Kaede Kouchi

On suit la vie de Shiharu, une jeune fille que la vie n’a pas épargnée. Elle possède une grande force par son optimisme. Elle va s’occuper d’Aoi et Akane, des jumeaux dont les prénoms veulent dire bleu et rouge. Ils sont attachants. Leur oncle les aime, mais a des difficultés à tout gérer. Une famille se reforme grâce à la jeune femme. Son comportement mature rend plausible le début d’attirance qu’à Seiji Matsunaga, de 9 ans son aîné, pour elle. Ce shôjô est malin, d’une grande douceur, tout en parlant de thèmes difficiles, comme la mort et la violence des enfants. L’histoire s’est bien étoffée juste dans ce premier tome, j’ai envie de découvrir la suite. Et puis Aoi et Akane étaient trop mignons dans leurs vêtements de vache.
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Les relations évoluent à grands pas, les jumeaux ont bien grandi. On sent que cette histoire touche à sa fin, que le monde de Love so life change et passe à autre chose.

C'est toujours aussi tendre, ce manga donne le sourire !

Un tome parfait, qui m'a fait éclater de rire et fondre de tendresse.

Quel tome ! Je passe toujours par moult émotions lorsque je lis un tome de Love so Life, en général, ça passe de "Kyaaaah~~ trop miiiiignon !!" à "Nyuuuh~~ Kawaiiiiii" ou encore à "Trop cuuuuute ♥" -> oui oui, je décline le mot mignon en plusieurs langues, en fonction du degré de mignonitude (je ne le fais que pour ce manga, bizarrement xD). Ici, j'en ai expérimenté deux nouvelles (par rapport au manga, évidemment). La première, négative : une petite lassitude au début du tome, parce que ce premier chapitre sur l'ex de Seiji ne m'a pas du touuuuuut intéressée... Je suis contente d'avoir vu un peu plus le passé de Seiji, mais le voir avec quelqu'un d'autre que Shiharu, ça passe pas !!

Et au contraire, voir Shiharu avec quelqu'un d'autre que Sei ne me dérange pas, si ce quelqu'un d'autre s'appelle Nao ^_^ Aaah Nao... Le tome 12 de Love so Life se concentre pas mal sur lui (si on exclut ce chapitre inutile du début), et son personnage m'a encore plus bouleversée. Et j'ai été TRISTE (deuxième émotion nouvelle) en lisant Love so Life. En fait, je trouve tellement injuste que l'auteur ait introduit un tel personnage, quand on sait qu'il va souffrir d'un amour non réciproque (bon là, c'pas un spoil, c'est grillé dès le tome 1 qu'elle va finir avec Sei u_u). Raaaah du coup, ça m'énerve parce que je veux que Nao finisse avec Shiharu. Mais d'un autre côté, j'aime tellement, tellement le (presque) couple que forment Shiharu et Sei... Ils sont tellement mignons !

Et par rapport à ce couple, j'aimerais bien voir plus souvent de petites scènes mignonnes. On les voit souvent chacun de leur côté en fait, et j'attends avec impatience la suite du manga ♥

Quant aux jumeaux, je les apprécie plus à chaque fois qu'on les voit grandir. J'ai une petite préférence pour Aoi, dont j'aime beaucoup le caractère. Mais Akane n'est pas en reste, elle me fait bien rire. Savoir qu'ils devront partir un jour, ça me rendrait presque aussi triste que Shiharu.



La couverture de ce tome est très jolie, j'adore les illustrations de Shiharu et Nao (même si dans me tête, je n'arrive pas à voir Nao autrement qu'en roux O.o (je dois inconsciemment le comparé à Kyô de Fruits Basket, j'sais pas...)). La postface de l'auteur est un peu plus longue que d'habitude (à cause de sa tendinite, qu'elle nous explique ^^), et j'ai bien aimé y voir ses avis face aux réactions de ses lecteurs (et moi j'suis pas d'accord avec les lecteurs japonais, j'approuve totalement Nao *w*).





En résumé : un excellent tome comme toujours. Je l'ai adoré mais en même temps, j'étais un peu énervé en lisant son début (j'avais peur de tomber dans le cliché de la rivale...) mais la suite a bien rattrapée le coup. Il ne se passe pas grand chose mais en même temps, on avance beaucoup dans l'histoire (disons que j'ai du stopper ma lecture histoire d'encaisser et digérer quelques infos). C'est compliqué à expliquer, alors lisez les tomes pour savoir :P

Love so Life est la première série de Kôchi Kaede. Commencée en 2008 dans le magazine japonais Hana to Yume, cette histoire connait un carton et est encore en cours de publication aujourd'hui.



Nous suivons Shiharu, une jeune orpheline dont la vie va prendre un nouveau tournant lorsqu'elle deviendra la nounou de deux petites terreurs élevées par leur oncle, un célèbre présentateur télé.



Cette histoire est remplie de tendresse. Au fil du récit, nous apprenons à connaître un peu plus le passé de Shiharu et son enfance dramatique. On ne peut s’empêcher de penser à une autre héroïne d’un célèbre manga ; Tohru de Fruit Basket. A l’instar de cette dernière, Shiharu est naïve mais courageuse. Elle saura toucher le cœur des gens, même les plus bornés.



Le récit ne semble pas mener à un but précis si ce n’est l’histoire d’amour naissante entre l’héroïne et l’oncle des deux enfants dont elle s’occupe. Mais cette histoire progresse si lentement qu’elle passe plus souvent au plan secondaire, ce qui peut être parfois TRES frustrant !



L’ensemble est plutôt mignon. Les historiettes dans chacun des chapitres permettent de relancer quelque peu l’intérêt de l’histoire mais il n’y a aucun vrai fil directeur. Chacun des chapitres pourrait se lire indifféremment des autres.



Love so life est donc un manga distractif qui vous fera passer un bon moment sans pour autant vous faire perdre le sommeil en attendant la suite.


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Un tome centré sur Sei et qui revient sur son "adoption" des jumeaux.

Un joli tome, touchant qui développe les sentiments.

Les jumeaux sont toujours aussi craquants !

Vivement la suite !

Tout le monde grandit tandis que des incertitudes pointent le bout de leurs nez.

Tout en restant très mignon, ce tome pose de nombreuses questions.

Une très bonne découverte, un mangas plein de douceur et de tendresse. L'héroïne me fait beaucoup penser a Tohru Honda de Fruits Basket. Une jeune fille rempli de bons sentiments et d'un peu de naïveté

Toujours dans la même veine que le premier tome... Heureusement que l'auteur arrête de faire un résumé de ses personnages à chaque début de chapitre (cas omniprésent dans le tome 1). Sinon, l'intrigue s’étoffe un peu plus... On sent bien l'attirance qu'éprouve Seiji Matsunaga pour Shiharu. Et de son côté cette dernière n'est pas indifférente... Bref, espérons que la suite continue sous ces bonnes augures...

Mention spéciale aux habits des jumeaux qui sont toujours aussi kawaï !!!!

Un tome où les jumeaux apparaissent peu, c'est dommage.

Mais l'histoire des personnages avance à grands pas.

Ce tome reste tendre et doux (mais j'espère que les jumeaux seront plus présents la prochaine fois!).

un manga vraiment frais et mignon. Parfait pour remonter le moral quand on est malade ou d'humeur grise!

Coucou mes petits amis ! Aujourd'hui, je vous retrouve pour la chronique d'un shojo manga dont je n'avais jamais entendu parler avant de tomber dessus par hasard en médiathèque, j'ai nommé Love so life de la mangaka Kaede Kouchi. Malgré le fait que je ne connaissais ce titre ni d'Eve ni d'Adam et que je n'avais ainsi pas d'avis/arguments concrets sur lesquels me baser pour me décider à lui laisser ou non sa chance, j'ai été d'emblée convaincue que ce premier tome de la série devait repartir avec moi sans plus de discussion. La raison à cela est on-ne-peut-plus simple : dès que j'ai vu la couverture de ce premier volume, j'ai littéralement fondu. Vous voyez la Méchante Sorcière de l'Ouest qui se liquéfie à la fin du Magicien d'Oz ? Bah, c'était moi à ce moment-là. Et après avoir contemplé et bavé face à cette magnifique illustration pendant 1 poignée de secondes (je vous l'ai dit, ça a été du rapide), je me suis in fine décidée à emprunter ce tome 1 et à le ramener illico presto chez moi. Et pour une fois, je suis bien contente d'avoir cédé à mon penchant pour le kawaii à outrance (non mais vous avez vu ces deux bouilles d'amour qu'ont les jumeaux ?! Je suis désolée, moi, je vois ça, je craque !) car Love so life m'a assurément séduite !



Vous l'aurez compris, ce qui m'a tout d'abord conquise avec ce titre, c'est son graphisme. Certes criant de simplicité, il ne paye pas forcément de mine mais personnellement, j'ai trouvé que cela servait l'intrigue de la meilleure des manières. En effet, cette dernière nous parle essentiellement de la vie quotidienne, de personnages qui souhaitent tous simplement aller de l'avant, surmonter leur chagrin et être heureux, donc il n'y avait pas besoin à mon sens de fioritures dans les planches ou d'un trait de crayon particulièrement singulier. Au contraire, j'ai grandement apprécié le fait que l'on reste au plus proche du réel, de sa banalité qui est à mon sens d'une immense et lumineuse beauté. Par ailleurs, les protagonistes, de même que la façon dont ils sont dessinés reflètent à merveille cela : ils sont comme tout le monde, ils ont leurs rêves, leurs faiblesses, leurs défauts et leurs moments de découragement et cela ne les rend que plus rayonnants. Enfants comme adultes doivent pourtant souvent porter des masques pour mieux dissimuler leurs espoirs déçus et leur douleur incommensurable, béante, et ce "costume", ce sont justement ces cases de bande dessinée en noir et blanc que l'on pourrait aisément imaginer parées de couleurs pastels des plus "fifilles" et naïves. En réalité, ces illustrations sont tout ce qu'il y a de plus trompeuses car elles cachent une profondeur et une intelligence insoupçonnées au premier abord.



Cependant, si l'on y regarde d'un peu plus près, celles-ci se révèlent rapidement à leur maximum d'éclat. Pour vous donner un exemple de cette double-lecture que l'on peut faire du graphisme vichy du manga, je peux citer tout naturellement les jumeaux, tellement mignons que cela en est à proprement parler étourdissant comme le dirait si bien notre héroïne principale. Paraissant limite "trop beau pour être vrai" et répondre à une superficialité artistique et avant tout marketing ayant pour volonté de faire couiner dans les chaumières, le chara design de nos petits bouts de choux a tout simplement pour visée de nous rappeller la beauté et l'innocence tout bonnement indescriptibles des enfants. C'est à tout le moins comme cela que j'ai perçu et interprété les choses en lisant ce manga qui nous rappelle avec une franchise et un naturel désarmants de ne pas prendre la magnificence des choses élémentaires (la sincérité du coeur d'un pitchoune, la douceur d'une étreinte maternelle/féminine...) pour acquise.



L'ingéniosité et la puissante humanité et sagesse du manga sont également représentées par le caractère de nos protagonistes, doués d'indéniables qualités et d'un charme purement et simplement ravageur. C'est tout spécialement par leur façon d'agir entre eux et de percevoir le monde qui a un savant goût de miracle que ces formidables personnages m'ont le plus touchée et marquée. En écrivant ces lignes, je pense notamment à Shiharu, notre héroïne, cette admirable jeune fille tout ce qu'il y a de plus mature et réfléchie à son âge ingrat (ne m'en voulez pas les teenagers, on est tous passés par là - et puis, qui aime bien châtie bien après tout) dont la relation avec les jumeaux Aoi et Akane est purement et simplement exceptionnelle et émouvante, magnifique. Notre babysitter au grand coeur cache comme tout un chacun sa part de noirceur, elle qui a vécu des choses extrêmement difficiles mais elle continue envers et contre tout à se battre pour mériter chaque petit instant de bonheur qu'elle expérimente au quotidien. C'est cette leçon de vie que je retiens de ce manga : celle de rester digne et fidèle à vous-même malgré toutes les épreuves que la vie peut vous envoyer.



Vous l'aurez sans doute compris, la dernière chose à faire est de juger ce manga d'après ses apparences extrêmement girly et mièvres... et son appelation aussi. Le titre a effectivement l'air peu recherché et même incorrect grammaticalement parlant (à moins que ce ne soit I love so life mais là encore, ça sonne faux) mais qu'importe, c'est le contenu qui compte et autant vous dire que ce dernier est tout bonnement incroyable. En même temps, Love so life rassemble tous les bons ingrédients pour séduire : la paire de jumeaux (je n'ai pas pu résister à ce pléonasme) la plus adorable et attachante du monde + une héroïne qui est, sans mentir, la gentilesse incarnée et qui a définitivement le coeur sur la main + un séduisant et très touchant protagoniste masculin loin du stéréotype du beau gosse du shojo manga classique (contrairement à ce que l'on pourrait une fois encore penser) qui fait clairement de son mieux (pauvre chou) + une ribambelle d'autres personnages profondément humains et émouvants + une intrigue qui nous rappelle la préciosité de chaque petit instant = que demande le peuple ? J'ose même affirmer que ce manga pétillant et chaleureux m'a beaucoup rappelé mon manga favori de tous les temps, Fruits Basket, avec son humour décapant et sa sensibilité à fleur de peau, dans un style très différent cependant. En bref, je ne pouvais qu'adorer de toutes mes forces Love so life et c'est avec un plaisir non dissimulé que je vais me jeter sur la suite !
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Une petite série toute mignonne. On suit ici Shiharu, une jeune fille de 16 ans qui veut de venir puéricultrice. Un jour, elle devient la baby-sitter des neveux d'un célèbre présentateur télé.

Love so life ce sont : des personnages attachants, des dessins trooop mignons et une histoire sympathique qui n'est pas très originale mais bien quand même. J'aime lire un tome de cette série quand j'ai lu un Tokyo ghoul ou un Ajin ou même un Magical Girl of The End.

Un très beau final plein d'émotions et de tendresse.

A aucun moment je ne me suis lassé de cette ambiance et de ces personnages. Le manga aurait pu continuer encore de nombreuses années !

Il n'y a plus qu'à attendre les prochaines séries de Kaede Kouchi !

Les jumeaux s'apprêtent à partir vivre chez leurs grands-parents. Leur père décide quant à lui de prendre un appartement dans les environs afin de passer un maximum de temps avec eux et de les réapprivoiser. Un tome très nostalgique, car on sent la fin se rapprocher. En effet, comment la série va-t-elle évoluer avec le départ des jumeaux ?

Difficile de parler de ce nouveau volume sans en dévoiler le contenu. Car ça y est, ça bouge !! Seiji fait une déclaration à Shiharu et un personnage important dans la vie des jumeaux fait son apparition. Alors même si l'événement majeur de ce tome est tempéré par une pruderie bien japonaise, le lecteur qui aime les histoires d'amour qui bougent sera satisfait !

Sei et Shiharu emmènent les jumeaux voir leurs grands-parents. Les enfants vont bientôt partir vivre chez eux alors le jeune homme décide de les habituer à leur présence. Shiharu entend une rumeur qui prête une idylle à Sei avec un mannequin. Mais Sei dément. Shiharu est rassurée, d'autant plus que Sei lui a donné la main.

On espère un tome suivant un peu plus palpitant avec enfin un bisou !

Bien que ce manga soit un manga "un peu bébé", je le trouve trop mignon et reste accro malgré une histoire qui traine, mais qui traine vraiment en longueur.

Bourré de bons sentiments qui sentent bon la guimauve et incroyablement cucu la praline, ce manga m'a quand même séduit par son côté enfantin et tout mignon. Peut être que l'histoire qui traine trop finira un jour par me lasser mais pour le moment, je tiens le coup et je continues de l'apprécier.

Cela m'a paru long, faussement mignon et incroyablement chiant. Si l'on est pas fan de shoujo à la base, mieux vaut passer son chemin. J 'ai bêtement cru pouvoir trouver un manga aussi attendrissant et marrant qu'un Flat, ou qu'un Baby-sitters mais je ne suis tombé que sur l'amourette d'une jeune puéricultrice envers son nouveau patron, le genre d'histoire qu'on a l'impression d'avoir déjà vu un million de fois. Il n'est pas assez transcendant pour convaincre. Non, ce manga n'est vraiment pas fait pour moi.

Un tome vraiment génial! (Comme tous ceux d'avant d'ailleurs, je les ai tous littéralement dévorés). C'est juste dommage que le résumé nous dise ce qu'il se passe à la dernière page et je trouve que l'histoire entre Sei et Shiharu avance trop lentement à mon goût... Mais j'ai adoré en apprendre plus sur Seiji et son histoire! Vivement la suite!