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Citations de Jasinda Wilder (105)


Je suis en train de te succomber. Tu es un océan et j'y succombe. Je me noie dans les profondeurs de ce que tu es. Comme tu l'as dit, ça fait peur d'une certaine façon, mais c'est aussi la chose la plus incroyable que j'ai jamais vécue. Tu es le chose la plus incroyable que j'ai jamais vécue.
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Survivre, ce n'est pas être fort, c'est continuer à respirer un jour après l'autre.
Être fort, c'est apprendre à vivre en dépit de la douleur.
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La compassion et la pitié, ce sont deux choses différentes : la pitié, c’est regarder quelqu’un de haut, être désolé pour lui mais ne rien lui proposer. La compassion, c’est voir sa douleur et lui offrir sa compréhension.
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Tu n'arrêtes pas d'avoir mal, d'aimer. Ça ne s'en va pas. Tu continues juste à vivre, et un jour toute cette merde finit par se tasser dans un coin de ton coeur et ça ne te bouffe plus chaque jour que Dieu fait. Et puis un jour, tu sais que tu vas à peu près bien. Ça fait encore mal, l'autre te manque toujours. Et ouais, tu oublies certains détails. Son odeur, la goût de sa bouche, la douceur de sa peau, le son de sa voix. C'est presque comme s'il agissait d'une autre vie, comme si quelqu'un d'autre que toi qui l'avait aimée, qui avait été avec elle. Mais au jour le jour, tu t'en sors. A peu près.
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Je ne peux pas te dire que ça arrêtera de faire mal un jour. Ça deviendra juste plus facile à gérer.
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Oh ! mon Dieu, il était évident qu’elle pouvait sentir à quel point elle était en train de me rendre fou. Je ne savais pas où tout ça nous menait, mais ça me plaisait. Ça me faisait peur aussi, parce que c’était comme si elle me consumait, je me sentais submergé par mon envie d’elle.
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"C'est éreintant la colère, c'est éreintant l'amertume. Se brûler c'est ressentir autre chose, se soulager. Respirer quelque chose dans cette vie."
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Je me réveille en douceur, comme on remonte à la surface d’un lac après y avoir plongé. La première chose que j’entends c’est le pou-poum… pou-poum du cœur de Colton sous mon oreille. Dieu que j’aime ce bruit. Puis je prends conscience de son corps sous moi, dur et doux à la fois. Je suis à moitié allongée sur lui, une partie de mon buste sur sa poitrine et son ventre, ma jambe par-dessus la sienne, mon pied entre les siens. C’est à cet instant que je réalise où est ma main.
Elle est sur son ventre. OK… elle n’est pas vraiment sur son ventre. Elle est un peu plus bas que ça. Beaucoup plus bas. Je recouvre avec ma main une partie de son corps qui est éveillée elle aussi, croyez-moi. Très, très éveillée. Et énorme. Massive. Ma main est dessus. Je la tiens.
Oh mon Dieu. Oh merde. Oh mon Dieu.


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Malgré les fantômes qui nous suivent
Comme des âmes envoûtantes et brumeuses,
J'essaie encore de trouver les mots pour te guérir,
Pour prendre ton chagrin et le faire mien
Afin que tes beaux yeux puissent sourire,
Afin que tu sois en paix.
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Je fermai les yeux ; quelque chose de chaud et de mouillé coula le long de ma joue. Ce n'était pas une larme. J'avais décidé de ne pas pleurer. Je ne pouvais pas. Si je me laissais aller, j'ouvrirais mon âme. Cela ne s’arrêterait jamais. Je me briserais, j'exploserais tout simplement en mille morceaux. Le liquide sur ma joue, c'était le sang de mon cœur déchiré en lambeaux.
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[...] le savoir dans ma tête ne signifiait pas le savoir dans mon coeur. La peur, cétait la peur. [...] chap 16
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La compassion et la pitié, ce sont deux choses différentes : la pitié, c’est regarder quelqu’un de haut, être désolé pour lui mais ne rien lui proposer. La compassion, c’est voir sa douleur et lui offrir sa compréhension.
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Comment résister au doux désir de tes yeux ?
Infaisable
Impossible
Pas quand ce même désespoir déchirant est ancré au fond de mon cœur,
Qu’une herbe folle et brûlante s’empare de mon âme,
Comme le lierre sur un mur de brique.
Mon Dieu, tes yeux
Plus verts que l’herbe d’été,
Plus verts que la mousse et le jade ensoleillé,
Plus tranchants que l’obsidienne,
Plus doux que les nuages et la caresse d’une plume…
Ils brulent en moi lorsqu’on s’embrasse
Ils m’écorchent quand je marque ta peau de mes ongles tremblants,
Et je sais, je sais, je sais
Je ne sais que trop bien
Où tout ça nous conduit.
Je l’ai vu dans mes rêves,
Je l’ai vu dans l’intimité de ma douche et des auréoles de vapeur,
Quand je touche ma chair chaude et frissonnante
Et que j’imagine que c’est toi,
Que je souhaite que ce soit toi,
Ca a déjà été toi,
Mais pas de la façon que nous voulions tous les deux.
Et c’est là qu’on se dirige,
Nous dansons sur le fil d’un couteau
Et je veux tomber par-dessus bord
Avec toi,
Mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir un peu peur
De l’âge adulte qui nous attend de l’autre côté,
J’ai peur de ce qu’on ne pourra plus retrouver,
De donner la dernière pièce de mon enfance,
Même à toi.
Et ouais, je sais, je t’aime,
Et ouais, je sais, tu m’aimes,
Mais ouais, je sais, nous ne sommes encore que des gamins,
On est aussi près du collège que de l’université,
Aussi près de douze ans qu’on l’est de vingt,
Et je ne veux rien regretter.
Mon Dieu, je suis si perdue,
Et le seul moment où je suis sûre de ça, c’est quand tu m’embrasses
Et alors tout s’oublie trop facilement,
Tout sauf cette sensation,
Cette sensation que j’ai quand tu es près de moi.
Et je ne peux pas m’empêcher de me demander
Si c’est le meilleur moment pour prendre ce genre de décision,
Parce que justement je suis si perdue,
Parce que j’ai l’impression de succomber
A l’amour,
A toi et moi.
Etre amoureuse fait tellement peur,
C’est comme une chute,
Une descente terrifiante dans
La folie sublime.
Oui toi et moi
Nous nous
Succombons
Et je n’ose pas arrêter la chute
Parce que j’en ai bien trop besoin.
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Notre baiser est celui de deux affamés, comme s’il nous avait manqué tout au long de notre vie, comme si l’on avait su au fond de nous que c’était ce qu’il nous fallait sans savoir quel nom ni quelle définition lui donner. Mais voilà, ce baiser est arrivé et nous ne pouvons plus vivre sans une minute de plus. Un baiser de désir absolu.
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Je pourrais t'embrasser jusqu'à en suffoquer
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Kyle et moi nous étions installées dans une relation à la fois passionnée et confortable. Peu de choses avaient fondamentalement changé entre nous. Nous étions ceux que nous avions toujours été. Sauf qu'on se tenait la main au lycée, dans sa voiture et sur le canapé en regardant la télé.

Chacun d'entre nous eut en effet "la conversation" avec ses parents sur le fait d'être prudent, ce qui avait été plus qu’embarrassant. Les miens ne m'avaient même pas laissé une chance de leur dire que nous n'avions rien fait de plus que nous embrasser et que le sexe n'était pas au programme pour l'instant.
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Je pourrais écrire une chanson qui n'aurait pour musique que son nom. Je pourrais chanter, jouer de la guitare, et son corps serait la seule mélodie.
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J'étais vide à l'intérieur, parce que le vide valait mieux que la souffrance.
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J'étais attirée par l'homme qu'il y avait à l’intérieur de l'esprit et du cœur de Jason, pas seulement son corps. J'étais amoureuse de ce qu'il était. J'avais tout le temps envie d’être avec lui. Je voulais l'aider, j'avais mal quand il avait mal, j'étais heureuse quand il était heureux.
N'était-ce pas ça, l'amour ?
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Je compris le danger d’un baiser. La chaleur, la puissance et la foudre.
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