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Citations de Kenneth Robeson (27)


Alors on revit le diable ...
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L'homme est vraiment un géant, il passe à peine par la porte de la carlingue.
Sous la peau de bronze, les muscles sont tendus comme des cordes de piano.
Tout en lui dégage une force extraordinaire.
Mais ses yeux surtout fascinent la foule.
Ils sont comme tachetés d'or et la lumière des projecteurs s'y reflète.
Il ne crie pas et pourtant sa voix domine le vacarme.
Cinq hommes surgissent derrière lui. Une équipe remarquable.
Les compagnons de Doc Savage, souffle quelqu'un ...
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Le public américain se fait son opinion sur ce qui se passe grâce aux journaux. Or, les journaux se trompent parfois, et ainsi le public ne perçoit pas toujours la vraie signification des événements. C’était le cas dans
l’affaire Jethro Mandebran.
Et, peut-être, n’était-ce pas plus mal que le public ne comprenne pas toute la signification de l’affaire Jethro Mandebran. Car de nombreuses têtes auraient pus devenir grises.
Jethro Mandebran avait disparu, un dimanche après-midi, sur son parcours de golf privé. Il avait frappé sa balle dans un bouquet d’arbres, et était allé la chercher à l’intérieur. C’était la dernière fois qu’on l’avait aperçu. C’était extrêmement déconcertant. Un essaim de détectives privés n’avait pas pu trouver la moindre trace. Finalement quelqu’un pensa à utiliser la méthode traditionnelle des limiers, mais les chiens ne repérèrent aucune piste.
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– Vous vous souvenez qu’il y avait une seconde raison pour laquelle je suis allé vous voir dans les coulisses ? Eh bien ! je voulais vous demander de pouvoir examiner vos yeux.
– Mes yeux ?
– Je pense qu’un artiste de votre qualité a besoin plus qu’un autre de ses yeux. Je veux savoir si l’on pourrait vous rendre la vue.
– Mais c’est impossible ! J’ai consulté les plus grands spécialistes du monde ! Ils m’ont affirmé que seul un magicien...
– Alors essayons un peu de magie, proposa Doc en souriant.
– Je vous en prie, ne plaisantez pas sur ce sujet.
– Je suis très sérieux. Si les conditions sont celles que je crois, je pourrai vous rendre la vue. C’est pourquoi je veux vous examiner.
C’en était trop pour Victor Vail. Il se laissa tomber sur une chaise sans mot dire.
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J'ai lu ce livre il y a bien des années et j'ai adoré. Un super héros comme je les aime. Suite à un important dégât des eaux, j'ai malheureusement du jeter tous les volumes de la collection et ceux-ci sont quasi introuvables aujourd'hui. Espérons que quelqu'un aura la brillante idée de numérisés.
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Quelqu’un semblait essayer d’ouvrir une porte toute proche. Des coups sourds résonnaient, du bois craqua, et la porte tomba vers l’intérieur.
L'homme qui parut était svelte, acerbe, et vêtu avec la plus grande perfection vestimentaire. Il avait le front haut et la bouche mobile d'un orateur. Dans une main, il tenait une fine canne noire qui était légèrement défaite à un joint près de la poignée, révélant ainsi une canne-épée, dont la lame était aussi aiguisée qu’un rasoir.
L’homme bien habillé regarda le gentil chimiste, avec l’expression d’un gentilhomme qui venait de trouver un crapaud sur sa table de petit déjeuner. Monk, j’ai toujours su que vous nous feriez sauter avec l’une de vos idiotes expériences de chimie ", claqua-t-il.
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L'homme à la toque en peau de raton laveur n'avait pas bougé, mais se trouvait dans le faisceau du projecteur, dont l'avion inondait la plage. Les trois moteurs étaient munis d'hélices rétroactives. Celles-ci étaient actuellement inversées, la course fut brusquement coupée, et l'avion s'arrêta gentiment sur le sable. La porte de la cabine s'ouvrit vivement.
Doc Savage apparut.
Le bras de cet individu inhabituel avait été quelque chose qui captait l'attention. Son corps entier était infiniment plus frappant. C'était un géant,
parfaitement proportionné, chaque muscle développé en proportion si égale, que ses proportions n'étaient seulement visibles qu'en comparaison avec la porte de la cabine.
Chaque lignes de la grande charpente avertissaient d'une puissance incroyable. Cet aspect était encore plus accentué par la couleur bronze, unique, de sa peau; c'était comme une peinture bronze enduisant les muscles, qui semblaient être de gros câbles métalliques.
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Le quatre-vingt-sixième, c'est l'étage de Doc Savage, présenta le garçon d'ascenceur, appartement à titre d'information.
La cage monta et s'arrêta. Les deux passagers sortirent dans un simple, mains néanmoins somptueux corridor. Il était évident, en les voyant regarder tout autour d'eux, qu'ils n'étaient jamais venus ici auparavant. Ils trouvèrent leur chemin jusqu'à une porte.
Sur la porte, un nom était esquissé en très petite lettres de bronze. Ils lurent : DOC SAVAGE
Saisissant la poignée, l'homme au chapeau de soie essaya de rentrer. Mais, la porte était verrouillée. Il frappa avec une vive impatience et la porte s'ouvrit.
Le gentilhomme au chapeau de soie fit une erreur, qui plus tard, lui coûtera la vie. Il rentra le premier dans la pièce, en écartant la vieille dame du coude. Cet acte était tout, sauf chevaleresque.
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...Sur le sable fin une forme était allongée. Elle était vêtue d'un pantalon beige, de bottes, d'une veste de cuir et d'un casque d'aviateur. Elle avait vaguement l'apparence d'un homme mais, la où auraient dû se trouver le visage et les mains. Il n'y avait plus que des os, sinistrement nus...
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– Par des exercices quotidiens, pratiqués depuis son plus jeune âge, Doc Savage a atteint un développement musculaire fantastique, une puissance physique auprès de laquelle la force de Samson n’est rien. En outre, ses connaissances intellectuelles n’ont pas de limites. Doc Savage est un mélange savant de force musculaire et de perfection mentale, mis au service d’une vocation particulière. Il combat le mal partout où il se trouve, et cette mission le mène dans les coins les plus reculés du monde. Sa dernière mission, vous le savez, l’a appelé au Chili. Il s’est attaqué à une
bande de malfaiteurs redoutables qui voulaient s’emparer de l’industrie du nitrate afin de fournir des explosifs à une nation européenne particulièrement belliqueuse...
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C'est alors qu'une voix retentit. Une voix étranglée prononçant des mots qui avaient du mal à sortir. Elle dit quatre mots - en réalité deux paires de mots séparées par une courte pause. Il était impossible de dire avec précision d'où venait cette voix. On ne voyait pas la bouche de l'homme gras qui cachait toujours son visage dans ses bras. Tous les passagers avaient les yeux fixés sur lui et tous purent entendre ces quatre mots - Doc Savage - soyez prudent.
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De la part d'un gouvernement,ce n'est pas très honnête d'arracher la terredes mains d'un pauvre sauvage pour la donner à exploiter à des Blancs.C'est un peu ce que nous avons fait avec les Indiens,aux Etats-unis.
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Les yeux de Doc Savage fouillèrent vivement les alentours. Il cherchait une cause logique pour ce soudain, sinistre changement en Souriant Tony. Il ne semblait pas y avoir d’explication raisonnable. Des cireurs de chaussures dans la rangée le long du parc, ceux non occupés regardaient uniquement l’homme de bronze lui-même.
Personne ne s’était arrêté. Aucun n’avait parlé. Le courant du soir des piétons coulait sans discontinuer vers les trains surélevés tout près, ou vers les entrées des métros.
L’homme de bronze traîna encore un moment après qu’il eut laissé une pièce de vingt-cinq cents dans la main de Souriant Tony. La grimace féroce était toujours fixée sur le visage du cireur de chaussure. Toujours auparavant, un sourire expansif avait accompagné l’accomplissement de la tâche de Souriant Tony.
Maintenant il marmonna seulement, – Merci, M. Savage, et il regardait le parc du printemps avec ses yeux noirs aussi froids que de la glace.
Doc Savage était attendu dans peu de temps à une importante réunion de directeurs d’une compagnie aérienne.
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Lady Fotheran et Dernall furent surpris par une trille musicale soudaine. Encore que ce n’était pas un air. Le son exotique aurait pu venir à pleine gorge d’un oiseau rare profondément caché dans un fourré. Il abordait les notes de l’échelle, mais sans ordre harmonieux.
Les trois compagnons de Doc savaient que leur chef de bronze avait fait une découverte vitale. Peut-être était-ce dans l’analyse chimique de l’ancienne pierre. Ou peut-être était-ce la réponse sous un autre angle du problème du mirage de la mort.
Les hommes de Doc n’espéraient pas apprendre ce qui avait été confirmé. L’homme de bronze avait émis la trille rare presque inconsciemment. Il ne dirait rien jusqu’à ce que sa théorie soit complètement confirmée. S’il avait mal deviné, peut-être ne l’apprendront-ils jamais.
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Des mains de bronze musclées se mouvaient habilement parmi une variété d’instruments luisants fixés sur un panneau de marbre noir. L’ensemble des petites lumières sur le panneau était reflété dans des yeux d’or. Les points de lumières bougeaient dans les orbites de l’homme de bronze comme s’ils avaient été pris dans de petits tournillons.
La peau de bronze de Doc Savage sur sa nuque puissante s’unissait avec le doux masque de cheveux de teinte similaire. Il était si immobile dans sa concentration que sa tête donnait l’effet d’être une statue découpée.
– Il n’y a pas de doute que cette tempête de neige en soi est isolée et purement locale dans la surface de New York, statua l’homme de bronze. Mais il y a des indications possibles d’autres endroits distants similairement affectés. Elle disait qu’il pouvait y avoir de soudains changements de temps. Les paroles de l’homme de bronze étaient plus songeuses qu’une déclaration à ses trois compagnons avec lui. Pendant près d’une heure, il avait étudié la bizarre tempête de neige de juillet. Avec la radio et d’autres instruments, il avait vérifié plusieurs superficies dans le monde plutôt grandement séparées les unes des autres.
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L’homme qui entra dans la pièce peu après semblait de taille gigantesque lorsqu’il fut dans l’embrasure de la porte, mais il y eut une remarquable illusion de rétrécissement lorsqu’il avança.
C’était dû à la symétrie du remarquable développement musculaire, et une constitution même qui en faisait un homme de stature ordinaire jusqu’à ce qu’il se trouvât près d’un objet avec lequel sa stature pouvait être comparée.
Plus inhabituel encore était sa peau, d’une fine texture et de couleur de bronze. Ses yeux étaient la troisième de ses caractéristiques uniques – ils étaient comme des mares de paillettes d’or, toujours en mouvements.
C’était un homme dont l’apparence seule ferait ressortir immédiatement de la multitude. Bien que son habillement fut ordinaire, ne démontrant pas le moindre indice d’un aventurier.
« Il y a quelque chose qui ne va pas ? » Demanda le nouvel arrivant d’une voix chaude et modulée.
« Cette femme, Docteur Savage », montra l’homme grassouillet. « Elle a prononcé votre nom il y a peu».
Les deux hommes, le replet et le mince grisonnant, se mirent à faire un résumé détaillé de leurs observations du cas. La femme avait été amenée lors de la nuit précédente du Temple Nava, où elle s’était évanouie au milieu d’une tirade contre le mystérieux Rama Tura, qui remplissait les colonnes de publicité des journaux en faisant des diamants de choses sans valeurs.
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L'homme de bronze était vêtu d'une tunique de tissu caoutchouteux gris, et sa tête était encastrée dans ce qui ressemblait à un heaume de verre. Revêtu de cet ensemble hermétique, il manipulait des éprouvettes dans lesquelles des produits chimiques bouillonnaient et précipitaient, et desquelles des nuages de vapeur à l'aspect sinistre s'élevaient. La porte du laboratoire était étroitement fermée et verrouillée.
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"J'ai un plan", répliqua le maire. "Nous aurions dû y penser plus tôt. Il y a un
homme qui a comme carrière d'aider les personnes à sortir des ennuis. C'est un homme vraiment remarquable, d'après ce que j'entends, et exactement l'homme dont nous avons besoin".
Le procureur fronça les sourcils, puis opina pour lui-même.
"Un homme vraiment remarquable dont la carrière est de sortir les autres des ennuis", dit-il. "Cette description suggère un nom. Mais si c'est le nom de la personne à qui je pense, qu'est-ce qui vous fait pensez qu'il viendra ici. Cet homme est fort occupé. Il crée des royaumes et des choses comme ça. J'ai lu des articles sur lui dans les journaux".
"Qu'est-ce que cela coûtera ?" Demanda l'homme qui était propriétaire des hôtels.
"Cet homme ne travaille pas pour de l'argent", dit le maire.
"Maintenant je sais que nous pensons à la même personne", observa le procureur. "Doc Savage".
"C'est bien Doc Savage", agréa le Maire Leland Ricketts.
Il n'y eut pas beaucoup d'agitation à la mention de Doc Savage, peut-être du fait que ceux-ci étaient tous de sérieux hommes d'affaires. Certains opinèrent, cependant, et il y avait un murmure de conversation.
Il semblait qu'ils avaient tous entendus parler de Doc Savage.
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Doc Savage resta un moment silencieux, tandis qu’il réfléchissait, puis un son étrange, surnaturel sortit du récepteur téléphonique. C’était un son défiant la description. C’était une trille très musicale, un sifflement bien que ce ne soit pas un sifflement. Possédant une qualité mélodique, exotique, qui montait et descendait l’échelle musicale, mais sans thème défini.
Cela pourrait avoir été un vent sifflant de façon spectrale à travers le gréement d’un bateau, ou ce pourrait avoir été le chant d’un étrange oiseau de la jungle.
Monk se raidit lorsqu’il entendit le son; il avait entendu cette étrange note de nombreuses fois auparavant. La trille émanait de Doc Savage, c’était une petite chose que l'homme de bronze faisait inconsciemment dans des moments d'excitation mentale. Elle venait habituellement avant le développement d’un éclaircissement; souvent elle marquait la découverte d'un fait jusque là obscur, qui aurait ultérieurement une grande importance.
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Un léger sourire étira les lèvres de l’homme de bronze.
– C’est possible. Peut-être aurais-je dû vous dire que je m’appelle en réalité Clark Savage Junior.
Victor Vail poussa un cri de surprise.
– Clark Savage Junior ! Mais j’ai joué un morceau de lui, ce soir, un morceau superbe ! Ce n’est pas possible, vous n’êtes pas l’auteur de cette musique ?
– Eh oui, admit Doc. Et je n’ai jamais entendu une interprétation aussi parfaite de mon oeuvre. C’est une des deux raisons pour lesquelles je me suis rendu dans les coulisses. Je voulais vous féliciter. C’est alors que j’ai aperçu le comportement bizarre de cet individu qui vous a attiré au-dehors. Je vous ai suivi, et voilà.
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