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Critiques de Julien Lambert (54)
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Edwin : Le Voyage aux origines

Pour leur première collaboration en bd, Manon Textoris et Julien Lambert ont obtenu le Prix Raymond Leblanc de la jeune création en 2013, un prix qui permet à ses lauréats de voir publier leur album chez le Lombard, une excellente initiative qui nous permet de découvrir de jeunes auteurs forts prometteurs.
Lien : http://www.psychovision.net/..
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Edwin : Le Voyage aux origines

Ce récit d’apprentissage aux forts accents oniriques, jouissant d’une belle surprise finale, est parfaitement construit et rythmé. Le dessin de Julien Lambert, s’il doit encore s’affirmer pour mieux creuser son propre sillon, est agréable, dynamique et cohérent.
Lien : http://www.bodoi.info/edwin-..
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Edwin : Le Voyage aux origines

J'ai choisi cette bande dessinée juste en la feuilletant.

Les pages semblaient pleines de décors fantastiques, j'y ai vu des villes fabuleuses, l'intérieur d'un navire, le cabinet de travail d'un scientifique, une jungle luxuriante....

Et je me félicite de ce hasard car j'ai beaucoup aimé cette histoire qui ressemble à la fois à un récit de voyage et à une quête des origines.



Le personnage principal, Edwin, est passionné par l'Afrique et l'origine de la race humaine.

Accompagné de son majordome et de son chien, il va entreprendre une expédition incroyable et déroutante.



La fin m'a apporté la preuve que j'avais bien eu affaire à une bande dessinée peu commune mais véritablement de qualité, une ode aux rêves et aux envies, même si celles-ci paraissent parfois peu à notre portée.
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Edwin : Le Voyage aux origines

Edwin est une bd qui est née à partir de la réussite d’un concours (le prix Raymond Legrand de la jeune création en 2013). Cela permet à de jeunes auteurs fort prometteurs de se faire connaître. Il est vrai que le projet était plutôt intéressant que de partir sur la recherche des origines de l’homme à l’époque victorienne d’un certain Darwin.



Cependant, ce voyage vers l’Afrique, berceau de l’humanité, va nous conduire dans un autre monde fantasmagorique et onirique. C’est une réelle surprise quant à la direction prise qui ne sera pas celle que l’on imaginait au départ. Il est clair qu’il fallait de l’audace et que cela surprend. Cependant, cela vient un peu comme un cheveu sur la soupe alors que rien n’y préparait.



On sent également l’influence de Léo et son bestiaire imaginaire des mondes d’Aldébaran. L’album est cependant assez atypique avec son propre style. Bref, on a affaire à une bd peu commune avec une fin assez surprenante.
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Edwin : Le Voyage aux origines

Il y a de ces histoires qui vous mènent par le bout du nez là où n'auriez pas imaginé mettre les pieds, et celle-ci en fait partie, bref c'est une belle découverte!



19ème siècle, Londres, l'Afrique attire les Européens. Edwin, lui, a une bonne raison: il est convaincu que ce continent est le berceau de l'Homme, et il veut en donner les preuves. Personne ne voulant financer ses recherches - quel rapport peut-il y avoir entre eux et les primates??- Edwin embarque clandestinement dans un bateau, accompagné de son chien Floch et de son majordome.

Je ne veux pas en dire plus car c'est à partir de maintenant que l'aventure commence, inattendue et pleine de surprises.

Elle mériterait d'être une série plutôt qu'un one-shot!
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Edwin : Le Voyage aux origines

Edwin, Le Voyage aux Origines est une BD très agréable à lire qui saura vous réserver une belle part d’aventures et de surprises car si tout commence de façon somme toute assez classique attendez vous à basculer dans un récit fantastique.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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Edwin : Le Voyage aux origines

Même si les scientifiques risquent d’être plus taché par l’histoire d’Edwin, cette bande-dessinée s’adresse à tout le monde pour offrir l’histoire d’une quête et d’un voyage vers des terres inconnues qui pourraient offrir bien plus que la découverture des origines de l’humanité…!!
Lien : https://blogleslecturesducha..
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Edwin : Le Voyage aux origines

L'intrigue imaginée par Manon Textoris, après un début relativement classique, glisse peu à peu vers le fantastique et n'est vraiment pas avare de surprises, rythmée, en outre, par quelques amusants clins d'oeil.
Lien : http://www.auracan.com/album..
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Il va falloir s'accrocher un peu dans ce polar futuriste où notre héros ne fait que de causer avec des objets courants. Cela part de la poubelle, à la radio, l'ampoule électrique ou la chaise. Bref, nous devons être dans l'acceptation et faire comme si c'était normal pour entrer en communion avec le personnage principal qui est détective de profession. Pas facile.



Cette cité est appelée ville vermine car elle est grise et dangereuse avec des personnages pour le moins inquiétants. On sera assez vite happée par l'action même si on arrive à en deviner les aboutissants. Je crois que l'accent est surtout mis sur cet univers urbain un peu spécial où les insectes grouillent.



La moralité est mise sur la personnalisation des objets du quotidien qu'il ne faut pas jeter mais réparer si possible car ils ont une âme. Ils vont d'ailleurs aider notre anti-héros dans son enquête sur la disparition d'une jeune femme destinée à une carrière de chanteuse et qui est la fille de la reine des bas-fond de la ville.



Un mot sur le dessin aux consonances moderne et urbaine qui tranche un peu avec la poésie de cette série qui peut se dégager par moment au-delà de toutes les extravagances. Le découpage est dynamique ce qui concourt à une lecture fluide notamment dans les scènes d'action et de combat.



Je ne suis généralement pas fan de ce type de lecture mais je dois dire que c'est plutôt bien construit une fois qu'on aura avaler une grosse couleuvre. A voir si toute cette singularité de l’œuvre tente d'autres lecteurs. Le prix Fauve polar à Angoulême en 2019 ce qui constitue quand même une bonne référence.
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Une BD qui nous sort de l'ordinaire, tant par son dessin que par son histoire. Un détective spécialiste dans la recherche d'objets qui parle justement aux objets, un gamin des rues qui aime les mouches, une chanteuse fille d'une gangster, et un scientifique fou.
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Récompensé Fauve Polar 2019, VilleVermine est offert durant quelques jours sur BDfugue pour cette période de confinement qui tarde à se lever malheureusement. Grâce aux nombreuses maisons d'édition offrant des opérations pour tenir le choc, je lis ainsi VilleVermine qui d'un premier abord donne des dessins brouillons et trop simplistes. Pourtant, sa force réside dans son scénario mêlant le monde du polar et du fantastique et j'ai été agréablement surprise de terminer ce tome avec le sentiment de vouloir en savoir plus. Jacques Peuplier vous retrouve tous les objets perdus en un rien de temps et pour cause, il a la capacité de parler aux objets. C'est inattendu et tellement peu en adéquation avec l'environnement sombre que ça en devient intriguant. D'où viennent ces êtres volants ? Que recherchent-ils ? Le petit gars va-t-il mener à bien son projet ? Et que va -t-il advenir de Jacques ?
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

VilleVermine est une ville inquiétante et sale où règnent trafiquants, savant halluciné et hommes mouches. Même les gamins des rues sont une sacré bande d'enquiquineurs. Au milieu de tout ce beau monde, un homme fait ses petites affaires. Enfin, il essaye. Jaques Peuplier, solide gaillard taillé à coup de serpe, est à la recherche d'une femme pour le compte d'une famille ô combien douteuse. Il ne craint pas la bagarre et c'est heureux car il n'est pas aidé. Bizarrement et immédiatement ce malabar taciturne nous émeut. Il fait son boulot coûte que coûte tout en vouant un amour inconditionnel aux objets avec lesquels il converse... Un excellent scénario servi par des illustrations aussi cabossée que les personnages! On attend impatiemment la suite!
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Ce premier tome d’un diptyque pose une ambiance réussie, grise et sale, aux effluves de moisissure, dans une ville morne dont les seuls habitants semblent survivre au fond des ruelles ou des caves. Décor idéal pour un polar fantastique, dans lequel la principale bonne idée réside dans son héros et son pouvoir, celui de dialoguer avec les objets.
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

À la fois au scénario et au dessin de ce premier tome intitulé L'Homme aux babioles, très inspiré, peut-être même un peu barjot, il distille une ribambelle d'idées originales, attractives et loufoques comme ces hommes-mouches pilotés par un savant excentrique ou ces grosses libellules pourchassées et utilisées à des fins scientifiques.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Indépendamment des fondamentaux, Villevermine parvient à s'affranchir des standards en rassemblant de manière subtile et dans un style qui lui est propre, les atouts supplémentaires pour faire d'une bande dessinée un très agréable moment d'évasion.
Lien : https://www.bdgest.com/chron..
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Une histoire prenante, entre les genres policier et fantastique, dans une ambiance glauque et oppressante à souhait, nommée dans la Sélection Polar SCNF au festival d'Angoulême 2019.
Lien : https://www.actuabd.com/Vill..
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Jacques Peuplier est un homme taiseux et très secret. Et pour cause! Ou qu'il aille, les objets lui parlent, lui racontent leur vie et ce qui se passe autour d'eux. Un talent étrange qui va lui être bien utile dans son enquête pour retrouver une jeune femme disparue...Entre action et polar, un premier tome prometteur!
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Villevermine, ville à l'allure légèrement glauque, abrite de drôles d'êtres. Jacques Peuplier, capable de parler aux objets en fait assurément parti, mais il va devoir se confronter à d'autres énergumènes peu recommandables pour retrouver la fille de contrebandiers auxquels il n'aurait pas du se frotter.



Le dessin qui pourrait rebuter certain.e.s, au style assez naïf notamment pour les personnages, ajoute en fait une note très personnelle au récit. Une aventure policière fantastique à l'ambiance très réussie, on a hâte de connaître la suite !
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Le travail de colorisation avec des couleurs brutes de décoffrage, tirant parfois vers le grisâtre, restitue à merveille l’ambiance sombre et glauque de cette BD qui prend à la gorge et captive dès la première planche. Mais rien d’étonnant quand l’action se déroule dans une ville dont on a depuis longtemps oublié le nom et que l’on a surnommée, à juste titre, VilleVermine. Repaire de marginaux avec ses ruelles malfamées et jonchées de détritus, cette ville est le terrain de jeu de malfrats, mais aussi d’un étrange homme volant qui ressemble à une mouche !



Dès le début de l’histoire, l’auteur introduit un certain suspense avec ce personnage inquiétant dont on n’a pas forcément envie de croiser la route. Mais c’est la découverte du protagoniste, Jacques Peuplier, qui attise véritablement la curiosité. Plutôt balèze et avec une tête du mec à qui il vaut mieux ne pas la raconter, cet homme a une particularité pas banale, même à VilleVermine, il peut parler aux objets. Vous me direz après quelques verres, tout le monde peut parler aux objets, mais contrairement à Jacques, vous aurez quand même peu de chance d’entamer de véritables conversations avec ceux-ci…



Cette faculté est une aubaine pour ce solitaire taciturne qui s’est spécialisé dans la recherche d’objets disparus moyennant rémunération. Ce détective d’un genre nouveau va néanmoins se trouver dans une situation quelque peu délicate qui le contraindra à partir à la recherche, non pas d’un objet, ça il maîtrise, mais d’une jeune femme kidnappée. Le début des ennuis ?



Il pourra heureusement compter sur son flair, mais surtout sur ses « amis » dépourvus de chair et de sang, mais pas d’un certain sens de la répartie et d’une langue bien pendue. Je dois d’ailleurs dire qu’une grande partie du charme de cet ouvrage réside, du moins pour moi, dans l’exploitation de la faculté extraordinaire de notre enquêteur improvisé. Assez fidèle à l’image de ces antihéros malmenés et ballottés par la vie, sa relation particulière aux objets lui permet de passer de personnage stéréotypé à homme fascinant dont on prend plaisir à suivre les mésaventures. Et à ce niveau, il est plutôt gâté, l’auteur lui ayant réservé quelques rencontres plus ou moins agréables…



En parallèle de Jacques, nous suivons d’autres protagonistes dont un jeune garçon qui ne fait pas forcément une très bonne première impression, mais qui possède néanmoins un point commun avec notre antihéros : la faculté à se fourrer dans les ennuis. Et puis, il traîne toujours avec son chat Mauvais-Poil et quand on a un chat, on ne peut pas être foncièrement mauvais, non ? On se pose pas mal de questions sur ce jeune homme, mais il faudra attendre un peu avant de comprendre quel est le dénominateur commun entre lui et Jacques…



L’auteur nous propose ici une enquête assez classique dans son déroulement, mais plutôt originale dans ses enjeux et surtout les protagonistes qui y prennent part. On ne s’attache pas vraiment à ces derniers, l’univers assez glauque dans lequel ils évoluent ne les ayant pas rendus particulièrement avenants, mais on se sent néanmoins concerné par ce qui leur arrive. Au fil des pages et des dangers, l’angoisse grandit et la tension se fait de plus en plus palpable. Le suspense savamment dosé nous pousse, quant à lui, à vouloir trouver des réponses à nos questions notamment sur les projets de ce savant fou qui hante VilleVermine. Je préfère vous laisser le plaisir de découvrir ce personnage par vous-même, mais je peux vous dire qu’il fait froid dans le dos bien que ce soit finalement son étrange frère qui m’ait le plus effrayée…



L’univers de cette BD est sombre et plutôt glauque ce qui se retrouve dans son esthétique : les traits sont grossiers, mais les décors détaillés, les couleurs sont froides avec un aspect parfois délavé, les corps semblent parfois disproportionnés créant un certain sentiment de malaise… L’ambiance graphique ne correspond pas vraiment à ce que j’aime en général, mais je reconnais qu’elle colle parfaitement au récit en soulignant toute la noirceur et l’aura de désespoir qui plane sur la ville.



https://i1.wp.com/editions-sarbacane.com/wp-content/uploads/2018/09/VilleVermine-T1_p54-55.jpg



Quant à la fin, elle apporte un petit retournement de situation qui laisse craindre le pire pour notre détective, mais qui surtout nous pousse à nous interroger sur la manière dont l’auteur va poursuivre son intrigue… J’ai, dans tous les cas, trouvé le pari audacieux puisqu’il n’hésite pas à redistribuer les cartes en cours de jeu.



En conclusion, ce premier tome pose avec efficacité les jalons d’une enquête dont le rythme, le suspense et la tension devraient séduire les amateurs de polars. On retrouve ainsi les ficelles qui rendent ce genre si addictif même si l’auteur veille également à apporter sa propre touche que ce soit à travers ses personnages, les enjeux du récit ou son trait de crayon et son travail de colorisation qui collent à la perfection à l’univers froid, glauque et sombre de VilleVermine. Une BD que je vous recommande donc et dont je lirai le deuxième et dernier tome avec plaisir.
Lien : https://lightandsmell.wordpr..
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VilleVermine, tome 1 : L'homme aux babioles

Pour commencer, j’adore le graphisme, qui sort des sentiers battus, formes rondes pour les personnages, grand corps et petite tête, formes anguleuses pour la ville, angle de vues originaux, soin des détails sur les objets – ils ont une importance dans l’histoire – dessin au contours, mais avec des hachures brutes pour les ombres, une gamme de couleurs subtile, naturelle, on retrouve un style qui s’apparente à du graphisme d’albums pour enfants, et il y règne une belle lumière. Le choix des couleurs est judicieux, le style du trait est frais, affirmé, certaines vignettes sont de pures merveilles, tout cela sans effets tapageurs, c’est aussi très ténu, intimiste parfois, cela contribue à cette ambiance si particulière. J’adore le mélange des genres, science fiction, fantastique, steampunk, dystopie, uchronie, merveilleux, horreur, on ne sait trop où on se situe, c’est juste “Villevermine”, un genre en soi, et déjà rien que pour ça, c’est tout à fait remarquable. Le récit est aussi d’une grande originalité, Jacques possède un don, celui de pouvoir parler avec les objets, qu’il utilise pour son métier : chercheur d’objets perdus ou volés. Un jour, il va devoir se mettre à la recherche d’une jeune fille, la fille d’une famille de truands, cela va l'entraîner dans des aventures fantastiques et rocambolesques. On va y rencontrer des hommes volants, des mouches, des enfants, un savant fou… Les personnages sont particulièrement attachants, de Jacques, pourtant pas très sociable, jusqu’à la cafetière. À travers cet univers totalement délirant, les thèmes sous-jacents sont aussi d’une grande richesse : empathie, sur-consommation… Il y a vraiment beaucoup choses à découvrir dans cette bande dessinée, pour moi, ça a été de l’émerveillement du début à la fin.
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