Joseph Delaney

Mes critiques de L'Épouvanteur sont de plus en plus courtes. C'est qu'ils sont relativement constants. Dans le Cauchemar de l'épouvanteur, Tom fuit les soldats ennemis par la mer et accoste sur l'île de Mona où les réfugiés ne sont pas les bienvenus. Comme dans le tome précédent – qui se déroulait à l'étranger, nous découvrons de nouvelles coutumes (les tonneaux pour tester les sorcières), de nouvelles magies (la magie animiste pratiquée par les sorcières roumaines et les chamans, la magie des oiseaux...) et de nouveaux monstres (les bugganes). C'est cependant un(e) vieil(le) ennemi(e) de nos trois héros qui leur causera le plus de torts. Pas de repos pour les épouvanteurs !

Encore un très bon tome de L'Épouvanteur. Mon préféré parmi les six premiers. Cette fois-ci, Tom part combattre l'obscur dans le bassin méditerranéen. Le schéma narratif ne change pas (un nouvel ennemi fait son apparition, et Tom doit lier des alliances et risquer sa vie et celles de ses proches pour le repousser), mais les nouveaux monstres et paysages suffisent à renouveler le récit. La fin du tome nous offre son lot de révélations et Tom tend de plus en plus vers le gris. J'enchaîne avec le tome sept.

Après la déception que j'ai eu en lisant le sacrifice de l'épouvanteur, j'ai beaucoup aimé ce nouvel opus, le cauchemar de l'épouvanteur.

On retrouve ici un personnage en particulier qui nous a suivi depuis le début qui continue de sévir, même en dehors du comté.

J'ai aimé ce changement de décor et les nouveaux dangers qu'ils ont dû affronter (la chasse à la sorcière avec des coutumes un peu particulière par exemple). Dans cet ouvrage, Tom et John Grégory vont devoir affronter bien des dangers dont le buggane qui règne en maitre dans l'île de Mona. On retrouve aussi cette étrange amitié qui lie un épouvanteur avec la jeune sorcière Alice.

On commence à s'habituer à la trame narrative. Mais ça n'est pas pour déplaire au lecteur.

Contrairement au sacrifice de l'épouvanteur, on est beaucoup moins perdu à travers la description des lieux. J'avais beaucoup de mal à imaginer ça alors que sur l'île de Mona, ça me parait plus familier.

Cet ouvrage engage la suite des aventures de Tom. On sait ce qu'on veut trouver dans le prochain tome en tous cas ! Hâte de lire la suite.

Quatrième épisode et je suis toujours aussi captivé, cette série se bonifie d'épisode en épisode avec une inclinaison de plus en plus marquée vers une fantasy plus sombre et "adulte".

Nous retrouvons sans surprise les trois personnages majeurs de la série, on les connait désormais très bien. Tom l'apprenti épouvanteur, Alice, sorcière et néanmoins amie de Tom, et enfin l'épouvanteur, de plus en plus fatigué.

L'épouvanteur, parlons en ! Je me dis que cette saga aurait dû être intitulée "L'apprenti épouvanteur" tant il se fait discret dans ce tome, le récit est définitivement centré sur Tom, petit bonhomme qui fêtera son quatorzième anniversaire à la fin de cet épisode.

Cette histoire débute quand l'épouvanteur apprend que les sorcières de Pendle, appartenant à trois clans, préparent une alliance qui pourrait les rendre impossibles à combattre, pire encore, elles seraient capables d'invoquer le Diable en personne.

Il y a donc urgence à se rendre sur place, mais avant, Tom Ward doit passer chez lui pour récupérer les malles au contenu précieux que sa mère lui a laissées en héritage. Or, une fois sur place, il découvre que la ferme a été ravagée, la grange brûlée et... Les malles envolées !

L'auteur nous propose ici un épisode sombre et plutôt brutal avec son lot de crimes et d'épouvante, il est loin le temps de l'apprentissage heureux...

C’est avec une vive émotion que je suis en train de rédiger ces quelques lignes. Joseph Delaney m’accompagne depuis vingt années maintenant, avant même qu’il ne soit connu en France. Je ne suis qu’être attristé par son décès tant pour l’homme que pour son oeuvre qui m’a procurée d’excellents moments de lecture remplis de valeurs que j’affectionne tant.



Il est indispensable de préciser que ce roman a été finalisé moins de quatre semaines avant la disparition de Joe qui a été publié dans l’état sans le moindre remaniement par la maison d’édition faisant ainsi de ce premier jet le texte le plus authentique que vous pourriez avoir l’occasion de lire dans la série consacrée à l’épouvanteur (& Cie).



C’est toujours un véritable plaisir de retrouver les aventures de l’épouvanteur du Comté. Elle est loin l’époque de John Grégory ou bien encore de Tom Ward, mais l’avénement de Wulf a redonné un coup de peps à une série qui commençait à s’essouffler. Certains lecteurs pourraient regretter ce choix de Joseph Delaney, surtout en ce qui concerne le rythme nettement plus rapide de l’intrigue. Je dois bien admettre que certains passages semblaient avoir être précipité, notamment en ce qui concerne les deux « combats de Boss ». Il est, effectivement, perturbant de passer 30 pages sur une banale sorcière quand il suffit de trois lignes afin d’exterminer un Dieu de l’Obscur.



Ce quatrième volume de Frère Wulf n’était pas supposé être le dernier de la série, mais il n’aurait pas pu exister une meilleure fin, un peu comme si l’auteur lui-même étant conscient qu’il était essentiel de proposer aux lecteurs une aventure comme il n’aurait jamais pu leur proposer à travers ses personnages, à savoir vivre sa propre histoire.
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Un classique de la littérature ado. Cette fantasy est plus sombre que ce qu'on lit habituellement dans le même genre et c'est ce qui m'a bien plu. Les personnages sont attachants sans être trop niais, les méchants font peur et l'atmosphère médiaveal est très bien rendue, avec une bonne grosse touche de surnaturel qui fonctionne complétement. L'intrigue aurait pu être plus originale mais c'est un tout petit reproche.

Critiquer un chapitre d'une saga fantastique est un exercice délicat, d'autant plus après la disparition de Joseph Delaney en 2022, qui a conclu les 13 aventures de Tom Ward, l'Épouvanteur. "Le Septième Fils", le film, propose une vision alternative, plaçant Tom Ward comme apprenti au sein d'une famille de fermiers. Le premier tome, simple mais efficace, sert d'introduction à la fantasy héroïque pour jeunes lecteurs, sans prétendre rivaliser avec des épopées telles que "Le Seigneur des Anneaux". À travers le regard de Tom Ward, on suit les péripéties d'un apprenti sorcier, confronté à ses émotions et aux erreurs qui jalonnent son apprentissage. Son mentor, en revanche, manque de la prestance de Jeff Bridges, son homologue du grand écran, laissant au héros le soin de percer les arcanes de la magie. Le destin du pénultième disciple, tombé dans un guet-apens des sorcières, reste un mystère, peut-être éclairci dans "La Malédiction de l'Épouvanteur".

À suivre...

Une grande saga se termine définitivement avec ce dernier tome. Et quelle aventure ! Je suis partagée entre la tristesse de devoir quitter cet univers si riche et la joie ainsi que la reconnaissance d'avoir pu entrer dans la vie de tous les protagonistes.



Monsieur Delaney, merci pour cet héritage fabuleux que vous laissez derrière vous !



Tom, Alice, Gregory, Grimalkin, Thorne, Wulf, Jenny, Sliter et consort... Vous allez terriblement me manquer !



Ce dernier livre clôture parfaitement la fin de cette grande histoire. Bien sûr, on sent que cela aurait pu continuer encore. Mais le départ de l'auteur signe, comme la maison d'édition le dit si bien, le début de l'histoire que nous pouvons continuer à créer dans nos imaginaires. Sans doute pas avec la même force que celle de Wulf mais du moins, pouvons nous essayer 😉

La légende du 7eme fils du 7eme fils est reconnu partout en Europe. En France, l'enfant à une marque de lys sur la joue et on le nomme le Marcou. En transylvanie, il peut devenir loup garou ou vampire.

Dans les pays anglo saxon et comme le héros de ce roman, il devient celui qui lutte contre les êtres maléfiques (sorcières, gobelins, fantômes...)

Tom Ward a 13 ans et devient l'apprenti de l'epouvanteur. Il va être confronté à différents êtres maléfiques, mais il doit apprendre à se défendre, comprendre les techniques et quoi faire quand il se lie d'amitié avec Alice, une sorcière en devenir.

Ce 1er roman a une vingtaine d'années et c'est une relecture pour moi. J'ai comme la 1ere fois appréciée le suspense qui en découle et l'amitié qui transgresse les conventions.

C'est une lecture jeunesse fantasy pour les ados à partir de 13 ans.

Bonne lecture à tous.

Ce tome est plus accès sur le passé de l'Epouvanteur, un personnage mysthérieux.

On comprend un peu mieux ce personnage énigmatiques.

Mais dans un même temps, l'action en patie un peu.

j'imagine que c'est le revers de la médaille, on n epeux pas avoir le beurre et l'argent du beurre.

Ce livre reste trés facile à lire.

Comme le premier tome, le livre est assez enfantin mais l'auteur va à l'essentiel et l'auteur ne s'attarde pas dans les descriptions superflues.

Pas de longeur.

Un peu plus d'action que dans le tome &.

J'imagine que comme les Harry Poter, les tomes vont "grandir" avec leur lecteur.

Dans un premier temps, j'ai adoré le touché du papier, visuellement aussi, il est trés beau. Je n'avais jamais attaché d'importance à cela auparavant, mais pour ce livre, il me paraissait important de le souligner.

Ce récit est réélement captivant , dans un style trés fluide. La lecture glisse sans que l'on ne s'en rende compte. (Ce qui est normal car ce livre est destiné à un jeune public).

L'histoire est peut être un peu enfantine à mon goût, mais on ne s'ennuie pas une seconde.

Plusieurs questions restent sans réponse, ce qui atise l'imagination, et donne envie de lire la suite !

Dans le premier tome de la série de L'Épouvanteur" de Joseph Delaney, j'ai été happé par l'atmosphère sombre et envoûtante qui règne dès les premières pages. Delaney nous plonge dans un univers empreint de mystère et de danger, où les créatures surnaturelles rôdent dans l'obscurité et où les forces du bien et du mal s'affrontent sans relâche. L'écriture de Delaney est à la fois sobre et percutante, nous entraînant dans une quête terrifiante à travers les terres hantées du comté, où les superstitions et les légendes prennent vie.



Ce qui rend ce premier tome si captivant, ce sont les personnages complexes et nuancés qui peuplent ce monde lugubre. Le jeune apprenti Tom Ward, aux prises avec les ténèbres qui menacent de l'engloutir, est un protagoniste aussi courageux que vulnérable, dont le parcours initiatique m'a profondément touché. L'Épouvanteur lui-même, John Gregory, est une figure énigmatique et fascinante, dont les secrets et les motivations ne cessent de nous intriguer. Ensemble, ils nous entraînent dans une aventure épique où le danger guette à chaque tournant et où la frontière entre le bien et le mal est constamment remise en question.

Après le terrible incendie qui a dévasté sa maison, mais surtout sa precieuse bibliothèque, John Grégory est en pleine reconstruction, jusqu'au jour ou il reçoit une lettre d'une certaine Dame Fresque qui aurait des livres pour lui...direction Todmorden !



Le malin est toujours entre les mains de Grimalkin mais le mal rôde toujours !



Dixième tome et toujours autant d'enthousiasme !

Voir Tom prendre de plus en plus d'initiative est un réel plaisir, voir John Gregory en perdre me touche.

Alice très puissante toujours entre le bien et les forces obsurcs...

Ce tome m'a chamboulée.

Je passe vraiment des bons moments avec cette serie !

Hâte de lire le prochain !

Une lecture agréable avec une plume toujours aussi incroyable !



Pourtant, je n'ai pas mis 5 étoiles, il m'a manqué un petit quelque chose. Tout se déroule de façon assez attendue et l'epouvanteur est très en retrait en plus de paraître très faible.



Tom est toujours aussi intéressant même si, parfois, j'ai du mal à croire qu'il n'a que 13 ans !



Bref une lecture sympathique et je lirais la suite avec plaisir.

Le dernier roman de Joseph Delaney, dernier tome et chapitre des aventures d'épouvanteurs.

L'auteur n'aura jamais hésité à jouer avec le sacrifice du temps qui passe pour ses personnages et des personnages qui disparaissent et cette fois, c'est lui qui tirera sa révérence et nous devrons faire avec.

C'est un univers qui s'achèvera mais ne s'éteint pas, si on continue de le lire.



Wulf sera le dernier épouvanteur,du moins le pense t-on.

Sacrifier ses "remparts" faits homme pour que chacun vive en paix et fonde une famille, c'était ici dans l'ordre des choses.

C'était un prix somme toute logique, comprenait-on, comme certains dans notre réalité devenait soldat ou gardien de la paix.

Sauf que ces protecteurs là vivront parmi leur pairs, patrouilleront parmi eux et fonderont à leur tour des familles.

Ces épouvanteurs de Delaney pouvaient se connecter aux menaces, les étudier, apprendre à les repousser mais, frayaient avec eux. Ils émergeaient donc de la masse en petit nombre utile mais ne devaient se multiplier, ils étaient dédiés au sacrifice naturel, c'était le mode d'évolution de cette société vieillissant à côtés des bois hantés, des étangs de sorcières d'eau, voisins des forces sombres et incontrôlables, leur univers cerné par la peur au quotidien en guise de frontière. Nos héros épouvanteurs seront récompensés de souffrances, de solitude et de résurrection, nous faisant progresser dans notre connaissance de l'obscur - et cela dépassait de loin le seul personnage du Malin - .

Joseph Delaney aura renouvelé un peu la mythologie du mal et développé un univers effrayant mais presque fascinant.



Wulf est-il le dernier?

Ainsi, du temps aura passé, près d'un siècle depuis les dernières aventures de Tom et Alice Ward, nos réguliers de la série.

Le jeune frère Wulf sera le dernier à s'opposer à l'obscur, un épouvanteur inattendu qui rompra avec la tradition du septième fils d'un septième fils.

Wulf était tout autre chose, capable de puiser dans une autre magie et une autre dimension pour donner corps à ses saints de prière pour lui venir en aide.

Désincarné de sa dernière lutte (voir tome précédent), ce qui est assez nouveau pour un épouvanteur, il pourra toutefois user de son pouvoir et incarner ses créations à volonté, un tulpa de loup ailé, un tulpa de saint vengeur ou bien un tulpa de sa forme humaine d'origine.

Le temps aura passé plus rapidement dans la dimension où il se sera formé aux tulpas, Wulf est prèt mais seul.

Enfin presque, puisqu'il y aura encore Grimalkin et son apprentie Thorne.

Le mal se renouvèlera, c'est une guerre de pouvoir pour une place chaque fois vacante.

Là bien entendu, Wulf suivra les trâces de Tom, brisant totalement le commandement du vieux Gregory de ne jamais s'acoquiner avec l'obscur car l'obscur est pernicieux et indigne de confiance selon lui.

Grimalkin et Thorne étaient des sorcières puisant leur résistance dans l'obscur et ainsi après la mort, elles lui appartenaient complètement, mais choisissaient de faire le bien, aidant la place vacante à le rester.



Avec la solitude qui pesait sur le coeur de feu Tom Ward, on se demandera si la réclusion ne sera pas trop lourde pour Wulf qui n'aura plus non plus le soutien de Tilda, la fille de Tom et Alice, morte depuis aussi.

Nous, lecteurs, trouveront dans l'évolution des contextes, dans le renforcement des contradictions et les nouveaux compromis de chaque nouveau personnage un biais pour ne jamais nous ennuyer et toujours voir venir.

Même quand le Malin n'est plus, il existera encore des menaces encore plus hostiles. Comment cela peut-il?

Le Malin n'était-il pas selon nous au sommet de la chaine alimentaire maléfique?

Quoi de nouveau pour ce tome?

Les sorcières, un siècle après, sont aussi présentes et féroces à regret, suivant un cycle de renouveau comme les arbres et les saisons, c'est donc que le mal ne faiblissait pas comme on s'y serait attendu.

Wulf remarquera un dérèglement climatique curieux et le titre annoncera "L'avènement de l'obscur".

Wulf n'est-il vraiment que le dernier rempart connu?



Des surprises, rebondissements attendus, des tourments, des mensonges, des tentations, des victoires peut-être, le sel de la série.

Merci Monsieur Delaney, nous profiterons de ce dernier tome.

Un troisième tome qui m'a plutôt déçue.



Très peu d'actions ou de suspense, des scènes qui se répètent.



Je n'ai pas non plus trouvé l'histoire très captivante.



Du coup je me demande si je vais continuer cette série qui compte quand même 18 tomes !

Quelle surprise pour ce 9ème tome, on change de narrateur, ce n'est plus notre jeune Tom mais Grimalkin la plus grande tueuse parmi les sorcières.

Ce tome est encore plus rapide et passionnant que les autres ! Avec cette course folle entre les serviteurs du mal toujours plus féroces et Grimalkin qui possède la tête du malin. Que de batailles !!!

De plus on ne peut que adorer Grimalkin : une personnalité forte qui va montrer dans ce tome sa vulnérabilité et son côté humain.

On est content par contre de retrouver un peu Alice à la fin du tome, on imagine sans peine qu'elle sera sans doute la sorcière la plus puissante à venir, voir elle l'est déjà , c'est prometteur pour la suite !

Une suite que j'ai hâte de lire.

Dans ce roman, nous découvrons Leif, un jeune orphelin de 15 ans qui participe à des combats de bâton pour survivre. C’est d’ailleurs grâce à ça qu’il remporte un ticket de loterie qui va changer sa vie du tout au tout et lui permettre d’être entrainé par le meilleur, Tyron. Son but : devenir combattant de l’Arène 13, afin d’affronter Hob, cet être maléfique qui lui a tout pris et se venger du malheur qu’il a fait planer sur sa vie.



Leif est un petit gars fort physiquement et mentalement, mais pas seulement, il est également curieux, courageux et surtout déterminé. J’ai beaucoup aimé ce personnage que je trouve très attachant. Malgré sa force, il reste humble, il ne se pavane pas sous prétexte qu’il est bon, au contraire, il se fait discret et il a une certaine naïveté qui le rend plus appréciable encore.

Quant à Tyron, il est considéré comme le meilleur des maîtres de lame. Nous le découvrons dans un premier temps assez rude et sévère, puis au fil des pages, il se dévoile davantage. C’est un homme bon, sur qui on peut compter, il est juste et sage à sa manière. J’ai aimé sa bienveillance et ce côté paternel qu’il a avec ses apprentis.



L’auteur nous plonge dans un univers post-apocalyptique assez complexe et original qu’il gère très bien. Je vous avoue que même si je me suis facilement laissée embarquer par l’histoire, il m’a fallu un peu de temps pour me repérer et comprendre tout ce que je lisais. Ce premier tome permet évidemment de poser le décor, la familiarisation de l’univers et des personnages, et il intrigue aussi beaucoup. J’ai trouvé la cadence de l’histoire assez calme, mais à côté de ça, l’auteur a su me donner au compte-goutte ce qu’il me fallait pour éveiller ma curiosité, me tenir en haleine, et lors des moments importants, il a su jouer avec mon rythme cardiaque d’une façon intense.

Un album qui n'a pas pris une ride, créé il y a plus de soixante ans par Joseph Beaulieu que je découvre pour la première fois. Un vrai plaisir pour une écoute joyeuse en famille. De jolies chansons à textes où se mêlent la poésie et la tendresse. Tout un bestiaire nous est proposé, l'alouette, les oiseaux, poules et poulets, grenouilles et lucioles. Sans oublier tous les animaux du cirque qui apportent avec la chanson du carrousel, des ambiances fabuleuses. On aime les chansons joyeuses et les belles illustrations qui les accompagnent. Les enfants ont apprécié les rythmes et de pouvoir suivre les paroles sur l'album. Quant à moi j'ai aimé l'atmosphère de ce compositeur et la qualité des interprètes. Il faut dire qu'ils sont nombreux, certains que je connaissais déjà comme Enzo Enzo et Jeanne Cherhal et d'autres que je découvre ici pour la première fois. Un vrai régal, des mélodies qui vous donnent la banane et ambiance la maison. La bonne humeur est au rendez-vous. Notre chanson-phare est Le concert des grenouilles avec les croassements en fond, on se croirait vraiment au bord de l'étang. Et celle de La luciole toute en douceur. Les textes des chansons sont ciselés avec de belles rimes et un vocabulaire accessible. Laissez-vous tenter par cet album au charme certain. Bonne écoute.