[...] j'ai songé que la seule chose qui faisait que les gens étaient vraiment mariés, ce n'était pas l'église ou le prêtre, mais leur consentement, leur : « Oui, je le veux. » Et je ne consens pas. Je ne consentirai jamais. « Je ne veux pas. » Je ne peux pas être mariée contre mon gré, n'est-ce pas . Ils ne peuvent pas m'attacher avec des cordes et me forcer à ouvrir la bouche et à la fermer pendant que mon père dirait d'une voix aigüe : « Je le veux. »
p.272
Pourquoi les villageois ont le droit de décider avec qui ils veulent se marier, et pas moi ? J'aimerais tant être une villageoise.
p.206
Je regardais la lumière du petit matin qui traversait les vitres colorées en faisant des rayons rouges, jaunes et verts. Quand j'étais petite, j'essayais de capturer la lumière colorée. Je croyais que je pouvais la prendre dans ma main et la ramener à la maison. Maintenant, je sais que c'est comme le bonheur. Il est là ou pas, mais on ne peut pas le retenir dans ses mains pour le garder avec soi.
p.176
Je ne serai jamais une religieuse, une croisée ou une acrobate. Je resterai ici jusqu'à ma mort.
p.80
Ma mère a la réputation de faire le meilleur cidre du comté de Lincoln. Elle prétend que c'est parce qu'elle mélange toujours quelques pommes gâtées avec les bonnes. Je me demande si c'est pareil avec les gens, c'est-à-dire que le monde a besoin de quelques gens mauvais pour obtenir un mélange meilleur. C'est peut-être la raison pour laquelle Dieu a laissé le Mal sur terre.
Parfois George ne parle pas comme quelqu'un qui a porté la sainte Croix. Il m'a dit qu'il a arrêté d'être croisé le jour où il a réalisé que Dieu ne pouvait pas se réjouir de voir couler tout ce sang, peu importe de quelles veines il coulait.
p.66
C'est une fille qui s'appelle Catherine et son père veut le marier mais Catherine elle ne veut pas se marier elle veut découvrir encore plein de chose son frère lui passe un journal et lui apprend à écrire ainsi Catherine va raconter son histoire !