Johanna Lindsey

Temps gris, ambiance de désolation, dépression latente suite aux divers événements de ces derniers jours, une seule solution, trouver dans ma Pal un livre rouge non lu !

Un classique du genre en fait, faut dire que l'auteure fait partie du groupe des précurseurs.

Bien écrit, bien documenté sur le monde des odalisques, des personnages qui ont du caractère, une touche d'érotisme teintée de romantisme et toujours ce brin d'humour qui rend ce genre de lecture si distrayante.

Pas de grande littérature ici mais un moment d'évasion qui n'a pas de prix ;-)

Thomas Blair était un homme dur. Ayant surpris sa femme le trompant, il l'avait rejetée et reporté sa vengeance sur leur fille. Il lui en voulait précisément de ne pas être un homme. Il la força donc dès son plus jeune âge à se comporter et se vêtir comme un garçon, lui apprenant les rouages de la bonne tenue du ranch.

Lorsqu'il en vint à mourir, il fit mander son ex femme pour s'occuper de leur fille. Mais Jessie ne voit pas d'un très bon oeil l'arrivée de cette mère qui l'a abandonnée. D'autre part, elle arrive au ranch accompagnée de son fils et d'un homme, Chase Summers, à qui elle demande de s'occuper de leurs affaires. Cet homme coureur de jupons qui indispose particulièrement Jessie...

Après mettre bien plu dans le roman Les feux de l'hiver du même auteure, j'ai eu envie de la lire de nouveau. Cette fois-ci directement l'Angleterre mais plus encore la Russie avec un prince et une lady.



C'est en Angleterre que l'action débute et ce auprès de deux personnages principaux : Lady Katherine St John et Dimitri Alexandrov. Katherine est la fille ainée d'un conte anglais, et quand nous faisons sa connaissance, elle est en train de s'occuper de sa jeune soeur, qui s'est éprise d'un homme que son père désapprouve. Katherine doit gérer cela, et c'est ainsi que déguisée en servante, elle va la suivre dans les rues de Londres, pour lui éviter de commettre l'irréparable. Mais c'est à ce moment-là qu'elle se fait enlever par un russe, qui dit que son maitre veut d'elle ce soir. Une situation totalement inattendue et des propositions complètement inappropriées pour la jeune femme, qui va tenter de se débattre au mieux pour lui échapper. Mais là voilà embarquée dans de longues péripéties.



Katherine a vingt-et-un ans et elle n'a toujours pas trouvé de mari. Après une saison peu fructueuse, où son physique n'a pas attiré l'attention d'un jeune homme, elle sait qu'elle trouvera difficilement un homme. Elle a des yeux magnifiques, mais se sait doter de peu d'atouts qui pourraient bien attirer quelqu'un. Elle a beaucoup de responsabilités, son père se reposant beaucoup sur elle, pour certaines tâches, notamment dans l'éducation de ses frères et soeurs. Elle est donc assez autoritaire, et parait bien plus que son âge si l'on considère son comportement imposant, un peu hautain et fier. Son personnage est très représentative de l'aristocratie anglaise, et que l'on puisse la confondre avec une servante la met en position délicate car on ne traite pas une Lady de la même façon qu'une servante.



Dimitri Alexandrov est un prince russe, un jeune prince impétueux, qui ne se voyait pas devoir assurer la descendance de sa famille. Mais son frère ainé n'est plus et c'est lui qui va devoir gérer cela, c'est alors qu'il commençait la cour d'une princesse russe, qu'il est demander d'urgences en Angleterre pour gérer les frasques de sa jeune soeur. C'est un homme au physique plus qu'avenant, il est très grand, beau, attirant, il serait difficile de ne pas craquer face à lui. C'est un tombeur, il profite de ses atouts pour passer du bon temps avec les jeunes femmes. C'est quand il voit Katherine se rebeller, contre un homme entreprenant dans la rue, qu'il décide qu'elle sera sienne le soir même. Il ne s'attendait pas à tomber sur une femme au caractère si fort, et c'est ainsi qu'il prendra la décision de l'emmener avec lui en Russie, pour ne pas causer d'esclandre alors que le Tsar doit venir en Angleterre, face aux menaces de représailles de la jeune femme.



L'histoire de ce couple est assez atypique, et il montre aussi quelles sont les différences entre les habitudes en Angleterre et en Russie. Notamment concernant les questions de fidélité dans un couple, ce qui causera un fossé certain entre les deux personnages. Mais cette relation a surtout démarré d'une bien étrange façon, et rien ne va se dérouler normalement. Dimitri ne croira jamais en la possibilité que Katherine soit une Lady, c'est inconcevable et ce serait aussi très problématique d'un point de vue politique. Il reste donc campé sur ses positions et va agir en conséquences, l'envie d'elle est plus forte que nous. Il ne sera pas violent mais insistant oui et il n'hésitera à faire en sorte qu'elle lui cède pour arriver à ses fins. Il mènera un combat contre lui-même et cette force qui l'anime de la vouloir absolument tout en gérant cette fiancée qui l'attend, et que la bonne société russe lui recommande d'épouser. S'il veut Katherine, il n'est aucunement possible de l'épouser, ce qui va en l'encontre de la position et de la façon de penser de la jeune femme, qui ne conçoit pas qu'être une maitresse soit une perspective envisageable.



La façon dont toute cette histoire va se passer, sera semée d'embuches et les personnages vont devoir surmonter bien des épreuves. Et ce concernant leur statut, fictif ou réel, tout comme les engagements qu'ils ont comme devoir de respecter. Tout repose toutefois sur ce malentendu que Katherine est une servante, beaucoup d'actes commis, le seront car tous pensent qu'elle est une servante, c'est ainsi qu'elle devra affronter le mépris de bien du monde, qui lui porteront des coups dont elle aura du mal à se remettre. Elle va passer par de multiples phases avec un ascenseur émotionnel assez conséquente : de la colère à la peur, de la haine à l'amour, de l'espoir à la détresse... tant d'émotions qui jalonneront le parcours de la jeune femme, qui va se révéler à nous tout au long de cette aventure.



Ce qui intéressant, c'est de voir que cette jeune femme, forte et assez admirative, ne va jamais cesser de se battre pour s'en sortir. On apprendra au fil des pages à l'apprécier de plus en plus, car elle se retrouve dans une situation compliquée. A côté d'elle, il y a Dimitri, un prince qui a des droits et qui va s'avérer être bon avec elle, malgré ses attentes et ses envies. Tous deux se révéleront au contact l'un de l'autre, leur histoire se construit sur de longs mois où la jeune femme subit plus qu'elle n'apprécie ce "voyage" en Russie, et où le jeune prince se voit prendre des décisions différentes de celles qu'il pensait suivre selon le bon vouloir de tous. Leur histoire est passionnante et on ne s'y ennuie pas une seule seconde. J'ai adoré voir se confronter l'Angleterre et la Russie, à travers deux personnages fort intéressants et captivants à suivre.



Ce roman est une très bonne romance historique, qui nous propose de suivre une histoire un peu à part, avec une cheminement fort enthousiasmant. C'est le deuxième roman que je lis de l'auteure et je ne suis pas du tout déçue, j'aurai plaisir à la découvrir dans d'autres histoires encore une fois.
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Coup de cœur pour cette romance historique sur fond d'hiver russe. Pourtant, l'histoire est plutôt éloignée de la romance gentillette. En effet, l'héroïne est enlevée, droguée, séduite sous aphrodisiaque, et d'autres choses encore, mais elle garde son caractère combatif. Le héros est un grand butor qui refuse de voir plus loin que le bout de son nez. Mais entre les deux, l'alchimie est là et les étincelles crépitent. J'ai passé un très bon moment sur cette lecture.

Johanna Lindsey est pour moi l’une des auteures référence en matière de romance historique. Une fois de plus, les éditions J’ai Lu ont tapé dans le mille en rééditant un de ses livres qui ont fait mon adolescence et puis comment ne pas craquer devant les couvertures de la Bibliothèque Idéale.



La chronique complète d'Angie sur Songe en cliquant sur le lien !
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4,25/5



Une romance historique originale et captivante. Le couple est volcanique. L’intrigue est rythmée et intense. Un plaisir livresque à ne pas bouder.
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Les Frères Malory, série dans le genre Romance Historique Régence de Johanna Lindsey jouissant d'une bonne réputation et ayant bénéficié en cette année 2011 d'une réédition.



Pour ouvrir le bal l'heureuse élue sera Régina Ashton. Jeune femme de 19ans, orpheline et nièce adorée et chéris des frères Malory. Héroïne de caractère sachant ce qu'elle veut. Au début du récit, Régie est lasse de ses bals à n'en plus finir, n'ayant toujours pas trouvé de mari alors que beaucoup de sollicitations s'offrent à elle, la jeune Malory souhaite partir à la campagne faire une pose et à défaut, laisser ses oncles choisir un mari pour elle. Ces derniers par le passé n'étant jamais tombé d'accord sur le bon partie, Régie est donc toujours célibataire en partie à cause d'eux. C'est lors d'une soirée lors de laquelle Régina voudra demander de l'aide à son oncle Anthony afin de convaincre son tuteur légal et oncle Jason de la laisser souffler qu'elle sera enlevée par Nicholas Eden.

En parallèle nous ferons la connaissance de ce futur ravisseur. Nicholas Eden, jeune débauché collectionnant les conquêtes et dont la réputation sulfureuse n'est plus à démontrer. Sa dernière maitresse Séléna s'étant lassée de son manque d'intérêt décide de commettre l'improbable afin que Nicholas lui revienne, mettre fin à leur relation. Par ce stratagème, elle espère qu'au vu de la fierté de l'éconduit, il décide de s'engager pour de bon car personne n'a jamais quitté Nicholas, lui seul prenait cette initiative. Ce petit jeu portera ses fruits mais pas comme elle l'entendait, Nicholas pour se venger de cet affront voudra donner à son ex maitresse une leçon de taille. Pensant que son nouvel amant est Anthony Malory il l’enlèvera devant ce dernier afin de la priver du bal qu'elle attendait depuis des mois. Cependant il se rendra compte bien trop tard que la jeune femme kidnappé n'est pas Séléna mais s'avèrera être Régina Ashton.



Alors premier constat, la force et le charme de ce premier tome ne vient pas des personnages principaux mais plutôt des secondaires, et il serait dommage de passer à côté de ce livre faisant une excellente entrée en matière pour les prochains volumes à venir.

Johanna Lindsey a su donner vie à une comédie qui a eu également le don de me mettre les nerfs à vif.

Le duo Nicholas Régina s'est avéré par moment assez épuisant à suivre. Entre passages drôles, tendres, exaspérants et rageants, les tourtereaux n'auront de cesse de se poursuivre, s'aimer, se déchirer au travers de divers quiproquos, manque de confiance et surtout de fierté mal placé. Étant pourvu tout deux d'autant de caractère l'un que l'autre leur relation fera souvent des étincelles mais nous aurons également droit à des passages drôles de part leur diverses argumentations quant à faire plier l'autre. J'ai beaucoup apprécié le caractère de Régina qui n'a rien a envier à ses oncles. Une personnalité à la fois douce, gentille, compréhensive mais ne pliant jamais face à l'adversité, son crédo étant de ne jamais se laisser abattre. Puis le côté malicieux dont Régie usait pour obtenir ce qu'elle voulait de ses oncles, sans oublier ses ruses pour faire tourner en bourrique Nicholas furent d'excellents moments de lecture.

à présent le personnage masculin principal, Nicholas Eden. Je dois dire que sa personnalité m'a laissé avec un sentiment mitigé. Que dire de ce débauché notoire ne vivant que pour son bon plaisir, s'amusant avec toutes sortes de femmes et les abandonnant sans regrets et sans soucis des dégâts occasionnés, cependant avec Régina il se retrouvera piégé par les oncles de cette dernière. à partir de cet instant on découvre un homme totalement torturé par un passé qu'il s'évertue à cacher à tous. Ce personnage devient résolument attachant une fois que nous découvrons son secret, j'ai cependant trouvé assez excessif, facile et douteux de justifier toutes ses attitudes parfois totalement détestables, ayant des comportements de parfait gougeas envers la gente féminine et sa peur de l'engagement avec ce passé lui empoisonnant l'existence et l’empêchant d'avancer. Ceci, à mes yeux, n'excuse et ne justifie pas tout.

Le livre portant bien son nom, les frères Malory, parlons à présent de ces personnalités secondaires hors norme et amusantes.

Malgré leur statut ils seront heureusement très présents ainsi que toute cette grande famille atypique. Rien que pour leur présence ce livre vaut la lecture.

Anthony le plus jeune des frère marquait les chapitres à chacune de ses apparitions. Homme libertin, drôle, insouciant et charmeur mais qui pourtant est très présent pour sa nièce Régina. Gentleman très protecteur envers cette dernière, ils partagent tous deux un lien très fort presque fusionnel, se comportant plus comme frères et sœurs. L'autre frère ressemblant de caractère à Tony n'est autre que James. Plus âgé d'un an de Tony, ce dernier est la bête noir de la famille, en froid depuis des années avec ses deux frères ainés Jason et Edward, James parcourt les mers et voit en cachette sa petite Régina lors de ses haltes au port. Une personnalité assez drôle également que j'aurai plaisir à découvrir dans les prochains tomes. Un personnage dont je tairai le nom m'a également fait esquisser quelques sourires car étant la copie conforme de James en plus jeune, sa rencontre avec Régina m'a fait passé un bon moment. Les cousins Malory seront également plus ou moins présent ainsi que les deux ainés Jason et Edward.



Une lecture s'étant révélé très divertissante, prenante et addictive. L'écriture de Johanna Lindsey fut agréable, fluide et croustillante de part des personnages hautement charismatiques, drôles et très attachants. Une série que je suivrai sans nul doute de très près.

Moi qui ne lisais pas de romances, j’en ai lues 2 en deux semaines avec les vacances d'été qui approchent !



Les Frères Malory sont des hommes de la bonne société anglaise du 19ème siècle, tous un peu barrés à leur façon (l’un collectionne les maîtresses, l’autre les armes, un autre est même pirate… !) mais adulés par leur nièce Régina, qu’ils élèvent depuis le décès de ses parents. Regina, extrêmement belle, écume les bals à la recherche d’un mari et croule sous les prétendants… Mais aucun ne parvient jamais à obtenir l’aval unanime des oncles de Régina.





Un soir qu’elle emprunte le remarquable cabriolet d’une amie pour convaincre l’un de ses oncles de choisir un mari à sa place, elle se fait enlever dans la rue par un mystérieux cavalier… Qui la prend pour la propriétaire du cabriolet, sa maîtresse ! Se rendant compte de sa méprise avant qu’il réalise son erreur, Régina se réjouit de cette aventure, puis de la tête de son kidnappeur lorsqu’il s’en aperçoit. Au premier coup d’œil, une grande attirance les unit mais Regina reconnaît Nicholas Eden, « Le séducteur impénitent » éponyme, et refuse de justesse d’être l’une de ses conquêtes, après avoir pourtant succombé à un baiser chaud bouillant. Nicholas lui-même, qui pourtant ressent plus que de l’attirance pour cette femme intrépide, lui affirme clairement qu’il ne peut en faire que sa maîtresse.





« Bonjour à vous, répliqua-t-elle, espiègle. Vous avez enfin réalisé votre erreur ? Il vous en a fallu du temps !

- Je suis en train de me demander si j'ai vraiment commis une erreur. Vous n'avez franchement pas l'air d'une erreur. Pour une fois, j'ai l'impression d'avoir agi pour le mieux.

Il referma tranquillement la porte et s'adossa au battant, ses beaux yeux d'ambre la détaillant sans la moindre gêne des pieds à la tête. Rester seule avec un homme de cette trempe pouvait se révéler très risqué pour une jeune lady, Reggie s'en rendait parfaitement compte. Pourtant, pour une raison inconnue, elle n'avait pas peur de lui. Elle osa même se demander si ce serait une chose si terrible si elle perdait sa vertu avec lui. »





Malheureusement si, conformément à la demande de Regina, il la ramène chez elle après cet épatant baiser, toute la ville apprend que Regina a passé du temps avec ce séducteur, sans chaperon et en pleine nuit, et personne ne veut croire qu’il ne s’est rien passé entre eux. Pour que la réputation de Regina soit sauvée, deux solutions s’offrent à eux : Soit l’un des oncles se bat en duel contre Nicholas, ce que Regina refuse étant donné que l’oncle en question est un pro des armes et qu’elle aime déjà Nicholas (un doux mélange de tous ses oncles), soit ils se fiancent, ce que Nicholas refuse tout d’abord, mais qu’il est finalement contraint d’accepter. Cependant, Nicholas est bien décidé à ne jamais se marier depuis qu’il a appris, étant enfant, que la femme de son père n’était pas sa vraie mère : Persuadé qu’il ne pourra jamais être réellement aimé par une personne qui finira par connaître son statut de bâtard, il fait vraiment tout pour que sa promise rompe et le déteste avant qu’il s’attache et qu’elle le rejette en le découvrant. Ces deux êtres qui s’aiment passionnément vont-ils finir par se comprendre, ou bien se déchireront-ils jusqu’à la fin ?





*****



Ce que je recherche en priorité dans une romance ce sont des sentiments bien transmis au lecteur, de l’humour, du rêve mais pas trop de niaiserie dégoulinante. Pour le moment, je n’ai que « La ronde des saisons » comme point comparaison, romance dans laquelle l’auteure offre exactement ce qu’on cherche dans ce genre de lecture : le héros qui fait envie, la magie de l’attirance qui opère, des personnages ayant de l’humour, une histoire qui fait à la fois rire et rêver en mêlant le scénario classique et des éléments qui le distinguent des autres.





Dans ce tome 1 des « frères Malory », la romance en elle-même paraît moins parfaite puisque le héros, encore plus rebelle que dans « la ronde des saisons », fait tout pour faire échouer sa relation avec la femme qu’il aime. J'avoue donc que je me suis moins attachée aux personnages, à l'humour et à l’ambiance générale de ce roman ; Toutefois, l’histoire est vivante et les sentiments sont présents et transmis au lecteur, ce qui m’a quasiment fait passer une nuit blanche à l’achever tant je n’ai pas vu l’heure passer !





Bien sûr, il ne faut envisager ce style de livres que si vous avez envie de ce genre littéraire emplit de sentiments amoureux. Mais si c'est le cas pour cet été, selon que vous souhaitez une romance plus classique et passionnée ou une histoire d’amour plus loufoque et compliquée, vous avez le choix entre ces titres ! Finalement j’ai eu tort de dédaigner ce genre littéraire, ça fait grand bien de rêvasser de temps en temps !
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bridgerton en BEAUCOUP moins bien !

des quiproquos qui se succèdent sans reels fondement ou dénouement.

Le personne féminin principale Regina est attachante mais on nous la vend comme une rebelle indépendante et qui après 2min avec un homme souhaite l'épouser car elle en est tombée éperdument amoureuse.... au secours

Après une 2e lecture je découvre pas mal de faiblesses dans ce tome 1. L'auteur a du mal à installer son histoire et tourne en rond parfois. J'ai même été à 2 doigts de décrocher vers la moitié. Heureusement; les personnages sont haut en couleur et c'est une super idée de découvrir toute la famille.

Romance historique sympa. Le personnage de Regina est très sympa mais je n'ai pas aimé le personnage masculin que je n'ai pas trouvée attachant ou sympathique. Peut être est ce du au faite que je lis beaucoup de livres sur la régence. Je suis donc peut être plus exigeante.

Il y a longtemps que je n'avais pas aussi mal choisi une romance historique : le résumé est très tentant mais le contenu m'a vite refroidie...



Les personnages ne sont pas attachants du tout.

Reggie, l'héroïne, a tout d'une gamine trop gâtée par sa famille : exigeante, trop sûre d'elle, imposant ses opinions, s'entêtant à conclure un mariage que tout le monde lui déconseille à commencer par le fiancé, un homme qu'elle connaît à peine (les deux héros passent d'ailleurs très peu de temps ensemble tout au long du roman).

Nicolas, le héros, est encore moins sympathique et son comportement est parfois assez limite. Déjà l'enlèvement qui ouvre le roman est discutable mais on va dire que c'était un moyen original de faire se rencontrer Reggie et Nicolas. Mais ensuite, il cumule les inconvenances et les lâchetés que rien ne vient rattraper : ni charme, ni geste élégant, ni rien...



Les grandes lignes de l'intrigue sont assez classiques avec un mariage rendu nécessaire par un scandale puis des secrets qui menacent de tout gâcher. Mais le récit est truffé de petites péripéties peu crédibles ou trop rocambolesques (le jeune femme se fait quand même enlever deux fois par erreur...).



J'avoue que j'ai lu la seconde moitié du roman en diagonale et je n'ai pas eu l'impression de rater quoi que ce soit...

C’est mauvais signe quand à peine fini, je ne me souviens plus du début ! L’histoire est longue, les personnages m’ont énervés, enfin les personnages principaux car pour les oncles de l’héroïne, je les ai trouvé irrésistibles.



J’ai beaucoup aimé certains passages (avec l’oncle pirate, entre autre) mais certains autres étaient longs et l’héroïne passait pour une chipie faisant des manières et compliquant tout.



Bref, avis plus que mitigé.



J’ai hâte de lire l’histoire de l’oncle pirate mais je me pose des questions sur les autres tomes….
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Les romances historiques, ce genre de lecture que j'aime me mettre sous la dent quand j'ai besoin de légèreté. Plonger dans ces diverses époques et toujours un régal.



Celle-ci est assez sympathique. On part sur un petit ennemie to lover léger, frais avec un grain d'humour.



J'ai trouvé Régina très forte et en même temps j'ai trouvé qu'elle avait le pardon trop facile. J'avais tellement envie de la secouer par moment. Je voulais qu'elle se réveille et voit l'homme qu'elle avait en face d'elle. Nicolas, lui, méritait clairement les pires violences. Si j'avais pu rentrer dans le roman pour le baffer je l'aurais fait sans l'ombre d'une hésitation.



Nicolas par son comportement m'a empêché d'accrocher autant que je l'aurais voulu à la romance. Il ne l'a mérite clairement pas. Je pense que j'aurais préféré voir Régina le repousser un peu plus et également plus de moment entre nos deux personnages.



Il se passe beaucoup de choses dans ce roman  malgré qu'il soit très court. Il m'a manqué un peu de développement pour garder toute la cohérence du récit. Cependant on ne s'ennuie pas du tout entre les pages de ce livre.



En conclusion c'est une chouette romance historique. Elle se lit facilement et les péripéties s'enchaînent les uns après les autres. J'ai beaucoup aimé le personnage féminin, elle est forte, elle a des valeurs et elle est courageuse. Par contre le personnage masculin m'a donné des envies de meurtre.

j'ai un petit faible pour les romances historiques, la magie opère à mon sens encore mieux, Les couvertures avec les robes de princesses me font rêver. Pour autant la condition de la femme dans le milieu aristocratique anglais n’était pas toujours très enviable. Un monde d'hypocrites et de faux semblants, mais l'amour entre homme et femme malgré les mariages arrangés pointe quand même le bout de son nez.

Ici nous retrouvons tous les ingrédients d'une romance bien ficelée, tout est en place, le séducteur impénitent Nicholas, la jeune innocente, un peu d'érotisme des oncles bienveillants . Tout est bien cadré, tout est joué d'avance, pas de surprise, le lecteur sait pertinemment où va l'emmener l'auteure.

Voici donc le premier volet d'une saga plutôt prometteuse. le style de Johanna Lindsey est fluide, plaisant, agréable. Elle sait impulser de l’intérêt pour ses personnages charismatiques , hauts en couleur. Des dialogues piquants, drôles, des protagonistes aux quels on s'attache au fil des pages, mon préféré Reggie bien évidemment, avec son fort caractère qui mène tout ses hommes à la baguette,pour autant les personnages secondaires nous promettent de belles surprises, j'en suis persuadée

Lecture facile, moment de détente assurée, idéal pour déstresser et se vider la tête Un excellent moment de lecture.

Saga à suivre pour moi
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A l’isolement pour 7 jours, j’ai beaucoup de temps à perdre cette semaine et comme je m’ennuie comme un rat mort, je pioche des lectures au hasard dans ma PAL… Enfin, des lectures qui ne demandent pas trop de neurones fonctionnels 😅 Et j’ai donc lu le premier tome des Malory de Johanna Lindsey et… Ben… Je n’ai pas franchement aimé, et pourtant, je suis en général bon public. Mais, là, je n’ai pas adhéré aux héros, c’est balot, et au style d’écriture, c’est dommage.



J’ai trouvé ce premier tome particulièrement brouillon, j’ai eu l’impression que l’autrice partait un petit peu dans tous les sens, la faute sûrement à la grande famille Malory dont elle essaie de présenter tous les membres. Il faut limite se munir d’un papier et d’un crayon pour établir la généalogie de la famille 🙄 Je trouve que d’avoir autant de personnages d’un coup, rend la lecture particulièrement indigeste. Après, les membres de la famille Malory me semble tous fort sympathique mais j’ai tout de même du mal à les trouver attachants. Personnellement, je préfère Les Wilde d’Eloisa James 🙂



D’un côté, il y a donc Regina, la nièce complètement pourrie gâtée qui mène ses oncles par le bout du nez sauf en ce qui concerne le choix d’un mari. Chaque prétendant a obtenu une fin de non recevoir, car il faut que tous les oncles soient d’accord, autant dire que c’est mission impossible. Je comprends parfaitement l’exaspération de Regina et son besoin d’aller prendre un peu l’air à la campagne car la tache est tellement ardue car elle est sur le point de laisser tomber. Les bals, les prétendants, elle a eu sa dose. J’ai eu beaucoup de mal avec Regina, alors oui, elle a beaucoup de répondant et ne se laisse que rarement marcher sur les pieds et ce qu’elle veut, elle l’obtient la plupart du temps. Je pensais qu’elle allait résister un peu plus à Nicholas mais que nenni ! Et quel dommage !

Et de l’autre côté, il y a Nicholas, qui collectionne les aventures et qui ne souhaite surtout pas se marier à cause de sa mère et du secret de sa naissance. Il est impulsif, agit avant de réfléchir et ça lui cause bien des problèmes et là, il se retrouve à devoir négocier avec les Malory après l’enlèvement malheureux de Regina. Et le résultat des négociations sont sans surprises comme la suite, en fait… Nicholas est perpétuellement en colère et la fuite est sa meilleure amie.

Alors oui, Regina et Nicholas ensemble, cela fait des étincelles, mais cela tourne inévitablement à la dispute et chacune de leur rencontre devient fatigante.



Je reproche aussi une fin trop facile avec une réconciliation rapide… Nicholas se faisait tout un pataquès du secret de sa naissance, et au final, la montagne accoucha d’une souris… La vérité se sait et pouf, tout est bien qui fini bien.



Un premier tome qui fait plouf, mais je vais tout de même laisser une chance au Malory et je lirai le tome 2.
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Une romance qui m'a d'abord fait penser à celles de la talentueuse Mary Balogh, mais qui malheureusement n'a pas le même charme. L'auteur en fait beaucoup trop, poussant le trait au-delà du raisonnable et multipliant les coïncidences pour mener son récit à bien. Malgré tout, on prend un certain plaisir à la lecture une fois qu'on a dépassé ces défauts. Ce n'est pas un livre mémorable, mais le divertissement est au rendez-vous.

Honnêtement, j'ai acheté et lu ce livre parce que j'ai commencé la série à sa sortie. J'ai toujours eu une grande affection pour les frères Malory ( James et Anthony en prem's ). Mais... Disons que j'ai quand même été déçue par ce tome. Non pas qu'il soit nul. Cependant, les précédents avaient un petit quelque chose en plus. Là, l'histoire d'amour est relayée au second plan. On voit plus les souvenirs des deux protagonistes qui ressassent leur haine l'un envers l'autre. Mais ni l'action ni leur amour ne progresse avant les 50 dernières pages. Loin du souvenir de James, faisant irruption en Amérique, provoquant les 5 "barbares" pour au choix être pendu ou marié de "force", on a ici un personnage un peu plat, assez fade qui ne montre qu'un peu de violence qu'en présence de son père et de sa future femme. Pas de coup d'éclat, pas de travail au corps pour finir par la faire succomber à ses charmes.

Un peu déçue, et je pense que ca se sent dans ma critique. Mais... C'est un roman sur les frères Malory et bien que le panache manque, on a quand même envie de le lire pour avoir une idée d'un nouvel arrivant dans cette immense famille ! Bien que théoriquement, ici personne ne soit affilié aux Malory

Encore une déception avec ce tome en dent de scie. Tout commence bien mais très vite l'auteur tombe dans le travers de vouloir tout compliquer et dramatiser à outrance et ça ne passe pas. Le passage sur le bateau était risible tellement il était artificiel. Je n'ai pas su adhérer à leurs sentiments.

C’est le dernier de la série et tant mieux.

Déjà, ne cherchez pas pourquoi il est intitulé les frères Malory car ça fait un moment qu’on nage dans des eaux parallèles.

Mme Lindsey me donne vraiment l’effet de manquer d’imagination et de répéter à l’infini la même litanie : “bâteau – gentil pirate (enfin pas pirate mais ça fait mieux de dire que s’en est un) -beau gosse – belle jeune fille – James et son mauvais caractère “. Comme ce n’est pas une série à lire si on veut se marrer et bien, ma foi, ça a ses limites. Alors pour pimenter cet opus, il y a un très méchant papa, une enfance du héros horrible et il s’est vengé sur l’innocente héroïne. Héroïne d’ailleurs, qui est affublé d’un papa subclaquant.

Bien sûr, je ne lis pas ce genre de livre à la recherche d’une crédibilité sans faille mais j’aime quand ça ressemble à quelque chose. Et là, j’avoue, pour moi, ça ressemble à rien.

Il est à noter que j’ai déjà oublié l’histoire des autres tomes d’ailleurs (à part le 2 et 3).

Comme quoi, ce n’est pas bon de vouloir persévérer…
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