Katherine Arden

Une lecture plaisante qui la senteur de mon enfance parfumée aux Chair de poule (team 90' tmtc). Ce roman délivre un beau message sur l'amitié. En bonus, les thématiques du deuil et du harcèlement donnent de la profondeur au récit. Le seul bémol serait dans l'ellipse de certaines explications, mais pour une lecture jeunesse fantastique c'est largement pardonnable selon moi.

C’est à la faveur d’une lecture commune que j’ai enfin décidé de plonger dans L’Ours et le Rossignol de Katherine Arden, le premier tome de sa trilogie « Winternight », un roman que j’avais remarqué au moment de sa première publication, dans sa version originale. Si au départ je ne savais pas à quoi m’attendre – la fantasy n’étant pas un genre littéraire que je connais particulièrement – il n’a fallu qu’un paragraphe pour que je sois envoûtée par la plume d’Arden et le ton du conte qu’elle adopte, de même qu’attirée par cette famille souffrant les affres de l’hiver. S’inspirant du folklore russe et de la mythologie de l’hiver, elle a su créer un univers où le surnaturel et la réalité se côtoient sans accrocs, à travers le personnage de Vassia, une jeune fille au courage et à la détermination sans failles, sensible aux esprits de la nature et autres créatures mythiques, et qui se refuse à la vie que l’on voudrait choisir pour elle. Bref, un coup de cœur, et un univers qu’il me tarde à retrouver, en espérant que les tomes suivants sont à la hauteur de ce dernier.

Ce premier tome de trilogie fut pour moi une très belle découverte qui s'inspire des contes et légendes slaves que je connais peu.



On y suit une famille au Nord des territoires de la Russie actuelle et notamment Vassia, une jeune fille intrépide et dévouée pour sa famille qui a la particularité de voir les esprits.



L'ambiance mystique et le froid des hivers sans fin sont très bien retranscrits. Découvrir les différents esprits de ce folklore russe était un réel enchantement et une très belle découverte. Les chapitres assez courts et le style fluide font beaucoup penser à un conte.



J'ai adoré le personnage de Vassia qui ne se laisse jamais dicté ce qu'elle doit faire ou devenir. Son personnage est d'autant plus fort au vu de la condition des femmes dans cette époque du moyen-âge. Le personnage de Morozko m'a également captivée et intriguée. J'ai hâte d'en savoir plus par la suite.



Par ailleurs, J'ai trouvé que c'était un premier tome qui était très bien construit. A la fois il se suffit à lui même, il a sa propre intrigue avec un début et une fin. Plusieurs questions qu'on se pose au début trouvent leurs réponses dans la dernière partie. Mais en même temps il reste une part de mystère qui donne très envie de lire la suite.



Ce livre a été pour moi ma première expérience de lecture commune et c'était un vrai plus pour savourer encore plus cette lecture.



Pour finir, le glossaire en fin de livre est d'une grande aide (je l'ai malheureusement découvert un peu tard). En remarque, la note sur les utilisations de noms/prénoms en début du tome 2 aurait été la bienvenue en début de ce tome.

quel texte magnifique et magique plongé dans une russie médiévale avec ses rites, contes et autres gnomes, dans l'enfer de l'hiver terrifiant et glacé on suit l'épopée héroïque de Vassia une personne téméraire et "absolument éprise de liberté" quelle paiera "cher" mais à travers son parcours elle surmontera tous les obstacles et fera fie des conventions, sociales, morales ou autres pour vivre sa vie comme elle l'entend..

j'ai hâte de lire la suite de cette trilogie, un peu de rêve et de magie dans le monde actuel où les nouvelles sont plutôt sinistres quel bien fou, j'ai refermé le livres avec plein d'étoiles et de paillettes dans les yeux fantastique!!!!
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Savez-vous ce qu'est un domovoï? Un Vazila? Une roussalka? Non? Alors, partez au fin fond de la Russie, en plein hiver, en compagnie de Vassia et vous découvrirez ces mystérieux et fascinants démons 🙂 ❄



Il y a longtemps que cette histoire m'attirait et j'étais très curieuse de découvrir ce premier tome autour de légendes et de folklore russe. Je n'ai pas été déçue 😁 



Cette histoire est juste incroyable et prenante. Grâce à sa plume fluide, l'autrice nous emmène dans un conte fantastique autour des légendes et mythes russes. C'était même parfois effrayant notamment avec la oupyre (une sorte de vampire mort vivant). Katherine Arden réussit à rendre le récit riche, rempli de détails et de termes russes sans aucune lourdeur ni longueur.  



Les personnages sont aussi très bien construits. J'ai adoré Vassia (qui peut voir les démons des contes), sa gentillesse, son esprit libre, sauvage, féministe et sa loyauté envers sa famille. A l'inverse, j'aurais bien eu envie de secouer le Père Konstantin et ses croyances religieuses.



Et puis, on en parle du lien entre Vassia et les chevaux grâce au démon Vazila?



C'est un gros coup de cœur pour ce premier tome plein de mystère et de folklore russe. Même si ce premier tome se suffit à lui-même, je suis très curieuse de découvrir la suite.

On quittait le troisième tome avec une Ollie qui s’était sacrifiée pour son père. Depuis, Coco, Brian et Phil n’ont plus eu de nouvelles et ne savent pas comment la sauver, ou même s’ils pourront la sauver. Les adultes se rendent compte que quelque chose ne va pas, mais les enfants ne veulent pas leur parler. Et puis finalement le jeu reprend avec la réapparition mystérieuse d’un gamin qui avait disparu dans une fête foraine avec sa petite sœur. On va suivre Coco, Brian et Phil d’un côté, mais également Ollie et son quotidien avec l’homme qui sourit. Celui-ci essayant de la convaincre de rester avec lui.



C’est un tome hyper prenant, avec une ambiance qui fout bien les jetons, surtout quand on a peur des clowns ou des poupées. L’autrice sait encore une fois nous plonger dans son univers, créer des personnages glauques et flippants, et nous faire frissonner. Je suis adulte et déjà ça m’a pas rassuré, donc j’imagine des enfants. Très peu de temps pour souffler, les actions s’enchaînent, et nos quatre enfants vont en baver. L’homme qui sourit est égal à lui-même et en même temps, on voit un peu sous sa carapace, il ne fait pas que jouer, il y a quelque chose de spécial en lui, et j’ai aimé son développement.



J’ai une nouvelle fois beaucoup aimé ce tome, qui est le dernier. Les quatre amis vont faire de leur mieux pour arranger la situation, Ollie de son côté, les trois autres du leur. Le tome m’a parut très rapide et la fin est arrivé trop vite. Sachant que c’est le dernier tome. Je l’ai trouvé presque trop brutale, elle laisse en suspens des choses que j’aurais aimé voir approfondies. Je suis un peu dépitée du coup, mais c’est mon seul bémol sur cette série que j’ai vraiment adoré. Une saga d’horreur pour la jeunesse où l’autrice est très forte pour caser son ambiance et nous plonger dans des terreurs d’enfants (et parfois d’adultes parce que j’aime pas les clowns et les poupées).



En bref, une très bonne lecture, malgré une fin peut-être un peu trop expédiée à mon goût, et qui donne l’impression qu’il pourrait y avoir une suite (même si l’autrice dit bien que c’est le dernier tome). Je me sens également un peu triste de devoir laisser nos quatre ami.e.s et l’univers bâtit par l’autrice.
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Plus rapide à lire, ce troisième tome m'a pourtant semblé tourner un peu en rond. On est encore dans une sorte de huis clos, mais sur une île cette fois, ce qui explique que les personnages passent de la forêt à la plage et de la plage à la forêt. Est-ce que c'est ce qui m'a perturbé ? Je ne sais pas...

En tout cas, on a encore à faire à une affreuse bestiole ! Issue d'une peur différente encore une fois : celle des profondeurs.

J'ai apprécié le suspens qui se dégage de l'histoire, bien que l'on voit assez rapidement où elle va mener. L'apparition d'un nouveau personnage, et surtout, d'un nouveau défi final pour les amis, me donne encore plus envie de découvrir le dernier tome de cette saga !

Très très bon second tome, qui nous glace jusqu'à l'os. Ce concept de monde inversé et de fantômes m'a tenu en haleine pendant ma lecture, tout comme les parties d'échec qui se sont jouées...

J'ai beaucoup aimé découvrir le premier tome de cette saga cet automne et j'avais hâte de découvrir la suite des aventures d'Ollie, Coco et Brian. Cette fois-ci, nos chers amis partent en vacances avec leurs parents à la montagne. Au programme : ski et marshmallow au coin du feu. Ils tentent d'oublier ce qu'il s'est passé deux mois plutôt avec l'Homme qui sourit. Mais arrivés dans l'hôtel légèrement lugubre, de drôles de choses commencent à se produire. Les couloirs ne sont pas rassurants, les miroirs montrent des choses, le froid s'intensifie, les animaux empaillés bougent, des bruits se font entendre... Alors qu'une tempête de neige fait rage, la petite bande va tenter de découvrir ce qu'il se passe.



Les amis, j'ai 30 ans et je lis un livre pour enfant, mais Katherine Arden a réussi à me faire angoisser avec son hôtel sinistre et ses rires de petites filles perdues. Comme pour le premier tome, elle a brillament réussi à installer progressivement une atmosphère inquiétante, et à me nouer l'estomac, à tel point que je me suis dit "je n'aurais peut être pas du lire ça avant d'aller dormir" ahah. J'ai encore une fois beaucoup aimé cette lecture. Ici, on se concentre un peu plus sur le personnage de Coco, fille toute douce qu'on ne prend jamais au sérieux et pourtant elle en a à revendre. Tous les trois montrent à nouveau du courage pour percer le mystère de l'hôtel. Nos petits protagonistes ne sont pas épargnés et vont devoir redoubler d'efforts pour se sortir de cette situation. Je suis impatiente les retrouver dans la suite. Si vous aimez Chair de poule, vous allez adorer !
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Il y a du conte de fées dans le premier tome de cette trilogie. J'y ai retrouvé Cendrillon, la Belle et la Bête et aussi un peu de Rebelle (Brave pour les anglophones) sans l'influence Disney évidemment. L'atmosphère y est beaucoup beaucoup plus sombre, comme elle l'était d'ailleurs dans les contes traditionnels.

J'ai été surprise d'apprendre que ce roman a été édité en 2017 (aux USA) car le style et le roman dans son ensemble m'ont paru assez old school. Pas vieux jeu, attention, mais vintage. L'autrice prend son temps pour écrire. Le cadre est toujours posé avec soin. Le texte foisonne de détails descriptifs sans qu'il devienne ennuyeux. Les péripéties subtilement dosées rythment agréablement la lecture et le point de vue reste distant, se contentant souvent de décrire les faits et gestes plutôt que les sentiments profonds des personnages.



A titre personnel, j'ai été spirituellement convaincue par la tradition païenne russe. Les "protecteurs", ces êtres qu'on appelle aussi démons, dénués des sentiments tellement destructeurs que sont la vengeance, la punition et la cupidité et dont la seule mission est de faire en sorte que l'Equilibre soit maintenu. On devine par la même occasion, la critique voilée de la montée du christianisme régit par des valeurs aussi sombres qu'étriquées.



L'ours et le rossignol est un premier roman et il a été récompensé par deux prix littéraires : le prix Hugo (2020) et le prix Libr'à nous 2020 (dans la catégorie imaginaire). Quoi dire de plus pour vous convaincre de découvrir l'univers fascinant de Katherine Arden ?

Voici une très belle fin et conclusion de la trilogie d’une nuit d’hiver ! Vassia trouve enfin son chemin entre tchiortis et le monde des hommes. Elle est désormais accomplie, sûre d’elle et a appris de ses erreurs.



C’est avec tristesse que j’ai terminé cette très jolie série !

Cela faisait un petit moment que j'avais lu et adoré le tome 1, L'Ours et le Rossignol, aussi je craignais d'être un peu perdue en reprenant le fil de l'histoire avec La Fille dans la Tour... Il n'en fut rien. J'ai retrouvé avec plaisir la Russie du 14e siècle alors qu'elle n'est encore qu'une mosaïque de principautés rivales payant tribut à la Horde d'Or des Tatars, dans un pays où domine l'ombre mystérieuse des forêts et où les cloches des églises gagnent du terrain sur les esprits païens encore bien présents. Vassia, toujours aussi rebelle, doit fuir le village forestier où elle a grandi entre la lumière du foyer familial, perturbée par une belle-mère et un prêtre intrusifs, et l'ombre mi-attirante mi-menaçante des bois hantés par les tchiorts (esprits, créatures mythologiques). Toujours sous la protection de l'ambigu démon du gel Morozko, Vassia prend la route déguisée en garçon, pour être rapidement rattrapée par les conflits en puissance qui agitent la terre russe. Des brigands tatars attaquent les villages isolés, le Grand-prince de Moscou rêve d'indépendance et d'exploits guerriers, les tchiorts sont d'autant moins fiables qu'ils sont menacés par l'expansion du christianisme, et même les motivations de Morozko, qui incarne la mort tout autant qu'il règne sur l'hiver, restent douteuses. Surtout, la tradition autant que la foi chrétienne ne sont pas tendres avec les jeunes filles qui parlent aux ombres et vivent leur vie comme elles l'entendent...

Comme son prédécesseur, La Fille dans la Tour tisse avec brio le réel et le surnaturel en une histoire belle et cruelle, comme un conte russe... et plonge le lecteur dans une passionnante époque charnière où les murailles d'une jeune Moscou s'ouvrent pour des chevaux magiques et où les prières des monastères coexistent avec les prophéties des fantômes.

L'ambiance n'est pas la même que dans le 1, ainsi je pense que le 2 sera moins rapide à lire. Autre chose qui peut gêner : chaque chapitre alterne entre le point de vue de Coco et d'Ollie mais sans que cela soit indiqué. C'est perturbant, même si on remarque très vite cette alternance. Au fur et à mesure, je décide d'ignorer ces changements et de ne pas m'attarder.



La 1e moitié est très lente, c'est laborieux, les personnages sont moins attachants, certains éléments se répètent et j'ai envie de dire que oui, ok, on a compris maintenant change de disque. Fun fact : quand vient le retournement de situation vers la page 150, une ombre est passée devant ma fenêtre et j'ai sursauté comme un caca. En plein jour, grand soleil 🤭 quand je vous dis que je suis mega trouillarde, je ne plaisante pas !! Ce livre en film, je ne l'aurais jamais regardé mais niveau horreur, ça reste classique. Simplement, ne pas lire le soir 🙀



Je ne veux pas me vanter, mais quand le retournement survient, je m'y attendais. Je le voyais venir de loin ! Je ne suis pas déçue pour autant car enfin ça devient intéressant. Mais ce livre fait quand même partie de mes fails de cette année, tant il est lent pendant une bonne moitié..
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Parfois on a besoin d'une centaine de pages avant de se faire une idée. Tandis que pour d'autres livres, dès la 1e page, on le sait ! Ça m'a fait cet effet avec Smoke Hollow. J'adore Ollie et son père, l'atmosphère creepy mais chaude dans le confort de 4 murs. Le soupçon d'originalité rigolote ajoute un petit quelque chose fort sympathique. Je me sens bien en lisant ce roman et je ne veux pas m'arrêter de lire pour connaître la suite.



Au niveau de l'horreur et du frisson, faut savoir que je suis un bébé. J'ai peur de tout et très facilement, donc l'horreur certainement pas pour moi et les thrillers pareil. Donc si vous êtes aussi sensibles que moi, Smoke Hollow ça passe. Je n'ai pas eu trop peur (jusqu'à la page 120 et des brouettes, après l'atmosphère change complètement) ! Mais il est vrai que je lis le jour et rarement le soir, vu que je tombe de fatigue dès que je me mets au lit 😪 (l'âge sans doute 😂). Il y a quelques chapitres qui font bien peur à partir du milieu, mais ne lisez pas le soir et ça ira ! On arrive dans de la course poursuite qui fout les jetons, il faut se cacher dans une ferme délabrée quand le compte-à-rebours arrive à 0, en croisant quelques fantômes, sortir du labyrinthe pour s'échapper du monde des ténèbres, tout en sauvant les kidnappés. Un vrai film bourré d'action !



J'ai filé acheter le 2, MOI, facilement apeurée, mais j'ai vraiment beaucoup aimé ce Tome 1 !! C'est une ambiance générale qui me change de d'habitude, c'est sûr 🤭🙈
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Frissons au Mont Hemlock reprend tous les codes des bons films d'horreur (des personnages coincés par une tempête de neige dans un ancien orphelinat hanté) et les adapte aux adolescents. Une super lecture pour Halloween ou les longues soirées d'hiver. Ollie, Brian, Coco et leurs parents sont toujours très attachants. L'hôtel et les personnages secondaires inquiétants. Certains passages m'auront valu quelques frayeurs. J'ai d'ailleurs trouvé Frissons au Mont Hemlock un peu plus noir que Terreur à Smoke Hollow (les enfants sont ici sévèrement punis plutôt que changés en épouvantails). J'aurais voulu en savoir plus sur cette histoire d'os. Ça ne m'empêchera cependant pas de me jeter sur les tomes suivants.

Une belle plongée en terre gelée

entre contes et épopée.

Un texte magnifiquement écrit qui

nous transporte ..

Le premier volet de cette trilogie nous embarque dans les terres du Nord de la Russie. Entre croyances populaires et christianisme, Vassia doit trouver un équilibre entre les deux et découvrir sa vraie nature.

Bonjour tout le monde !

Enfin je peux dire que j'ai encore clôturé une série ! ( je pense qu'il n'y aura pas de suite)



C'est un ⭐⭐⭐⭐⭐/5 !



Je suis bien contente d'avoir le fin mot de l'histoire et je dois dire que ce tome-ci m'a fait ressentir des choses bizarres envers l'homme qui sourit.



En effet on le voit à travers l'oeil de Ollie, et on s'aperçoit que même si je pense qu'il aime être méchant et bien que parfois il peut être autre chose que ça et qu'aussi il est peut-être obliger d'agir de la sorte par quelqu'un d'autre...? Je referme ce livre donc avec encore une série de question à ce sujet et je me dis que ce serait vraiment chouette d'écrire son histoire à lui ...



Ensuite j'ai vachement apprécié une décision qu'ont pris les enfants en rapport avec le mot cléf " relations parents-enfants"... Je n'en dirais pas plus pour ne pas vous spoiler mais je fut tout autant soulagé qu'eux a l'instant T ^^



Celui ci est tout de même particulièrement glauque avec cette ambiance malsaine de fête rempli de clowns vraiment effrayant... Il est aussi très sordides... des suspensions, des morceaux... Je pense donc que pour ceux qui ont la PHOBIE DES CLOWNS de passer votre chemin pour ce tome là.



Il est vraiment le plus sombre et le plus filppant des autres.. J'ai toujours eu du mal dans les films d'horreurs avec les ombres, les yeux bizarres et les apparitions fugaces, et de fait ce livre possède toutes ces caractéristiques donc je pense que ce soir je vais faire des cauchemars ..



Ainsi je m'en vais lire un livre plus léger sous le nom de Mouss-Täch seigneur suprême intergalactique, un chat maléfique à l'instar de Tête de fesses de @le_journal_de_gurty !



Très bonne lecture à ceux qui l'oseront!

Il était grand temps que je lise cette suite. J’ai essayé au printemps dernier, mais cette trilogie est taillée pour l’hiver et semble incongrue à toute autre époque.

Quelle épique conclusion que celle-ci ! J’ai adoré ce tome. Il a brisé mon cœur et exalté mon âme. Il m’a rappelé pourquoi j’aimais tant l’écriture de Katherine Arden, alors que le tome précédent, quoique bien écrit, me l’avait un peu fait oublier.

Ce tome est pour Vassia celui de la maturité. Dans le premier, nous l’avons connue enfant, nous avons découvert avec elle ses capacités et assisté à la formation de son caractère. Dans le deuxième, exaltée par sa toute nouvelle liberté, elle se croit invincible comme beaucoup de jeunes adultes. Mais dans le troisième… J’ai aimé cette Vassia devenue adulte. Elle fait toujours des erreurs, elle a gardé en elle ses idéaux de jeunesse, mais elle est aussi plus prudente, plus maligne, plus déterminée aussi. Les malheurs l’ont forgée.



La suite sur mon blog...
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Dans ce livre j'ai adoré découvrir les démons, voir le paysage changer au fil des saisons, mais aussi me laisser porter par la magie de l'hiver. Cependant, cette lecture n'a pas été un coup de cœur. Je pense que les personnages m'ont un peu ennuyée.