Citations de Joris Chamblain (450)
- Tu as vu, maman?! Je vole pour de vrai!
- Dis bonjour aux oiseaux pour nous, alors!
La mémoire nous joue parfois des tours pour effacer les choses trop pénibles. Elle préfère un joli mensonge plutôt que d'affronter la vérité.
- Vous savez ce qu'est une romancière, les enfants?
- C'est quelqu'un qui habite à Rome?
Moi aussi, j'aimerais bien retrouver les pièces manquantes de mon puzzle. Ce n'est que comme ça qu'on peut continuer à le construire. Mais je ne sais ni où chercher ni comment faire. J'ai envie de les retrouver, mais, en même temps, ça me fait peur, ça me met en colère et je ne sais pas pourquoi. J'avais quatre ans quand papa est parti. Je ne me souviens presque plus de son rire, de son odeur... je n'ai que très peu de souvenirs de lui. Est-ce que c'est mal de ne plus se souvenir, maman? Tu veux bien m'aider à me rappeler?
La mémoire nous joue parfois des tours pour effacer les choses trop pénibles. Elle préfère un joli mensonge plutôt que d'affronter la vérité.
Continue à jouer, à inventer des histoires... Ne dit-on pas que l'adulte créatif est l'enfant qui a survécu?
C'est bizarre les souvenirs. Suivant le moment où on les évoque, ou avec qui on les a vécus, ils peuvent être tristes ou joyeux, faire sourire ou souffrir.
Je suis vraiment contente de partir en vacances avec maman. Une semaine à la plage, ça va nous faire du bien. Me faire du bien. On dit que quand on rentre de voyage, on n'est plus tout à fait la même personne que quand on est parti. On verra...
Où est mon papa pour ouvrir mes cadeaux et fêter mes victoires ?
Cette fresque, c'est l'histoire d'une rencontre. Si elle avait un titre, ce serait celui-là...
Tout ce que je sais faire en réalité, c'est m'accrocher à de vieux souvenirs.
Alors Madame Ronsin m'a dit : "Ne fais pas la même erreur qu'Hector, car quand on enferme ce que l'on ressent tout au fond de soi, on finit par en devenir prisonnier. Parle, n'aie pas honte de ce que tu ressens, exprime tes doutes, tes peurs. Dis à ceux que tu aimes ce que tu as dans le coeur, ils te seront à jamais reconnaissants."
C'est avec lui que j'ai percé mon véritable premier mystère (même s'il y en avait déjà eu des petits avant lui. Il faudrait que je les raconte un jour.) L'histoire d'un vieux peintre, passionné par son art, qui "peignait des fantômes en couleurs". Ce sont ses mots. Mais il a fait bien plus que cela. Il a offert au zoo ce qui lui manquait depuis longtemps : une âme.
Avec maman c'est un peu flou. Une vérité est devenue un mensonge, puis le mensonge est redevenu vérité. Je crois quand même que quelque chose a changé en bien. Mais c'est encore difficile d'aller vers elle et de tout lui raconter.
C'est un fabuleux voyage qui attend les visiteurs, happés par ces toiles d'une richesse étonnante, véritable hymne à la beauté de la Nature, une ode au respect de la vie de ses habitants, de tout pelage.
J'adore ce sortilège pour conter les histoires !
Depuis qu'on l'a appris à l'école, c'est mon préféré !
On a tous un secret enfoui au fond de nous, que l'on ne dit pas, mais qui fait ce que nous sommes.
Lire, c'est découvrir, voyager, mais aussi apprendre le sens des mots et surtout apprendre à s'en servir. C'est très important pour comprendre les choses, et faire attention à ce qu'on nous dit.
« On dit que quand on rentre de voyage, on n'est plus tout à fit la même personne que quand on est parti. »