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Citations de Karen Rose (163)


Il reposa doucement le cadre sur la table et saisit de nouveau la balle. Du pouce, il caressa la marque du poinçon. De l'autre main, il caressa la marque de Leah : WWJD. Alors, que ferait Jésus, dans une telle situation ?
Il ne le savait toujours pas. Mais il savait ce que Jésus n'aurait pas (en italiques) fait.
Jésus n'aurait pas permis à un violeur, déjà deux fois condamné, de rôder en toute liberté pour guetter des femmes innocentes et les violer. Il n'aurait pas permis à ce monstre de récidiver.
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Fate is simply circumstance. Choice is what you do with it.

It's better to choose to have no one than to get dependent on someone, only to lose him.
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En fait, Roy était devenu son dealer parce qu’elle ne pouvait absolument pas se permettre d’être prise en train d’acheter de la drogue. En consommer était déjà assez grave comme ça. Elle donnait l’argent à Roy, et il achetait ce qu’il fallait pour eux deux.

Il ignorait si l’infirmière s’était aperçue qu’elle finançait la dépendance de son petit ami. Probablement. En revanche, il était quasiment sûr qu’elle ignorait que Roy lui avait fourni des photos qui prouvaient qu’elle volait des médicaments à l’hôpital.
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Il ne comprendrait jamais les femmes qui s’entichaient de bad boys. Même si Roy avait le physique de l’emploi avec sa moue boudeuse, son arrogance et la grosse cylindrée qui allait avec. Sans parler de ses muscles. Merci, les stéroïdes.
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Demandez des renforts avant que la situation devienne dangereuse : n’attendez pas d’entendre les balles siffler. Et celui qui sort d’ici sans gilet pare-balles se retrouve en congé sans solde dans la seconde qui suit. Pas d’exception, pas d’excuses. Revenez tous à 16 heures pour un rapport. Rompez.
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On a beau être prudent, on laisse toujours des traces. Elle devait avoir des activités en dehors, ou un amant, ou quelque chose. Il doit bien y avoir quelqu’un qui sait ce qui la motive – ou des secrets qu’on pourrait utiliser comme levier.
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Personne ne trouve à redire quand c’est un homme qui enchaîne les nuits blanches. C’est sexiste et franchement agaçant. Le fait est que les gens qui ont fréquenté Alice pendant ses études ne savent presque rien d’elle. Sa présence sur les réseaux sociaux est quasiment inexistante. Tout ce que nous savons, c’est qu’elle a rendu visite à Marcus O’Bannion quand il était hospitalisé il y a neuf mois, et qu’elle s’est inscrite dans la même salle de gym que lui pour le surveiller lorsqu’il en est sorti. Elle a tenté de se lier d’amitié avec lui et lui posait des questions sur les enquêtes qu’il publiait.
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Tous les journalistes sont des fouineurs, surtout ceux du Ledger. Pas besoin de te faire un dessin… Il a failli nous faire plonger, il y a neuf mois, quand il a révélé que Woody McCord avait une collection de vidéos pédophiles. S’il avait continué de fouiller, il se serait rendu compte que McCord n’était que la partie visible de l’iceberg.
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Sa tendance à devenir « intimidante » était un symptôme du trouble de déficit de l’attention qu’on lui avait diagnostiqué un an après son entrée dans l’armée. Le médecin qui l’avait détecté avait pratiquement sauvé sa santé mentale. Et il avait certainement sauvé sa carrière militaire, car elle était à deux doigts de finir dans une des prisons qu’elle gardait en tant que membre de la police militaire.

À présent, elle savait comment vivre avec sa maladie. Ne pas trop se fatiguer. Ha. Ne pas s’exposer au stress. Double ha. Ne pas laisser descendre sa glycémie. Et avoir toujours les mains occupées.
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C’est drôle, parce que j’ai l’impression que les gens te sous-estiment, qu’ils ont tendance à te prendre de haut ou à te trouver trop… naïve. Mais je vois que tu caches bien ton jeu.
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Elles étaient vides pour le moment, mais elles avaient été nettoyées et rangées afin d’accueillir le prochain arrivage de… victimes. Rien que le mot lui donnait la nausée, mais c’était bien ce qu’ils étaient. Ces chambres étaient le rêve de n’importe quel enfant, mais elles deviendraient le décor de tous leurs cauchemars. Et cela ne tarderait pas arriver, à moins qu’elle trouve un moyen de l’arrêter.
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S’enfuir aussi loin qu’elle le pouvait. Aussi vite que possible.

Courir jusqu’à trouver un endroit où plus personne n’arborerait ce sourire.

Mais c’était impossible.

Car Internet était partout. Donc Mallory aussi. Alors qu’elle aurait voulu être nulle part. Mais, ça aussi, c’était impossible. Résignée, elle se dirigea vers le rayon crémerie et ouvrit l’un des réfrigérateurs. Elle se tint immobile un instant, la froideur industrielle comme une brise sur son visage en feu.

Son cœur s’emballait, le sang lui battait dans les tempes. Sans lâcher la porte, elle jeta un coup d’œil par-dessus son épaule. Son ventre se serra.

Le type l’avait suivie. Il se tenait au bout de l’allée en pianotant sur son portable, qui semblait minuscule dans ses grosses mains. Surprenant son regard, il afficha le même sourire de pervers. Il lui fit coucou de ses doigts gros comme des saucisses.
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Si tu laisses les morts te prendre la tête, tu te consumeras trop vite.
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- Un de ces jours, votre cœur de guimauve va vous tuer.

-Peut-être. Mais je préfère rester ouverte et me mettre en danger, plutôt que de me renfermer et d’abandonner ce que je suis depuis... Eh bien, presque depuis toujours.
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Une fois seul avec Faith, il la releva, la prit dans ses bras et la serra contre lui, pendant qu’elle pleurait sur une jeune femme qui n’avait échappé à un monstre que pour succomber à la cruauté d’un autre.
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-Tu pleures parce que ça te touche. Comment pourrais-je voir autre chose que de la beauté en toi?
Elle posa la tête contre son épaule.
-J’ai mal à la tête. Et aussi au cœur.
-Je sais.
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Elle me disait de bien écouter ces histoires, qui faisaient partie de mon patrimoine. Mon héritage. Maintenant, le seul héritage qui reste, c’est ce qu’un monstre a fait subir à ses victimes.
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Il m’a pris ma maison, songea-t-il. A la fois sa maison actuelle et celle de son enfance. Dorénavant, ni l’une ni l’autre ne pourraient lui apparaître comme un foyer. Elles étaient toutes deux souillées.
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Pour avoir gardé ce secret, Faith avait payé un prix qui lui semblait exorbitant. La souffrance, les cicatrices émotionnelles.
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 Cela faisait longtemps qu’il avait appris a passer inaperçu en plein jour. Il suffit d’agir naturellement pour que tout le monde imagine qu’on ne fait que ce qu’on est censé faire.
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