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Critiques de Julia Mattera (50)
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Vous avez envie d’un roman où l’on prend son temps, où on peut sentir l’odeur d’un jardin encore recouvert de la rosée du matin, où les carottes et les tomates sont choyées et caressées, où l’on chante des berceuses aux poules et où l’on raconte des histoires aux biquettes le soir pour les endormir ?

J’ai adoré le début de ce roman tout doux où Robert, un célibataire endurci prend soin de ses légumes et les cuisine ensuite avec amour et un respect infini pour la nature.

Mais dès que l’intrigue a évolué un peu, j’ai été malheureusement écœurée par l'avalanche de guimauve, et de mièvrerie, des couches épaisses de bons sentiments, des dialogues dignes d’un manuel de psychologie pour les nuls et des clichés à la pelle sur la bienveillance, le pouvoir de l’amour, le pardon, la résilience et tous les thèmes à la mode.

Dommage, car j’ai salivé en suivant la préparation de certains plats alsaciens au tout début du roman, mais l’abondance de conseils à deux francs et les nombreux dialogues ridicules sur le fait de se dépasser et de s'ouvrir aux autres m’ont franchement rebutés.
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Le syndrome de la brasse coulée

Il ne manque pas grand chose à ce roman, les concepts de changement de vie, de nouveau départ, de volonté de rattraper le temps perdu et de retrouver le bonheur familial me séduisaient beaucoup. Pourtant l’étincelle, la braise qui met le feu aux poudres et qui emballe le rythme de lecture n’a pas pointé le bout de son nez. J’ai eu du mal à ressentir le moindre attachement aux personnages, sauf peut-être pour Mumu la tante attachante et Mauricette l’employée de la maison de retraite. Oscar quand à lui est plutôt creux et sans grand intérêt et cet froideur m’a gênée au plus haut point, il est plat comme l’eau de la piscine dans laquelle il a passé la plus grande partie de sa vie. Malgré les désaccords qui l’opposent à son fils, on ne parvient pas à ressentir la peine, la colère ou les regrets que cette situation peut créer dans le coeur d’un père. Pourtant, en creusant, je me fis que ce livre avait du potentiel et que si l’auteure était parvenue à transmettre ces émotions qui sont primordiales à une belle histoire, les lignes que je partage, auraient été tout autre. Il est temps pour moi de passer à un autre livre, qui je l’espère parviendra à me consoler de cette déception.
Lien : http://livresque78.com/2022/..
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Merci à mon amie d'enfance Dominique qui m'a offert ce livre.

Un fermier alsacien introverti suite à un traumatisme d'enfance s'ouvre peu à peu aux autres grâce à de belles rencontres.

Quel hymne à l'Alsace, à sa cuisine (avec des recettes à la fin du récit !), à son parler et à ses habitants !

Il est aussi question d'amour (comme de bien entendu), de liens familiaux et amicaux avec des personnes semblables (un jeune homme au même parcours) ou dissemblables (une anglaise excentrique) et d'ouverture à des cultures différentes.

Malgré quelques coquilles, ce petit bouquin est tout-à-fait rafraîchissant en cette période hivernale et morose.

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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

La fiction potagère aurait pu me plaire, surtout parfumée aux effluves de plats alsaciens, mais l'intrigue est beaucoup trop convenue, trop prévisible et trop invraisemblable à mon goût, même pour un premier roman.

Robert Walsch est un vieux ronchon qui préfère dialoguer avec ses carottes et ses chèvres et c'est aussi ce qu'il me reste de cette lecture : une envie de bougonner. Dommage, le titre était sympathique, l'illustration de couverture aussi, le fait que l'autrice vienne d'Alsace me plaisait, et je m'attendais à une lecture plus savoureuse. Peut-être que ce récit manque d'assaisonnement et de péripéties, ou même simplement de petites herbes aromatiques finement ciselée pour que je m'en régale.
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

J'ai passé un superbe moment avec ce fermier tellement attachant ! J'ai pu profiter de quelques heures de temps suspendu, plongée dans ma lecture, avec pour seuls amis les personnages de ce roman qui fait incroyablement du bien. On dévore les chapitres les uns après les autres avec un appétit vorace... c'est tellement délicieux. La plume est fluide, précise et parfaitement adaptée à ce type de récits contemporains qui, au-delà d'apporter un vrai divertissement, pousse aussi à la réflexion sur notre existence. J'ai adoré le dépaysement, les belles découvertes et le succulent cocktail Alsace/Angleterre/Orient. C'est une lecture que je conseille sans hésiter aux amoureux de la nature, aux amoureux de la vie, elle réchauffe le coeur avec douceur. le bonheur est à portée de main, et Julia, elle, le porte au bout de ses doigts. Pas étonnant qu'elle sache si bien nous le transmettre en nous transperçant d'émotions. Belle lecture !
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

En commençant ce roman, je ne savais pas trop où j'allais, si ce n'est que je partais à la rencontre d'un homme bougon, ours. Cela m'a suffit. J'adore les hommes un peu ours, qui en fait cachent un cœur shamalow. Et c'est typiquement ce que j'ai trouvé.



Qu'est-ce que j'ai aimé ! Pour ceux qui me suivent sur Instagram, vous le savez, parce que j'en ai pas mal parlé dans mes stories, mais pour ceux qui ne me suivent pas sur ce réseau, sachez que Robert est devenu l'un de mes personnages préférés. Et Dieu sait que j'en ai croisé depuis 2012...



Mais ce Robert avait ce petit quelque chose de touchant. Bougon au possible, jamais content, râleur H24. Bref, il a tout pour déplaire, sur le papier. Mais en vrai, on sait tous qu'un personnage comme ça est en réalité hyper attachant et drôle à ses dépends, non ? Partant de là, on ne peut que aimer sa personnalité et surtout l'histoire qui le concerne.



J'ai adoré la plume de l'autrice, sa façon de raconter son histoire, mais surtout son amour pour sa région. À travers ses mots, nous découvrons des spécialités alsacienne, nous voyageons, les fesses pourtant posées sur le canapé ou le lit. Et puis Robert... *soupir*



L'autrice a très bien géré ce moment entre son côté râleur et le côté où il commence à s'ouvrir, à se confier, à se relâcher. Tout vient en douceur, naturellement, comme si c'était écrit. Les rencontres qu'il fait lui permettent de voir la vie autrement, de se rendre compte par lui-même de son comportement, de toutes ces années où il s'est enfermé sur lui-même. Bref, pour moi, c'est le genre de roman à mettre entre toutes les mains. Il parle d'amour, d'amitié, de pardon, d'appréciation de soi, de bonheur, de nature, de choses simples de la vie.



​En résumé, un roman qui a réussi à me toucher, porté par un personnage ô combien râleur mais ô combien attachant. Un voyage également dans les terres alsaciennes où l'on ressent l'amour de l'autrice pour sa région. Bref, si vous cherchez une chouette lecture, elle est toute trouvée !
Lien : http://lire-une-passion.weeb..
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Ce livre est tombé entre les mains de mon mari qui a trouvé drôle de me l'offrir au motif que ça parlait d'un Alsacien bougon originaire de la vallée de Munster. Je vais donc faire la seule chose que ce consternant roman mérite, bougonner.



Rien ne va. À commencer par l'écriture. Il faudrait que l'autrice comprenne qu'écrire, ça n'est pas aligner des mots avec une syntaxe à peu près correcte et un vocabulaire digne d'un élève de primaire. C'est plat, convenu, sans invention, sans intérêt. Avec de si blêmes tentatives d'humour que cela en devient gênant.



L'histoire. Absente, tout simplement. Un fermier bougon qui vit seul avec sa soeur, son neveu et sa nièce, se retrouve dégrossi par une Maghrébine et son fils, tombe amoureux d'une Anglaise qu'on croirait sortie d'un roman-photo des années soixante, sort de sa ferme et prend même l'avion pour l'Angleterre. C'est tout. C'est peu. Ah, si parfois il se retient d'engueuler un client agaçant. Barbara Cartland aurait fait mieux, cent fois mieux.



Le potager. La rhubarbe, le navet, les fraises, les tomates, les carottes, tout y mûrit en même temps. On y fume les légumes et les fleurs en plein été. Si l'autrice a déjà vu un jardin, elle le cache bien.



La gastronomie. Un festival de grand n'importe quoi. D'ailleurs, les recettes-alibi à la fin du volume sont grotesques. Les plats du Bas-Rhin se retrouvent dans les fermes auberges de la prétendue vallée de Munster. Du beckaoffe, de la tarte flambée (!), on croit rêver. Les descriptions sont aberrantes, elle fait des fleischschnacka avec de la pâte brisée au lieu de pâte à nouille, j'en passe mille autres qui, lues par une ménagère de la vallée, provoqueraient en lynchage. Si l'autrice a déjà mis les pieds dans une cuisine, elle le cache très bien aussi.



L'Alsace. L'autrice se dit alsacienne. Elle n'y a pas compris grand chose et nous sert des clichés tout juste bons à tromper un Français de l'intérieur. Elle nous met par ci, par là quelques expressions alsaciennes avec un mépris le plus total de leur déclinaison, de leur pluriel ou singulier, même. Quant à savoir si cela se dit dans la vallée de Munster, elle s'en préoccupe visiblement peu. Les indications de prononciation sont aberrantes, sauf à habiter le Sundgau ou Mulhouse. Rien que le nom du euh, héros, voilà, on va dire héros, indique qu'il vient d'ailleurs alors qu'il est supposé n'avoir jamais quitté sa ferme. Si l'autrice a jamais essayé de comprendre l'alsacien, c'est une excellente cachottière.



Passons sur la description des paysages qui ne correspondent en rien aux endroits par où ils sont supposés passer.



C'est la chose la plus mauvaise, la plus prétentieuse et la plus inintéressante que j'ai lue depuis plusieurs décennies.
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

c'est l'histoire mignonnette d'un fermier qui vit dans un monde imaginaire. on le suit au cours d'un été où la nounou de ses neveux et son fils l'aident à s'ouvrir au monde. C'est un feel good emplit de bonnes intentions. le genre de lecture qui vous enveloppe de douceur. J'ai trouvé l'intrigue un peu trop convenue et un peu de lourdeurs pour souligner l'introversion du fermier. Mais, la lecture est agréable.
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Une fois n'est pas coutume, je suis sorti de ma zone de confort littéraire en allant à la rencontre de ce fermier, protagoniste d'un roman dont le titre poétique m'a immédiatement happé... et franchement, je n'ai pas été déçu.



Vallée de Munster, Alsace, de nos jours. Robert dit "Tonton Robbie", vieux garçon solitaire et ronchon en apparence, expert es-vocabulaire alsacien des plus "typiques", cache en fait un homme hypersensible, qui préfère parler à ses légumes et aux étoiles, car eux ne le jugent pas. Il les respecte, ils lui rendent bien la pareille. Son hypersensibilité a fait de lui un être différent, et donc souvent rejeté. En tout cas c'est ainsi qu'il le perçoit. Toujours est-il qu'il fuit les autres humains - sauf son cercle (très) intime comme la peste.



Mais un jour, il va faire la rencontre. Celle qui va rendre toutes celles ultérieures possibles. Rencontre professionnelle, amicale, amoureuse ? Dans cet ordre peut-être. Et avec différents personnages qui, lentement mais surement, vont fendiller la coquille qu'il s'était forgée avec les années. Au fur et à mesure, il découvrira que son cas qu'il pensait unique est loin de l'être, et que tous ceux qui sont différents de lui ne sont pas forcément ses ennemis. Certains lui veulent même du bien. Vraiment. Et avec eux s'ouvrira le monde...



Je ne veux pas en dire plus tant je vous invite à découvrir ce roman très humain, touchant aussi, qui vous fait passer du rire aux larmes. Un roman riche de ces petits détails qui font la vie. Un roman qui répond au déclinisme ambiant, aux diverses tentations de repli sur soi, en invitant le lecteur à s'ouvrir à l'autre dans toute sa différence, qui parfois, comme dans ce roman par exemple, est une richesse et non un moins. Un roman qui fait chaud au coeur, vraiment.



N'hésitez donc pas à vous y plonger, comme tonton Robbie plongeant ses carottes dans ses marmites. Il ne vous en cuira pas, et peut-être en ressortirez-vous (un peu) réconcilié avec la vie...
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Ce livre est tel un magnifique plat de légumes multicolores dont les arômes et les goûts enflamment nos papilles. Prenez le temps de déguster. Faites connaissance avec cet homme plein de tendresse qui aime ses légumes, ses animaux et les considère. Je vous assure que vous ne verrez plus les tomates de la même façon ... vous prendrez aussi le temps de regarder les choses de façon différente. Merci Julia Mattera pour cette petite merveille
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Le syndrome de la brasse coulée

J’ai eu la chance de rencontrer Julia au salon du livre à côté de chez moi en 2023 (45)

J’ai adoré son roman, en plus des expressions alsaciennes que je découvre et qui sont très sympa et drôle, j’ai adoré le fond de ce roman

Oscar va vivre pleinement en étant le maître nageur au sein de la maison de retraite de sa maman, il va faire de très belles rencontres et s’attacher a pas mal de personnages tous gentils et marrants 😃



Cette histoire m’a aussi donné un peu faim avec les belles recettes et spécialités de Mauricette



Je vous conseille cette lecture avec grand plaisir, vous passerez un excellent moment
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Le speech assez simple m'a donné envie de débuter ma lecture juste après l'avoir trouvé, mais aussi sa jolie couverture. On a ici un feel good ou se mêle écologie, amour, partage et acceptation des autres. Pour moi un mélange parfait pour les beaux jours après une lecture plus sérieuse.



C'est une lecture fluide, les pages se sont enchainées assez facilement. On apprend à connaître Robert qui devient moins complexe et plus attachant. On partage son quotidien et je me suis vite imaginé dans ce décor à la campagne, sans chichi après avoir passé 2 semaines au milieu des champs, des biquettes et des cochons dans le Gers.



Par contre, la temporalité était un peu rapide à mon goût comme dans certains films romantiques. Je suis un peu terre à terre, alors changer totalement une personne en 1 mois, j'ai un peu du mal à y croire.



➡️ En bref, un livre assez poétique qui nous rapproche de la nature et nous fait découvrir pas mal d'expressions alsaciennes. J'ai bien aimé la citation "l'art de savoir communiquer avec son potager".


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Le syndrome de la brasse coulée

L'histoire, même si on en devine la fin dès la 13e page, est jolie et les personnages très attachants. Mention spéciale à Oscar, magnifique, et à Mumu, Zette et Gégé.

Malheureusement, le style "sujet / verbe/COD", les dialogues lisses et en prime, l'utilisation du présent, m'ont rapidement lassée.

Un roman qui plaira aux fans d'histoires de "petits vieux qui ne sont pas si vieux que ça, vous allez voir ".
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..



Lors de la parution du programme des éditions J'ai lu, ce titre m'avait tapé dans l'œil. Un peu poétique et la couverture attrayante, il a vite rejoint ma liste de titres. Ce feel-good me permet également de découvrir la plume de Julia Mattera, dont le nouveau roman vient de paraître aux éditions Flammarion.

J'ai beaucoup aimé les personnages de ce court roman qui sent bon la cuisine savoureuse. Dans la vallée du Munster, en Alsace (que j'aime particulièrement), nous faisons la connaissance de Robert, fermier et cuisinier dans la ferme familiale que sa sœur a transformée en auberge. Plutôt râleur et antisocial d'apparence, Robert est finalement un homme sensible, doux et à l'écoute. Sa passion ? Le potager. Lorsqu'Hassan et Fatima arrivent à la ferme, le quotidien de Robert va connaître quelques turbulences et quelques changements ! Sans trop vous en dire, cette lecture est fluide, légère et attendrissante. J'ai aimé les petites phrases de chaque début de chapitre, la douceur qui émane des personnages et les émotions que l'on éprouve pendant la lecture. Dans un cadre campagnard, on y retrouve une belle dose d'amour familiale, d'entraide, de passion et de découvertes. Avec quelques notes d'humour bien placées et le cadre alsacien, Le fermier qui parlait aux carottes et aux étoiles est touchant à souhait. Julia Mattera nous décrit avec précision son amour pour l'Alsace, mais aussi des recettes en fin de lecture. Même si j'ai trouvé quelques passages quelque peu niais, ce roman est ultra plaisant et ravira les amoureux de la nature
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Robert cuisine des plats typiquement alsacien dans la ferme auberge des Walch. C’est un cuisinier solitaire, qui préfère la compagnie de ces carottes à celle des humains. Sous ce fort caractère se cache une douceur et une délicatesse qu’il retransmet dans ces plats. Robert va faire la rencontre de plusieurs personnes qui vont lui permettre de s’ouvrir et de partager .



C’est le premier roman que je lis de cette autrice , elle peint grâce à ces mots un univers empli de poésie et de douceur, de bienveillance. Un personnage principal bougon, râleur, jamais content mais qui va regoûter au plaisir de la vie.

Un livre frais et optimiste qui fait du bien.
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Le syndrome de la brasse coulée

"La vie est courte pour certains, mais elle demeure merveilleuse, D'autres ne savent pas la remplir et finissent vieux et aigris. Il ne faut pas vivre dans le regret."



Oscar, ancien alsacien et champion olympique de natation à grande renommée, est seul. Dans une banlieue de Paris, il vit reclus, abandonné par sa femme puis son fils, son quotidien se résume à dormir, manger, regarder la télé, et accomplir son travail dans une piscine municipale.



Cependant, sa mère Zette a élaboré un plan pour le faire revenir sur sa terre natale : elle dépose un CV de maître nageur dans la maison de retraite ou elle siège. Mais c'est pour une autre raison - fausse - qu'Oscar retourne en Alsace, il décide donc d'accepter ce nouveau job.



Là-bas, il y retrouve son fils, sa tante Mumu, et fait également la découverte de Mauricette, une maman elle aussi célibataire. Celle-ci, embauchée comme cheffe cuisinière à la maison de retraite, compte bien emplumer Oscar avec ses plats dont elle a le secret.

Lui, compte bien renouer les liens avec sa famille....



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Ce livre est un coup de cœur ! Je n'ai pas pu le lâcher durant toute la lecture et le finir m'a déçue.



Les personnages sont extrêmement attachants, on en apprend plus sur eux au fil et à mesure du roman et autant dire que l'histoire est addictive. J'ai par ailleurs beaucoup apprécié la petite romance.



Étant donné que je suis moi-même alsacienne, j'ai adoré les petits clins d'œil à la gastronomie, aux villes et aux villages, mais aussi au dialecte.



Je vous recommande vivement de lire ce livre et merci encore à l'autrice pour sa dédicace.
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Le fermier qui parlait aux carottes et aux ..

Dans la vallée de Munster, la ferme auberge des Walch est reconnue pour son excellente cuisine. Robert, le fermier, qui préfère la compagnie des légumes à celle des hommes n'a pas son pareil pour préparer une bonne flammekusche ou des truites fraichement pêchées. Il apprendra à s'ouvrir aux autres grâce à son nouvel apprenti avec qui il partagera sa passion pour les légumes, car les carottes et les tomates sont bien meilleures quand on les cueille avec respect et tendresse. Il n'est jamais trop tard pour grandir et découvrir de nouveaux horizons.
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Le syndrome de la brasse coulée

#Chronique pour les Editions Flammarion : Le syndrome de la brasse coulée de Julia Mattera ➡ ❤❤❤/ 5

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💬 CITATION :

" Ta mère conservait un carnet où elle notait les citations des bouquins qu'elle dévorait. Elle ne pouvait pas tenir une conversation sans citer les auteurs qu'elle aimait le plus. [...] Je ne connais personne qui aime autant les livres qu'elle. "

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👉CONCLUSION DE MA CHRONIQUE :

Le syndrome de la brasse coulée nous parle d'un homme qui se reconstruit, qui change de vie, qui cherche la simplicité afin de se rapprocher de son fils et de sa mère. Il va faire la connaissance de plusieurs personnes âgées qui se trouvent dans une maison de retraite et son nouveau job, qui le sort de sa zone de confort, va l'aider à évoluer.

Un changement de vie qui va le libérer et le rapprocher de l'essentiel.

Un roman simple et agréable à lire.

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👉POUR LIRE L'INTEGRALITE DE MON AVIS, C'EST ICI : https://www.leslecturesdelily.com/2022/06/le-syndrome-de-la-brasse-coulee-ecrit.html

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👉RESUME :

Ancien champion de natation, Oscar pensait agir pour le bonheur des siens. Toute son énergie était tournée vers sa réussite afin de les mettre à l’abri du besoin. Mais lorsque sa femme le quitte, lasse de ses absences, il se laisse sombrer, s’éloignant de son fils, de sa famille et de ses racines.

C ’était compter sans la détermination de sa mère, qui décide d’élaborer un stratagème pour le faire revenir dans sa région natale et, surtout, le sortir de sa coquille et de son train-train quotidien.

Qui aurait pu prévoir qu’en devenant professeur d’aquagym dans une maison de retraite Oscar apprendrait à être heureux ?

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#avislecture #avislittéraire #leslecturesdelily #livres #books #lecturedemai #lesyndromedelabrassecoulée #juliamattera
Lien : https://www.leslecturesdelil..
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Le syndrome de la brasse coulée

Cette autrice est une découverte pour moi et une très belle découverte ! On plonge dans le monde de Oscar, champion de natation qui a perdu beaucoup en se consacrant à sa carrière mais il peut changer les choses s'il le veut et ça grâce à sa mère !!

Un roman qui met en avant l'amour, la famille mais également les personnes âgées et leurs conditions de vie dans notre société.

C'est un petit bonbon tendre et tout moelleux et il faut dire que j'ai du prendre quelques kilos rien qu'en lisant et découvrant les bonnes recettes et spécialités alsacienne parce qu'en plus l'autrice rend hommage à l'Alsace à travers ces pages !!

Des personnages très attachants, une histoire touchante. Des mots alsacien que j'ai essayé de prononcer (dans ma tête seulement ) et qui sont agréable a découvrir.

La plume de l'autrice est toute douce et poétique, c'est très joli. Une lecture fluide et l'envie de connaitre le déroulé donne un petit cote addictif.



J'ai passé un délicieux et joli moment auprès d'Oscar, Anthony, Momo, Mumu, Zette et tant d'autres !!!
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Le syndrome de la brasse coulée

Oscar Klein a connu son heure de gloire, le succès en étant champion olympique de natation. Il avait tout pour être heureux, de l'argent, une belle maison, une famille aimante mais qu'il délaissait trop souvent au point que sa femme l'a quitté du jour au lendemain sans préavis lui laissant Anthony, son fils de 14 ans à sa charge afin qu'il assume son rôle de père. Mais Oscar va échouer de nouveau et son fils fuguer pour se réfugier chez sa grand-mère chez qui il compte bien rester.



Cinq ans ont passé, Oscar travaille maintenant comme maître-nageur et s'ennuie à mourir dans sa vie. Jusqu'au jour où il reçoit un appel de Mumu, sa tante, qui lui demande de venir de toute urgence car sa mère, Zette, est sur le point de faire une bêtise. Cette dernière vit désormais dans une maison de retraite et Anthony garde la maison.

Mais Zette a une idée derrière la tête, elle veut que son fils vienne travailler à la maison de retraite et leur donner des cours d'aquagym.



Pour Oscar, c'est une révélation. Il n'aurait jamais pensé qu'il serait aussi heureux de revenir dans sa région natale et renouer des liens avec sa famille. Il espère surtout que les rapports entre son fils et lui s'apaise. Il va également apprendre à connaître Mauricette, dite Momo, la cuisinière de la maison de retraite et locataire de Mumu. Une belle amitié va naître entre eux. Il va également tomber sous le charme de ses deux adolescentes qui vont tout faire pour lui redonner le sourire.



Premier roman que je lis de l'autrice et c'est une belle découverte même si tout est bien prévisible. Tout est tout beau tout rose. Les personnages sont tous attachants, même la vilaine nutritionniste qui donne du fil à retordre à Momo devient adorable. La maison de retraite est également parfaite, la nourriture y est bonne, le personnel au petit soin pour les personnes âgées. En ce qui concerne les petits vieux, idem, il y a de belles amitiés, des histoires d'amour. Aucune ombre au tableau donc pour ce roman qui se lit d'une traite. Les thèmes de la vieillesse, de la solitude des personnes âgées sont bien traités. Tout comme la parentalité. (...)
Lien : https://livresaddictblog.blo..
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