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Critiques de Juan Saenz Valiente (66)
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Cobalt

Le pitch de Cobalt n’est pas d’une grande originalité : un agent dormant est réveillé pour aller éliminer un gouvernement d’êtres malfaisants qui fait régner l’obscurité dans une ville.



Sauf que,

- le héros-narrateur est atypique : c’est un apothicaire sexagénaire tenant davantage du Nero Wolfe ayant réussi à sortir de son fauteuil que du Sherlock Holmes;

- il y a un côté Reservoir Dogs pour les noms des protagonistes : Cobalt, Cuivre ou Zinc;

- il y a un côté John Carpenter pour l'algue noire extraterrestre qui a pris possession de notables de la ville;

- il y a un côté John Le Carré, Eric Ambler et romans d’espionnage pour les éléments d’espionnage;

- il y a un côté hommage aux grands anciens (pas ceux de Cthulhu) avec quelques références disséminées dans le texte - par exemple, la première mission de Cobalt est de tuer le capitaine Morand qui vit à l'hôtel Titanic.



Collaboration entre l’écrivain Pablo De Santis et le dessinateur Juan Saenz Valiente, Cobalt est relativement court pour un roman graphique - ce n'est pas du 48cc mais presque - sans que cela ne constitue un problème. Bien au contraire. Avec d’un côté le travail graphique de Juan Saenz Valiente et de l’autre la rapidité d’exécution du scénario de Pablo de Santis, ce Cobalt ne saurait constituer un compte d’apothicaire mais plutôt un ovni (à découvrir) en provenance d’Argentine.
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Cobalt

Cobalt, cuivre, zinc, autant d'éléments qui ne sont pas issus d'une boite d'Oligosol mais en réalité se révèlent être des agents... spéciaux. Le personnage central, un pharmacien veuf énigmatique et charmant prépare des remèdes contre la plupart des maux. Mais sa ville, s'assombrit, un mystérieux mal la ronge, que se passe t'il ?
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Cobalt

Cet album doit [à Juan Saenz Valiente] ses qualités: cadrage décalé, travail de la bichromie, déformation du décor, trait libre, jeté sur le papier et aussi très maîtrisé dans le mouvement, ambiance fantastique.
Lien : http://www.lexpress.fr/cultu..
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Cobalt

Une superbe BD , narrant l' histoire d' un apothicaire ancien espion , devant reprendre du service afin de sauver la ville d' un virus qui transforme les gens en monstre de mort..L' univers graphique est magnifique ..

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Cobalt

Quel joli cadeau de Noël m'a fait Babelio ! Voilà une BD qui ne manque pas d'Air et que je n'aurais jamais pensé acheter ni lire en bibliothèque et pourtant ! Un régal, un délice !

Que dis-je ? une Perle ! Car le récit de Cuivre, Cobalt et Zinc c'est de l'Argent pur voire même de l'Or !

La ligne graphique est surprenante et pas forcément attirante mais finalement Nickel Chrome car elle convient on ne peut mieux au sujet et aux personnages...

Sans Plomb ni Arsenic, Cobalt ne se laisse pas Fer (ohhh)

Avant de vous faire toute la table de Mendeleïev je n'en dis pas plus, une jolie découverte qui m'a trop donné envie de le lire en version originale ¡Mira vos!
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Cobalt

Ce très beau roman graphique nous plonge dans un polar loufoque. Cobalt, un ancien agent reconverti en pharmacien apothicaire pour vieille dame est réactivé après une longue mise en sommeil.

La ville est en danger, la planète est en danger, l'être humain est en danger...



J'ai beaucoup aimé le dessin et les couleurs, un peu dans le style de Cyril Pedrosa, l'univers graphique et le scénario. Un polar léger et original avec une touche de fantastique à ne pas manquer.



Un ouvrage de la médiathèque Jean Moulin de Margny-les-compiegne.
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Cobalt

Entre préparations magistrales et clientes bavardes, Cobalt mène une existence tranquille dans sa pharmacie; il aime imaginer que sa vie passée n'était qu'un rêve. Pourtant son passé de tueur le rattrape et il lui faut reprendre du service et sauver la ville : l'obscurité la menace et Cobalt seul peut la sauver.



Autour de ce personnage central apparemment banal, Pablo De Santis et Juan Saenz Valiente nous proposent un roman graphique découpé en courts chapitres : à chaque épisode, un nouveau jeu de couleurs pour une ambiance frappante et dynamique. Un décor qui colle à merveille avec le côté fantastique, un peu étrange, de l'aventure; certains personnages se démarquent également, astucieusement déformés et ramenés ainsi au centre du récit.



L'ensemble donne un univers pour le moins original autour d'une enquête policière digne de vieux films d'espionnage, la touche fantastique en plus. Une excellente découverte !
Lien : https://nahe-lit.blogspot.be..
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Cobalt

(SCO971) Un agent secret endormi, qui est réactivé pour tuer 4 ennemis, envahis par une algue mystérieuse qui les transforme en monstres inhumains. Un scénario classique et futuriste à la fois, servi par un graphisme original et déroutant, auquel je n'ai pas vraiment accroché. Pas convaincue pour la sélection.

(IK971) Album datant de 2017. Hors sélection.
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Cobalt

De Santis entraîne le lecteur dans cette histoire légèrement fantastique qui est avant tout celle de cette espèce de vieux Schwarzie sur le retour. Il pensait finir sa vie de tueur tranquillement jusqu'à ce que cette dernière réactivation le plonge dans la noirceur de son monde. Les dialogues sont concis et l'intrigue passe autant par eux que par l'image.

Dans un style qui n'est pas sans rappeler des illustrations de The New Yorker, Valiente nous livre un dessin tout en à-plats de couleurs et ombrages qui donnent un cachet tout particulier à ses planches. Chaque chapitre n'utilise que 2 couleurs en plus du noir et blanc avec ombrages, donnant une identité visuelle forte à chacun d'eux.



Je n'aurais sûrement jamais acheté cet album et en vérité je ne savais même pas que Michel Lafon faisait des BDs mais j'avoue avoir été très agréablement surpris : je valide
Lien : https://www.instagram.com/my..
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Cobalt

Cobalt était ma première BD adulte et malheureusement, j'ai été déçue. Dans le descriptif du livre, je n'avais pas vu que c'était un polar fantastique donc j'ai été assez étonnée de voir des genres de monstres dans cette histoire. Sur le point de vue littéraire, j'ai trouvé l'histoire intéressante mais j'aurais préféré qu'elle soit plus longuement décrite (c'est-à-dire qu'elle soit plus longue). J'aurais voulu savoir comment se prépare Cobalt avant de tuer, comment une algue peut prendre le corps et l'esprit d'un homme, etc. Je pense qu'avec plus de bulles, de précisions, je serais mieux rentrée dans l'histoire. Sur le point de vue graphique, j'ai trouvé les traits de crayon assez simplistes mais néanmoins agréable. J'ai aussi aimé les couleurs choisies et leur alternance dans l'histoire.
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Cobalt

Pablo De Santis imagine une intrigue fantastico-policière habile, pleine d’étrangeté et de suspense, avec un héros/narrateur fascinant.
Lien : http://www.bodoi.info/cobalt/
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Cobalt

C’est un thriller fantastique, un pharmacien, un agent spécial retiré des affaire, à qui l’on demande, dix ans après sa retraite, de réaliser une nouvelle mission, quatre assassinats un peu particuliers. J’ai adoré le traitement graphique du récit, quatre chapitres, quatre univers colorés très subtil, un graphisme à la manière sérigraphique, un noir plus deux douleurs utilisées uniquement en aplats, en surfaces avec un choix de nuances doux et subtil :

- 1er chapitre : Rose et bleu pétrole

- 2e chapitre : saumon et bleu ardoise

- 3e chapitre : mauve et beige

- 4e chapitre : vert d’eau et brique

- Conclusion : Rose et bleu pétrole

Ces gammes créent une ambiance un peu rétro et moderne à la fois, veloutée mais inquiétantes, il y a un côté polar des années 50, dans le déroulé du récit et le propos, accentués par l’architecture, la devanture du magasin, les costumes et les silhouettes des personnages, et les moindres accessoires. Le traitement très original nous embarque dans cette histoire pourtant très simple, sans doute déjà vue, mais jamais de cette manière. C’est même le graphisme qui donne tout son attrait, son caractère et sa force au récit. Un belle réussite.
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Cobalt

Un hommage inattendu et bien troussé à l'univers du ­filiforme félin imaginé par le cartooniste Friz Freleng. Une bulle de fantaisie dans un monde décidément trop lourd.
Lien : http://www.telerama.fr/criti..
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L'Animateur

Holà, todos ! 👋



On se retrouve pour une nouvelle Masse Critique, dans la catégorie Graphiques et BD aujourd'hui. Je tiens à remercier l’éditeur, Delcourt, pour son envoi et sa confiance, ainsi que Babelio pour avoir proposé cette pépite à chroniquer. Car oui, il s’agit bien d’une pépite, d’un coup de cœur, tant pour l’histoire que les dessins.



Voici donc mon avis sur "L'animateur" de Juanungo, sorti le 03 mai 2023, aux éditions Delcourt.



Le frère et la sœur de Neno sont effondrés : leur frère, atteint d’un cancer, résiste au traitement et se retrouve en phase palliative. Perdant peu à peu son autonomie et ne pouvant pas assurer le rôle d’aidants à temps plein, ils emploient un infirmier à domicile. Pataud, balourd, maladroit, mais tentant toujours de faire de son mieux, celui-ci crée du lien avec le vieux monsieur dont la vie avant la maladie se révèle page après page.



La thématique phare, celle qui m’a le plus touchée dans cette bande dessinée, est l’accompagnement de la fin de vie, les liens très spéciaux que cela crée, la douleur de la maladie – tant physique que mentale. Le personnage de Neno est criant de vérité et d’humanité et l’on s’attache à cet infirmier qui lui rendra la vie plus douce. J’ai eu plusieurs fois la gorge nouée et pensé que la fin de vie serait beaucoup plus agréable et belle pour beaucoup si elle se déroulait comme dans ce récit de vie.



C’est également une belle manière de mettre en scène le cinéma d’animation et ses procédés, dont j’ignorais tout, et de rendre à cet art un bel hommage. L’infirmier se prend au jeu et participe lui aussi à la création de ce qui sera le dernier spot publicitaire de Neno.



Juanungo est le fils de Rodolfo Saenz Valiente, réalisateur renommé films d’animation, dans les années 80, en Argentine. Ce livre est une manière de rendre hommage à cet homme au talent indiscutable et maître de son art. C’est aussi l’occasion pour le fils de parler de son père, de celui qu’il a été pour lui, de ce qu’il a représenté. Cela donne un récit poignant, troublant, rempli d’amour et d’humanité.



Les dessins sont en noir et blanc, le trait précis et retranscrivant parfaitement les émotions des personnages, notamment par leurs regards que j’ai trouvés très expressifs et percutants. Ce trait se teinte de poésie et d’animations, parfois, pour donner une ambiance bien particulière à cette bande dessinée que je vous souhaite de découvrir. Juanungo a su donner de la vie à ses personnages, même lorsque ceux-ci s’en vident au fil des pages.
Lien : https://wendybaqueauteur.wix..
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L'Animateur

📚Nazareno dit Neno est, comme le père de Juanungo, un ancien animateur atteint d'un cancer en phase terminale.

Alors que ses deux enfants viennent d'apprendre qu'il n'y avait plus d'espoir, ils décident d'engager un jeune infirmier pour apaiser les souffrances de leur père.



Mais l'entente entre le vieux réalisateur et le jeune infirmier n'est pas des plus cordiales.



🖊L'animateur de Juanungo aborde la thématique de la fin de vie avec une finesse et une sincérité irréprochable.



À travers le portrait de ce vieil homme mais aussi celui de ce jeune infirmier, on découvre des humains dans ce qu'ils ont de plus attachant.

Passionné pour l'un, altruiste pour l'autre, ils cherchent avant tout à se rendre utile pour gagner (ou garder) une certaine indépendance.



Ce récit, qui ne tombe jamais dans la complaisance, sait malgré tout émouvoir en étant tout simplement "vrai".



🧔chronique complète :
Lien : https://www.mtebc.fr/lanimat..
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L'Animateur

Un grand merci à @babelio_ pour avoir "pensé à moi" lors d'une campagne de "Masse Critique". Recevoir cette BD pour la chroniquer. C'est juste du plaisir. N'hésitez pas, je suis là dès que vous avez besoin d'autres chroniques. Ca fait plaisir de pouvoir recevoir le livre, le dévorer un peu avant tout le monde, et ensuite d'en parler et partager son ressenti, ses émotions, réflexions.



Vous connaissiez Juanungo ? Moi non plus, je le découvre via cette BD, très personnelle s'il en est, car c'est une version romancée de l'histoire de son père Rodolfo "Rufo" Saenz Valiente, argentin, réalisateur de films d'animations décédé en 2006.



Dès les premières pages, on apprend que Neno, le personnage de la BD est en fin de vie et que ses jours sont comptés. Un infirmier arrive pour lui faciliter la vie, ne pas le laisser seul aux portes de l'inéluctable. La relation entre l'animateur et l'infirmier sera au cœur de ce récit.

On y apprend également quelques éléments sur l'animation, et on assiste donc à sa dernière réalisation professionnelle.

C'est tendre, parfois un peu dur, émouvant, instructif. Mais surtout humain !

Le graphisme est particulier. Il pourrait éventuellement rebuter lors d'un feuilletage du livre, mais dès qu'on plonge dans l'histoire, on est happé et on y découvre aussi des pages pleines de détails etc …

A noter un flip-book sur la dernière partie du livre, juste une merveilleuse idée dans cette narration.



Dans la postface, on en apprend un peu plus, notamment le fait que le père de l'auteur a publié un livre de référence sur l'animation.



Une très belle BD à ne pas rater.

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L'Animateur

J’ai eu quelques difficultés à entrer dans ma lecture par rapport au graphisme. Les vignettes en noir et blanc réalisées au fusain (ou une technique s’en rapprochant) ne m’ont pas emballée tout de suite. J’étais également un peu dérangée par le côté parfois « estompé ». Mais après quelques pages, j’ai trouvé que s’en dégageait une ambiance cotonneuse qui servait l’histoire. Le fait que l’ouvrage soit monochrome accentue les contrastes entre la lumière et les ombres, les pleins et les vides et même les lignes et les courbes. Je pense que je ne l’aurais pas remarqué s’il y avait eu de la couleur. J’ai donc revu mon avis au cours de ma lecture sur ce point et je trouve finalement très judicieux le parti pris du noir et blanc.

Ce que j’ai beaucoup aimé dès le départ en revanche, c’est le travail sur les perspectives (en ville notamment), le souci du détail, certains cadrages, ainsi que le traitement du mouvement. La singularité de chaque visage – davantage travaillée que les expressions – offre également une présence forte à chaque personnage. Le texte est d’une grande justesse avec des répliques parfois cinglantes et clairement jubilatoires ! L’équilibre entre les dialogues et les silences est d’ailleurs bien dosé, et certaines postures en disent parfois bien plus que les mots. Je me suis rapidement attachée aux protagonistes, émue par cette rencontre entre Neno et l’infirmier, mais aussi par les différentes réactions de l’entourage. L’infirmer m’a particulièrement touchée, avec son côté gauche et sa gestuelle mal assurée ; éprouvant des difficultés à trouver sa place auprès de quelqu’un qui le tient à distance, mais aussi face à une histoire qui fait écho à son passé. Neno, quant à lui, affronte courageusement sa fin de vie difficile. J’avais un peu peur de tomber dans le cliché et le pathos mais ce n’est pas le cas.

Enfin, j’ai particulièrement apprécié découvrir le processus d’animation et comprendre ce que veut dire « animer », aussi bien intellectuellement que de façon immersive. Il y a d’ailleurs un joli clin d’œil poétique dans l’ouvrage, que j’ai trouvé sublime.

J’ai lu cette BD d’une traite (dommage qu’elle ne soit pas un chouia plus longue), pleine de délicatesse, de pudeur et d’humanité.

Un très bel ouvrage que je vous recommande.

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L'Animateur

Une bande-dessinée qui relate de manière juste la relation qui peut se créer entre une personne en fin de vie et son "aide-soignant". Cette histoire est basée sur le vécu du papa de l'auteur ; ce qui en fait toute la beauté. Pour éviter que le vieil homme n'aille en maison de retraite, sa famille décide d'engager un infirmier. Mais les débuts sont difficiles entre cet ancien artiste travaillant dans les films d'animation et "l'animateur" qui ne connait pas du tout ce domaine. Nemo souffre énormément et se cache derrière sa mauvaise humeur pour ne pas le montrer. Les illustrations en noir et blanc servent le scenario de manière très habile. Certains passages sont vraiment poignants et malgré le côté acariâtre de Nemo, le lecteur comprend sa souffrance. Tout cela accompagné d'une post-face éclairante et bienvenue. Une bande dessinée entre fiction et documentaire dont le sujet est d'actualité et qui rend un bel hommage aux aide-soignants sans en cacher les difficultés qu'ils rencontrent. #Lanimateur #NetGalleyFrance
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L'Animateur

L'animateur est un roman graphique en noir et blanc publié aux éditions Delcourt. L'histoire se passe à Buenos Aires. Neno, réalisateur de cinéma d'animation, est atteint d'un cancer. Sa famille recrute un infirmier pour s'occuper de lui. Le jeune homme, peu sûr de lui, doit d'abord faire face à l'hostilité de Neno.



J'ai été davantage touchée par le personnage de l'infirmier, par sa gentillesse et sa maladresse. Avenant et souriant, il mène pourtant une existence solitaire et compliquée. Peu à peu, il s'attache à son patient et découvre son univers.



On ne peut rester insensible à cette histoire, d'autant plus que l'auteur s'est inspiré de son père pour le personnage de Neno. J'ai aimé decouvrir les photographies et le texte à la fin de l'ouvrage.



Il m'a manqué quelque chose pour être complètement transportée par le récit. Je pensais entrer davantage dans les personnages, leurs relations et leur histoire.



J'ai trouvé les dessins jolis empreints de sobriété même si en ouvrant le livre je m'attendais à y trouver de la couleur. Je remercie les éditions Delcourt et l'équipe Babelio pour cette découverte.

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L'Animateur

Juanungo , dessine en noir et blanc

l'hommage à son père,

créateur de film d'animation

Ce père est rongé par un cancer

en phase terminale..

La famille organise

son maintien à domicile,

et embauche un infirmier .

"D'accord, d'accord" ce soignant

humble et affable doit affronter

les foudres du malade acariâtre en fin de vie.



Cet album est très personnel et aurait pu le rester.

On se sent voyeur de tous ces désarrois ,

mais, indemne d'émotions.

Dommage



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