Kenta Shinohara

Vous avez un problème à régler ? Un coupable à démasquer ? Faites appel au Sket ! Ce club lycéen est composé de trois membres. Il y a d’abord Himeko, la furie hargneuse au caractère bien trempé, Bossun, le fin limier, et enfin Switch, le geek bien informé par ses réseaux qui ne parle qu’à travers la synthèse vocale de son ordi !

Chaque chapitre de ce premier tome donne lieu à la résolution d’une mission. C’est un shonen qui mise beaucoup sur l’aspect comique des situations et des personnages, exagérant leurs propos ou leurs actions. C’est une série qui promet de bons moments de détente en compagnie de personnages extravagants, un peu hystériques sur les bords qui se complètent bien. Ma seule remarque serait que ce tome est un peu trop bavard.

Comédie scolaire totalement déjantée, « Sket Dance » est un shônen écrit et dessiné par Kenta Shinohara.

Le Skate est un club formé par 3 lycéens : Bossun, le chef, possède un pouvoir de concentration exceptionnel ; Himeko, la chef adjointe détentrice d’une force surhumaine ; Switch, le secrétaire geek qui n’ouvre jamais la bouche et s’exprime à travers son ordinateur. Ce trio de choc s’est donné pour mission de venir en aide aux élèves quelle que soit la requête. Sous- estimés par la majorité du lycée, ils auront pourtant du fil à retordre pour venir à bout des péripéties qui les attendent : un peinturlureur masqué, un singe obsédé, un revenant, un samouraï du XXIème siècle…

Dans ce manga les seconds rôles n’ont rien à envier au trio de tête et tiennent une place importante dans ces scenarios rocambolesques.

Le graphisme qu’en à lui n’a rien d’exceptionnel, un peu brouillon par moment mais dynamique et sympathique.

Pour conclure, un très bon manga pour adolescents mais pas que…



Un grand merci à Babelio et l’opération masse critique pour l’envoie de ce livre.

Le SKET est un club de lycée. Il ne compte que 3 membres. Leur but : aider les élèves et les enseignants de ce lycée qui sont en difficulté. Tous les 3 ont des compétences complémentaires. Dans ce premier tome, nous découvrons leurs compétences et leur caractère. Chaque mission est traitée comme un chapitre. Nous enchaînons les histoires qui sont intéressantes. J'ai bien aimé. j'espère en apprendre plus sur les membres du club dans les prochains tomes, sinon, les histoires risquent de tourner en rond.
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Le manga est très drôle et l'histoire est bien construite.

Nous avons aimé tous les moments. C'est assez fort en émotion. L'histoire est réaliste hormis le singe qui porte une bombe dans le collège.

Les dessins sont très maîtrisés.

J'aime toujours autant cette petite ambiance insouciante qui permet de traiter des dérives haines avec beaucoup de légèreté. J'apprécie grandement la capacité du personnage principal qui lui permet de tout comprendre et qui nous donne de quoi réfléchir correctement. Les petites histoires sont drôles principalement pour l'instant. Mais celle sur Himeko était bien utile pour son développement.

Le club des protecteurs de la vie scolaire sont là pour simplifier la vie du lycée... mais les missions qui leur sont confiées sont souvent impossibles et farfelues.

Je ne suis pas parvenue à bout de ce manga déjanté mais trop brouillon, qu'il s'agisse du graphisme ou du scenario.

Une idée intéressante, d’autant que l’auteur imagine des affaires très variées pour mobiliser l’équipe du SKET (pour “Support Kindness Encouragement Troubleshot”). Il a aussi opté pour des personnages au profil marquant et au tempérament détonnant.
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La série démarre plutôt bien, avec une présentation des personnages assez rapide [...] et un ton léger. On y découvre une version light des problèmes scolaires, pas franchement graves et plutôt loufoques. Car c’est bien ça qui compte, le burlesque et l’amusement.
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Au lycée, le Sket Dance, un club composé de trois élèves, a pour mission de venir en aide à toute personne qui en ferait la demande. Leurs missions ne vont pas être de tout repos, d'autant que le conseil des étudiants voit les activités du groupe d'un mauvais oeil.

Un manga très très drôle à bien des niveaux : répliques des personnages, comique de situation, auto-dérision des personnages. Le découpage en petits épisodes est très pertinent car cela permet le renouvellement des histoires ; s'il n'y avait eu qu'une seule intrigue, ça n'aurait pas convenu au style du manga et le rythme se serait vite essoufflé. Avec le découpage, c'est beaucoup plus dynamique. Il ne faut pas s'attendre à quoi que ce soit d'extraordinaire mais on passe un bon moment en lisant ces histoires.

J’ai bien aimé les personnages complètements loufoques : une fille ancienne rebelle-violente, un garçon geek qui ne parle qu’à travers une voix synthétique d’ordinateur et un troisième larron qui puise sa force dans sa concentration extrême. J’ai bien aimé aussi l’intervention de l’auteur qui explique sa démarche d’écriture après chaque chapitre. Mais à coté de ça, je n’ai pas trouvé l’idée du scénario très intéressante. Les petites enquêtes sont assez creuses. Sans le coté attachant des personnages je n’aurai probablement pas poursuivi ma lecture.

Le Club des protecteurs de la vie scolaire aide tout lycéen qui aurait besoin d’aide : Bossun le stratège qui réfléchit en mettant ses lunettes, Himeko la princesse des racailles surnommée la princesse dragon et Switch, le geek muet. Une équipe fracassante qui résout des cas très différents tout au long de ces petites histoires.



Moins de profondeur d’analyse que d’autres manga, il est cependant sauvé par son humour et les valeurs d’entraide, de partage, d’amitié.

J’ai découvert également un procédé souvent utilisé dans les mangas : l’auteur commente son propre texte, expliquant sa création et sa réception, pourquoi il a fait agir un personnage comme ça, les difficultés qu’il a rencontrées dans le dessin, etc. C’est un aspect intéressant, même si je ne suis pas sûre que les enfants lisent ces commentaires …
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Un manga assez original par son intrigue parce que le dessin est relativement commun.



Les trois personnages principaux se complètent bien et j'ai apprécié l'inversion des genres : c'est la seule fille du groupe qui est l'experte en bagarre alors que les garçons semblent plus cérébraux.



Le volume est composé de différentes histoires mettant en scène nos héros. Comme souvent dans les mangas chaque histoire permet d'apprendre un ou plusieurs détails sur les héros. Chaque intrigue repose souvent sur une mission à effectuer pour un élève, un agent du lycée ou un professeur. Il y a des scènes humoristiques mais aussi de l'action : mystères à résoudre, stratégie pour retrouver un animal de compagnie, interrogatoires.



Ce n'est pas de la grande littérature car certaines phrases ou expressions relèvent davantage de l'oral que de l'écrit mais cela correspond bien au public ciblé, celui des collégiens.



L'auteur pratique une certaine forme d'ironie par rapport à ses personnages, au monde des mangas ou à la culture adolescente japonaise. Les lecteurs les plus matures seront peut-être sensibles à cet humour.
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10e tome charnière dans Sket Dance, entièrement dévolu au passé du héros, Bossun. Démonstration de force de Kento Shinohara qui conjugue le gag manga avec la plus juste émotion. Ou comment faire d’un shonen du Jump une véritable petite merveille...
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Alors que ma lecture du tome 11 remonte à 7 ou 8 ans, je n'ai eu aucun mal à me replonger dans cet univers. Ce titre et ce tome ont pour seul fil rouge de résoudre les problèmes des élèves de leur lycée, mais il n'y en a pas tout le temps, donc parfois c'est juste leur quotidien au club. C'est toujours aussi drôle et absurde, mais je comprends que trop d'humour, ne plaise pas à tout le monde.

On démarre ce tome avec un chapitre complétement absurde, mais criant de vérité xD. Pour la suite, c'est toujours aussi drôle, bien que le personnage de Switch soit en retrait par rapport à Bossun et Himeko. Je ne suis pas forcément fan de tous les chapitres, mais j'ai beaucoup aimé les deux derniers qui amènent un peu de sérieux au titre, entre harcèlement sexuel et belles valeurs sur l'amitié.

C'est toujours aussi drôle et absurde, mais le rythme de lecture est un peu lent, ces histoires sans suite directe en sont la cause, une fois lancée on est rapidement stoppé... Heureusement que l'humour est présent, et que quelques chapitres sont un peu sérieux, ce qui amène un cadre à l'histoire. J'ai été moins fan de l'épreuve sportive, qui est tout un univers bien à lui et particulier.

C'est sûrement le tome qui m'aura fait le plus rire et dont je n'ai pas vu le temps passer ! L'arrivée de Saya, personnage classique et cliché mais notre trio se moque justement de ces idées. Leur voyage au ski est vraiment la partie la plus drôle avec la mésaventure de Himeko et Bossun, qui est originale et l'idée poussée ! Je trouve dommage de ne pas voir plus Switch et Tsubaki, surtout lui.

En dépit d’un propos qui peut sembler banal et désuet, Sket Dance n’est demeure pas moins une très grande série pour le soin accordé au développement de ses nombreux personnages.
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Un rythme très efficace dans son altercation entre histoires comiques et plus sérieuses et aussi entre anciens et nouveaux personnages. L'univers est crédible et les histoires sont intéressantes, que demander de plus ? Mention spéciale à la beauté de la première histoire sur la rencontre plusieurs années après et à l'affrontement contre le bureau des élèves.

Un tome "spécial Saint Valentin" avec beaucoup d’humour, mais aussi un brin de romance, pour l’un des meilleurs gags manga du moment. Un titre toujours chaudement recommandé.
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