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Lazare en guerre tome 3 sur 4
EAN : 9782841728558
432 pages
L’Atalante (20/04/2018)
3.83/5   52 notes
Résumé :
L'opération Présage s'est achevée en déroute. La base de Cap-Liberté a été anéantie. Prise en étau entre les Krells et le Directoire asiatique, l'Alliance est désormais au bord de la débâcle. Restent le commandant Conrad Harris et sa Légion de Lazare, dans une mission de la dernière chance, sur les traces de l'Ariane, le vaisseau disparu dix ans plus tôt où avait embarqué sa compagne. Enjeu : mettre la main sur les vestiges des Bribes, cette antique espèce évanouie ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Semi-déception.

L'alliance est aux abois, coincée entre le directoire et les Krells, mais Lazare a une seule idée en tête, retrouver son équipier perdu puis Elena.

Le moins qu'on puisse dire, c'est que l'auteur s'est rattrapé quant à l'action militaire suite au second tome bien trop mou. Ça démarre sur des chapeaux de roues, accélère au milieu et finit à fond. Je devrais être enchanté alors ?
Hélas, il y a un je ne sais quoi, chez cet auteur - ou est-ce du à la traduction - qui m'ennuie. Un style, un rythme, un profond manque de légèreté ?

Mais vu la production anémique en France de SF militaire, mon enfant chérie, je vais lire la nouvelle trilogie, La guerre sans fin. Mais pas tout de suite.
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Un final trépidant

Le revenant (signalons d'ailleurs que son titre est -doublement- mieux choisi que celui de la VO, Origins, pour des raisons que vous comprendrez mieux en le lisant) est le troisième et dernier roman du cycle Lazare en guerre, par Jamie Sawyer. Toutefois, il ne marque pas la fin de l'exploration de cet univers par l'auteur, puisque ce dernier a lancé un second cycle, The eternity war (qui compte déjà un livre, le second étant attendu dans six mois), qui se déroule dans le même contexte et reprend un personnage que nous connaissons déjà. Espérons d'ailleurs que l'Atalante en assurera la traduction.

Si j'avais trouvé que le premier tome était un mélange bluffant de SF « intelligente » et de divertissement / action, j'avais en revanche été un peu déçu par son successeur, qui était « juste » un bouquin de SF militaire et n'offrait pas une réflexion aussi poussée sur des thématiques profondes. Qu'en est-il du tome 3, donc ? Eh bien il poursuit dans la veine martiale / horrifique, mais pousse le potar jusqu'à onze, pour nous offrir un final trépidant, où le rythme et la tension ne faiblissent quasiment jamais, et qui tient le lecteur en haleine jusqu'au bout. Dans l'ensemble, le cycle Lazare en guerre s'impose donc comme un des meilleurs représentants de la SF militaire sorti ces dernières années, sans atteindre toutefois les hauteurs cyclopéennes d'un David Weber ou d'un Jack Campbell.

J'attire votre attention sur le fait qu'arrivé au tome 3 d'un cycle, certains spoilers sont inévitables. La lecture de ce qui suit est donc à vos risques et périls.

L'action démarre six mois après la fin du tome 2 (au passage, le revenant répond à la question posée par la fin de la novella Rédemption -le tome 2.5 du cycle- au sujet des données informatiques) . La destruction de la base Cap-Liberté a fait perdre à l'Alliance une part énorme de ses capacités offensives et logistiques, mais elle n'est malheureusement pas un événement isolé : les Krells ont lancé des offensives très agressives tous azimuts, sortant de la zone de quarantaine, et le Directoire frappe les Alliés dans le dos chaque fois qu'il en a l'occasion. Tout au long du roman, le lecteur assistera d'ailleurs à la dégradation graduelle des capacités de l'Alliance, jusqu'au final où la Légion est presque livrée à elle-même. Pire que tout, la biotechnologie et les bio-améliorations Krells s'améliorent de façon exponentielle : des formes tertiaires améliorées sont apparues, les bio-toxines de leurs armes sont plus efficaces, leurs bio-vaisseaux sont plus rapides et plus furtifs, etc. Et des rapports non-confirmés parlent même de formes quaternaires…

Malgré ces revers, la Légion n'est pourtant pas sur le front : elle parcourt les marges de l'espace du Directoire Asiatique, à la recherche de camps de prisonniers où se trouveraient Kaminski et le professeur Saul, capturés lors de l'incident de Damas. La scène d'ouverture montre donc l'assaut spectaculaire sur la planète Capa V, surnommée « le tombeau de glace ». Au passage, Harris a été promu au grade de Lieutenant-colonel, et Jenkins à celui de Lieutenant.

Je vais rester discret sur la suite, pour ne pas divulgâcher, mais je vous dirais juste que Harris va se retrouver sur un monde qui a joué un rôle capital dans son passé, avant de pénétrer au coeur du Maelström dans le but de retrouver le VAU Ariane et bien sûr sa chère Elena.

Inspirations

Outre celles déjà signalées dans les livres précédents du cycle, on notera un point (avec des chiens et des Simulants d'infiltration) qui rappelle Terminator, ainsi que tout l'arc sur Devonia, qui évoque très fortement la saga Halo (ainsi qu'une nouvelle parue il y a des lustres dans Ciel & Espace, et qui était appelée La perle, si ma mémoire est bonne). Un point précis rappelle à la fois le film Source Code de Duncan Jones et (un peu) Les enfermés de John Scalzi, l'abordage de l'Ariane évoque celui du Discovery dans 2010, son exploration rappelle Aliens, et les combinaisons Arès ramènent évidemment à Starship Troopers. Enfin, une réplique m'a fait penser à La chute du Faucon noir :

« – On se fait tirer dessus !

– Eh bien, ripostez ! »

Analyse

Ce qui frappe tout d'abord est le rythme de ce livre : il commence sur les chapeaux de roue et ne ralentit que très, très rarement (seulement dans les 3 flash-backs -qui sont donc moins présents que dans les tomes précédents, mais sont très intéressants : on apprend par exemple comment Harris a gagné son surnom de « Lazare »-), jusqu'à un arc final, sur un des mondes les plus importants des Krells, au coeur du Maelström, où la tension dramatique se mêle à un sense of wonder assez colossal, à base d'artefact géant, de machin qui déclare « NOUS SOMMES LA SINGULARITÉ » d'une voix qui ferait passer celle de Barry White (ou de Kader Nouni) pour celle du castrat Farinelli, de gelée… j'allais dire grise, mais en fait elle est plus noire ici qu'autre chose (= de la nanotechnologie autoréplicatrice qui transforme toute biomasse en copie d'elle-même), de sort de toute vie dans la galaxie qui est en jeu, et surtout de grouillage. Je m'explique : en 1992, est parue chez Dark Horse (Zenda chez nous) une BD (Aliens : Guerre pour la Terre) qui suggérait que dans l'univers popularisé par Ridley Scott et James Cameron, il y avait un monde-ruche central, comprenant une Reine Suprême. Si le revenant ne marche pas tout à fait sur ces terres là, il nous projette cependant sur Devonia, une planète se trouvant au coeur de l'espace Krell, où il y a une telle concentration de bioformes déchaînées que ça ressemble à une table de Warhammer 40 000 un jour de tournoi international, avec douze Tyranides au centimètre carré.

Bref, tout ça pour vous dire que si vous aimez la SF militaire / horrifique à la Aliens, vous allez vous ré-ga-ler (au passage, l'exploration de l'Ariane, et particulièrement du labo, rappellera bien des souvenirs à ceux qui ont vu le film de James Cameron). Et ce d'autant plus que l'auteur a mélangé cette inspiration avec de la nanotechnologie : qui, du biotech et du nanotech, du Krell ou du Bribe, l'emportera, alors que les fragiles petits humains sont là, au milieu ? Soyons honnête, contrairement au tome 1, l'intérêt de ce troisième et dernier opus sera presque purement pyrotechnique, mais dans ce registre, vous en aurez mais alors carrément pour votre argent. On notera toutefois l'exploration de quelques thématiques intéressantes, de nature psychologique (pour Harris, ce n'est pas mourir mais revenir à la « réalité », à son corps normal, qui est de plus en plus difficile : son indifférence à la « vraie vie » est grandissante) ou religieuse (on constatera avec intérêt l'apparition récurrente de « stigmates » sur les vrais corps des membres de la Légion, semblant être un reflet des blessures mortelles subies par leurs Simulants). le personnage de Harris continue aussi à s'étoffer : Lazare se sent vieux, épuisé, perdu même, parfois. Il est, de plus, atteint du Syndrome du survivant à cause de Cap-Liberté et de Damas.

L'épilogue, s'il est prévisible (un twist se voit venir à dix kilomètres), comme le reste de l'intrigue, d'ailleurs (sans que cela nuise à l'immersion), réserve en revanche un aperçu surprenant de ce que peut être le second cycle. Dès lors, j'avoue être particulièrement curieux de le découvrir. D'ailleurs, on ne sait jamais (^^), si quelqu'un de chez l'Atalante passe par là, je voudrais bien savoir si la traduction de cette deuxième trilogie est envisageable, ou si je peux l'attaquer en anglais directement. Merci d'avance 😉

Un mot sur l'édition

Saluons tout d'abord la qualité de la couverture, qui plus est parfaitement en accord avec une des scènes choc du livre. J'en profite aussi pour remercier l'éditeur pour la citation de ma critique du tome 1 présente en quatrième. Par contre, on signalera deux soucis de relecture / traduction : « Et les deux mitrailleuses latérales étaient équipées de canons d'assaut cinétiques » (traduction inadaptée de door guns, à mon avis, il faudrait remplacer par emplacements latéraux. Parce que dans l'état actuel, ça fait un peu « Les deux épées étaient équipées de haches ») et surtout « Des gens bien, tous. Et tu les as tués dans leurs putains de tanks ! » (où tank doit à mon avis se comprendre, en VO, comme réservoir / cuve pour Simulants, et pas comme un char d'assaut). Mais sinon, rien à dire, la traduction et la relecture sont de qualité.

En conclusion

Le revenant est le troisième et dernier tome du cycle de SF militaire / horrifique Lazare en guerre, et le moins que l'on puisse dire est qu'il conclut de manière trépidante et explosive la saga. Doté d'un rythme constant et très élevé, il attrape le lecteur à la gorge dès les premières lignes et ne relâche quasiment plus jamais la pression, jusqu'à un final aussi apocalyptique que pyrotechnique. Dans un registre presque purement à grand spectacle et d'action (contrairement au tome 1, qui proposait aussi une excellente réflexion sur de profondes thématiques), ce roman ne décevra pas le pur et dur de la SF militaire, un sous-genre dans lequel la trilogie dont il fait partie s'impose comme une des cycles les plus réussis parus ces dernières années.
Lien : https://lecultedapophis.com/..
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Lu en anglais.

L'Alliance est acculée. Les Krells progressent dans la zone de l'Alliance et rien ne semble pouvoir les arrêter. En plus, l'Alliance est infiltrée par le Directorat, la faction humaine adverse. L'Alliance va alors tout miser sur un coup de dé.

Le commandant Conrad Harris et son équipe sont encore à l'avant plan. Il faut dire que ce sont des vétérans parmi les rares à piloter à distance des clones en armure de combat. Mais pour Harris, l'espoir de revoir son amour Elena, disparue depuis 10 ans. passe à l'avant plan. Et on commence fort avec un assaut sur une base du Directorat contenant des prisonniers de l'Alliance.

Une finale échevelée avec des combats d'infanterie, quelques batailles spatiales et un artefact vraiment gigantesque. Et l'Alliance va jouer à l'apprenti sorcier avec la technologie avancée des Shards, une race extraterrestre extrêmement avancée et considérée disparue

Une finale pleine d'action à une série que j'ai beaucoup aimée. de la science-fiction militaire à son meilleur.
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Fin de la première trilogie sur les trois annoncées par l'auteur.
Ce troisième tome efface la petite déception du second livre. le plus gros défaut reproché, à savoir le rythme, est corrigé ici.

Comme d'habitude le récit commence fort, avec une opération de sauvetage à grande échelle, avec plusieurs sections de simulants en action. Ensuite, l'intrigue s'emballe, les moments de répits son rares, l'action survient même quand on pense être tombé sur un chapitre un peu plus posé. C'est le chaos pendant la deuxième partie ou l'Alliance, encore titubante après la fin du deuxième tome, subit un coup encore plus grave. le rythme ne ralentit que très peu par la suite, ou Lazare devenu le dernier espoir de l'Alliance, poursuit une mission d'une importance capitale aussi biens sur le plan personnel que global. On a donc un troisième acte très cool qui pioche aussi bien dans Aliens (l'une des inspirations assumée de la série) que dans la saga de jeux Halo, avant de se payer un final apocalyptique.

Les personnages s'étoffent et changent, Lazare et sa Légion en ont bavé. Harris lui-même est en fin de course, épuisé physiquement et mentalement par ses morts à répétition. Une pas si nouvelle tête fait, enfin, son apparition, mais pour la plupart, les personnages présents sont tirés des tomes précédents, même si ils étaient assez secondaires, et beaucoup rencontrent ici leur destin.

Un dernier tome rythmé, efficace, nerveux qui offre une conclusion, certes un peu convenue, mais logique et qui ne déçoit pas. Je lirais avec plaisir les prochaines suites si elles sont traduites. D'ailleurs le premier tome de deuxième trilogie est déjà sorti en VO. Alors au tour de Jenkins et de ses Jackals maintenant !
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Un dernier tome de trilogie pêchu et divertissant qui nous tiens en halène jusqu'au grand final.

Pour ceux qui ne connaissent pas, cette trilogie commençait avec L'artefact un premier tome qui m'avait vraiment bien plu de par son atmosphère un peu horrifique. Elle se poursuivait avec La légion dont j'étais par contre passé un peu à coté car je n'avais pas trouvé crédibles un certain développement qu'on ne retrouve pas d'ailleurs dans celui ci, tant mieux. C'était donc avec un peu d'appréhension que j'ai ouvert ce tome, prise entre l'envie de retrouver ce qui m'avait plu dans le premier mais frileuse d'une nouvelle déception.

L'intrigue reprend après les événements des tomes précédents. La légion est toujours sous les ordres de Lazare qui est passé Lieutenant-colonel ce qui fait de lui le donneur d'ordre du vaisseau aussi. Toujours à la recherche de son amie disparue il profite du chaos de la disparition de la station cap-Liberté pour enquêter quand il est rappelé en catastrophe par ses supérieurs. En effet ceux ci sont en train de mettre au point un plan ultime pour se débarrasser une bonne fois pour toute des Krells ...

Une chose est sure, c'est qu'on n'a pas le temps de s'ennuyer dans ce tome. Je l'ai trouvé bien rythmé car les événements se succèdent mais sans donner l'impression de frénésie. Tout s'enchaîne de façon naturelle, avec pas mal de rebondissements et de retournements de situation. On est vraiment dans de la science-fiction de divertissement et elle est réussie sur ce point.

On retrouve avec plaisir toute la légion réunie dans ce dernier tome, cette fois ci pas de sortie en solo, non, c'est vraiment un travail d'équipe. Et du coup on a vraiment l'occasion de voir l'évolution de ces personnages, certains restant fidèles à eux même contrairement à d'autres qui ne se sont pas du tout révélés tels qu'on les imaginait au départ.

En fait ce tome est logiquement l'aboutissement des deux précédents, on a donc une triple menace qu'il faut régler. D'un coté bien sur les Krell sont de plus en plus actifs et évoluent vers de nouvelles formes, d'un autre le Directoire est toujours à leurs trousses surtout vu la fin du tome précédent, ils veulent leur vengeance et sont prêts à tout, quitte à anéantir l'Alliance, pour mettre en place leur plan. Et bien sur n'oublions pas les Bribes qui pourraient être plus un gros danger qu'une arme à la disposition des humains.
Du coup tout l'enjeu du tome est de passer entre les mailles du filet et de tenter le tout pour le tout.

En fait mon principal regret sur ce tome n'en est pas vraiment un. J'aurais voulu en savoir plus sur les Krell, sur leur évolution. Pourquoi cette accélération subite de leur évolution maintenant? Est-ce quelque chose mis en place lors du début de la guerre contre les humains et dont les fruits ne se récoltent que maintenant ou y a-t-il une autre cause?
Mais l'auteur est en train d'écrire une suite donc ce n'est pas comme si tout s'arrêtait la, j'aurais surement mes réponses plus tard, avec un peu de patience.

Le second regret est au niveau du Directoire. Au final on ne comprend que vaguement leur but, tout reste très flou, et j'aurais aussi aimé avoir un peu plus de réponses détaillées sur leur plan. du coup on a plus l'impression que la Légion combat des fous qui sont méchant "parce que" ce qui les rend un peu caricaturaux.
Je ne dit pas qu'ils n'ont pas de raisons, seulement ici, dans ce tome, elles me semblaient un peu trop en surface, pas assez réfléchies et donc pas très convaincantes par manque d'explications, c'est un peu dommage.

Mais tout ça reste une réflexion après coup, parce qu'au moment ou tout arrive j'étais vraiment prise dans l'histoire et donc je ne l'ai pas lâchée pour me poser toutes ces questions. C'était vraiment une lecture prenante que j'ai quasiment lu d'une traite.
J'ai bien aimé le final, au niveau des personnages on a vraiment une boucle qui est bouclée, tout est satisfaisant et rien ne m'a manqué.

Au final je suis contente d'avoir terminé cette trilogie mais je pense que l'univers mérite vraiment la seconde trilogie que l'auteur est en train d'écrire, du coup je serais ravie de me plonger dedans quand elle arrivera (J'espère que l'Atalante se lancera dans la traduction).

16.5/20
Lien : http://delivreenlivres.blogs..
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Deux journalistes traînaient là aussi – une femme au visage luisant et un type à l’air rusé - , et leur politique en matière de vie privée paraissait moins claire. Ils s’aventurèrent entre les rangées de tombes blanches austères pour m’agiter leur micro sous le nez. Les machines vaudraient-elles parfois mieux que les gens ? Je m’était souvent posé la question depuis mon retour du front.
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- On en a encore pour au moins deux heures. Vos fusiliers couvrent toujours le boyau d'abordage ?
- Affirmatif. Ils s'emmerdent comme des rats morts.
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Les Bribes sont une espèce très ancienne, Harris. Même plus une espèce, en réalité. Ils ont transcendé la chair pour devenir des êtres supérieurs. Ce sont de véritables dieux de la technologie.
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