Jean Harambat

Sept auteurs de romans policiers sont invités sur une île détenue par un milliardaire, pourquoi?

Résoudre une énigme.

Se retrouvent pêle-mêle des thèmes inhérents aux différents auteurs et personnages de polars avec un final attendu .

Des planches un peu retros et de nombreux dialogues pour une histoire sympathique.

L'intrigue de La Pièce manquante se base sur un fait réel : une pièce de Shakespeare qui aurait disparu, Cardenio, et dans laquelle le Barde rendait hommage au célèbre personnage de Cervantès, Don Quichotte. Je n'avais jamais entendu parler de cette histoire et je referme cette bd avec l'envie d'en apprendre plus sur cette pièce perdue car c'est une histoire assez incroyable !



Pour le reste, La Pièce manquante est une bd qui livre un bel hommage à Shakespeare et au théâtre anglais : il y a quelques allusions aux pièces du père du théâtre élisabéthain mais surtout énormément d'humour et de rebondissements. L'intrigue ne nous laisse pas souffler une seule seconde dans cette quête mouvementée pour retrouver le texte de Cardenio, on rit beaucoup et on se régale des échanges entre Peg et son serviteur Sancho, mais aussi de ses joutes (verbales ou physiques) avec les différents personnages croisés au fil de cette aventure.



C'est vraiment virevoltant et savoureux, une bd très divertissante et très intelligente, je vous la recommande donc vivement !

Peg Woffington est une grande comédienne renommée. À l'époque, les rôles de femmes étaient interprétés par des hommes qui se travestissaient sur scène. Dans ce roman graphique, les femmes peuvent enfin monter sur scène. Mais malgré cette avancée, Peg Woffington n'est pas satisfaite, elle veut incarner le rôle d'une vie. Elle part donc à la recherche de l'œuvre perdue de William Shakespeare avec son fidèle, Sancho.



Un roman graphique qui explore le monde du théâtre au début du XVIIIe siècle à Londres. L'histoire nous permet de voyager et découvrir cette époque lointaine grâce à Peg et Sancho. Nos deux protagonistes sont attachants, forment un super duo. Leur enquête tourne autour de la fameuse œuvre perdue "Cardenio" de Shakespeare ou Cervantès. Est-ce que Miss Woffington arrivera-t-elle à trouver ladite pièce pour incarner le rôle de sa vie ?



J'ai beaucoup aimé les dessins, les dialogues et l'équipe que forme Peg et Sancho. Aimant le théâtre, ce roman graphique m'a rappelé un exposé que j'avais fait lors de mes études sur le travestissement au théâtre. Malheureusement j'ai eu du mal à rentrer dans l'histoire et j'ai trouvé certains passages un peu longs. Malgré ça, je pense que cette œuvre peut être intéressante pour celles et ceux qui aiment le théâtre.

Prenons le bateau ! Direction une île en Cornouailles en 1930. Ne vous inquiétez pas, nous sommes bien entourés car les plus éminents auteurs du Detection Club sont avec nous, comprenant notamment Dame Agatha Christie ou encore Sir G.K. Chesterton. Ils sont tous là car ils ont reçu une drôle de lettre d'un savant fou suffisamment fou pour défier les reines et rois de l'intrigue policière. Seulement, vous verrez par la suite que tout ne se passera pas comme prévu...



Drôle et piquant de curiosité, cette bande dessinée est un véritable délice à dévorer. Malicieusement écrite, elle nous donne envie de découvrir les différents maîtres de ce cercle d'auteurs qui a réellement existé. C'est une véritable invitation à la lecture. Quant au travail d'illustration et de colorisation, c'est un plaisir de décortiquer les détails dans ces dessins qui semblent simples mais qui sont loin de l'être.

Bon séjour en Cornouailles.

Ce 'Detection Club' existe réellement.

Wikipédia m'apprend que cette association d'auteurs britanniques de romans policiers a été créée en 1930, à l'instigation de Anthony Berkeley Cox :

« Ce club attire dès sa fondation les auteurs reconnus de 'l'âge d'or' du roman d'énigme, tels que Agatha Christie, Dorothy L. Sayers, G. K. Chesterton, Freeman Wills Crofts, John Rhode et la Baronne Orczy. (...) Ils se retrouvent à intervalles réguliers pour des dîners et pour discuter d'aspects techniques de l'écriture du récit policier. Ils se font un point d'honneur de respecter un code de déontologie dans leurs oeuvres, afin de donner aux lecteurs une juste chance de découvrir l'assassin. »

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Dans cet album, nous accompagnons le petit groupe sur une île isolée en Cornouailles, propriété du richissime et influent homme d'affaires Roderick Ghull. Fier d'un nouveau joujou, il convie ces auteurs en leur promettant d'assister "à la renaissance de la fiction policière".

Toute ressemblance avec les "Dix petits Nègres" d'Agatha Christie n'est évidemment pas fortuite.

Idem pour l'ambiance Cluedo avec ce huis clos.

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Cette BD, à la fois intelligente et facétieuse, m'a agréablement surprise. L'auteur y propose notamment des réflexions sur l'intelligence artificielle, avec les connaissances et fantasmes de l'époque sur le sujet. Grâce au décor et aux costumes so british des années 1930, on se laisse aisément prendre au jeu, comme si le texte avait été écrit par l'un des auteurs de ce 'Detection Club'.

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Je me suis régalée de l'ambiance bon enfant, des bouilles sympathiques des personnages, des échanges entre eux - teintés de petites piques fort plaisantes - et des jeux de mots d'Agatha Christie.

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L'album peut sembler un peu long, on piétine sur la résolution de l'enquête.

Et même si le dénouement est malin, j'ai éprouvé ce que dit Chesterton : « La solution du mystère est malheureusement toujours inférieure au mystère lui-même... » (p. 119)

Pas "toujours", mais là, oui, même si l'hommage appuyé à Agatha Christie m'a séduite. Comme dans son célèbre ... 'Crime de l'Orient-Express', tout le monde participe... non pas au meurtre, cette fois, mais à la résolution de l'énigme.

Bien joué !

J’ai été séduite tout de suite par le livre -objet qui est magnifique, la couverture aux multiples couleurs et les traits très détaillés du dessin sont 2 atouts que nous retrouvons tout le long de la Bande dessinée. Les 2 pages qui constituent l’intérieur de la couverture composées d’affiches nous plongent tout de suite dans l’ambiance du théâtre du XVIII e siècle .Ensuite le découpage de la BD en 3 actes nous permet de lire cet ouvrage comme une pièce de théâtre à part entière. J’ai adoré le duo déjanté que constitue Margaret « Peg « Woffington et son majordome Ignacius Sancho, une femme et un homme noir né sur un bateau esclavagiste c’est déjà pour l’époque improbable. J’ai apprécié l’histoire menée comme une enquête pour retrouver la pièce de théâtre écrite par Shakespeare basée sur le personnage de Cardenio, issue du roman de Cervantes « Don Quichotte ».Qui dit enquête dit moultes rebondissements, et bien sûr un ennemi qui recherche également le « Saint Graal » et qui va mettre des bâtons dans les roues de nos héros.Sous couvert de retrouver cette pièce manquante, l’auteur nous plonge dans l’Angleterre du XVIII et la condition de la femme ainsi que le racisme. Peg est une héroïne avant-gardiste et j’ai adoré sa repartie « si j’avais envie qu’on me crie dessus, je me marierais ». Sancho quant à lui est instruit et plein d’esprit et j’ai adoré ses jolis mots. De nombreuses références aux pièces et textes de Shakespeare, le Barde étant personnifié comme une célébrité propre de la déification. Les femmes du « Shakespeare Ladies Club » nous indique que « le théâtre shakespearien est l’emblème du goût anglais. Le poète est l’incarnation du pays ». J’ai apprécié le langage utilisé de l’époque avec des expressions très drôles et plus utilisées de nos jours comme « queue de figue « qui est une insulte , ou bien « que le diable me patafiole » ! Un dénouement tout aussi surprenant et loufoque que l’intrigue elle-même! Un très bon moment!

Sept célèbres auteurs de romans policier de la première moitié du XXe siècle sont invités sur une île de Cornouailles par son riche propriétaire qui leur réserve une surprise. Le lecteur s'attend à un scénario à la « Dix petits nègres », célèbre roman de l'une des invitées. De fait, comme dans tout polar, la Mort sera là, et la solution de l'énigme se fera attendre.



Avec ses bons mots, son ton humoristique, ses personnages aux caractères bien trempés, et son intrigue, cette bande dessinée rend remarquablement hommage aux auteurs conviés. Agatha Christie et G.K. Chesterton sont particulièrement réussis, et le graphisme est agréable. Cette BD m'a donné envie de découvrir John Dickson Carr et A.E.W. Mason, qui font partie des invités et que je n'ai pas lus.

Ce livre interroge la nostalgie.



Qui peut mieux que Ulysse parler de cette émotion douce amère, mêlant joie et tristesse, à l’évocation de ce qui a été aimé et est perdu ?



Etre nostalgique , c’est être , en même temps ici et ailleurs, aujourd’hui et hier, celui que l’on a été et celui que l’on est, et arpenter avec un douloureux plaisir, l’espace irréconciliable de ces différents états.



Ulysse est de retour à Ithaque, incognito dans ces chemins qu’il reconnaît si bien, mendiant dans son propre Palais.

Qu’a de commun le fier guerrier du souvenir de Pénélope avec le voyageur usé et blanchi ? Que sait il de lui même tant qu’on ne l’a pas re-connu ?



C’est un roman graphique formidable dont j’ai aussi beaucoup aimé le dessin, entre camaïeux sépia, traits brut d’une représentation rupestre et détails dignes des vases grecs.



On peut lire et relire cette histoire, aussi inépuisable que le sentiment de nostalgie lui même.

Avec « La Pièce manquante », fruit d’un riche travail documentaire, l’auteur landais lève le rideau sur la profondeur de la comédie d’été shakespearienne.
Lien : https://www.lemonde.fr/cultu..

Sur le papier, tous les ingrédients d’une excellente histoire étaient réunis. Au final, trop mécanique et inutilement enchevêtré, "La pièce manquante" ne tient pas ses promesses, et cela en dépit de tous les soins et les efforts apportés à sa réalisation.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..

« La Pièce manquante », par sa structure, son énergie, son érudition, est un hommage plein d’esprit aux comédies de Shakespeare. On referme le livre avec une furieuse envie de revoir « Beaucoup de bruit pour rien ».
Lien : https://www.sudouest.fr/cult..

Cette bande dessinée est basée sur une histoire vraie, celle de la disparition d'une pièce de théâtre de Shakespeare (Cardenio) et des personnages ayant réellement existé (Peg Woffington, Garrick, Sancho). Peg Woffington part à la recherche de cette pièce dont elle veut jouer le rôle principal afin de rebooster sa carrière. De Londres à Canterbury, flanquée d'un Sancho picaresque, son enquête va l'amener à faire d'incroyables rencontres. J'ai beaucoup apprécié de voyager dans l’Angleterre du XVIIIe siècle et de découvrir des personnalités de l'époque. C'est drôle, truculent et j'ai pris plaisir à suivre Peg Woffington. L'échange entre Cervantès et Shakespeare, au coeur de l'intrigue et de l'enquête m'ont convaincue. Une bande dessinée qui se dévore. #LaPiècemanquante #NetGalleyFrance !

Londres, début du XVIII ème siècle, Peg Woffington, grande comédienne ronge son frein. Désormais les femmes ont droit de jouer sur scène. Mais les hommes se pressent au théâtre non pour son jeu mais pour la voir jouer en pantalon et admirer sa silhouette. Peg veut plus que ça et cherche un grand rôle féminin pour marquer les esprits. Pour cela, il lui faut une pièce de théâtre qui n'est encore jamais été adaptée. Cardenio pièce disparue de Shakespeare, est alors mais elle fait l'objet de toutes les convoitises. Avec Sancho son fidèle compagnon, Peg va se mettre en quête de ce manuscrit disparu.

J'ai beaucoup aimé cette bande dessinée toute en légèreté.

J'ai tout de suite accroché avec le personnage de Peg, elle est pleine d'énergie, de vivacité. Elle est forte, indépendante et intrépide. C'est des premières actrices à jouer sur scène et elle devient rapidement connue. Sancho est un maure, très cultivé qui va l'aider dans sa quête du manuscrit disparu de Shakespeare.

J'ai beaucoup aimé ce duo qui détonne, surtout à cette époque où les femmes et les étrangers sont très stigmatisés.

C'est un graphique plein d'aventures et de rebondissements, articulé sous formes d'actes comme dans une pièce de théâtre.

Les dessins sont plaisants et immersifs.

Bref, j'ai passé un très moment avec cette lecture.

La pièce manquante par Jean Harambat , Éditions Dargaud



Tels Don Quichotte accompagné de son fidèle écuyer Sancho Panza partant en quête d'aventures, la grande comédienne Peg Woffington, suivi par son fidèle Sancho, se lance dans une enquête qui la mènera à travers de nombreuses aventures pour trouver le manuscrit disparu d'une pièce de William Shakespeare...



Dans la pièce manquante, Jean Harambat nous embarque au coeur de l'Angleterre du XVIII ème siècle dans une course après une énigmatique pièce de théâtre du grand dramaturge William Shakespeare.



Cet album est une réussite. Vous y trouverez de l'action, de l'humour, de l'audace, de l'amour.... mais surtout un véritable travail de recherches et une transmission des connaissances de l'auteur pour son lectorat. En effet, il faut savoir que Peg Woffington a réellement existé, que Cardenio ( dont il s'agit dans l'album) est une pièce de théâtre qui est attribuée à William Shakespeare et dont le manuscrit s'est perdu.



J'ai beaucoup aimé passer un moment en compagnie de Peg Woffington et de ses acolytes. Une belle bande dessinée à offrir ou à s'offrir.



Merci à #NetGalleyFrance et aux éditions Dargaud pour l'acceptation de ma demande de lecture.

Il n'y a pas de meilleur mot pour décrire cette BD que : ennui. J'ai tenue jusqu'au bout, parce que j'ai cru jusqu'au bout à un retournement de situation qui m'aurait un peu réconcilié avec. Spoiler : ça n'a pas été le cas.

Nous allons suivre ici une jeune actrice qui cherche une pièce perdue de Shakespeare qui pourrait lui permettre de jouer le rôle de ses rêves : celui d'un personnage féminin fort. Et la voilà partie dans un quête rocambolesque à souhait...

Le scénario est laborieux, tout comme les dialogues. Le dessin est pas mal, mais n'arrive pas à nous sauver de l'ennui de cette histoire sans saveur, et qui est inutilement compliquée pour... Rien ! Quand vous découvrirez le "plot twist" final... J'en ai levé les yeux aux ciel. Et j'ai regretté de ne pas avoir lâché la BD au premier quart, comme mon instinct me le préconisait...

C'est dommage, on m'avait plutôt dit du bien de cet auteur. Mais je pense que je n'ai vraiment pas commencé par le bon titre pour le découvrir...

&#xNaNUne aventure théâtrale complètement déjantée ! &#xNaN



👉 Vous vous souvenez des bandes dessinées « Opération Copperhead » et « Le Detection club » ? Ces histoires vous ont plu ? Alors, n’hésitez plus et venez découvrir un duo de personnages hauts en couleurs, qui rendent hommage au théâtre anglais, aux actrices féminines et à l’oeuvre de Shakespeare.



🔎 Ma critique express : j’ai aimé ❤

- Le rythme de l’aventure

- Sancho

- Les références à la culture anglaise

- Les couleurs pour mieux découper la BD !

- La documentation pour écrire cette histoire.



🔎 Pour ceux qui veulent en savoir plus :



👉 Peg Woffington en a marre de jouer des rôles en pantalon, elle rêve d’un premier rôle féminin. Quand son majordome, Sancho, lui propose de jouer dans une nouvelle pièce de théâtre, il lui révèle que William Shakespeare avait écrit l'histoire d'une héroïne inspirée par Don Quichotte. Selon lui, le rôle de cette héroïne est faite pour elle, mais ce manuscrit semble avoir été perdu. Jusqu’où ira Peg pour monter de nouveau sur les planches ?



❤ On assiste encore à une très belle représentation de l’Angleterre, où Peg et Sancho, vont nous guider dans une drôle d’aventure riche en rebondissements : c’est piquant, drôle, rythmé ! Grâce à cette aventure, nous allons en apprendre plus sur la littérature anglaise et ses auteurs de l’époque, et l’auteur n’hésite pas à nous glisser quelques remarques choisies sur la place de la femme et le racisme.



🖌 Le trait est vif sans en oublier les détails en arrière plan de chaque case. J'ai été charmée par la colorisation de cette bande dessinée qui prend une part très importante pour mieux comprendre le scénario, et pour ça bravo !



👉 Prêts à monter sur les planches

Basée sur l'histoire vraie de "Cardenio", une pièce perdue (manquante donc !) de Shakespeare, Jean Harambat nous sert à nouveau un récit truculent, très anglais, dans la veine de "Opération Copperhead" et de "Le Detection Club" et ce pour notre plus grand bonheur.
Lien : https://www.actuabd.com/La-P..

Bande dessinée tirée d'une histoire vraie. La pièce manquante de l'histoire de Cardenio, pièce qui divisa et rapprocha deux ennemis: Cervantès et Shakespeare.

On suit miss woffington et Sancho. Une rêve de renouveau, l'autre de souvenir inachevé. Ils vont se mettre à la recherche d'un mythe, d'une écrit disparu, avec heurts et complications.

De jolies dessins, avec une belle ligne des couleurs et personnage. Une BD littéraire, qui raconte en jouant les scènes. J'ai beaucoup aimé, car pleins de détails, on rentre dans le siècle Anglais.

Un one-shot séduisant qui donnera peut être à chacune et à chacun l’envie de se (re)plonger plus précisément dans les nombreuses références littéraires citées tout au long des pages et de (re)découvrir Don Quichotte ou Otello, des classiques qui sont magnifiquement valorisés dans ce très bel album.
Lien : https://lesamisdelabd.com/la..

Londres, 1613. La comédienne Peg Woffington aimerait jouer un grand rôle féminin. Car les femmes sont autorisées à monter sur scène, mais les hommes ne sont là que pour admirer leurs jambes. Peg voudrait un rôle à sa mesure. Son fidèle Sancho lui en trouve un : celui de Dorotea, héroïne d'une pièce disparue de William Shakespeare. Il n'y a plus qu'à retrouver la pièce !

Je connais mal la biographie et l’œuvre de Shakespeare, et je me suis un peu perdue dans les péripéties de l'histoire. Quelques recherches m'ont permis de voir que le cadre historique semble fidèle aux contexte de l'époque (rivalité entre Drury Lane et Covent Garden, Bedford coffee house, ...) beaucoup de personnages ont réellement existé. J'ai beaucoup aimé le graphisme, qui rappelle celui de Mathieu Burniat : un trait vif et des décors soignés. J'ai pris beaucoup de plaisir à observer les petits détails. Les vignettes qui représentent Londres, ou des paysages, m'ont particulièrement plu.