Roman policier écrit par un auteur prolifique, "Le baron est bon prince" est un roman policier sans prétention.
Cambrioleur à sa retraite, le Baron aide maintenant Scotland Yard à traquer les criminels.
Dans ce roman, un homme, se prétendant un descendant de Louis XV à fait voler les diamants de Marie Antoinette et il a tenté de les vendre au Baron.
Il est tué et sa fille est traquée. Commence alors une chasse entre lui et la bande de criminels qui ont volé ces diamants. Chacun essayant de capturer l'autre.
Le Baron et d'autres personnes sont kidnappées par ces criminels mais ils réussissent tous à échapper à leurs ravisseurs grace au Baron et à ses amis.
C'est un roman populaire qu'un "intellectuel" n'oserait pas avouer avoir lu mais il nous offre un bon moment de détente, rien de plus. Comme vous avez remarqué, je n'ai pas trouvé une seule citation digne de Babelio.
J'ai emprunté une anthologie à la bibliothèque et j'ai l'intention d'en lire d'autres.
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Tout le roman tourne autour de l'Adalgo. L'Adalgo est un diamant rose d'une beauté exceptionnelle en plus d'avoir une histoire dramatique. Depuis sa création il a attiré
Le malheur sur tous ses propriétaires sauf si elle était une reine d'Espagne.
Dans ce roman, bien entendu, c'est John Mannering, le Baron qui en est propriétaire. Il possède aussi d'autres diamants qui pourraient passer pour ses jumeaux. Le Baron s'apprête à acheter un autre diamants presqu'identique. C'est la que les choses commencent à s'embrouiller et les cadavres à s'accumuler.
Ce roman à bien vieilli, à part l'absence des technologies modernes. Au moment où on croit connaître ce qui se cache dessous ces intrigues, on réalise qu'on s'est trompé. On découvre que certaines personnes ne sont absolument ce qu'on croyait qu'elles étaient.
À la fin, tous les éléments se mettent en place. Le Baron est toujours libre et prêt pour une nouvelle aventure.
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John mannering a épousé
lorna une artiste peintre 🎨
et renonce à ses activités de détective amateur.et
rachète une boutique d,
antiquité.mais quand John
mannering fuit l,aventure c'est elle qui le poursuit,
sous la forme d'un inconnu
poignardé sur son pallier.
pour retrouver ses adversaires acharné a le
perdre, sauver la belle angela gold, retrouver le poignard qui l,accuse, il devra courir des risques.
mais si John mannering
fréquente le grand monde,
le baron lui fréquente la pègre. or John mannering
et le baron sont une seule et même personne.et il va
déchaîner une fois de plus les foudres de Scotland yard
contre l,insaisissable baron.
première aventure du baron,
moitié sinon templart moitié
Arsène lupin.
une bonne série avec de l,
humour, du suspense, un
héros sympa et charmant.
qui aura aussi droit a une
série télévisée avec Steve
Forrest dans le rôle du baron.c'est très amusant,👍
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John mannerîng gentleman cambrioleur sous le nom du baron, renonce à ses activités illégales.
Par amour pour Lorna une artiste peintre, et se reconverti comme antiquaire.ses affaires marchant plutôt bien, il décide d, ouvrir une succursale a boston.mais quelle succursale un manoir anglais de 1692 condamné à la démolition, pour faire place à un pont.
manoir qu'il ferait démonté et reconstruire a
L,intentigue.les propriétaires Jonathan et Rachel, sont ravis,car il voulait pas que le manoir soit détruits.tout irait pour le mieux, mais alors qu'il est en pleine négociation, on retrouve le cadavre du charpentier, dans une pièce dérobé du manoir. ensuite le baron reçois un mail coup de téléphone d, un certain crumble, qui lui aussi voudrais acheté le manoir.mais avant que John, le rencontre, il se fait renversé par une voiture et décéde avant de reprendre connaissance. et le propriétaire du manoir disparaît.
Le baron devra affronter la police qui l, accuse des meurtres, et il lui faudra prendre des risques terribles, pour parvenir à démasquer le coupable.
une bonne histoire avec un héros sympa, moitié Arsène Lupin et Sherlock Holmes.
Pour passé un bon moment de détente sans prise de tête sur la plage ⛱️.
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le baron et un cambrioleur, reconverti en marchant d, Antiquités, par amour. Sa femme Lorna artise peintre et au courant des anciennes activités de son mari, il va aider l, inspecteur Bill bristow de Scotland Yard dans ses enquêtes.l, inspecteur qui a recherché a arrête le baron se doute que jonh mannering l,antiquaire et le baron sont une seule et même personne.et il partagé entre son amitié pour lui et son sens du devoir même si il reconnaît l, aide que lui apporte le baron.
Une bonne série entre le saint de Leslie chatteries et Arsène Lupin.le baron se retrouve souvent dans des situations ou il est poursuivi par la police, ou en train d, aider Bill bristow,
Île y a de l, humour,du suspense, de l, action. Un héros sympa bref de quoi passé un bon moment de détente, sans prise de tête, et c'est cela qu'on demande.allor pourquoi boudé son plaisir.⛱️
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Ce sont des messieurs bien. Ils rentrent du travail ou de leur partie de golf dans leur belle voiture, vont retrouver leur belle épouse dans leur belle maison. La vie est belle pour eux ! Mais un homme les force à arrêter leur voiture, monte avec eux, les tue et avec les clefs volées dans leurs poches, vide ensuite leur coffre fort...
Es-ce important qu'ils soient cousins ou est-ce une coïncidence ? Cela a-t-il un rapport avec le fait qu'un de leurs cousins ait été maltraité par la famille autrefois ?
L'inspecteur West doit démêler tout ça au milieu des veuves multiples des victimes et du suspect...
Un de ces Masques de base, trouvé il y a déjà longtemps et relu tous les...ans.
Quand on a des livres partout faut il vraiment garder ceux là ? Question à laquelle je n'arrive pas vraiment à répondre...
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une aventure rythmée et délirante.
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avec le baron Anthony Morton a créé un personnage nouveau en littérature,celui de l,honnête commerçant le jour.marié à une célèbre portraitiste de la haute société londonienne.et gentleman cambrioleur la nuit.john mannering ,en tant que joaillier,attire les coups des gangster,en sa qualité de baron ceux de la police.son art consiste à
opposer ses divers adversaires pour qu'il se neutralisent.pour les amoureux de séries policières,sans prise de tête,il y a de l,action de l,humour.les héros John et sa femme sont bien sympathiques,leurs ennemis bien méchants.
c'est vite lu a peine 200 pages.pour passer un bon moment de détente.
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lire les aventures du baron
vous remplit du même plaisir qu'on éprouve en retrouvant une bande d,amis, dont la vie nous aurait séparés pendant quelque temps.
même si c'est un peu stéréotypes, en littérature.
l, histoire de l, honnête
commerçant le jour, et qui
est la nuit venus un redoutable gentleman cambrioleur.on passe un agréable moment.👍
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Je viens d"hériter d'une dizaine de "Baron" alors pourquoi ne pas "habiller" le seul qui existe sur la base de Babelio ?
Si j'ai bien tout compris, le Baron, qui est vraiment baron a commencé sa carrière comme cambrioleur mondain. Maintenant il la continue comme antiquaire de luxe. Certains esprits chagrins pourraient dire que c'est la même chose, mais non. le Baron qui est devenu un expert en oeuvres d'art aide maintenant Scotland Yard dans ses enquêtes. On trouve donc dans chaque livre un ou des objets rares ou de très grande valeur (des livres bien sûr, dans celui-ci) et pour animer l'histoire, une très belle jeune fille éplorée (ne vous emballez pas, le baron est marié).
Bon, ces livres ne révolutionnent pas la littérature mais ils peuvent faire de bons "livres de grippe" ou livres "de train".
J'oubliais, c'est important, le Baron roule en Aston Martin.
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Avec Anthony Morton, vous plongez dans les enquêtes chic, au coeur de la haute société de Londres; Et pour cause : Mannering est un fieffé voleur de bijoux (autrefois) mais rangé des voitures, il enquête pour son propre comte ( quand i l y a une jolie femme à proximité) ou bien pour la police ( Scotland Yard). Le charme de cette écriture passe-t-elle le temps ? oui et non, sauf quand on a goûté jeune à une littérature d'action très policée.
Ici la bibliothèque de feu Lord Lithom sert de cadre à une effrayante mise en scène destinée à éloigner l'héritière du sus-dit. Mais développement parallèle :l'enfant cachée sera enfin reconnue.
Impossible de dévoiler la fin : une gourmandise à lire les soirs de froid et de pluie, au coin du feu, un whisky à la main. So British
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John Mannering et son personnage nocture, le Baron, sont une sorte d’Arsène Lupin british. Il apprécie les pierre précieuses, il les vend ou les vole tout dépend du moment de la journée. Il apprécie les jolies filles même s’il est à la veille de se marier. Ses relations avec la police sont un peu paradoxales, elles peuvent être tendues ou devenir très rapidement amicales.
Le roman accumule les clichés, le gangster Slobodan est sûrement l’exemple le plus parlant. Parce qu’il vient des Balkans, il doit être brutal et bas de plafond. Mais la police n’est pas en reste. C’est à se demander ce qu’elle ferait si Mannering n’était pas là pour l’aider.
Ça se lit vite (bon il n’y a pas beaucoup de pages) et ça ne reste pas longtemps en tête. C’est vraiment du roman « policier » niveau roman de gare.
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Encore un petit retour dans mon adolescence grâce à une boîte à livres : cette fois, John Mannering, alias le Baron, va avoir un cadavre sur les bras : un homme qui voulait le prévenir d'un danger meurt dans un taxi, juste devant la porte de Quinn's, la boutique d'antiquaire très chic dont John est le propriétaire, en plein centre de Londres.
Comme il va être attaqué et son agresseur abattu par un tueur mystérieux, il devra utiliser ses compétences de monte-en-l'air pour retrouver l'identité du premier cadavre et aider ses amis, en forçant des portes fermées afin d'espionner des malfrats bien antipathiques.
Et comme toujours dans cette série très soft de romans de gare des années 60, on retrouve des clichés à la pelle : une jolie fille débrouillarde (habillée, je vous rassure), un héros "beau, distingué, vêtu avec une sobre élégance", sa femme Lorna, "une des meilleures portraitistes d'Angleterre, qui par surcroît, était une fort jolie femme", des voitures de sport, des diamants du Cap, et un sauvetage des plus rocambolesque en apothéose.
J'ai souri devant la capacité de John Mannering à donner des ordres aux personnages secondaires. Aujourd'hui, on penserait qu'il semble les considérer trop facilement comme des subalternes.
Je ne n'ai re-lu ce livre que pour retrouver de bons amis, égaux à eux-mêmes, et parce que le charme de la couverture illustrée par Paul Durand a encore opéré.
Donc 5 étoiles fort subjectives !
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Toujours aussi distrayantes les aventures du baron, dans le Londres du début des années 60. Une série de livres qui font passer de bons moments et oublier tous les petits tracas de la vie: on ne demande pas plus à ce genre de livre.
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Le Baron est une série policière amusante et sympathique. Il n'y a pas la force d'une Agatha Christie ou d'un Conan Doyle, ni même peut-être d'un Maurice Leblanc, mais c'est fort plaisant à lire.
Le Baron est un Arsène Lupin britannique. Il possède un flegme tout britannique mais il n'en est pas moins un voleur.
Originalité de la série, le Baron est un amoureux fidèle. Il ne vagabonde pas entre de multiples conquête, ce qui donne une touche particulière aux histoires.
A découvrir.
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John Creasey est un auteur prolifique de romans populaires, il est décédé en 1973. Il est surtout connu en France par son pseudonyme Anthony Morton, avec lequel il a écrit la série des "Baron".
Le héros est un jeune homme de bonne famille, qui, ayant dilapidé sa fortune, va se transformer en cambrioleur pour se renflouer. Puis il deviendra un antiquaire renommé dans un Londres fantasmé.
Le baron les croque est le premier de la série. On y découvre les personnages récurrents : John Mannering, le héros au double visage, Lorna, fille de Lord qui deviendra sa femme, et l'inspecteur William Bristow, l'ami / ennemi juré.
C'est un roman policier à l'ancienne, sans violence ni meurtre, un peu suranné. L'intrigue est très légère.
J'ai lu et relu cette série à l'adolescence, elle me donnait l'impression de retrouver de vieux amis.
Les couvertures illustrées par Paul Durand, particulièrement connu pour son travail avec les bibliothèques rose et verte, faisaient une grande partie du charme.
Très délicates, leur schéma était toujours le même et renforçait la familiarité : une jolie femme, des bijoux ou objets précieux, une voiture ou autre moyen de transport, et la silhouette du Baron.
Donc, et désolée pour ma subjectivité : 5 étoiles !
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Les aventures du baron sont distrayantes, on passe un très agréable moment plongé dans l'Angleterre et le Londres du XXème siècle.
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un petit policier sympa, idéal entre 2 lectures plus complexes ou pour passer la journée, c'est simple rapide, les personnages ne sont pas très approfondis, l'histoire non plus d'ailleurs mais on passe le temps agréablement néanmoins. J'ai plusieurs livres dans cette collection
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