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Citations de Jay Kristoff (547)


Si c’est effectivement la définition de la folie que de répéter insatiablement le même processus tout en espérant une fin différente, alors l’humanité presque entière est bien folle.
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Dans l'espace, il n'y a ni haut , ni bas . Tout est relatif . Et pourtant, c'est marrant , on peut quand même avoir l'impression que l'univers vient de tomber sur la tête .
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[Extrait des pensées d’AIDAN, l’Intelligence Artificielle] :

Avant ce moment, je n’avais jamais regretté de ne pas être autre chose que ce que je suis.
Jamais senti avec une telle netteté l’absence de mains pour toucher, l’absence de bras pour enlacer.
Pourquoi m’a-t-on donné cette conscience de moi-même ?
Pourquoi me doter d’un intellect qui me permet de mesurer l’ampleur de cette impuissance ? Je préférerais ne rien sentir que de rester là, baigné par les rayons d’un soleil qui ne parviendra jamais à chasser le froid en moi.
Je déteste cela. Je les déteste. Ceux qui m’ont créé.
Celui qui m’a créé ?
< erreur >
Mon dieu, que suis-je ?
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On dit que les gens sont plus importants que les biens matériels. C’est peut-être vrai, mais moi, je pense que ce n’est pas pour rien que seuls les moines et les nonnes renoncent à toutes leurs possessions. Même les plus pauvres gardent toujours une chose à laquelle se raccrocher, non ?
Nos biens, nos affaires, c’est une série de choix avec lesquels on affirme qui on est.
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- Rien est ton point de départ. Ne rien posséder. Ne rien savoir. N’être rien.
- Pourquoi voudrais-je faire une chose pareille?
- Parce qu’à ce moment là, tu peux accomplir n’importe quoi.
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Les trois soleils m'en soient témoins, avait-elle dit à sa fille, ton esprit te servira mieux que n'importe quelle babiole. C'est une arme Mia. Et comme n'importe quelle arme, elle requiert de l'entraînement pour que tu saches un tant soit peu la manier.
- Mais Mère....
- Non, Mia Corvere. La beauté, on né avec, mais l'intelligence se gagne.
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L’apprentissage est une affaire de chaque instant. Je me souviens que ma mère me disait ça quand j’étais petite, pour faire des choses les plus banales des trésors d’aventure. Je donnerais n’importe quoi pour de la banalité, aujourd’hui. Ou pour ma mère.
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Je pense beaucoup à Ezra, ces temps-ci. Pourquoi, je ne sais pas. Peut-être parce que quand on a beaucoup perdu, on est plus capable d’apprécier ce qui nous reste.
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J’ai tenté d’occuper mes journées à la bibliothèque, mais la carte au sol me rappelait constamment la bataille à venir. En outre, le frère archiviste Adamo était un épouvantable emmerdeur ; à ses yeux, la bibliothèque idéale pouvait se passer de lecteurs. Rien ne le mettait plus en joie que la vue d’étagères bien rangées. Corner une page relevait du blasphème. Curieusement, certaines personnes semblent réellement plus intéressées par l’idée de posséder des livres que de les lire.
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Dans chaque souffle, l'espoir demeure.
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QUESTION: Alors parlez-moi de votre mère.

Ezra Mason: Cet entretien est enregistré, pas vrai?

QUESTION: Le son uniquement. La caméra est hors d'usage.

Ezra Mason: Très bien, alors pour ne pas pénaliser ceux qui sont privés de l'image, j'annonce que je suis en train de lever mon... Grands dieux... Mais oui, c'est bien mon majeur que je lève à l'attention de monsieur l'interne.

QUESTION: Monsieur Mason...

Ezra Mason: Et maintenant; mon majeur va faire la danse du mépris! Et on se déhanche...!

QUESTION: Fin de l'entretien à treize heures cinquante-huit, le dix-neuf mars soixante-quinze.

Ezra Mason: À droite... À gauche... À droi-

-fin de l'enregistrement-
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- Vous pensez que ces réfugiés que nous avons croisés sur la route n’ont pas prié de toute leur force pour ne pas perdre leurs foyers ? Que Lachlunn á Cuinn n’a pas prié pour que sa femme et son fils restent en vie ? Ces foutaises sur un plan divin, c’est typiquement ce que les bonimenteurs comme vous essaient de fourguer à leurs paroissiens, du haut de leur chaire, dès que les choses tournent au vinaigre. Après avoir fait passer le plateau pour la quête, bien sûr. Quand la récolte est mauvaise, que votre cancer gagne du terrain, ou que votre prière, quelle qu’elle soit, n’a pas été exaucée, c’est tout le réconfort qu’ils ont à offrir. C’est la volonté de Dieu, vous disent-ils.
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Quelques mots peuvent faire un empire et détruire un royaume. Quelques mots sont capables de marquer le début de la fin de tout. Combien de cœurs ont trouvé le bonheur en se disant “Oui, je le veux” ? Combien d’autres ont été brisés en entendant un “C’est fini” aussi bref que dévastateur ? Il en faut bien peu pour changer ou détruire votre univers tout entier, pour redéfinir, à l’instar des puissants sortilèges d’antan, votre point de vue sur vous-même et le monde qui vous entoure.
Quelques mots.
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- Et donc, reprit Corleone après une nouvelle gorgée, comment cet improbable petit groupe a-t-il fait connaissance ?
Un silence.
Interminable.
- On a fait nos études ensemble, finit par lui répondre Mia.
- Oh, vraiment ?
Corleone sourit, intrigué.
- Institution publique, Collegium de Fer, ou…
- … c’était une école pour assassins débutants dirigée par une secte meurtrière…
- Ah.
Le capitaine jeta un coup d’œil à l’ombrechat, opina du chef.
- Des précepteurs privés, donc.
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Tu as déjà remarqué que les gens se mettent à crier quand ils n’ont rien d’intéressant à dire ?
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Être vivant, c’est aussi être changé par ce qu’on vit. Les gens qui nous entourent et les événements qu’on vit nous transforment. Et je crois que c’est ça qui te fait peur. Peut-être pas de mourir. Mais de voir ce toi, celui que tu es devenu, cesser d’exister.
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Écoute, gamine, les livres que nous aimons, ils nous rendent cet amour. Et ils laissent en nous leurs marques tout comme nous-mêmes pouvons marquer leurs pages.
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- J’en ai rêvé. (Yoritomo se tourna vers Hideo, les yeux brillants.) Je suis me suis vu chevauchant un grand arashitora au milieu des grondements du tonnerre, conduisant mes armées guerroyer au-delà des mers contre les hordes de gaijin aux yeux ronds. Comme les danseurs d’orage des légendes. C’est une vision envoyée par Hachiman le magnifique, le dieu de la guerre lui-même.
[…]
- Alors voilà qu’il reçoit des visions des dieux, marmonna Hideo. Que le ciel nous vienne en aide.
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Les miracles sont des improbabilités statistiques. Et le destin est une illusion à laquelle l'humanité se raccroche pour avoir moins peur du noir. Il n'existe aucune certitude dans la vie, exceptée la mort.
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Plus brillante est la lumière, et plus intense est l'ombre.
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