Critiques de Janny Wurts (195)
La trilogie s'achève en apothéose.
Une trilogie toujours aussi bien du début à la fin. C'était un plaisir de me plonger dans les aventures de Mara et des siens. L'univers créé par l'auteur est riche et captivant.
Pour une critique plus longue, je vous invite sur le blog.
Lien : http://blondes-and-litterair..
Une trilogie toujours aussi bien du début à la fin. C'était un plaisir de me plonger dans les aventures de Mara et des siens. L'univers créé par l'auteur est riche et captivant.
Pour une critique plus longue, je vous invite sur le blog.
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On replonge pour mon plus grand plaisir dans un pavé de 900 pages en compagnie de Mara que demander de mieux. 900 pages, c'est sûr que cela peut paraître beaucoup, mais une fois que l'on a commencé notre lecture, c'est difficile de s'arrêter.
On continue donc de suivre Mara dans ces intrigues politiques qui ont pris de l'importance depuis sa victoire dans le tome 1. On va aussi faire la connaissance de Kevin, un esclave Midkemian qui va faire chavirer Mara et nous permettre de retourner de temps en temps avec mes midkemians qui me manquent tant. Ce que j'ai adoré dans la relation entre Mara et Kevin, c'est qu’enfin, elle a trouvé l'amour qu'elle n'a pas eu avec son mari, mais surtout ce choc des cultures qui sont différentes, mais par moments tellement semblables.
Mara va surtout devoir encore une fois se protéger, car sa victoire, malheureusement, lui amène de nouveaux ennemis qui veulent la voir morte. Encore une fois, on va la suivre dans le jeu du conseil entre les complots, la trahison, la stratégie, il faut être prêt à suivre, car par moments, c'est vraiment retors, mais c'est tellement bien que l'on en redemanderait.
Je suis complètement fan de cette saga autant le premier tome au départ, il m'a fallu quand même un temps d'adaptation parce que nous avions quitté Midkemia et que l'on atterrissait à Tsuranuanni. Mais après une fois que l'on a connue Mara tout se passe parfaitement bien.
On va surtout voir toutes les stratégies qu'elle va mettre en place pour se défendre, mais aussi attaquer pour pouvoir gagner tout va se remettre en place petit à petit et puis de temps en temps, un petit revirement de situation, il ne faudrait pas qu'on s'ennuie. La touche d'amour que l'auteur nous met entre Mara et Kévin est juste géniale, mais alors les auteurs, il faut le dire est quand même très, mais alors très vache en vers Mara parce qu'elle en bave, mais quelque chose de bien surtout à la fin de ce second tome.
Je ne vais pas rentrer beaucoup plus dans les détails si vous voulez savoir n'hésitez pas à vous plonger dans cette saga faut lire d'abord la guerre de la faille, mais vous n’inquiétez pas, ça se dévore facilement au pire, il existe en audio et c'est une pure bombe, c'est une saga qui se lit toute seule malgré ses nombreuses pages qui se dévorent qui se savoure l'histoire est tellement intense que l'on dévore le tome sans s'en rendre compte ! Vivement, la suite.
Lien : https://toutelalecturedesev...
On continue donc de suivre Mara dans ces intrigues politiques qui ont pris de l'importance depuis sa victoire dans le tome 1. On va aussi faire la connaissance de Kevin, un esclave Midkemian qui va faire chavirer Mara et nous permettre de retourner de temps en temps avec mes midkemians qui me manquent tant. Ce que j'ai adoré dans la relation entre Mara et Kevin, c'est qu’enfin, elle a trouvé l'amour qu'elle n'a pas eu avec son mari, mais surtout ce choc des cultures qui sont différentes, mais par moments tellement semblables.
Mara va surtout devoir encore une fois se protéger, car sa victoire, malheureusement, lui amène de nouveaux ennemis qui veulent la voir morte. Encore une fois, on va la suivre dans le jeu du conseil entre les complots, la trahison, la stratégie, il faut être prêt à suivre, car par moments, c'est vraiment retors, mais c'est tellement bien que l'on en redemanderait.
Je suis complètement fan de cette saga autant le premier tome au départ, il m'a fallu quand même un temps d'adaptation parce que nous avions quitté Midkemia et que l'on atterrissait à Tsuranuanni. Mais après une fois que l'on a connue Mara tout se passe parfaitement bien.
On va surtout voir toutes les stratégies qu'elle va mettre en place pour se défendre, mais aussi attaquer pour pouvoir gagner tout va se remettre en place petit à petit et puis de temps en temps, un petit revirement de situation, il ne faudrait pas qu'on s'ennuie. La touche d'amour que l'auteur nous met entre Mara et Kévin est juste géniale, mais alors les auteurs, il faut le dire est quand même très, mais alors très vache en vers Mara parce qu'elle en bave, mais quelque chose de bien surtout à la fin de ce second tome.
Je ne vais pas rentrer beaucoup plus dans les détails si vous voulez savoir n'hésitez pas à vous plonger dans cette saga faut lire d'abord la guerre de la faille, mais vous n’inquiétez pas, ça se dévore facilement au pire, il existe en audio et c'est une pure bombe, c'est une saga qui se lit toute seule malgré ses nombreuses pages qui se dévorent qui se savoure l'histoire est tellement intense que l'on dévore le tome sans s'en rendre compte ! Vivement, la suite.
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A la fin du premier tome, Mara a réussi son pari et assis le statut de sa famille au sein du conseil, mais la guerre et les intrigues n'en sont pas terminés pour autant
Après la jeune fille qui nous a émue, voici maintenant la femme, qui se débat au milieu des intrigues et des pièges tendus par ses adversaires, mais aussi la femme qui découvre l'amour et qui grâce à cet amour mais aussi à son intelligence, va s'ouvrir à des idées nouvelles venues d'un autre univers.
Parallèlement à l'histoire des Acoma, l'auteur nous emmène aussi découvrir les autres familles nous permettant d'avoir une autre vision du jeu politique et d’étoffer un peu notre connaissance de l’Empire de Tsuranuanni.
J'ai dévorée ce second tome aussi vite que le premier
Après la jeune fille qui nous a émue, voici maintenant la femme, qui se débat au milieu des intrigues et des pièges tendus par ses adversaires, mais aussi la femme qui découvre l'amour et qui grâce à cet amour mais aussi à son intelligence, va s'ouvrir à des idées nouvelles venues d'un autre univers.
Parallèlement à l'histoire des Acoma, l'auteur nous emmène aussi découvrir les autres familles nous permettant d'avoir une autre vision du jeu politique et d’étoffer un peu notre connaissance de l’Empire de Tsuranuanni.
J'ai dévorée ce second tome aussi vite que le premier
Dès les premières pages, c'est le dépaysement assuré ! Nous voici plongés en plein coeur de Kelewan, un monde aux fortes saveurs asiatiques à l'image d'un Japon médiéval parallèle. Un monde riche dans ses paysages, ses us et coutumes, et ses ressources, où tout repose sur l'honneur des grandes familles. Un monde peuplé d'ambitieux, prêts à coloniser un monde de barbares sanglants de l'autre côté d'une Faille magique, peu importe le prix à payer... Si tout n'est pas dit dans ce premier tome, on sent d'emblée le solide potentiel de cet univers soigneusement dépeint. Un vrai délice dont j'ai hâte de découvrir tous les tenants et aboutissants puisqu'il me reste encore deux autres tomes à parcourir. Rien que pour l'ambiance originale du récit et les lieux que l'on n'a absolument aucune peine à visualiser, ce roman vaut le détour. Ajoutez-y une jeune fille qui va démontrer une force incroyable face à l'adversité et une trame générale tissée de fil en aiguille, et l'envoûtement est total !
Nous partons ainsi à la rencontre de Mara, une jeune fille de seize ans qui s'apprête, de son plein gré, à rentrer au couvent au service de la déesse Lashima. Malheureusement, un terrible drame la frappe juste avant qu'elle ne prononce ses voeux et sa vie change de tout au tout. de fille et soeur choyée et aimée, elle se retrouve dernière héritière d'une noble lignée, avec pour lourde responsabilité de non seulement assurer la pérennité du clan Acoma mais aussi de se venger des traîtres responsables de son double deuil. Si le domaine est encore intact et riche en ressources agricoles et financières, son armée a été décimée et ce n'est plus qu'une question de jours avant que le reste de l'empire apprenne à quel point Mara est vulnérable. Et les intrigants avides d'entrer parmi les Cinq Grandes Familles sont légions...
La civilisation décrite ici est terriblement codée, au-delà de tout ce que l'on peut connaître. Tout repose sur la notion d'honneur, mais l'honneur lui-même ne dépend en fait que de la ruse et de la subtilité des tactiques lancées contre les clans ennemis. Les lois sont implacables envers le moindre manquement à l'Étiquette, et pourtant, meurtres et complots sont fortement encouragés selon la logique du "pas vu, pas pris". Tout est question d'apparences, de menaces voilées, de manoeuvres sournoises où les intérêts changent aussi souvent que la direction du vent. Des guerres de sang ravagent des familles entières pour des conflits dont on ne connaît finalement même plus l'origine...
Mara, jeune fille naïve, débarque dans le jeu du Conseil. Les enjeux sont énormes et sa situation paraît désespérée. Ses plans le seront tout autant, et les enchères de plus en plus élevées. Si elle tombe dans les mains de l'ennemi, c'est la fin de sa famille et celle-ci entraînera tous ses serviteurs dans sa chute, selon les vieux codes de l'empire où l'on n'a aucune pitié pour les perdants. Peu importe alors les bons et loyaux services qu'ils auraient pu rendre par le passé. Un univers terriblement masculin où Mara est d'office insultée et sous-estimée. Mais ce que ni elle ni son domaine n'ont pour le moment : une force de frappe, elle le compensera à travers ses charmes féminins et sa grande intelligence. de nombreuses trahisons sont à craindre et arrivent bel et bien, mais elle tient bon. Elle est comme le phare inébranlable d'une île en pleine tempête et ne montre jamais à quel point elle se sent piégée et dévastée. Patience, maturité et clairvoyance deviendront ses maîtres-mots et quand de nombreux citoyens tsuranni se montreront lâches et perfides, Mara apprendra à manier les codes et la tradition en toute élégance, à l'image de la plus belle plante vénéneuse dont on ne soupçonne pas la menace avant d'y avoir goûté.
Malgré ses propres manigances, la jeune femme reste terriblement attachante et sympathique. Elle garde une âme pure, elle cherche juste à survivre dans un monde violent et sans pitié. Elle évolue pas-à-pas au milieu de ce bal masqué implacable où l'on écrase des ennemis ancestraux avec un sourire avant de mieux s'attaquer aux prochains...
Des noms spécifiques à l'univers pourraient en dérouter quelques-uns au début. Mais il est réellement facile de déduire quelle créature se cache derrière tel mot grâce au contexte, au sein-même de la phrase où on le trouve. Et au final, cela ne fait que repousser plus loin les limites de l'expérience tsuranni. Quelques pistes sont également introduites dans ce premier tome, mais on sent que leur potentiel n'est qu'effleuré et j'ai hâte de voir ce qu'elles révéleront à l'avenir !
Lien : https://dragonlyre.wordpress..
Nous partons ainsi à la rencontre de Mara, une jeune fille de seize ans qui s'apprête, de son plein gré, à rentrer au couvent au service de la déesse Lashima. Malheureusement, un terrible drame la frappe juste avant qu'elle ne prononce ses voeux et sa vie change de tout au tout. de fille et soeur choyée et aimée, elle se retrouve dernière héritière d'une noble lignée, avec pour lourde responsabilité de non seulement assurer la pérennité du clan Acoma mais aussi de se venger des traîtres responsables de son double deuil. Si le domaine est encore intact et riche en ressources agricoles et financières, son armée a été décimée et ce n'est plus qu'une question de jours avant que le reste de l'empire apprenne à quel point Mara est vulnérable. Et les intrigants avides d'entrer parmi les Cinq Grandes Familles sont légions...
La civilisation décrite ici est terriblement codée, au-delà de tout ce que l'on peut connaître. Tout repose sur la notion d'honneur, mais l'honneur lui-même ne dépend en fait que de la ruse et de la subtilité des tactiques lancées contre les clans ennemis. Les lois sont implacables envers le moindre manquement à l'Étiquette, et pourtant, meurtres et complots sont fortement encouragés selon la logique du "pas vu, pas pris". Tout est question d'apparences, de menaces voilées, de manoeuvres sournoises où les intérêts changent aussi souvent que la direction du vent. Des guerres de sang ravagent des familles entières pour des conflits dont on ne connaît finalement même plus l'origine...
Mara, jeune fille naïve, débarque dans le jeu du Conseil. Les enjeux sont énormes et sa situation paraît désespérée. Ses plans le seront tout autant, et les enchères de plus en plus élevées. Si elle tombe dans les mains de l'ennemi, c'est la fin de sa famille et celle-ci entraînera tous ses serviteurs dans sa chute, selon les vieux codes de l'empire où l'on n'a aucune pitié pour les perdants. Peu importe alors les bons et loyaux services qu'ils auraient pu rendre par le passé. Un univers terriblement masculin où Mara est d'office insultée et sous-estimée. Mais ce que ni elle ni son domaine n'ont pour le moment : une force de frappe, elle le compensera à travers ses charmes féminins et sa grande intelligence. de nombreuses trahisons sont à craindre et arrivent bel et bien, mais elle tient bon. Elle est comme le phare inébranlable d'une île en pleine tempête et ne montre jamais à quel point elle se sent piégée et dévastée. Patience, maturité et clairvoyance deviendront ses maîtres-mots et quand de nombreux citoyens tsuranni se montreront lâches et perfides, Mara apprendra à manier les codes et la tradition en toute élégance, à l'image de la plus belle plante vénéneuse dont on ne soupçonne pas la menace avant d'y avoir goûté.
Malgré ses propres manigances, la jeune femme reste terriblement attachante et sympathique. Elle garde une âme pure, elle cherche juste à survivre dans un monde violent et sans pitié. Elle évolue pas-à-pas au milieu de ce bal masqué implacable où l'on écrase des ennemis ancestraux avec un sourire avant de mieux s'attaquer aux prochains...
Des noms spécifiques à l'univers pourraient en dérouter quelques-uns au début. Mais il est réellement facile de déduire quelle créature se cache derrière tel mot grâce au contexte, au sein-même de la phrase où on le trouve. Et au final, cela ne fait que repousser plus loin les limites de l'expérience tsuranni. Quelques pistes sont également introduites dans ce premier tome, mais on sent que leur potentiel n'est qu'effleuré et j'ai hâte de voir ce qu'elles révéleront à l'avenir !
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Mature et construit de façon élaborée, ce récit médiéval fantastique, nous conte l'ascension de la jeune Mara au sein des arcanes du pouvoir. Que ce soit dans l'évocation des mythes et coutumes du royaume ou dans l'enchainement des intrigues politiques des grandes Maisons, cette épopée demeure particulièrement intéressante. J'ai hâte de lire la suite !!!
Accroc de bout en bout de l'histoire.Jamais Feist et Wurts m'auront autant fait vibrer cette magnifique saga. Cela montre aussi que , quand des auteurs sont en duo homme et femme , cela nous fait une superbe trilogie.
Prenez un univers de fantaisie et de magie, ajoutez y une touche de japon médiéval avec leur système de caste et laissez faire le talent de Feist pour découvrir la trilogie de l’empire.
Voici une saga qui a su combler toutes mes passions, un vrai délice qui nous laisse un gout de “trop peu” après seulement 3 volumes.
Et pourtant rien ne manque on ne nous laisse pas sur notre faim mais on aime et on en redemande.
Voici une saga qui a su combler toutes mes passions, un vrai délice qui nous laisse un gout de “trop peu” après seulement 3 volumes.
Et pourtant rien ne manque on ne nous laisse pas sur notre faim mais on aime et on en redemande.
Premier roman écrit en solitaire par Janny Wurts qui a collaboré à La Trilogie de l’Empire avec Raymond E. Feist. Si le premier tome de « La guerre de l’ombre et de la lumière » est plutôt bon, il m’a un tantinet étouffé par sa densité (et son épaisseur).
Tout d’abord, nous sommes en face d’un cycle de fantasy classique, solide, qui tient bien la route, même si elle innove peu finalement. Les deux héros du roman sont deux demi-frères qui s’opposent en tout : Lysaer est le fils du roi légitime, beau, blond, élégant, fin stratège, bon épéiste, il sait gagner son audience; Arithon est le fils du roi pirate et le bâtard de la reine, les cheveux corbeau, l’allure dégingandé, mais puissant magicien qui voue une haine terrible au roi et à son demi-frère. Les deux frères s’opposent jusque dans leurs pouvoirs : car si Arithon possède le don d’en appeler aux ténèbres, Lysaer quant à lui a hérité de la lumière, bien qu’il ne sache pratiquement pas s’en servir, une formation lui ayant été refusée. Voilà, un postulat classique en somme, les frères ennemis étant un thème récurrent dans la fantasy. Là où Wurts innove, c’est dans la supposée « haine » que se voue les deux frères, car finalement si les deux princes s’opposent, ils se complètent aussi et finiront bien vite par, si ce n’est s’apprécier, du moins s ‘apprivoiser. J’ai particulièrement aimé leur relation, on sent que les deux frères se jaugent, cherchent à discerner la personnalité de chacun et qu’ils ont envie de se rapprocher mais l’habitude de la haine est très difficile à chasser. Car finalement, si les deux frères se détestent en apparence, c’est plus une question de tradition et d‘obligation (et un peu de jalousie) que de leur propre volonté . Les circonstances les mèneront à faire route ensemble et à devoir apprendre à se faire confiance car les voilà propulsés par delà la frontière, dans un nouveau monde, où la Brume a tout envahi, jusqu’à la lumière du soleil. Là encore, l’intrigue reste classique, les deux frères se révélant les héros d’une ancienne prophétie qui annonce la disparition de la Brume. Des magiciens, un prophète, un mystérieux ordre secret, le lecteur de fantasy ne sera pas déstabilisé, Wurts utilisant les ficelles traditionnelles de ce type de roman.
Lien : http://avideslectures.over-b..
Tout d’abord, nous sommes en face d’un cycle de fantasy classique, solide, qui tient bien la route, même si elle innove peu finalement. Les deux héros du roman sont deux demi-frères qui s’opposent en tout : Lysaer est le fils du roi légitime, beau, blond, élégant, fin stratège, bon épéiste, il sait gagner son audience; Arithon est le fils du roi pirate et le bâtard de la reine, les cheveux corbeau, l’allure dégingandé, mais puissant magicien qui voue une haine terrible au roi et à son demi-frère. Les deux frères s’opposent jusque dans leurs pouvoirs : car si Arithon possède le don d’en appeler aux ténèbres, Lysaer quant à lui a hérité de la lumière, bien qu’il ne sache pratiquement pas s’en servir, une formation lui ayant été refusée. Voilà, un postulat classique en somme, les frères ennemis étant un thème récurrent dans la fantasy. Là où Wurts innove, c’est dans la supposée « haine » que se voue les deux frères, car finalement si les deux princes s’opposent, ils se complètent aussi et finiront bien vite par, si ce n’est s’apprécier, du moins s ‘apprivoiser. J’ai particulièrement aimé leur relation, on sent que les deux frères se jaugent, cherchent à discerner la personnalité de chacun et qu’ils ont envie de se rapprocher mais l’habitude de la haine est très difficile à chasser. Car finalement, si les deux frères se détestent en apparence, c’est plus une question de tradition et d‘obligation (et un peu de jalousie) que de leur propre volonté . Les circonstances les mèneront à faire route ensemble et à devoir apprendre à se faire confiance car les voilà propulsés par delà la frontière, dans un nouveau monde, où la Brume a tout envahi, jusqu’à la lumière du soleil. Là encore, l’intrigue reste classique, les deux frères se révélant les héros d’une ancienne prophétie qui annonce la disparition de la Brume. Des magiciens, un prophète, un mystérieux ordre secret, le lecteur de fantasy ne sera pas déstabilisé, Wurts utilisant les ficelles traditionnelles de ce type de roman.
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Au premier abord le livre semble original, plein d'actions et surtout digne d'une oeuvre dans le domaine fantastique.
La couverture bleue qui montre l'une des 6 tours que vous verrez dans le livre apporte son flot d'intrigues et d'interrogations sur ce livre.
On l'ouvre et là on essaye de comprendre tant bien que mal.
Au début, une première page pour nous mettre dans l'ambiance. Et là un premier nom de ville. Pour bien se situer reportons nous à la carte du début pour y "chercher la ville. Tiens c'est bizarre, mais où est elle située ? En effet elle n'apparaît pas. Mais pourquoi donc ? Bon ce n'est pas grave continuons la lecture". Voilà ce que l'on pourrait se dire dès le début du livre.
Malheureusement ce n'est qu'au bout de 100 pages que ceci est expliqué. L'histoire de "La brume des spectres" se passe sur 3 niveaux. J'entend par là que nos héros devront passer par 3 mondes pour que cette histoire est lieu. Vous comprendrez plus en lisant le livre... Quoique !
A part ceci le nom des personnages, de l'ordre établi, des patelins et du concepte de la Brume est également difficile à comprendre. Ce n'est qu'un temps d'aptation à avoir mais c'est dommage que pour un livre avec une bonne intrigue ce temps soit aussi long.
Au niveau traduction le livre comporte aussi quelque lacune. On se demande si certaine phrase sont françaises, quand ce n'est pas des espaces par paragraphes qui sont oubliés.
Ce livre à quand même une excellente intrigue et on est partagé entre les deux héros de l'histoire : chacun de vous aura son préféré et aura son parti même si l'auteur nous montre quel est le gentil et quel est le méchant dans l'histoire. Des personnages avec des pouvoirs suprenants et stupéfiants qui se complètent par leur opposition.
Un livre à conseiller pour tous les fans de lecture de fantaisie et pour tous les amoureux des histoires complexes.
Lien : http://homelaet.canalblog.co..
La couverture bleue qui montre l'une des 6 tours que vous verrez dans le livre apporte son flot d'intrigues et d'interrogations sur ce livre.
On l'ouvre et là on essaye de comprendre tant bien que mal.
Au début, une première page pour nous mettre dans l'ambiance. Et là un premier nom de ville. Pour bien se situer reportons nous à la carte du début pour y "chercher la ville. Tiens c'est bizarre, mais où est elle située ? En effet elle n'apparaît pas. Mais pourquoi donc ? Bon ce n'est pas grave continuons la lecture". Voilà ce que l'on pourrait se dire dès le début du livre.
Malheureusement ce n'est qu'au bout de 100 pages que ceci est expliqué. L'histoire de "La brume des spectres" se passe sur 3 niveaux. J'entend par là que nos héros devront passer par 3 mondes pour que cette histoire est lieu. Vous comprendrez plus en lisant le livre... Quoique !
A part ceci le nom des personnages, de l'ordre établi, des patelins et du concepte de la Brume est également difficile à comprendre. Ce n'est qu'un temps d'aptation à avoir mais c'est dommage que pour un livre avec une bonne intrigue ce temps soit aussi long.
Au niveau traduction le livre comporte aussi quelque lacune. On se demande si certaine phrase sont françaises, quand ce n'est pas des espaces par paragraphes qui sont oubliés.
Ce livre à quand même une excellente intrigue et on est partagé entre les deux héros de l'histoire : chacun de vous aura son préféré et aura son parti même si l'auteur nous montre quel est le gentil et quel est le méchant dans l'histoire. Des personnages avec des pouvoirs suprenants et stupéfiants qui se complètent par leur opposition.
Un livre à conseiller pour tous les fans de lecture de fantaisie et pour tous les amoureux des histoires complexes.
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"Fille de l'empire" est un roman de fantasy qui se déroule dans un monde où une jeune femme, Mara, hérite de la responsabilité de diriger l'empire de son père après sa mort.
J'ai d'abord adoré l'univers fascinant et dépaysant dévelopé par l'auteur, qui n'est pas sans rappeler l'extrême-orient. J'ai également été happé par l'intrigue politique complexe de la cour impériale où chacun lutte pour maintenir le pouvoir de sa famille.
"Fille de l'empire" est le tome 1 de la Trilogie de l'empire.
Trilogie de l'empire Tome 1/3 - Fille de l'empire
J'ai d'abord adoré l'univers fascinant et dépaysant dévelopé par l'auteur, qui n'est pas sans rappeler l'extrême-orient. J'ai également été happé par l'intrigue politique complexe de la cour impériale où chacun lutte pour maintenir le pouvoir de sa famille.
"Fille de l'empire" est le tome 1 de la Trilogie de l'empire.
Trilogie de l'empire Tome 1/3 - Fille de l'empire
Voilà comment conclure l'année avec panache avec une lecture forte en émotions ! Un beau pavé que ce troisième et dernier tome de la Trilogie de l'Empire de Feist et Wurts, qui est monté en puissance au fur et à mesure des chapitres, mais qui m'a vraiment fait passer par toutes les émotions possibles !
Je dois avouer que le démarrage du roman m'a fait osciller entre tristesse, douleur et agacement, avec le drame qui frappe les Acoma et précipite la famille de Mara dans des ennuis terribles. Ca a été un vrai plaisir pour moi de retrouver tous les personnages que j'apprécie dans la saga, Mara, bien entendu, qui est un personnage que j'admire énormément, mais également mes petits préférés : Lujan, Arakasi et Hokanu. le couple formé par celui-ci et Mara est vraiment du genre à mettre du baume au coeur, avec une belle complicité. Mais la suite des événements n'épargne clairement personne, et surtout pas le coeur du lecteur !
S'il y a eu un coup de mou vers le milieu du roman à quelques reprises, avec des lenteurs parfois un peu agaçantes, les rebondissements qui s'enchaînent attisent immédiatement l'intérêt, jusqu'au bouquet final qui m'a tenue en haleine sans discontinuer pendant les deux cents dernières pages. Et quel final ! Lire une trentaine de pages les larmes aux yeux, c'est un exercice auquel je ne me suis pas souvent essayée, et la fin douce mais également un peu amère du roman y est clairement pour quelque chose.
Au bout du compte, on aura dans ce roman notre comptant d'intrigues politiques, d'espionnage, d'aventure et de guerre, un cocktail sans faute à mon goût. Il y a également du sentiment, du développement de personnages à n'en plus finir, sans oublier que le roman fait la part belle à Mara, bien entendu, mais également à Arakasi, qu'on voit souvent dans ses missions d'espionnage auparavant plus énigmatiques. C'est avec une vraie mélancolie que je referme ce troisième volume de la trilogie, heureuse d'avoir vécu une aussi belle aventure, mais triste de ne pas en voir davantage. Heureusement, les mondes de Feist sont encore vastes, et il me reste de nombreuses sagas à savourer !
Je dois avouer que le démarrage du roman m'a fait osciller entre tristesse, douleur et agacement, avec le drame qui frappe les Acoma et précipite la famille de Mara dans des ennuis terribles. Ca a été un vrai plaisir pour moi de retrouver tous les personnages que j'apprécie dans la saga, Mara, bien entendu, qui est un personnage que j'admire énormément, mais également mes petits préférés : Lujan, Arakasi et Hokanu. le couple formé par celui-ci et Mara est vraiment du genre à mettre du baume au coeur, avec une belle complicité. Mais la suite des événements n'épargne clairement personne, et surtout pas le coeur du lecteur !
S'il y a eu un coup de mou vers le milieu du roman à quelques reprises, avec des lenteurs parfois un peu agaçantes, les rebondissements qui s'enchaînent attisent immédiatement l'intérêt, jusqu'au bouquet final qui m'a tenue en haleine sans discontinuer pendant les deux cents dernières pages. Et quel final ! Lire une trentaine de pages les larmes aux yeux, c'est un exercice auquel je ne me suis pas souvent essayée, et la fin douce mais également un peu amère du roman y est clairement pour quelque chose.
Au bout du compte, on aura dans ce roman notre comptant d'intrigues politiques, d'espionnage, d'aventure et de guerre, un cocktail sans faute à mon goût. Il y a également du sentiment, du développement de personnages à n'en plus finir, sans oublier que le roman fait la part belle à Mara, bien entendu, mais également à Arakasi, qu'on voit souvent dans ses missions d'espionnage auparavant plus énigmatiques. C'est avec une vraie mélancolie que je referme ce troisième volume de la trilogie, heureuse d'avoir vécu une aussi belle aventure, mais triste de ne pas en voir davantage. Heureusement, les mondes de Feist sont encore vastes, et il me reste de nombreuses sagas à savourer !
Suite des aventures de Mara, en demi-teinte : j'ai beaucoup apprécié la réflexion et remise en cause de ses convictions ancestrales lors de ses discussions avec Kevin et sa volonté de faire changer les choses. Mais je me suis cru dans un film américain tellement elle triomphe toujours de toutes les situations, ce qui fait qu'à force, je ne me suis plus inquiétée lors des différents combats qui ont eu lieu. Apres l'intervention du magicien lors du conseil j'ai trouvé les chapitres bien longs alors que certains personnages clés disparaissent du paysage sans explication. J'ai compris en lisant les critiques qu'il y a une autre trilogie de ces auteurs qui complète ces événements. Comme d'autres je me pose la question de ce qui peut lui arriver dans le dernier tome puisqu'elle a déjà hérité du titre honorifique suprême ?
Comme je l’indiquais à la fin de la lecture du deuxième tome qui clôturait l'ascension entreprise par Mara, j’étais curieuse de lire cette suite, mais pour autant je ne voulais pas m’y plonger tout de suite.
C’est donc presque trois ans après la lecture du tome précédent que je me suis lancé dans ce dernier pavé, et j'avoue y être allée un peu à reculons.
D’abord parce que, plus le temps passait, plus ces deux premiers tomes me semblaient totalement suffire pour raconter l’histoire de Mara. Ensuite, parce que je savais, au vu du résumé, que l’héroïne allait encore grandement souffrir. Enfin le titre, comme la fois précédente, annonçait la fin du roman et me donnait une impression de redondance.
Et j’avais plutôt vu juste.
Les premiers chapitres ont été difficiles à lire du fait du drame, des attentes horribles de cette société envers Mara qui vient de perdre un enfant et aussi de ma difficulté à replacer tous les protagonistes sur l’échiquier.
Malgré mes oublis, j’ai assez vite remarqué que le schéma de ce dernier tome reprenait celui du second tome.
Tout d'abord, on se focalise sur « l'affrontement » de deux familles, la recherche et la destruction des coupables de la tragédie. Mara est dans cette partie assez effacée et même si les passages avec l’espion des Acoma étaient palpitants, je me suis un peu ennuyée.
Dans la seconde partie, « l'affrontement » devient pour un temps secondaire puisqu’il est contrecarré par un ennemi bien plus puissant. Les auteurs nous plongent alors plus concrètement dans l’histoire de la société Tsurani. La magie et le « bestiaire » fantastique deviennent des éléments centraux du récit pour permettre son dénouement à coup de ruses et d’intrigues politiques. Cette seconde partie, où l’héroïne reprend vraiment le contrôle de son destin, m’a beaucoup plus plu.
J’avoue avoir lu beaucoup de passages en diagonale au vu de la redondance des introspections et réflexions de tous les personnages.
Les antagonistes m’ont assez déçue de par leurs réactions/réflexions violentes et somme toute très puériles.
La fin attendue m’a tout de même plu puisqu'elle donne au personnage de Mara beaucoup de place pour s’exprimer et montrer sa force de caractère.
À côté, l’épilogue ne m’a pas vraiment convaincue, un peu trop happy end hollywoodien à mon sens.
Je finis donc cette trilogie en étant un peu déçue.
Autant je suis contente de l’avoir terminé et même si ce tome n’a pas été à la hauteur des précédents il a quand même permis de répondre à certaines de mes interrogations concernant l’univers.
Et en même temps, j’ai l’impression de laisser l’héroïne et la société Tsurani au même point qu’au tome précédent en refermant ce roman. Le dernier carcan qui empêchait l’évolution de cette société est certes tombé, mais on n’en voit pas du tout les effets...
C’est donc presque trois ans après la lecture du tome précédent que je me suis lancé dans ce dernier pavé, et j'avoue y être allée un peu à reculons.
D’abord parce que, plus le temps passait, plus ces deux premiers tomes me semblaient totalement suffire pour raconter l’histoire de Mara. Ensuite, parce que je savais, au vu du résumé, que l’héroïne allait encore grandement souffrir. Enfin le titre, comme la fois précédente, annonçait la fin du roman et me donnait une impression de redondance.
Et j’avais plutôt vu juste.
Les premiers chapitres ont été difficiles à lire du fait du drame, des attentes horribles de cette société envers Mara qui vient de perdre un enfant et aussi de ma difficulté à replacer tous les protagonistes sur l’échiquier.
Malgré mes oublis, j’ai assez vite remarqué que le schéma de ce dernier tome reprenait celui du second tome.
Tout d'abord, on se focalise sur « l'affrontement » de deux familles, la recherche et la destruction des coupables de la tragédie. Mara est dans cette partie assez effacée et même si les passages avec l’espion des Acoma étaient palpitants, je me suis un peu ennuyée.
Dans la seconde partie, « l'affrontement » devient pour un temps secondaire puisqu’il est contrecarré par un ennemi bien plus puissant. Les auteurs nous plongent alors plus concrètement dans l’histoire de la société Tsurani. La magie et le « bestiaire » fantastique deviennent des éléments centraux du récit pour permettre son dénouement à coup de ruses et d’intrigues politiques. Cette seconde partie, où l’héroïne reprend vraiment le contrôle de son destin, m’a beaucoup plus plu.
J’avoue avoir lu beaucoup de passages en diagonale au vu de la redondance des introspections et réflexions de tous les personnages.
Les antagonistes m’ont assez déçue de par leurs réactions/réflexions violentes et somme toute très puériles.
La fin attendue m’a tout de même plu puisqu'elle donne au personnage de Mara beaucoup de place pour s’exprimer et montrer sa force de caractère.
À côté, l’épilogue ne m’a pas vraiment convaincue, un peu trop happy end hollywoodien à mon sens.
Je finis donc cette trilogie en étant un peu déçue.
Autant je suis contente de l’avoir terminé et même si ce tome n’a pas été à la hauteur des précédents il a quand même permis de répondre à certaines de mes interrogations concernant l’univers.
Et en même temps, j’ai l’impression de laisser l’héroïne et la société Tsurani au même point qu’au tome précédent en refermant ce roman. Le dernier carcan qui empêchait l’évolution de cette société est certes tombé, mais on n’en voit pas du tout les effets...
Le premier volume de "La Trilogie de l'Empire" avait frôlé le coup de coeur. J'avais adoré cet univers de fantasy asiatique, largement inspiré du Japon féodal, cette atmosphère de complot, et l'ingéniosité de Mara, notre personnage principale.
Je n'ai rien retrouvé de tout cela dans ce second opus. "La Trilogie de l'Empire" est censée pouvoir être lue indépendamment de la saga "La Guerre de la Faille", de Raymond Feist. Pourtant dans ce tome, tous les éléments d'importance y sont reliés. Tous les retournements de situation ayant un impact considérable sur la suite des événements sont des péripéties de "La Guerre de la Faille". Outre le fait d'avoir clairement le sentiment de manquer quelque chose, cela fait que les enjeux de l'histoire se pratiquent majoritairement hors-champs.
La romance prend toute la place dans cette suite, au détriment des complots et des manœuvres intelligentes tant appréciés dans le premier volume. Et cette romance, parlons en ! Je l'ai trouvé personnellement très dérangeante. Elle est censée mettre en scène un couple issu de cultures différentes, parvenant à déconstruire leurs stéréotypes respectifs de par la force de leurs sentiments. Mais en réalité, cela m'a paru maladroit : la relation se construit sur des rapports de domination, les deux personnages n'ont aucun dialogue vraiment profond, il nous est juste précisé presque une fois par chapitre qu'ils ont des ébats passionnés. Ce qui fait que nous sommes sur une "grande histoire d'amour"... très creuse, finalement. Je ne me suis aucunement sentie émue par les fluctuations de cette relation, qu'en plus de ça j'ai trouvé lourde et prévisible.
La famille Minwanabi, la grande menace pesant sur Mara, m'a donné l'impression d'avoir de "menace" que le nom. J'ai eu un espoir avec l'introduction d'un nouveau personnage, présenté au départ comme étant calculateur et intelligent. J'espérais un adversaire de la même envergure que Mara, capable de lui faire face, de lui donner du mal. Et plus l'avancée dans l'intrigue se faisait, plus grande était la désillusion.
D'ailleurs, en parlant des Minwanabi, les comparaisons constantes entre Desio "gros et stupide" et Tasaio "mince et intelligent" à presque chaque chapitre étaient difficiles. Je sais que le roman a plus de trente ans, mais les allusions grossophobes toutes les cinq pages, où tous les ennemis sont systématiquement obèses et simplets, c'étaient vraiment problématiques.
Enfin, parlons de Mara. La brillante, intelligente Mara, virtuose du Jeu du Conseil. A grand regret, une fois encore, nous n'avons rien de tout ça. Elle me paraît presque absente, durant tout ce tome, éclipsée par Kévin. Il faut attendre d'avoir dépassé les vingt chapitres, sur 27, pour qu'elle commence à concrètement entreprendre des actions offensives plutôt que d'être dans l'attente ou de jouer le jeu des autres. Et même là, j'ai trouvé que ces manoeuvres manquaient d'ampleur. Les quelques bons mouvements d'échiquiers sont purement des coups de bluff, ne menant à rien. Mara est systématiquement sauvée par l'intervention d'un tiers, et cela en devient presque frustrant.
Cette suite semble vouloir faire prendre une nouvelle direction à l'histoire ; plutôt que de se concentrer sur les complots et les machinations du Conseil, les auteurs semblent souhaiter déconstruire les traditions, les remettre en cause pour créer un ordre nouveau, uni. C'est un choix scénaristique qui, personnellement, ne m'aurait pas dérangé, si on ne me l'avait pas introduit de toutes les manières précédemment citées.
Si je devais trouver un point positif à ce second tome, ce serait d'avoir rendu les personnages un peu plus "humains", là où dans le premier volume l'impassabilité Tsurani prenait systématiquement le dessus. Le fait d'observer les évènements à travers d'autres yeux que ceux de Mara aide également dans cette entreprise.
J'ai tenu à aller au bout de l'ouvrage, mais celui-ci fut pour moi laborieux et décevant, au point qu'il m'aura pris un mois complet, ce qui est très long selon mes habitudes de lecture. Je ne suis pas sûre de lire le troisième et dernier tome, dont l'issue me paraît malheureusement déjà assez prévisible.
Je n'ai rien retrouvé de tout cela dans ce second opus. "La Trilogie de l'Empire" est censée pouvoir être lue indépendamment de la saga "La Guerre de la Faille", de Raymond Feist. Pourtant dans ce tome, tous les éléments d'importance y sont reliés. Tous les retournements de situation ayant un impact considérable sur la suite des événements sont des péripéties de "La Guerre de la Faille". Outre le fait d'avoir clairement le sentiment de manquer quelque chose, cela fait que les enjeux de l'histoire se pratiquent majoritairement hors-champs.
La romance prend toute la place dans cette suite, au détriment des complots et des manœuvres intelligentes tant appréciés dans le premier volume. Et cette romance, parlons en ! Je l'ai trouvé personnellement très dérangeante. Elle est censée mettre en scène un couple issu de cultures différentes, parvenant à déconstruire leurs stéréotypes respectifs de par la force de leurs sentiments. Mais en réalité, cela m'a paru maladroit : la relation se construit sur des rapports de domination, les deux personnages n'ont aucun dialogue vraiment profond, il nous est juste précisé presque une fois par chapitre qu'ils ont des ébats passionnés. Ce qui fait que nous sommes sur une "grande histoire d'amour"... très creuse, finalement. Je ne me suis aucunement sentie émue par les fluctuations de cette relation, qu'en plus de ça j'ai trouvé lourde et prévisible.
La famille Minwanabi, la grande menace pesant sur Mara, m'a donné l'impression d'avoir de "menace" que le nom. J'ai eu un espoir avec l'introduction d'un nouveau personnage, présenté au départ comme étant calculateur et intelligent. J'espérais un adversaire de la même envergure que Mara, capable de lui faire face, de lui donner du mal. Et plus l'avancée dans l'intrigue se faisait, plus grande était la désillusion.
D'ailleurs, en parlant des Minwanabi, les comparaisons constantes entre Desio "gros et stupide" et Tasaio "mince et intelligent" à presque chaque chapitre étaient difficiles. Je sais que le roman a plus de trente ans, mais les allusions grossophobes toutes les cinq pages, où tous les ennemis sont systématiquement obèses et simplets, c'étaient vraiment problématiques.
Enfin, parlons de Mara. La brillante, intelligente Mara, virtuose du Jeu du Conseil. A grand regret, une fois encore, nous n'avons rien de tout ça. Elle me paraît presque absente, durant tout ce tome, éclipsée par Kévin. Il faut attendre d'avoir dépassé les vingt chapitres, sur 27, pour qu'elle commence à concrètement entreprendre des actions offensives plutôt que d'être dans l'attente ou de jouer le jeu des autres. Et même là, j'ai trouvé que ces manoeuvres manquaient d'ampleur. Les quelques bons mouvements d'échiquiers sont purement des coups de bluff, ne menant à rien. Mara est systématiquement sauvée par l'intervention d'un tiers, et cela en devient presque frustrant.
Cette suite semble vouloir faire prendre une nouvelle direction à l'histoire ; plutôt que de se concentrer sur les complots et les machinations du Conseil, les auteurs semblent souhaiter déconstruire les traditions, les remettre en cause pour créer un ordre nouveau, uni. C'est un choix scénaristique qui, personnellement, ne m'aurait pas dérangé, si on ne me l'avait pas introduit de toutes les manières précédemment citées.
Si je devais trouver un point positif à ce second tome, ce serait d'avoir rendu les personnages un peu plus "humains", là où dans le premier volume l'impassabilité Tsurani prenait systématiquement le dessus. Le fait d'observer les évènements à travers d'autres yeux que ceux de Mara aide également dans cette entreprise.
J'ai tenu à aller au bout de l'ouvrage, mais celui-ci fut pour moi laborieux et décevant, au point qu'il m'aura pris un mois complet, ce qui est très long selon mes habitudes de lecture. Je ne suis pas sûre de lire le troisième et dernier tome, dont l'issue me paraît malheureusement déjà assez prévisible.
Pour l'intégralité des tomes : Mon avis : Une trilogie épaisse mais sans longueurs. L’univers fantasy sert surtout de décor (faune, flore, paysages …). À part une race de magiciens et une race insectoïde, les autres peuples sont tous humains. Le coeur de cette saga est vraiment le jeu du Conseil : intrigues, complots, trahisons, assassinats, espionnages, embrouilles politiques, alliances militaires et familiales, accords commerciaux etc.
Pour ceux qui aiment cette ambiance plus « cérébrale » vous êtes au bon endroit (il y a aussi des combats je vous rassure) !
C’est très riche, complexe mais pas inabordable. Le style est assez fluide, la plume nous emporte vite. Même s’il y a de la romance elle n’est pas au premier plan. Les personnages et les dialogues sont soignés, on rentre dans l’histoire sans problème. À chaque tome on monte d’un cran, les morts sont plus nombreuses et plus violentes (pour les lecteurs/lectrices très sensibles certains passages peuvent être difficiles, notamment à partir du tome 2).
Une série que j’ai lue et relue : à chaque fois je me suis laissée happer sans y prendre garde. Un réel plaisir, surtout qu’au niveau ambiance il y a une grosse influence de l’époque Empire du Milieu et du Soleil Levant.
Un sentier qui vous mènera dans un autre monde, sur les pas d’une jeune femme prête à tout pour survivre.
Pour ceux qui aiment cette ambiance plus « cérébrale » vous êtes au bon endroit (il y a aussi des combats je vous rassure) !
C’est très riche, complexe mais pas inabordable. Le style est assez fluide, la plume nous emporte vite. Même s’il y a de la romance elle n’est pas au premier plan. Les personnages et les dialogues sont soignés, on rentre dans l’histoire sans problème. À chaque tome on monte d’un cran, les morts sont plus nombreuses et plus violentes (pour les lecteurs/lectrices très sensibles certains passages peuvent être difficiles, notamment à partir du tome 2).
Une série que j’ai lue et relue : à chaque fois je me suis laissée happer sans y prendre garde. Un réel plaisir, surtout qu’au niveau ambiance il y a une grosse influence de l’époque Empire du Milieu et du Soleil Levant.
Un sentier qui vous mènera dans un autre monde, sur les pas d’une jeune femme prête à tout pour survivre.
Je vous l'avais bien dit, j'ai l'intention de me faire toute la saga de ce cher Raymond! Bon, il y a du boulot, 27 tomes rien que cela, mais comme dirait ma chère Ingrid, "c'est que cela se lit vite ses petites bêtes!" Elle n'a pas tort, on les lit en 2 allé 3 jours si l'on a un planning de fou !
Cette fois-ci, on dit au revoir à Midkenia et on va dire bonjour aux Tsurani . Se fut un peu compliqué, vous savez mon amour pour Midkenia et ses personnages (Ingrid aucun commentaire, merci) alors au début, ce fut dur. En plus, Tsurani, c'est un genre du Japon médiéval (j'ai la voix du mec qui a fait les livres audio et quand il prend l'accent, je m'égare, mais je me marre toute seule) c'est donc vraiment différent de Midkenia.
C'est différentes familles qui jouent le jeu du conseil (oh !, je connais cela), et l'on va donc partir dans la famille des Accomat (on a connu le père et le fils dans le premier cycle). Et donc on va rencontrer Mara qui va devoir reprendre les rênes de la famille. Sauf que voilà, la famille est affaiblie par la perte du père et du frère, mais également c'est une femme alors dans ce royaume d'homme, tout va être compliqué pour elle. De plus, elle n'a pas été formée pour être à la tête de la famille, mais heureusement, elle va avoir des alliés pour l'aider.
Bien sûr, tout ne sera pas simple, elle va faire des erreurs, mais son but est de venger la disparition de son frère et de son père et pour cela, elle n'aura aucune pitié pour personne. Elle va tout apprendre, la gestion du domaine, de l'armée, mais surtout apprendre à jouer le fameux jeu du conseil.
Et c'est cela qui m'a fait accrocher, tous ses complots, toutes ses tactiques. Mara est un personnage que j'ai adoré découvrir, pourtant au départ ce n'était pas gagné, mais plus on avance dans le récit et plus on s'accroche à elle et sa vengeance. C'est un personnage qui a une part de force extraordinaire et elle va mettre en place de complot de fou, elle pense à tout, c'est un truc de fou ! Elle est maligne, ingénieuse, mais à côté de cela, elle nous montre par moments sa part de fragilité, le côté cassé par son destin brisé, par la disparition de son père et de son frère.
Alors, oui, j'ai eu un peu de mal au départ. Le temps que l'on nous présente un peu, le temps qu'elle s'installe aux commandes et une fois partie, c'est dur à lâcher. Tous les complots, les trahisons, tout ce côté politique qui au final apparaît simplement devant les yeux. On voit Mara évoluer, comprendre et apprendre de ses erreurs. Bref, une lecture géniale et j'ai hâte de lire la suite, car là je pense que le coup de cœur sera présent !
Lien : https://toutelalecturedesev...
Cette fois-ci, on dit au revoir à Midkenia et on va dire bonjour aux Tsurani . Se fut un peu compliqué, vous savez mon amour pour Midkenia et ses personnages (Ingrid aucun commentaire, merci) alors au début, ce fut dur. En plus, Tsurani, c'est un genre du Japon médiéval (j'ai la voix du mec qui a fait les livres audio et quand il prend l'accent, je m'égare, mais je me marre toute seule) c'est donc vraiment différent de Midkenia.
C'est différentes familles qui jouent le jeu du conseil (oh !, je connais cela), et l'on va donc partir dans la famille des Accomat (on a connu le père et le fils dans le premier cycle). Et donc on va rencontrer Mara qui va devoir reprendre les rênes de la famille. Sauf que voilà, la famille est affaiblie par la perte du père et du frère, mais également c'est une femme alors dans ce royaume d'homme, tout va être compliqué pour elle. De plus, elle n'a pas été formée pour être à la tête de la famille, mais heureusement, elle va avoir des alliés pour l'aider.
Bien sûr, tout ne sera pas simple, elle va faire des erreurs, mais son but est de venger la disparition de son frère et de son père et pour cela, elle n'aura aucune pitié pour personne. Elle va tout apprendre, la gestion du domaine, de l'armée, mais surtout apprendre à jouer le fameux jeu du conseil.
Et c'est cela qui m'a fait accrocher, tous ses complots, toutes ses tactiques. Mara est un personnage que j'ai adoré découvrir, pourtant au départ ce n'était pas gagné, mais plus on avance dans le récit et plus on s'accroche à elle et sa vengeance. C'est un personnage qui a une part de force extraordinaire et elle va mettre en place de complot de fou, elle pense à tout, c'est un truc de fou ! Elle est maligne, ingénieuse, mais à côté de cela, elle nous montre par moments sa part de fragilité, le côté cassé par son destin brisé, par la disparition de son père et de son frère.
Alors, oui, j'ai eu un peu de mal au départ. Le temps que l'on nous présente un peu, le temps qu'elle s'installe aux commandes et une fois partie, c'est dur à lâcher. Tous les complots, les trahisons, tout ce côté politique qui au final apparaît simplement devant les yeux. On voit Mara évoluer, comprendre et apprendre de ses erreurs. Bref, une lecture géniale et j'ai hâte de lire la suite, car là je pense que le coup de cœur sera présent !
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Troisième tome, je ne suis pas prête à quitter Mara, mais pas du tout. 900 pages, les dernières et on le sait d'avance qu'elle va en baver jusqu'à la fin.
De toute façon l'auteur nous prévient assez rapidement qu'il n'allait rien lui épargner, dès le premier chapitre, tu comprends que ce qu'elle a vécu dans les deux premiers tomes, limite, c'est du pipi de chat et au fil du tome, c'est confirmé ! Déjà, que l'on trouvait avec Ingrid que ce qu'elle endure dans le premier chapitre, c'est quand même dur, mais il va lui arriver par la suite est pire ! Je sais même pas comment elle fait pour ne pas tout péter enfin, elle va quand même péter quelques câbles, il ne faut pas pousser. Bon ça ne va pas l'aider, elle va prendre des décisions pas très judicieuses et heureusement qu'elle est bien entourée parce que si certains personnages n'étaient pas, je pense que cela aurait été pire.
Nous nous pensions naïvement que ce troisième tome, cela serait comme les deux précédents, des intrigues, quelques morts et Mara qui montre une nouvelle fois qu'elle est plus forte que les autres. Sauf que voilà, ce troisième tome n'est pas si simple et beaucoup plus mortel que ses précédents. On va encore découvrir beaucoup de choses, se poser beaucoup de questions, car bon l'auteur cache bien son jeu et il se sert d'un truc qui date du début du tome à la fin sans que tu voies rien arriver!
Ce tome-ci, on peut dire que cela explose de partout ! C'est la guerre, Mara va tout faire pour se venger malgré tout les embûches qui vont se mettre devant elle. Les mages vont beaucoup plus se mêler cette fois-ci pour mon plus grand bonheur dans un sens, mais sérieux, il y en a un, je l'aurais bien tué ! Mais qu'est-ce qu'il était énervant!!
Entre les diverses intrigues, les petits complots et tout ce qui se passe, on n'a pas le temps de s'ennuyer, et les 900 pages se bouffent à une vitesse pas possible. Trop vite malheureusement, car on voudrait bien rester avec Mara beaucoup plus longtemps.
La fin est juste magique. Elle est parfaite. Un peu fleur bleue, mais pas trop, d'un côté elle est trop triste certains passages, j'avais limité la larme à l'œil. Mara devra une nouvelle fois souffrir, mais l'auteur est quand même sympa et dans l'épilogue, il nous fait un petit plaisir.
Je suis triste d'avoir terminé cette saga, car je l'ai juste adoré ! Un vrai coup de cœur pour Mara. Au départ, certes, ce n'était pas gagné, mais une fois que l'on accroche à Mara s'est fini. J'espère la retrouver dans la suite de la saga complète. Si vous n'avez pas encore lu ni cette saga, ni la guerre de la faille foncée, c'est juste le pur kiff ! Vivement la prochaine trilogie.
Lien : https://toutelalecturedesev...
De toute façon l'auteur nous prévient assez rapidement qu'il n'allait rien lui épargner, dès le premier chapitre, tu comprends que ce qu'elle a vécu dans les deux premiers tomes, limite, c'est du pipi de chat et au fil du tome, c'est confirmé ! Déjà, que l'on trouvait avec Ingrid que ce qu'elle endure dans le premier chapitre, c'est quand même dur, mais il va lui arriver par la suite est pire ! Je sais même pas comment elle fait pour ne pas tout péter enfin, elle va quand même péter quelques câbles, il ne faut pas pousser. Bon ça ne va pas l'aider, elle va prendre des décisions pas très judicieuses et heureusement qu'elle est bien entourée parce que si certains personnages n'étaient pas, je pense que cela aurait été pire.
Nous nous pensions naïvement que ce troisième tome, cela serait comme les deux précédents, des intrigues, quelques morts et Mara qui montre une nouvelle fois qu'elle est plus forte que les autres. Sauf que voilà, ce troisième tome n'est pas si simple et beaucoup plus mortel que ses précédents. On va encore découvrir beaucoup de choses, se poser beaucoup de questions, car bon l'auteur cache bien son jeu et il se sert d'un truc qui date du début du tome à la fin sans que tu voies rien arriver!
Ce tome-ci, on peut dire que cela explose de partout ! C'est la guerre, Mara va tout faire pour se venger malgré tout les embûches qui vont se mettre devant elle. Les mages vont beaucoup plus se mêler cette fois-ci pour mon plus grand bonheur dans un sens, mais sérieux, il y en a un, je l'aurais bien tué ! Mais qu'est-ce qu'il était énervant!!
Entre les diverses intrigues, les petits complots et tout ce qui se passe, on n'a pas le temps de s'ennuyer, et les 900 pages se bouffent à une vitesse pas possible. Trop vite malheureusement, car on voudrait bien rester avec Mara beaucoup plus longtemps.
La fin est juste magique. Elle est parfaite. Un peu fleur bleue, mais pas trop, d'un côté elle est trop triste certains passages, j'avais limité la larme à l'œil. Mara devra une nouvelle fois souffrir, mais l'auteur est quand même sympa et dans l'épilogue, il nous fait un petit plaisir.
Je suis triste d'avoir terminé cette saga, car je l'ai juste adoré ! Un vrai coup de cœur pour Mara. Au départ, certes, ce n'était pas gagné, mais une fois que l'on accroche à Mara s'est fini. J'espère la retrouver dans la suite de la saga complète. Si vous n'avez pas encore lu ni cette saga, ni la guerre de la faille foncée, c'est juste le pur kiff ! Vivement la prochaine trilogie.
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. Cette trilogie, dont c’est le premier tome, est une merveille . L’héroïne Mara est fascinante , par sa délicatesse, sa subtilité et sa prodigieuse intelligence calculatrice. Elle est fille de Machiavel, douée pour les intrigues mais aussi porteuse de valeurs et d’honneur. Elle prend tous les risques et fait preuve d’audace, tout en étant capable d’aimer et de mourir pour des principes. Une des plus grandes héroïnes de la Fantasy, indéniablement. J’en suis à la 3ème relecture du cycle, et cela m’emporte toujours autant. Brillant ! 5/5
Sans doute le meilleur tome que j'ai lu depuis le début de la sage Midkémia/Kelewan. Des complots, de l'aventure, un livre rythmé, des personnages attachants, tout ce que j'aime !!
Dans cette trilogie, nous voici du coté Tsurani de la faille avec ses Grandes Maisons, leur code de l'honneur et le Jeu du Conseil. Le monde de Kelewan ressemble au Japon médiéval et les guerriers Tsurani aux samouraïs, le tout saupoudré de détails fantastiques comme les needras à 6 pattes, le peuple des Cho-ja, êtres insectoïdes faisant de redoutables guerriers. On y retrouve des personnages rencontrés dans la Guerre de la Faille comme Kamatsu des ShinzawaÏ ou Almecho le seigneur de guerre.
Mara des Acoma est au coeur de cette trilogie. C'est une jeune femme frêle, fragile qui devient souveraine de son clan, responsable de son domaine suite à la mort tragique de son père et de son frère. Fidèle au code de l'honneur mais novatrice dans son application afin de sauver son nom et sa maison, elle va réussir dans une terrible partie de Jeu du Conseil en détruisant le pire ennemi de son clan, à l'origine de la mort de son père et de son frère.
l'histoire est passionnante et captivante. J'avais déjà beaucoup apprécié la Guerre de la Faille et je me suis replongée avec plaisir dans ce monde étonnant.
Mara des Acoma est au coeur de cette trilogie. C'est une jeune femme frêle, fragile qui devient souveraine de son clan, responsable de son domaine suite à la mort tragique de son père et de son frère. Fidèle au code de l'honneur mais novatrice dans son application afin de sauver son nom et sa maison, elle va réussir dans une terrible partie de Jeu du Conseil en détruisant le pire ennemi de son clan, à l'origine de la mort de son père et de son frère.
l'histoire est passionnante et captivante. J'avais déjà beaucoup apprécié la Guerre de la Faille et je me suis replongée avec plaisir dans ce monde étonnant.
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