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Citations de Jean-Loup Craipeau (28)


Pour quelques caramels j'étais devenu un criminel.
Un vrai. Avec un mort.
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Drôle de bonhomme.
Drôle de garage, drôle de café.
Drôles de mémères.
Drôle de quartier.
Je me demandais si j'allais m'habituer...
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Une fourmi rouge
Qui bondit d’une courge,
Je la monte sur essieux,
Je lui regonfle ses pneus,
Ces vieux pneus me disent :
Râpe-nous la caisse,
Graisse-nous les fesses,
Ça fera deux vieux chaudrons
Tout ronds !
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La crasse, c'est le costard du pauvre... (p.7)
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Dur-Dur s'éloigne. Il téléphone à son complice le renard Patapuc. Ensemble, ils font de grosses bêtises. Par exemple, vider la baignoire où les Canards Laqués aiment venir plonger.

(p. 15)
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Il n'y a qu'à la publicité que les mamans sont joyeuses de laver les taches. (p.22)
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Gaid se fit enfermer dans un sac de jute et jeter à la riviere au meme endrroi que Samba. il disparut a jamais. personne ne le le pleura. Sauf peut etre ,Samba quand il pelait des oignons!
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Il a craché son chewing-gum et, sortant d'un chiffon un rouleau de réglisse, il se l'est enfilé sans respirer comme une nouille immense. Il me tuait, ce grossier. Une vraie boulangerie à lui seul.
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Minou était heureux. Il vagabondait d'un jardin à l'autre en compagnie de tas de chats : des gros, des gras, des roux, des ras, des rigolos, des maharadjahs .... Une vraie Chamaritaine.
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L'impasse du Rat-Sec était coincée entre le cimetière et le chantier immense du Luisant, au-delà duquel on apercevait les HLM des Mille Soleils : de grands ensembles qui ne ressemblaient pas plus au soleil qu'un derrière de babouin ne ressemble à un Malabar à la fraise.
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Il faisait chaud. Le bonhomme suait. Des bagues lui boudinaient les doigts, des gourmettes, des chaînes et des chaînettes lui pendouillaient au cou, aux poignets : un vrai sapin de Noël.
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- Vos papiers !
- Mais Monsieur l'agent, c'est un dragon, j'ai dit timidement.
- Et après ? La loi est la même pour tous. Tapage, dégradation d'édifice, vol en état d'ébriété. J'ai dit : Vos papiers !"
Dragon-Fou - qui n'y comprenait rien - a ramassé un papier gras d'emballage de sandwich qui traînait par terre. Il l'a tendu au policier. Le policier s'est fâché et a passé les menottes à notre ami. (p.69)
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Il me fait marrer Ulysse ! C'est facile de résister quand on se fait attacher au mât du bateau pour écouter les voix des sirènes. Moi, je n'avais pas de mât. J'étais seul pour combattre la voix des sucreries.

[p6]
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Le Père Noël s’assied dedans.
Il s’exclame : « Ce n’est pas grand ! »
Le renne ricane : « Tu vas te coincer le derrière, mon gros pépère ! »
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"(...) - Pas un mot, pas un geste, il a sifflé façon crotale à mes oreilles. Ca m'a filé la chair de poule. (...)" (p. 27)
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Le réfrigérâleur se mettait à hurler "la ferme !" dès qu'on laissait sa porte ouverte trop longtemps.
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Ce type a le sourire aussi franc qu'une barquette de margarine qui fond.
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Il s'est fermé. Une huître. Sauf que les huîtres ne font pas les yeux tristes... (p.11)
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- Clodo, j'ai dit. Ce n'est pas une affaire ni un grain de sable. C'est un humain. Il compte. Est-ce que vous le comprenez ?

- page 126
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J'étais à bout. Les mots ne venaient pas. Sur le canapé bas, lové contre papa qui me réconfortait, je me suis lentement apaisé.

Il fallait que je parle. Je n'avais plus la force de tout garder. Papa patientait en silence, devina qu'il n'aurait pas à forcer mes dernières résis tances.

Alors, depuis le sac trouvé par Clodo au dernier épisode de ce soir, j'ai tout raconté, même le pas sage à l'hôpital.

L'école buissonnière m'était restée sur la cons cience comme un haltère.

J'évacuais.

Tu comprends, p'pa, c'était pour revoir Clodo, pas pour manquer l'école...

Je comprends, fiston, je comprends...

Tu pardonnes?

Evidemment, fiston. Ce qui importe, vois c'est que tu dises les choses. On est là pour aider J'ai fait oui, j'ai reniflé, je me sentais tout à co plus léger.


- page 76


D'ailleurs, a repris papa en me tendant mouchoir, ta mère et moi nous étions au courant de ton escapade. A table, je me suis énervé à cause de tes cachotteries, pas de ta fugue... Mouche-toi, vas tacher mon pull.

- page 78



C'est vrai, la drogue, c'est une vraie cochonnerie. Ça tue. En plus, on a très mal quand on en manque et on se traîne par terre comme une vraie serpillière. C'est nul.

- page 85



-Le coma, ça fait peur ?
- Non. C'est un trou dans le temps. Une tranche de vie qui manque au réveil, du noir sans rêve...
- alors, j'ai dit, tu m'as menti, t'as pas pu voir l'étoile !

Vraiment, c'est dur d'avaler qu'on sert à que dalle quand un ami va mal. La déception devrait se lire sur ma figure, Clodo m'a pris le bras, il m'a secoué :

- Ne dis pas ça, Amédée, ton étoile, je l'ai vu sans les yeux. Avec le cœur, si tu préfères, comme un bébé tortue sans la mère de l'éclosion.

- page 102-104
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