 : Rédemption

Salut les Babelionautes

Ce cours récit est plus une nouvelle qu'un roman, 90 pages = 1 h de lecture pour moi.

Donc nous voici revenu à la fin du second tome de "Lazare en Guerre" pour suivre Taniya.

Elle est devenue Mécanicienne a bord d'un vaisseau cargo et elle arrive sur la station Cap-Liberté, son but est de rencontré sa mère pour se faire pardonner ce qui lui a value deux ans de prison.

Mais a peine arrivée, la station subit un assaut et très vite les forces de l'Alliance sont débordées et les spatiaux qui l'accompagne cachent des secrets qu'elle va découvrir a ses dépens

le reste du récit raconte comment elle va s'échapper en apprenant aussi dans quelle arme sa mère s'est engagée.

Vraiment trop court pour moi, même si j'ai bien aimé, et toujours traduit par Florence Bury qui a traduit tous les romans de Jamie Sawyer
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La guerre sans fin, tome 3 : Avènement

Salut les Babelionautes

Voila! j'ai terminé ma lecture de "La guerre sans fin" de Jamie Sawyer avec ce tome trois "Avènement" et j'ai adoré

Même si c'est une trilogie basée sur l'action pure et dure, elle reste néanmoins un bon Space-opéra.

Bien entendu c'est Jenkins et ses Chacals qui sont aux premières loges de ce conflit entre trois espèces intelligentes, l'Humanité, les Krells et les Bribes.

Mais une autre entité va faire son apparition et sera la source de beaucoup d'évènements crucial pour mettre fin au conflit.

Je ne vais pas entré dans les détails, se serait en dévoiler trop sur la teneur du récit, mais sachez que si vous aimez ce type de récits vous pouvez y aller sans crainte.

L'épilogue me donne a penser que l'on en a pas fini avec ce cycle et je m'attend a ce que Jamie Sawyer le développe.

La traduction, comme pour les deux premier, est de Florence Bury que je remercie.
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La Guerre sans fin, tome 2 : Migration

Salut les Babelionautes

Deuxième tome de cette trilogie "La Guerre sans fin" de Jamie Sawyer terminé, et j'avoue mon plaisir a sa lecture.

C'est un récit ou l'action est primordiale, Jenkins et ses Chacals ont perdus l'un des leurs qui les a trahi, mais le Krell qu'ils appellent Paria ou P, fait parti intégrante de leur groupe.

Cette fois ils ne sont plus des bleus, mais les évènements vont s'enchainer pour les conduire de Charybde en Scylla et bien sur tout ne sera pas rose pour les Chacals.

Un personnage de "Lazare en guerre" fait une apparition mais très vite on ne sait pas ce qu'il devient.

Les ennemis sont nombreux, entre le Directoire, la Spirale Noire et les Krells contaminés ils n'auront pas beaucoup de repos.

C'est vraiment de la bonne Science-Fiction Militaire, n'en déplaise a huglic dont j'ai lu l'avis qu'il a posté, je ne trouve pas que c'est une redite de la première trilogie.

Merci a Florence Bury qui a assurée la traduction de cette trilogie.
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La guerre sans fin, tome 1 : Paria

Salut les Babelionautes

j'avais envie d'un bon livre de Science fiction et j'ai donc ouvert ce premier tome d'une nouvelle trilogie de Jamie Sawyer.

J'ai découvert cet Auteur en 2017 avec le premier tome de "Lazare en guerre" et j'avais adoré.

Mais je suis plus dubitatif avec celle ci, quelques années ont passées et la Légion Lazare a été dissoute et la lieutenante Keira Jenkins des SimOps hérite d'une équipe hétéroclite de bleubites au profil inquiétant.

Son défie sera dans faire un groupe soudé et apte a survivre dans de nouveaux affrontements.

Mais l'adversaire n'est plus les Krells, une organisation clandestine se donnant le nom de "Spirale Noire", complote pour rouvrir le conflit avec cette espèce Extraterrestre.

Ils vont affronter des situations périlleuses dont ils auront du mal a se sortir.

J'ai bien aimé les nouveaux personnages, beaucoup moins lisse que ceux de la Légion Lazare.

Ce premier tome se termine avec leur arrivés dans un système stellaire du Directoire qui n'a pas accepté la défaite et qui les capturent.

Je vais continuer avec le tome deux et le trois en laissant de coté d'autres livres commencés.

C'est de la bonne SF, même si ce n'est pas à la hauteur de la Saga Honor Harrington, et merci a Florence Bury qui a assurée la traduction de cette trilogie.
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La guerre sans fin, tome 3 : Avènement

Même si j’étais un peu moins motivée à la lecture de ce tome, dans l’ensemble je l’ai bien apprécié et j’ai passé un bon moment. Je suis satisfaite d’avoir terminé la trilogie.



Un peu de contexte : dans cette série nous suivons une équipe de 5 personnes, Les Chacals, menés par la lieutenante Keira Jenkins des SimOps.

Les SimOps sont une branche spéciale de l’armée qui opèrent dans des avatars (oui, comme dans le film du même nom). Leur corps véritable est bien à l’abris derrière le front, et ils « occupent » des clones modifiés à l’extrême, pour en faire des surhommes. Les clones sont jetables, en gros ils en ont plein et ils ne prennent pas le risque de les récupérer à la fin d’une mission, la personne se déconnectant juste pour récupérer son propre corps.



Longtemps les Krells ont été les ennemis des humains. Mais il y a quelques années en cherchant une manière des les combattre plus efficacement, les humains ont réveillé les Bribes de leur très long sommeil. Ceux-ci sont des intelligences artificielles capable de s’auto répliquer et possédant des technologies très avancées comparé aux Krells et humains. Leur but est la destruction de toute vie intelligente. On ne sait pas si les Bribes sont une ancienne arme créée ou si ils se sont naturellement développés, mais en tout cas ils représentent la grosse menace.



Les Krells connaissent bien les Bribes. Quand ils étaient une jeune race ils les ont combattu avec d’autres espèces extraterrestres bien plus anciennes qui ont depuis disparu. Avec le réveil des bribes, les Krells et les humains ont donc décidé de faire la paix et de s’allier. Cependant une bonne partie des humains ne sont pas d’accord. La guerre contre les Krells est tellement ancienne et a fait tellement de victimes (aussi bien civiles que militaires), que beaucoup sont incapable d’accepter ce changement. Un secte/faction terroriste sévit donc et tente de miner l’alliance. Ils ont développé un virus qui attaque les Krells et les rend fous.



Dans ce tome ci une grave menace arrive. En effet la planète natale des Krells, longtemps restée cachée, a été découverte par les terroristes. Il ne faut surtout pas que le virus arrive dessus. En effet les Krells sont une race possédant une mémoire collective liée à chaque individu, et cette mémoire se trouve sur cette planète. Si elle est détruite avec elle partiront toutes les informations importantes pour combattre les Bribe, ainsi que la cohérence des Krells en tant qu’espèce qui retourneront à l’état sauvage, sans mémoire pour les guider. Les humains se retrouveraient donc à devoir lutter contre les Bribes et les Krells en même temps, de quoi précipiter la fin de tout.



Les humains tentent donc un tout pour le tout en essayant de protéger la planète.



Pendant ce temps notre équipe des Chacals est envoyé ailleurs, ils ont pour but de tenter de prendre contact avec les Eons, une autre race extraterrestre très ancienne qui faisaient parti de ceux qui ont combattu les Bribe à l’origine. Les informations qu’on a sur eux viennent de la mémoire Krell. Malheureusement celle ci n’est pas très compatible avec les données humaines, donc ils y vont un peu à l’aveugle.



Voila l’intrigue. On est comme toujours sur un tome avec de nombreux retournements de situation, que j’ai bien apprécié. Comme toujours l’intrigue est assez complexe et peu linéaire pour un livre du genre. C’était peut être un peu moins le cas dans ce tome vu qu’on sait dés le début le but ultime de ce tome, même si on n’a aucune idée de comment ils vont s’y prendre pour y arriver, parce que ça a l’air un peu perdu d’avance au départ.



Ce tome ci avait aussi moins de développement de personnages. En fait j’avais vraiment l’impression qu’il était moins ciblé sur eux. Je dirais que l’ambiance était vraiment bien moins intime que dans le tome précédent ou ils se retrouvent seuls et donc où on pouvait vraiment se focaliser sur eux. Ceci dit c’est un peu logique vu que c’est vraiment la fin de l’intrigue et que les personnages ont déjà bien été développés avant. Ils ont déjà atteint leur potentiel.



Je pense que je suis peut-être un peu lassée sur cet univers. Parce que si une fois dedans j’avançais sans problème et je trouvais ça sympa, j’avais des fois du mal à me motiver à reprendre le livre une fois que je l’avais posé. Rien de terrible, j’ai bien aimé ma lecture au final. J’étais juste un peu moins motivée que sur les tomes précédents. Ou alors c’est juste comme je le disais dans le paragraphe précédent, le fait que ce tome ci soit moins focalisé sur les personnages et que du coup je ne me suis pas sentie aussi proche d’eux qu’avant.
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La guerre sans fin, tome 3 : Avènement

Franchement, j'ai bien aimé :)



Pourtant, autant j'avais vraiment beaucoup accroché à la première trilogie, autant celle-ci me laissait jusqu'à présent un peu plus sur ma faim. La faute essentiellement à un héro -Jenkins, pour les intimes- globalement moins charismatique que le presque légendaire Lazare désormais.



Ce "problème" est toujours présent dans ce livre, et notamment sur la première moitié, je trouve que ça se sent.



Par contre, durant la deuxième moitié, on se met à se souvenir que c'est bien la fin d'un cycle. Résultat : il se passe un paquet de choses absolument passionnantes !



Bref, de toute façon, les choses sont simples si vous me lisez. Si vous avez aimé les deux premiers de cette trilogie : celui-là est mieux, il faut y aller les yeux fermés à mon humble avis. Et pour les autres, hé bien, il serait temps de se mettre à lire les premiers, non ? ;)
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La guerre sans fin, tome 1 : Paria

Cette nouvelle série se situe une dizaine d'année après celle de "Lazare en guerre", la lieutenante Keira Jenkins ancienne seconde de la "Légion" ayant maintenant plus de 200 morts au compteur a pris en charge les "Chacals de Jenkins" une équipe composée d'éléments disparates et inexpérimentés. Normalement les SimOps devraient maintenant avoir la vie facile, la guerre avec les Krells étant terminée et le Directoire ayant été éliminé, cependant dès la première mission, qui devait être de tout repos, l'équipe doit faire face à la Spirale, une mystérieuse organisation terroriste qui semble disposer de moyens étonnants …





Un moment j'ai espéré que ce serait mieux que la série de Lazare dont je n'ai lu que le premier tome, mais assez vite il devint évident que c'était du même tonneau, même si cette fois l'auteur a joué la parité des sexes, privilégiant les personnages féminins, la traductrice ayant d'ailleurs pris soin de féminiser les grades militaires.

Tout du long de ce livre "la Spirale", une organisation terroriste mystérieuse semble poursuivre notre équipe de bras cassés, qui évidemment vont se montrer héroïques et capables de survivre miraculeusement aux pires situations, même si à chaque fois le but de la mission n'est pas rempli et que ça se termine en catastrophe. L'auteur privilégie la castagne au détriment de la moindre cohérence ou vraisemblance en accord avec le cadre du roman. Des batailles, des fluides vitaux qui jaillissent de tous côtés, on fait dans l'hécatombe et les cadavres et destructions en tous genres accompagnent nos "héros" jusqu'à ce que le livre se termine abruptement, une manière grossière d'inciter à enchaîner sur le tome suivant, chose que je ne ferai certainement pas.





Un livre facile à lire qui ne convaincra certainement pas ceux qui apprécient un peu de finesse ou de subtilité, cependant les lecteurs qui veulent juste se vider la tête dans un bain de sang spatial devraient être comblés …
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Lazare en guerre, tome 1 : L'artefact

Le capitaine Harris est l'un des premiers SimOps, des soldats de l’Alliance qui téléchargent leur personnalité dans des simulants, des clones aux capacités guerrières améliorées, mais si la majorité des SimOps ne tiennent pas le coup longtemps, c'est assez stressant de mourir, même lorsque c'est dans un autre corps, lui est toujours d'active, et il a acquis une réputation qui lui a valu le surnom de Lazare.

La guerre est maintenant larvée avec les Krells, des extra-terrestres insectoïdes dont la société tient de la ruche, ignorant la technologie classique ils sont maîtres en bio-ingénierie et font pousser vaisseaux et armes. Et comme si ça ne suffisait pas, les humains ayant toujours de bonnes raisons de s'opposer les uns aux autres, l’Alliance doit faire face au Directoire

Lorsque l'équipe de Harris est envoyée en mission dans le Maelström, au cœur de l'espace ennemi, afin d'enquêter sur l'expédition qui étudie l'Artefact, un mystérieux monument émettant des messages dans l'espace et semblant influer sur les Krells, nos héros vont devoir faire face à une situation inattendue …





De la SF militaire classique, ça castagne de tous côtés et le rythme de l'action n'incite pas à se poser des questions sur les incohérences et les invraisemblances prêtant à caution. Des E.T agressifs et ayant un côté monstrueux, des traîtres vendus au Directoire, le tout agrémenté d'une légère romance qui va vraisemblablement servir de fil rouge au long de la trilogie. La lecture est assez agréable et cette série devrait combler les amateurs du genre, j'avais obtenu ce livre dans la cadre de l'opération "All Stars", une occasion de lire des livres que je n'aurais peut-être pas acheté et de parfois faire des découvertes, en l'occurrence j'ai lu le livre facilement sans avoir envie de me procurer la suite …
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La Guerre sans fin, tome 2 : Migration

Encore une lecture que j’ai dévorée. Il faut dire que ça me manquait un peu ce genre de SF. Pour moi cette lecture c’est un peu comme un shot d’expresso bien condensé, ça se lit vite et ça revitalise. Et ensuite on est en forme pour lire des livres qui se dégustent plus.



Dans ce monde les humains sont rangés dans deux camps, l’Alliance et le Directoire.

Dans la première trilogie Lazarre en guerre, on suivant la guerre de l’Alliance contre les Krells, des ennemis tellement différents des humains qu’il est impossible de communiquer avec eux.



Les Krells sont des espèces d’insectes intelligents qui ont des formes adaptatives. En gros colonies produisent des individus adaptés à chaque situation ce qui les rend quasiment impossible à tuer.



Dans leur guerre pour leur survie, les humains découvrent les restes d’une autre race extraterrestre les Bribes, des machines qui étaient endormies depuis très longtemps, et les réveillent. Les bribes étaient les ennemis ancestraux des Krells, et face à leur réveil si dangereux, les Krells finissent par accepter une sorte de trêve. Ce qu’il faut savoir c’est que les Bribes avaient pour but de détruire toute vie, donc ils sont aussi dangereux pour les humains que pour les Krells.



Mais le Directoire a toujours le mot pour faire changer les choses, c’est à ce moment la qu’ils attaquent l’Alliance. La situation devient très chaotique … (je ne vous raconte pas tout pour ceux qui souhaitent encore lire la première trilogie)



Dans ce tome ci on se concentre sur une secte, la Spirale Noire qui semble avoir infiltré toute les hiérarchies et les troupes de l’Alliance. Celle ci réuni des humains qui ne veulent pas de la trêve avec les Krells. Ils veulent les anéantir définitivement et comptent bien utiliser les Bribes pour ça.



Pour arriver à leurs fins ils n’hésitez pas à sacrifier des colonies humaines entières, car pour eux la fin justifie les moyens. Surtout qu’ils considèrent que les humains, et surtout l’alliance, ont faillis et les ont trahis en acceptant la trêve des Krells après tout le mal que ceux ci ont fait avant.

Grace à la technologie Bribe, ils ont développé un virus qui décime les Krells, les transformant en espèce de zombies. Ceux ci attaquent tout ce qui passe sur leur chemin …



Les personnages qu’on suit dans ce tome, Jenkins et ses Chacals, qui forment une unité de SimOps (comme dans le film Avatar, les opérateurs se retrouvent de façon simulée dans des corps boostés et bien plus résistants que les leurs), ont été trahis par l’un des leurs qui c’est avéré appartenir à la Spirale. Celui ci les a lâché dans l’espace le plus reculé du Directoire et les voici maintenant prisonniers de leurs pires ennemis …



C’est vrai que dit comme ça ça a l’air un peu confus entre tout les différents camps et tout. Mais on est sur le 5ième tome de la série globale, tout est arrivé progressivement, donc dedans ça ne pose aucun problème.



Un tome ou il se passe énormément de choses, surtout pas mal de belles découvertes au niveau de la Spirale Noire qu’on ne voyait que de loin dans les tomes précédents et qui passe ici au cœur de l’intrigue.



Les retournements de situations sont nombreux et l’évolution globale de l’intrigue avance vraiment à toute vitesse. Pas le temps de s’ennuyer, aucun moment creux au milieu. Et pourtant ça n’est pas non plus de l’action non stop, les moments d’attente sont aussi nombreux que les moments d’action.



Les personnages évoluent bien aussi durant ce tome. On a moins l’impression d’être dans une équipe de bleus qui n’arrivent à rien. Ils trouvent leur cohésion et travaillent bien mieux ensemble malgré les épreuves. Ou grâce aux épreuves peut être.



Franchement j’ai passé un excellent moment et j’ai lu le tome en 2 jours à peine.

C’est très dynamique, l’intrigue est vraiment intéressante et avance bien tout du long du tome. On peut dire que j’ai dévoré ce tome.

Maintenant reste plus qu’à décidé si j’attends la VF du dernier tome ou si je les lis en VO vu qu’il est déjà sorti …
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Lazare en guerre, tome 2 : La légion

Ce 2eme tome est encore meilleur que le premier. C'est un roman de badass dans l'espace avec tout ce que je j'aime : une bande de dur à cuir à laquelle on s'attache forcément, des extraterrestres ennemis bien dégueulasses (starship troopers) et des nouveaux aliens dont on sait pas "encore" dans quel camp les ranger (un peu d'archéologie en passant) et un héros tordu; amoureux, prêt à traverser l'univers pour retrouver sa belle ! J'ai passé un très bon moment, l'action est dense, ça bastogne dur, ça boit cul sec et tous les coups sont permis ! L'idée des avatars de guerre n'est pas nouvelle mais elle est très bien utilisée dans ce contexte de guerre ...En résumé, c'est ce que l'on appelle un very good space opera !
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Lazare en guerre, tome 2.5 : Rédemption

Taniya, arrive sur Cap liberté pour revoir sa mère qui l'a plus ou moins laissée tomber alors qu'elle se trouvait en prison. A peine arrivée, les ennuis commencent.





Roman situé juste avant la fin du second tome. On sait donc ce qu'il advient de Cap-Liberté, mais on sait aussi maintenant pourquoi.



C'est un roman court (à peine  90 pages), qui commence comme l'espace d'un an de Chambers avant de finir par Alien, avec course poursuite acharnée.



On n'a pas le temps de s'ennuyer et le personnage de Taniya est plutôt bien développé pour la taille de l'oeuvre. Mais au final, pour nous raconter, ce qu'on savait déjà (ou du moins ce qu'on subodorait) avec introduction de deux ou trois subtilités additionnelles.



J'espère sincèrement que ces éléments supplémentaires vont prendre une importance capitale dans le tome 3, sinon, la lecture n'est pas vraiment indispensable.
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Lazare en guerre, tome 1 : L'artefact

décidément la science-fiction militaire, hormis la série du Vieil homme et la guerre de John Scalzi et Starship troopers de Robert Heinlein, n’est pas du tout ma tasse de thé. Même si le style est bon et l’intrigue sort un peu de l’ordinaire (quoique des adversaires aliens aux mœurs et allures insectoïdes…), je n’ai aucun atome crochu avec ce Lazare que ce soit dans le présent du texte ou dans les différents flashbacks. Et les autres personnages du récit sont tellement bidimensionnels qu’ils n’offrent aucune prise pour que le lecteur s’intéresse à eux, ou même retienne leurs noms. Vite lu, vite posé dans la pile des « à revendre ».
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La guerre sans fin, tome 1 : Paria

On retourne en plein dans l'action avec ce nouveau début de trilogie après Lazare en guerre. Pour l'instant j'accroche un peu moins au personnage principal mais ça reste très sympa à lire tout de même.





Kiera Jenkins commande maintenant sa propre unité les Jackals. Celle ci n'est quasiment composé que de bleus ayant tous des passés peu recommandable. Mais elle est bien motivée pour transformer cette bande de tache en vrai soldats malgré tout.

Après une mission complétement ratée ou elle a échoué à faire un mouvement décisif et à sauver des otages, son équipe et elle se retrouvent volontaires forcés dans une étrange mission secrète bien mal adaptée à leurs capacités ...



Niveau contexte la guerre contre les Krells et le directoire est enfin terminée, mais d'autres ennemis se profilent, ainsi qu'une affaire concernant d'étranges disparitions d'étoiles dans la zone la plus peuplée du Maelstrom.



Jenkins a encore du mal avec le commandement. Elle a des idées très arrêté sur ses propres hommes et ne leur fait absolument pas confiance. En gros elle se comporte plus comme une babysitteur que comme une vrai chef du moins au début. Elle fait pourtant de son mieux, et les élèves qu'on lui a filé ne l'aident pas vraiment.



Novak est un russe. C'est un criminel, une grosse brute, très grand et effrayant, qui est entré dans le programme simulant pour réduire sa peine de prison. Bien plus complexe qu'il n'y parait au premier abord c'est un personnage que j'ai beaucoup aimé. Évidemment personne ne lui fait confiance et encore moins Jenkins.



Lopez est la fille d'un sénateur qui milite contre les Sim Ops, et on comprend bien qu'elle a choisi cette voie la pour le mettre en colère. C'est un peu le point faible du groupe, il va falloir tout faire pour la faire rentrer intacte sinon le programme entier pourrait être enterré en moins de temps qu'il faut pour le dire. En plus elle n'est la que pour faire son service militaire obligatoire sur sa planète, donc elle n'est pas la plus motivée du groupe.



Feng est un clone du directoire. Ceux ci, grandit de façon rapide et manipulés mentalement étaient les plus redoutables ennemis de l'alliance avant que la paix relative entre les humains arrive. Feng a été retiré à sa crèche avant que les dommages ne soient fait mais il est sans cesse remis en question. Jenkins n'imagine même pas le laisser seul un seul instant ou lui donner la moindre responsabilité tellement elle s'en méfie. C'est bête parce qu'il semble être le membre le plus motivé et sincère de cette troupe de bras cassés.



Et finalement le dernier membre est Riggs, un ancien marine. En fait c'est le seul qui ai un peu d’expérience et en qui Jenkins se fie un minimum. Elle en a fait son second. Il semble un peu le soldat parfait, calme et confiant, sans problème.



A eux se rajoute Zero, leur opératrice de bord. Ancienne victime des Krells dont elle a une peur panique, elle va faire de son mieux pour guider son équipe le plus sereinement possible. C'est un peu la victime que le groupe va sans cesse devoir protéger car elle ne maintient leurs propres corps en vie pendant qu'ils se battent.

Au final si j'ai bien apprécié cette lecture, j'ai moins apprécié Jenkins parce que j'avais du mal avec sa conception de la confiance. Au bout de combien d'insultes et de preuve qu'on ne fait pas confiance à quelqu'un cette personne va finir par vous le faire payer? Elle est bien trop ouverte dans ses idées. Si j'étais Feng ça aurait fait longtemps que j'aurais abandonné l'idée d'essayer de prouver que j'étais digne de confiance. Mais heureusement pour elle il est plus motivé que moi.



D'une équipe complétement désordonnée, Jenkins va devoir en faire de vrai Sim Ops, capable de supporter les morts quelque soit la pression mise sur eux. Et elle va devoir surtout se remettre elle même en question pour y arriver.



Leur principal ennemi dans ce cycle se révèle être la spirale noire. Un groupe terroriste dont on ne comprend pas encore vraiment le but. Ceux ci attaquent des stations habitée un peu au hasard et sont donc imprévisibles.

Un nouveau changement important dans le monde est le fait que les Krells ne sont plus vraiment les ennemis. Ces nouveaux pseudos alliés ne sont vraiment pas facile à comprendre mais on a de l'espoir pour la suite.



L'intrigue est pleine de tours et de détours et on ne sait vraiment pas à l'avance ou elle va nous mener. En plus le livre se termine sur un gros cliffhanger qui me donne presque envie de continuer la série en VO plutôt que d'attendre la VF !





16/20
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Lazare en guerre, tome 1 : L'artefact

Lazare en guerre: l’artefact est donc le premier tome d’une trilogie (suivie d’une seconde trilogie : La guerre sans fin).

Premier point dont j’aurais dû me méfier: il s’agit de SF militaire. Je dois le dire tout de suite: ce qui se rapporte à l’armée n’est pas ma tasse de thé. Et cela s’est confirmé avec cette lecture.

Le roman débute par un premier chapitre percutant à la fin duquel il s’avère que notre personnage principal est décédé.

Enfin, pas tout à fait: son clone est mort.

Le principe fait d’ailleurs largement penser à Avatar, de James Cameron. Mais l’usage de ces super-clones n’est pas sans effet sur leurs utilisateurs: les soldats sont tous rongés psychologiquement, voire instables, souffrant de trouble de stress post-traumatique, le personnage principal Conrad Harris en tête !

Les scènes de bataille/baston sont bien décrites, ceci dit mais n’étant pas fan de déchaînement de violence/armes à feu, je ne peux pas dire que j’y ai été très sensible.

J’ai souvent eu l’impression de revoir Aliens (particulièrement le second film), avec les marines embarqués dans une mission suicide face aux vilaines bébêtes – sauf que je préfère regarder Alien !

D’ailleurs, qu’en est-il, des créatures ?

Pas grand chose, justement. Elles semblent être un prétexte, une justification de cette guerre. J’aurais aimé qu’on en apprenne plus, qu’elles soient plus présentes… (suite)
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La guerre sans fin, tome 1 : Paria

La guerre avec les Krells est achevée. Le programme n’attire plus l’œil bienveillant des politiques qui vont chercher dès lors à faire des économies. Toutefois, le menaces n’ont pas totalement disparues, et se font plus diffuses, moins frontales. Les soldats sur le terrain sont bien conscients du danger qui plane, à l’affût de toute baisse de la garde. Pour les professionnels de la parlote, ces avertissements des forces armées ne sont qu’un combat d’arrière-garde destiné à monopoliser des fonds, à légitimer une existence et une utilité passée. Bien entendu, toute similitude avec la réalité est assumée.



En effet, une organisation terroriste nommée La Spirale mène une guerre au pourtour du Maelström. Les affrontements sont âpres, et l’homme qui dirige ce mouvement semble bien informé des stratégies de ses adversaires, allant jusqu’à faire de nombreux pied-de-nez à la barbe des différentes forces d’élite…



Lors d’une opération d’envergure, l’escouade de Jenkins se voit confier, en marge du plan de bataille majeur, une petite mission de reconnaissance, histoire de mettre le pied à l’étrier de son unité (et accessoirement d’évaluer ses compétences en tant que leader).



Forcément, tout part en c*****!



Et devinez qui fait figure d’âne bâté ? de tête de turc ?



En guise de punition, Jenkins et ses troupes sont expédiées au fin fond de la zone neutre, avec pour mission l’escorte d’une petit bâtiment de guerre. C’est là, que nos protagonistes font la connaissance de Paria. Un Krell. Un krell qui communique avec les humains! Car voyez-vous, les actions de la Spirale ne sont que la face émergée d’un iceberg bien lugubre….



Le roman de Jamie Sawyer met les femmes à l’honneur. L’escouade Jenkins est composée de 6 membres, elle-même inclue comporte 3 femmes : Jenkins, Zoé Zero et Lopez (oui, la fille) et 3 hommes : Zeng (un ancien du Directoire), Riggs et Novak. En outre, le Pacha du vaisseau est également une femme, d’une trempe hors du commun, et fera penser à une version amazone de Calimity Jane.



Dans l’ensemble, les Chacals sont bien plus diversifiés que dans la trilogie de Lazare en Guerre. Les interactions entre les membres de l’équipe sont également plus nombreuses en dehors des combats, leur donnant une vraie profondeur. Ils proposent des personnalités plus creusées, notamment avec un Riggs tout en nuance avec des franches zones de vulnérabilité. Feng qui fut un des clones du Directoire ouvre une petite thématique sur la bio-éthique. En revanche, Novak s’avère plus stéréotypé avec son rôle de bute russe au bon cœur.



Zoé Zéro est un personnage tout en faille avec des traumatismes long comme la nuit polaire. Lopez doit s’écarter de l’ombre (menaçante) de son paternel et évolue de la fille gâtée qui veut tenir tête à son géniteur vers un soldat à part entière.



Enfin Jenkins. Son personnage permet à l’auteur d’évoluer sur d’autres thématiques que le féminisme (version combat). Non seulement, elle doit faire ses preuves en tant qu’officier nouvellement promu, mais elle a à se mesurer à l’ombre d’un titan des opérations simulantes, un homme qu’elle admire, un mentor. Il n’y a pas de juge extérieur (et encore…) dévolu à ce rôle d’arbitre, si ce n’est sa conscience.



L’autre thème nous est plus familier, avec la prise de responsabilité; l’évolution de la carrière professionnelle. Comment endosser un rôle de leader, comment se comporter ? quel type de chef être ? Et dans ce registre les juges sont bien plus nombreux et sans doute plus critiques. Et quand il s’agit d’une femme, certains supérieurs montrent toute leur humanité défaillante, jugeant à travers un prisme tronqué….



C’est l’entame du roman qui a été laborieuse. Avec la trilogie précédente en mémoire, j’attendais un récit qui jouait également sur l’ambiance horrifique ( à la Alien). Ce n’est pas le cas, car nous nous trouvons avec des affrontements plus classiques initialement. Des humains se battent les uns contre les autres, pour ce qui apparaît comme un différent politique et sociétal. Un peu comme l’Alliance avec le Directoire antérieurement. L’adrénaline liée aux Krells s’est un peu évanouie, et il faut attendre que les aliens pointent le bout de leur nez pour que la mayonnaise prenne une autre tournure, à la fois plus acérée, plus dynamique et plus ambivalente. Mais une fois la bifurcation prise, Jamie Sawyer envoie du bois!



L’alien Paria est, quant à lui, une addition excellente au casting. Il m’a captivée dès son apparition et s’avère mon personnage favori du lot.



Pour les amateurs d’action, vous serez loin d’être déçus avec des combats à tous les échelons et de toutes natures: batailles spatiales, reconnaissances, corps à corps, embuscades, prises d’assaut, affrontements frontaux,… Mais aussi, à la carabine, aux couteaux, à la baffe, à la grenade, au fusil plasma, au pistolet, aux canons XXXl, à la batterie électrique, ect… Le rythme est enlevé, même si j’ai eu du mal avec l’entrée en matière (un retard à l’allumage lié à mes attentes initiales en terme d’ambiance), le roman se lit d’une traite.



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Lazare en guerre, tome 2.5 : Rédemption

Première incursion dans l'univers de Jamie Sawyer. Pour cela, je choisis un chemin de traverse par cet interlude, petit livre dans la série de "Lazare en guerre".

J'avais envie de retrouver de la SF militaire et passer un bon moment de détente au milieu des étoiles...

Le livre fait le boulot, comme on dit, même si je trouve beaucoup plus de références à des films ou des livres du genre que de vrais originalités. le livre est court mais c'est dommage.

Pour le style, c'est simple, orienté vers l'action, le déroulement des différents événements et autres péripéties... Pas de fioriture.



On passe un bon moment mais je n'ai pas eu le déclic pour avoir envie de découvrir le cycle principal.

A réfléchir.
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Lazare en guerre, tome 2 : La légion

Beaucoup moins d'action que dans le premier tome, et comme dit dans d'autres critiques trop de flashback qui ne serve à rien.
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La guerre sans fin, tome 1 : Paria

Lu en VO.



Dix ans après les événements Lazare en guerre.



Paria est le premier tome de la seconde trilogie de Jamie Sawyer: The Eternity War, traduit en français sous le titre La Guerre sans fin, La Guerre Eternelle étant déjà pris.



On y retrouve Keira Jenkins, ex-bras droit de Lazare durant la trilogie précédente, désormais à la tête sa propre équipe: Les Chacals de Jenkins (Jenkins' Jackals en VO).



Si la Légion de Lazare représentait la crème de la crème du Programme des Opérations Simulantes (SimOps), l'unité d'élite qui combat en contrôlant à distance des corps préfabriqués et surhumains, les Chacals c'est tout le contraire.

On a affaire à une équipe sans expérience de combat constituée des rebuts de l'armée: Novak un criminel en liberté conditionnelle, Feng un clone du Directoire Asiatique ayant changé de camp, Lopez la fille d'un riche politicien qui s'est engagée plus par défi que par conviction et Riggs un bleu. Le tout est chapeauté par Zoe "Zéro" Campbell, leur officier de transmission qui se trimbale avec quelques traumatismes.



C'est un mieux par rapport à la première trilogie ou les Légionnaires de Lazare étaient attachants mais finalement tous taillés dans le même bois. Si ils avaient chacun avait un trait de caractère différent ils restaient des vétérans endurcis.

Les Chacals en revanche sont bien plus diversifiés et disposent de personnalités un peu plus creusée offrant de belle réussites comme Feng et Zero, sans qu'on échappe à un ou deux clichés: Novak est la brute russe avec un passé louche mais qui a bon fond finalement.

Les relations et interactions entre les membres de l'équipe sont également plus nombreuses, leur donnant une vraie profondeur.



Et l'équipe n'est la seule chose différente dans ce tome:

Déjà visiblement très peu de personnes savent que Jenkins a fait partie de la Légion et qu'elle a donc côtoyé l'Homme, le Mythe, la Légende Conrad "Lazare" Harrris en personne, donc la plupart des autres SimOps se foutent de sa gueule et de son équipe de bras cassés. Ça m'étonne quand même qu'en dix ans Lazare soit devenue une simple légende parmi les SimOps et que Jenkins, avec tout ce qu'elle a vécu dans la trilogie précédente, ne soit pas considérée comme l'une des meilleures membres du Programme...

L'auteur prend un malin plaisir au début à prendre son lecteur par surprise lorsqu'il explique le contexte dans lequel se passe le bouquin, ce qui culmine avec l'arrivée de vieilles connaissances qui font exactement le contraire à ce qu'on avait été habitué, c'est très troublant.



Le souci, c'est qu'une fois ces changements acquis le roman se révèle assez classique, quoique de bonne facture.



Le récit commence fort, visiblement une marque de fabrique de Jamie Sawyer, avec une opération commando menée par différentes équipes de SimOps, mission qui finit plus ou moins en catastrophe. J'ai bien dit plus ou moins.

Les Chacals reçoivent alors une nouvelle affectation et réalisent que leur nouvelle mission est directement liée à celle qu'ils viennent tout juste d'apparement de faire rater.

Les voila donc partis pour une opération de grande importance (mais qu'on confie à une l'une des équipes les moins bien considérées des SimOps parceque....?) dont ils ne savent que très peu et qui finalement n'est pas du tout ce qui semblait. En chemin ils rencontrer un allié inattendu et faire des découvertes qui le sont tout autant, et comme leurs adversaires ne sont pas des quiches ils ont appliqués la maxime "garde tes amis près de toi et tes ennemis plus près encore" ils ont donc quelques coups d'avance sur eux.



C'est la que le bas blesse, le roman reste solide, j'insiste, et plaisant à lire mais il reprend la formule des romans précédents en ajoutant quelques nouveaux éléments histoire qu'on ne se retrouve pas avec exactement le même bouquin.

Comme le dit Jenkins: " New team. New threat. Same shit" : Nouvelle équipe, nouvelle menace, même bordel.



Si le livre reste bien rythmé, rien à voir avec le tome 2 de Lazare en guerre, on a clairement affaire à un tome d'introduction, rien à voir avec le tome 1 de Lazare en guerre qui pouvait presque se lire comme un roman indépendant et qui était impeccablement rythmé.

L'intrigue générale n'est donc qu'effleurée et elle met 'ailleurs du temp à être dévoilée au lecteur, la fin nous donc laisse avec beaucoup plus de questions que de réponses.

J'ajoute aussi que j'ai trouvé la dernière partie moins spectaculaire que ce à quoi j'avais été habitué. Et malgré toute la bonne volonté de l'auteur, j'ai eu du mal a voir la menace qu'affrontent les Chacals comme plus importante que celle vaincue par la Légion.

En même temps c'est compliqué de faire mieux quand la dernière fois il s'agissait d'empêcher la galaxie de se faire raser hein.



Le récit assume complément ses inspirations: la saga cinématographique Aliens et la saga jeux-vidéoludique Halo et le résultat obtenu reste plutôt cool, malgré tout.



La fin, et notamment l'épilogue relancent cependant l'intérêt pour la suite.



En bref malgré plusieurs problèmes qui nuisent au récit, Paria reste un livre de SF militaire solide et divertissant à défaut d'être extraordinaire.
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Lazare en guerre, tome 3 : Le revenant

Salut les Babelionautes

Ce troisième tome de Lazare en Guerre conclue la trilogie écrite par Jamie Sawyer, même si je n'ai pas lu Rédemption et que l'Atalante va éditée la suite avec Paria: La Guerre sans fin je ne crois pas que les lire sera une priorité pour moi.

Le récit est un concentré d'action ou la Légion Lazare aura bien du mal a s'en sortir, heureusement qu'ils ne sont pas vraiment présents puisque ce sont des Simulants, sorte d'avatars qui partent en mission pendant que leur vrai corps est a l'abri au sein des cuves.

Les retours en arrière dans le passé du commandant Harris mettent une peu de lumière sur son obsession concernant le docteur Héléna Moreau qui a disparue avec la mission du vaisseau Alliance.

La traduction, comme pour les deux premier, est de Florence Bury

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Lazare en guerre, tome 3 : Le revenant

Fin de la première trilogie sur les trois annoncées par l'auteur.

Ce troisième tome efface la petite déception du second livre. le plus gros défaut reproché, à savoir le rythme, est corrigé ici.



Comme d'habitude le récit commence fort, avec une opération de sauvetage à grande échelle, avec plusieurs sections de simulants en action. Ensuite, l'intrigue s'emballe, les moments de répits son rares, l'action survient même quand on pense être tombé sur un chapitre un peu plus posé. C'est le chaos pendant la deuxième partie ou l'Alliance, encore titubante après la fin du deuxième tome, subit un coup encore plus grave. Le rythme ne ralentit que très peu par la suite, ou Lazare devenu le dernier espoir de l'Alliance, poursuit une mission d'une importance capitale aussi biens sur le plan personnel que global. On a donc un troisième acte très cool qui pioche aussi bien dans Aliens (l'une des inspirations assumée de la série) que dans la saga de jeux Halo, avant de se payer un final apocalyptique.



Les personnages s'étoffent et changent, Lazare et sa Légion en ont bavé. Harris lui-même est en fin de course, épuisé physiquement et mentalement par ses morts à répétition. Une pas si nouvelle tête fait, enfin, son apparition, mais pour la plupart, les personnages présents sont tirés des tomes précédents, même si ils étaient assez secondaires, et beaucoup rencontrent ici leur destin.



Un dernier tome rythmé, efficace, nerveux qui offre une conclusion, certes un peu convenue, mais logique et qui ne déçoit pas. Je lirais avec plaisir les prochaines suites si elles sont traduites. D'ailleurs le premier tome de deuxième trilogie est déjà sorti en VO. Alors au tour de Jenkins et de ses Jackals maintenant !
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